Conduite de main de maître par le Général Gamou depuis Takellot (Kidal), à en croire nos sources, une série d’opérations de désarçonnement s’est déroulée entre les journées du vendredi et hier dans la région de Kidal âprement disputée par les combattants de la CMA et du GATIA sur fond de différent communautaire. Ladite opération pourrait précipiter une étape sur laquelle les indépendantistes ont toujours trainé les pieds depuis la signature de l’Accord, à savoir : le désarmement et le cantonnement des combattants.
La tournure spectaculaire a démarré vendredi par un assaut des combattants du GATIA sur une position militaire que tient la CMA à 80 kilomètres environ de Kidal, non loin d’Aguelhoc, la localité devenue tristement célèbre par le cruel revers infligé à l’armée malienne en 2012. Sur le mobile apparent de l’assaut, les explications divergent. Selon certaines sources, les affrontements découlent de l’assassinat de deux combattants de la Plateforme détenus en otage par la partie adverse, à l’issue d’un récent accrochage entre belligérants. Quoiqu’il en soit l’épisode de vendredi est assimilable à un coup de pied très décisif dans la fourmilière, au regard de la grande débandade provoquée dans les rangs de la CMA dont la principale composante, le Mnla, subit de plein fouet les affres de ses dissensions. En les délogeant de force de la position d’Aguelhoc, les hommes du Général Elhaj Gamou, confient nos sources, leur ont infligé des pertes énormes de combattants et d’un arsenal de guerre assez conséquent pour affecter leur puissance militaire et influencer le rapport des forces entre les deux groupes armés. En effet, le butin guerre, de même source, se compte par dizaines de véhicules dont des engins de l’armée malienne ainsi qu’une importante cache d’armes et munitions en provenance de la Libye selon toute vraisemblance. Auxquels s’ajoute, à en croire les mêmes sources, grande quantité de réserves de nourriture.
Le rouleau compresseur ne s’est point arrêté au poste CMA d’Aguelhoc. Il nous revient qu’hier, aux environs de midi, la position principale du même groupe armé est tombé aux mains des combattants du GATIA, qui, explique-t-on, ont réussi à surprendre ceux de l’adversaire à l’heure du déjeuner. Bilan : une dizaine de combattants tués, de nombreux blessés et une autre position stratégique abandonné au groupe armé loyaliste. Ce n’est pas tout. Un épisode scénario similaire s’est déroulé concomitamment dans la région de Ménaka, précisément dans la localité de Tin-Fatimata où le GATIA a réussi également à supplanter la Coalition des Mouvements de l’Azawad.
Une évolution aussi spectaculaire devrait logiquement se concrétiser par un renversement proportionnel de vapeur sur la situation de Kidal où Imghads et Ifoghas se disputent quelques temps le contrôle des positions politiques et administratives prescrits dans l’Accord pour la paix et la réconciliation. Un premier épisode d’affrontements sanglants entre les deux protagonistes s’est soldé par un abandon de ses positions militaires par le GATIA qui n’a jamais renoncé à reconquérir la part qui doit revenir à la communauté Imghad dans la gestion de Kidal.
Qui des répercussions du nouveau rebondissement sur l’application de l’Accord ? Le GATIA n’en a visiblement cure et, selon une de ses têtes pensantes, un accord ne vaut que par ce qu’il peut apporter aux différentes communautés. Or, depuis sa signature l’accord pour la paix et la réconciliation n’a permis à personne de connaitre d’une existence paisible.
Par ailleurs, la reprise de positions stratégique à la CMA pour servir d’accélérateur au processus de désarmement-démobilisation-réintégration longtemps pris en otage par les mouvements pro-azadiens jusque-là en position de force dans les négociations au sein du comité de Suivi de l’Accord.
A KEITA
Si tout ces actes patriotiques du gatia se confirment sous la houlette du Général El hadji Gamou,de quoi un autre malien moussa balla coulibaly aurait il peur ou verrait il une offense à la nation malienne en s affichant sur une photo avec ce digne fils du mali:Le Général Gamou.?
