Le cortège du ministre du développement rural, Bocari Tréta, a été la cible hier mardi 25 septembre d’une attaque terroriste dans le cercle de Bourem. C’est l’un des véhicules d’escorte du ministre avec à son bord des militaires lourdement armés qui a sauté sur un engin explosif improvisé à Hamakouladji, à quelque 45 kilomètres de Bourem. Le bilan est de deux militaires tués sur le coup, six blessés dont trois grièvement. Ils ont été évacués sur Gao, dans le camp Barkhane, où ils reçoivent les soins appropriés.
De sources concordantes, il s’agirait d’un engin explosif commandé à partir d’un lieu où les assaillants pouvaient apercevoir depuis leur planque les mouvements de la délégation ministérielle. Le premier véhicule d’escorte est passé sans problème.
Le deuxième véhicule n’a pas eu la même chance, car à peine arrivé près de l’engin explosif, il a sauté, ne laissant que de la ferraille, deux corps sans vie et d’autres ensanglantés.
Le ministre du développement rural Bocari Tréta a eu la baraka. Le véhicule à bord duquel il se trouvait venait juste après celui de l’escorte complètement calciné.
S’agissant des deux victimes, leurs corps sont actuellement au camp I de l’armée malienne à Gao. Le gouvernement malien, dans un communiqué, a condamné avec vigueur ” cet acte odieux “ et affirmé “ avec force sa détermination à poursuivre ses efforts de sécurisation et de développement en direction de tout le pays principalement les régions du nord “.
La délégation ministérielle se rendait sur le site du barrage de Taoussa et le périmètre de Forgho dans le cadre du développement à la base.
Après cet incident, le ministre du développement rural, apprend-on, a été contraint d’annuler sa mission. La zone de Bourem traverse, ces derniers temps, des problèmes réels d’insécurité. Elle est régulièrement assiégée par divers groupes armés. De violents combats avaient opposé récemment le mouvement d’autodéfense Imghad et alliés aux groupes séparatistes du MNLA et du MAA après le rapt par ces deux groupes narcoterroristes d’un Arabe. A l’issue des combats, de nombreux véhicules ont été détruits et d’autres emportés par le GATIA. De nombreux blessés avaient aussi été enregistrés de part et d’autre. Le MNLA et le MAA ont fini par abandonner leur position.
C’est dire donc que dans les environs de Bourem circulent des éléments en armes prêts à appuyer à tout moment sur la gâchette ou sur le bouton d’un engin explosif.
Si treta était mort très bien ce voleur ne.
Avec tous ces attentats, les Hassidis de l’opposition ne veulent pas qu’IBK achète son avion pour survoler les zones dangereuses. Il savait que les terroristes du MNLA sont toujours actifs et il ne va quand même pas exposer la vie du 1er des maliens. Il a raison d’utiliser son avion pour aller loin des problèmes du Mali!Les Hassidis vont mourir!!Pauvre Mali!
« Tant que ces terroristes ne sont pas maîtrisés, personne n’aura la paix dans ces pays ».
Ses terroristes ne sont autres que les membres du MNLA qui ont égorgés nos préfets , ratés de justesse le Général GAMOU et le PM Moussa MARA.
Ses terroristes ne sont autres que les membres du MNLA qui ont promis à leurs femmes d égorger Assarid Ag Imbarcaouane, le jour où il se rendra chez lui-même à Djébock.
Ses terroristes ne sont autres que les membres du MNLA qui ont déposé la bombe qui a tué deux maliens et blessé 9 autres et ratés de justesse le ministre THÉRÉTA sur la route Gao Bourem hier matin 25 novembre 2014.
Ses terroristes ne sont autres que les membres du MNLA qui ont décapités, assassinés les journalistes français innocents, assassinés lâchement les soldats de la coalition des pays amis venus au secours du Mali.
Cette réconciliation sera très difficile et même impossible pour des hommes qui pensent qu’ils ont gagnés la guerre et qui occupent le territoire par surcroît.
La seule solution sans démagogie : est la guerre et rien que la guerre jusqu’à la victoire du Mali.
Femmes et hommes débout pour le combat de libération pour ne pas rester esclaves ou être esclaves.
Femmes levons nous pour le combat de justice, pour que demain, ils ne reviennent pas nous enlever pour nous droguer ; et nous envoyer dans les écoles pour tuer nos propres frères. Pour que sous l’effet de la drogue nous ne tuerons nos propres parents dans les lieux de rassemblement.
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