La table-ronde sur les victimes du 17 mai 2014, le 17 mai, n’a pas enregistré la participation de la Commission vérité, justice et réconciliation (CVJR). Selon Saloum Traoré, directeur exécutif d’Amnesty International et président du Réseau des défenseurs des droits humains au Mali, les raisons de cette absence restent inconnues.
17 mai 2014-17 mai 2016, deux après la visite de Moussa Mara à Kidal, à l’époque Premier ministre, le Réseau des défenseurs des droits humains au Mali constitué de plusieurs organisations de la société civile appuyé par l’ONG Freedom House a initié pour la quatrième fois une table ronde sur le sujet des violations des droits humains notamment le cas des victimes du 17 mai 2014.
Pour l’occasion, une quarantaine de participants venus de toutes les régions du Mali ont échangé sur la situation actuelle des victimes et les besoins non encore pris en charge par les autorités. A noter que ce cadre de concertation est organisé en collaboration avec le ministère de la Justice et la Commission vérité, justice et réconciliation (CVJR) dont aucun des membres n’a fait le déplacement.
Avec JDM