Le général Gamou à été reconnaissant pour tous es efforts consentis pour l intégration des touareg,contrairement aux mensonges débités en occident par le mnla et alliés.
Honneur au gatia,honneur à notre armée,nos pensées sincères à tous ceux tués ou blessés sur le chemin de notre unité nationale.
Merci au Tchad, au Sénégal,a la Guinée,au togo,au niger,au Nigeria pour le lourd tribu payé, et à la france.
J ai été frappé du discours du résident français prononcé le 19 septembre, qui n à nullement mentionné les scènes tristes du Radisson de bamako parmi les actes terroristes comme ceux de ouagadougou, bassam et autres,une omission.
Merci à la france.
bonjour
Mr Anasser Ag Rhissa
je suis tout à fait d’accord avec vous surtout que vous avez une analyse nette de la situation au Mali. Je souhaiterai si vous le permettez d’ajouter un point qui a mes yeux est incontournable. Dans tout développement humain et économique nécessite sans condition une justice sociale. IL est aujourd’hui nécessaire que l’ensemble du peuple malien se mette autour d’une même table sans distinction de couleurs, d’ethnies ou de religions. Seul les maliens eux même peuvent amener cette paix; ni la Munusma et ni l’armée française sont capable de nous unir pour la paix. Au contraire ce sont ces forces étrangères qui nous divisent d’avantage. IL est temps que les armes se tuent et la place au dialogue. Vive la démocratie et vive le Mali uni
Bonjour,
Merci Mety de ce message.
Aucune réconciliation ne sera possible sans vérité et sans justice sociale.
Une méthodologie inclusive pour la mise en œuvre de l’accord de Bamako doit être utilisée.
Naturellement, tout le processus de mise en œuvre doit se passer dans toutes les régions du Mali et doit être inclusif c’est-à-dire INTÉGRER dans chaque région, les représentants de TOUTES les communautés de la région.
Comme je l’avais déjà proposé (voir ma lettre ouverte en ligne, publiée le 21 JUIN 2016 sur Maliweb, sur s’entendre sur les autorités intérimaires, le DDR et plus pour la mise en oeuvre et le suivi stricts de l’accord de Bamako), afin que la mise en œuvre de l’accord soit inclusive et profite à tous les Maliens, il est nécessaire de choisir une méthodologie inclusive consensuelle et d’échanger sur cette dernière et sur la mise en œuvre de l’accord à travers un dialogue intra et intercommunautaire.
Devant la complexité des concertations nationales proposées par l’opposition, la conférence d’entente nationale, prévue dans l’accord de Bamako pourrait servir, entre autres, pour échanger sur ces éléments. Elle pourrait aussi avoir des ramifications régionales et communales.
Des ramifications régionales et communales du processus inclusif de mise en œuvre de l’accord doivent être créées.
Vu que l’accord de Bamako doit être mis en œuvre aux niveaux national, régional et communal, la parallélisation doit être utilisée.
Une organisation stricte dans chaque région doit être mise en œuvre avec des synchronisations régulières avec les autres niveaux.
Pour les Maliens de la diaspora, des antennes pourront être créées dans des pays judicieusement choisis.
Tous les Maliens doivent s’impliquer et participer à ce dialogue et à cette mise en œuvre
Compte-tenu du problème de représentativité et d’inclusivité qui se posent sérieusement pour la composition des membres des autorités intérimaires aux niveaux régional et communal, il convient lors de la future conférence d’entente nationale, prévue dans l’accord, de désigner quelques représentants (exemple, deux pour une région et un pour une commune) pour compléter les autorités intérimaires de chaque collectivité territoriale du Mali.
Pour améliorer la représentativité et l’inclusivité, cette conférence d’entente nationale doit avoir des ramifications dans TOUTES les régions du Mali.
Il faut aussi penser aux Maliens de la diaspora.
Lors de cette conférence d’entente nationale des représentants des forces vives (partis politiques, société civile, députés, …), du gouvernement, des collectivités territoriales, des communautés de base seront choisis pour intégrer les autorités intérimaires des collectivités territoriales.
