Top secret – Le conseil de sécurité à Bamako : Y a-t-il de la pression ?

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Conseil de sécurité (photo Lefigaro)
Conseil de sécurité (photo Lefigaro)

Le Conseil de sécurité des Nations Unies est à Bamako ce dimanche pour rappeler aux nouvelles autorités Maliennes l’obligation de continuer le processus de négociation qui a du plomb dans l’aile depuis un certains nombres d’événements qui ont entrainé la colère de Bamako.

 

 

Le processus de paix doit plus que jamais se poursuivre pour aboutir à une paix définitive avec les mouvements rebelles touarègues qui sont présent dans la capitale Maliennes ils doivent aussi rencontrer le conseil de sécurité. Depuis  Addis-Abeba ou il prenait part au sommet de l’Union Africaine le président IBK rassure de la disponibilité de Bamako aux discussions tout réitérant son intransigeance sur la souveraineté du Mali et sa volonté de faire respecter les engagements a savoir le cantonnement des rebelles. Il faut donc comprendre qu’il n’y aura  pas de bras de fer entre Bamako et le conseil de sécurité, les autorités Maliennes préférant jouer l’apaisement.

 

 

 

Processus de paix au nord Mali : Les négociations vont-elles reprendre ?

 

Tout porte a croire que les négociations interrompues de faite depuis quelques mois entre les mouvements rebelles et Bamako vont bientôt reprendre suite au déplacement au Mali du conseil de sécurité qui plaide la reprise du processus comme convenu a Ouagadougou.

 

Dans cette ambiance de morosité et de crispation le MNLA aux abois communique avoir rencontrer le roi du Maroc qui les a exhorté au dialogue et à la négociation avec Bamako. En tout cas il n’y a pas d’alternative a la négociation qui reste la seule voie a emprunté pour arriver a la paix dans cette région éprouvée par les aventures de quelques individus déterminés a gagner leur vie en faisant mal aux autres et a leur propre pays. L’enjeu désormais c’est sans nul doute comment  trouver des compromis pour le vivre ensemble et permettre aux chefs rebelles de rentrer dans les rangs. En tout cas l’heure n’est plus à l’indépendance ou à l’autonomie mais à organiser une sortie honorable pour l’ensemble des parties et surtout mettre cette région sensible a l’abri d’une récidive qui peut être fatale.

 

 

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