Ainsi, les autorités intérimaires mettront tous les Maliens d’accord, indépendamment des bords politiques, et renforceront l’inclusivité en intégrant des représentants, choisis par la conférence d’entente nationale, de la société civile, des anciens élus, de toutes les régions du Mali et ceux des mouvements armés.
Comme le disent, certains internautes et les Maliens qui supportent l’accord de Bamako, nous sommes TOUS/TOUTES condamnés à mettre en œuvre l’accord de Bamako pour le bien-être des TOUS les Maliens.
Engageons-nous (tous les acteurs), franchement, honnêtement et sans complaisance.
Dr ANASSER AG RHISSA
Expert TIC, Gouvernance et Sécurité
Mail : Anasser.Ag-Rhissa@orange.fr
TEL (223) 95 58 48 97
Comrades I do not believe at this time I am able to acknowledge it enough we should thank the French for this ungodly African lives taking mess going on in Mali. May we not ever forget its cost in lives plus material goods which would better serve Mali development toward becoming a modern developed nation with all the conveniences females love to possess. God damned the French plus all Africans who serve their criminal ways in Africa. Keep it real. Let us do the right thing now. Very sincere, Henry Author Price Jr. aka Obediah Buntu IL-Khan aka Kankan.
IL YA DES GENS QUI, DEPUIS DES SIECLES NE VIVENT QUE DU BUTIN, DU SANG, DES LARMES D’AUTRES, LEURS SOUMISSIONS…
le desrt des AGHA….les pillages, ….pendant la colonisations les allianses avec l’autre bienfaiseur des maliens, dans l’interet commun, mais comme l’a si bien dit YVES le dit RIANT, nous ne voulons pas KIDAL NOUS VOULONS TOUT LE MALI…. avec a sa tete KIDAL…. VOYEZ BIEN? COMME AILLEURS….minorite sur majorite , la pyramide du pouvoir, et dans quelques annees, LE GENOCIDE!!!
ATTENTION, UNE MINORITEE MEME CRIMINELEMENT AVEUGLE NE PEUT DIRIGER LONGTEMPS UNE MAJORITE….
IL n’y aura pas d’autre solution à KIDAL il faut que ces voyous la CMA MNLA et HCUA quittent la ville de KIDAL l’accord l accord ………….
Bonsoir,
APPEL A TOUS LES ACTEURS POUR UNE MISE EN ŒUVRE DILIGENTE DE L’ACCORD POUR LA PAIX ET LA RÉCONCILIATION AU MALI ET POUR L’ENGAGEMENT, FRANC, HONNÊTE ET SANS COMPLAISANCE, DE TOUS
Merci à tous et à toutes pour vos contributions pour une sortie durable de la crise au Mali.
Nous sommes dans une insécurité totale (embrasement qui risque de se généraliser : trop de morts dans les régions du nord du Mali ainsi qu’au centre du Mali et au sud du Mali, djihadisme, terrorisme, …) et tout progresse lentement du fait de la non application de l’accord pour la paix et la réconciliation au Mali.
Une minorité (terroristes et autres) ne doit pas prendre tout un peuple en otage.
Comme certains le disent, nous avons des solutions idoines de sortie de crise, elles sont refusées ou ignorées par tous et toutes.
En effet, j’ai fait des propositions pour résoudre le problème de Kidal ET pour la garantie du respect de l’accord et de l’engagement des acteurs pour la mise en œuvre et le suivi de l’accord de Bamako, pourquoi les acteurs ne les testent pas ?
Ceux qui supportent l’accord de Bamako et ceux qui ne le supportent pas devront prendre de la hauteur en mettant en avant le Mali et en se rapprochant sur la base des intérêts des Maliens et de leur bien-être.
Des intérêts cachés ou des mains invisibles pourront empêcher l’accord de Bamako de démarrer et de se dérouler normalement. Dans ce cas, ils doivent être mis en évidence et les auteurs exhibés devant tous pour que cesse ce qui empêche que l’accord se déroule normalement.
Si toutes les parties prenantes et la médiation s’engagent honnêtement, franchement et sans complaisance, pour une mise en œuvre et un suivi stricts de l’accord, ces intérêts cachés (ou ces mains invisibles) seront débusqués (es), ainsi que ceux qui sont derrière.
Nous devons, FAIRE ARRÊTER IMMÉDIATEMENT LES HOSTILITÉS, ENTRE GATIA ET LA CMA, SUR LE TERRAIN, et URGEMMENT mettre en place les autorités intérimaires, le DDR (Démobilisation, Désarmement et Réinsertion), le MOC (Mécanisme Opérationnel de Coordination) via les patrouilles mixtes et, graduellement, les forces de défense et sécurité Maliennes reconstituées et lancer la conférence d’entente nationale prévue dans l’accord au lieu des concertations nationales à cause de la complexité et de l’issue incertaine, à court terme, de ces dernières.
ENGAGEONS-NOUS (tous les acteurs), honnêtement, franchement et sans complaisance, acceptons le partage de responsabilités (en particulier à Kidal) ET METTONS, TOUS/TOUTES, RAPIDEMENT, EN ŒUVRE, indépendamment des bords politiques, L’ACCORD DE BAMAKO, pour la paix et la réconciliation au Mali, pour l’intérêt général, pour le bonheur de TOUS/TOUTES, pour résoudre définitivement le problème de Kidal et pour éviter l’embrasement généralisé (sur lequel j’ai alerté les acteurs depuis plus d’un an).
Pour ce faire, je lance un appel à tous les acteurs (parties prenantes Maliennes, la médiation internationale (MINUSMA/ONU, UA,UE, CEDEAO, …) et les partenaires (France/Barkhane, les États Unis, l’OIF, les PTF, …).
Bien cordialement
Dr ANASSER AG RHISSA
Expert TIC, Gouvernance et Sécurité
E-mail : Anasser.Ag-Rhissa@orange.fr
TEL 00223 95 58 48 97
le gros problème du Mali c’est cet accord très défavorable à l’unité du Mali , c’est aussi l’appui des maudites autorités françaises au MNLA.
Bonjour,
Merci Gatam de votre message.
L’accord de Bamako n’est pas défavorable à l’unité car dès son article 1, l’Unité nationale EST RETENUE COMME UN DES PRINCIPES FONDAMENTAUX, de même, à travers la régionalisation, des représentants de l’état se trouvent dans toutes les collectivités territoriales (régions et communes) assurant le respect de l’intérêt général et le lien avec le niveau national.
La mutualisation des ressources entre niveaux permet d’aider les régions les plus faibles et/ou d’investir aux niveaux national et/ou régional et/ou local.
Dorénavant si on utilise le méthode que je propose, entre autres :
– les acteurs dont la France/Barkhane, chacun prendra sa responsabilité et s’engagera de façon franche, honnête et sans complaisance pour garantir le respect de l’accord.
– chaque acteur aura l’œil sur les autres acteurs, la confiance n’exclut pas le contrôle.
Bien cordialement
Dr ANASSER AG RHISSA
Expert TIC, Gouvernance et Sécurité
Tournure spectaculaire à Aguelhoc et à Inhalil : Les bases militaires de la CMA tombent aux mains du GATIAPar Le Témoin -20 Sep 2016
– Le secrétaire général du GATIA Fahad Ag ALMAHMOUND ne pouvait être plus clair:
« Alpha a tué l’Etat et la démocratie à Kidal….Kidal a tué l’Etat et la démocratie au Nord …» Puis la deconstruction même des éléments constitutifs de l’Etat Malien sous AOK, ATT, IBK…!
D’y ajouter:
– « Nous sommes actuellement hors de la ville. La Minusma s’est interposée entre les deux parties. Les hommes de la CMA sont à Kidal ville et nos combattants se sont retirés de la ville. La Minusma nous empêche de venir les attaquer à Kidal, mais leur permet de sortir de Kidal pour venir nous attaquer. Ce fut le cas à Adjelal à 70 km de Kidal les 8 et 9 août dernier »
– La République “Azawadienne” dans la République du “GATIA” et le tout dans la “République Malienne”…
Bonjour,
Les Touaregs, tout comme les Peulhs et les autres composantes ethniques, font partie de la même nation Malienne, elles doivent toutes mettre le Mali en avant.
Ne nous trompons pas de combat, le seul combat qui vaille c’est le combat démocratique pour un MALI UN ET INDIVISIBLE acceptant la diversité ethnique, refusant l’esclavagisme et permettant la libre administration des régions et communes.
Nous y sommes.
A travers l’accord de Bamako, c’est le Mali tout entier, via toutes ses composantes ethniques, qui est plus fort et qui gagne et non une ethnie donnée, qu’elle soit Touareg ou Peulhe ou autre.
L’accord a opté pour le développement équilibré de toutes les régions du Mali en commençant par celles qui sont en retard, celles du nord du Mali.
L’Union fait la force. Dans un Mali Un et Indivisible, cultivons la diversité (ethnique, culturelle, …) et l’union à travers la mutualisation de nos forces et de nos ressources issues de la régionalisation où chacun doit occuper sa place, nous serons encore plus forts.
D’après l’accord de Bamako, cette régionalisation permet aux filles et aux fils d’une même région de gérer, ensemble, leurs régions (et communes) à travers la libre administration des régions (et communes).
C’est ainsi que, malgré le poids du passé, nos frères et sœurs de Kidal, incluant les Ifoghas et les Imghads, doivent gérer ensemble la région de Kidal. Les accords de Annefis et Niamey, entre parties prenantes, vont dans ce sens.
Le Mali est pour nous tous/toutes, nous devons, TOUS/TOUTES, chercher des solutions idoines à nos problématiques au lieu d’attendre que ça vienne toujours du haut.
Le problème de Kidal est un des plus saillants mais la réconciliation concerne tout le Mali, y compris la région de Kidal, car le tissu social, aux niveaux national, régional et local, est affecté et l’impact de la crise (sur le vivre ensemble, …) et les amalgames induits ont affecté tout le Mali.
Il faut, donc, travailler sur la cohésion sociale, la cohésion nationale, l’unité, cultiver la paix partout au Mali et ré-apprendre ou renforcer le vivre ensemble même si la solidarité et la force des liens ancestraux ont aidé à maintenir certains liens sociaux.
Appliquons l’accord de Bamako, pour la paix et la réconciliation au Mali, sensibilisons partout sur cet accord et sa mise en œuvre, en particulier à travers la mise en place du DDR (Démobilisation, Désarmement et Réinsertion) , du MOC (Mécanisme Opérationnel de Coordination via les patrouilles mixtes) et des autorités intérimaires, et faisons-le respecter strictement, franchement et sans complaisance par tous les acteurs, en particulier ceux qui l’ont signé (toutes les parties prenantes, la médiation internationale et les partenaires) et on résoudra le problème de Kidal.
D’où ma contribution que je conseille de lire ou relire. Elle est intitulée “Accord de Bamako : Comment garantir son respect et l’engagement des parties prenantes ?”
A propos de cette contribution, j’avais écrit il y a bientôt un an, le 21 SEPTEMBRE 2015, une lettre ouverte en ligne, adressée au Président, Ibrahim Boubacar Keïta, aux Maliens et aux Partenaires, pour proposer une approche pour répondre à cette question.
Engageons-nous, honnêtement, franchement et sans complaisance, acceptons le partage de responsabilités (en particulier à Kidal) et mettons, TOUS/TOUTES, rapidement, en œuvre, cet accord.
Cdlt
Dr ANASSER AG RHISSA
Expert TIC, Gouvernance et Sécurité
Et notre armée dans tout ça,
Pour qui’il y ai Armée il faut un chef d’Etat or nous n’en avons pas
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