Les forces armées et de sécurité affirment avoir tué au cours d’une opération, une vingtaine de bandits armés dans la région de Tombouctou.
Selon un communiqué du ministre dela Défenseet des Anciens Combattants, des patrouilles de l’Armée malienne ont mené dans la nuit du 3 et 4 février 2012 des opérations contre des groupes d’assaillants installés dansla Régionde Tombouctou. ‘’Une vingtaine de morts, des blessés, une dizaine de prisonniers, et 4 véhicules ennemis récupérés avec un important lot d’armes, de munitions et de matériels divers’’ précise le communiqué comme bilan du côté des assaillants. Avant d’ajouter qu’il n’y a aucune perte du côté des Forces Armées et de Sécurité.
En effet à Kidal, selon des sources concordantes, les bandits armés avaient tenté d’attaquer la ville dans la matinée du 4 février sans y parvenir et ils se sont repliés. Jusqu’au moment où nous mettions ce papier sous presse, le calme régnait dans la ville. ‘’Vraiment tout va bien. La ville est calme.
Les gens vaguent à leurs occupations. C’est vrai que par peur, et c’est compréhensible, certains ont fui la ville vers Gao’’ nous a confié un habitant de la capitale de l’Adrar des Iforas, hier en début d’après-midi. Il est persuadé que de tel phénomène est lié au manque d’informations.
Selon lui, il est du devoir de l’Etat de mettre un dispositif en place pour informer les gens de rester sur place. Toujours selon notre interlocuteur, le chef de la tribu des Intallah a tenu une réunion publique pour rassurer les uns et les autres. Le chef du patriarche des Intallah a affirmé que les rebelles n’osent jamais attaquer Kidal. Contrairement aux messages véhiculés par les bandits armés, l’armée n’a pas vocation à s’en prendre aux populations civiles. Elle a pour mission d’assurer leur sécurité et la protection de leurs biens.
A Gao, la situation est calme, même si Ménaka reste sous le contrôle des bandits armés. Par ailleurs, plusieurs cas de désertions d’éléments intégrés ont été signalés. A Sévaré et Tombouctou, on signale aussi des désertions. On apprend aussi que la désertion du haut fonctionnaire de défense du ministre Délégué auprès du Premier ministre en charge du Développement intégré de l’office du Niger.
B Siby
1)Nous disions et nous l’avions toujours dit que l’exécutif malien sous la demande du législatif devait rapidement déclarer l’état d’urgence dans toute la zone Nord y compris la zone du Ouagadou et d’y envoyer l’armée pour ratisser toute la zone en vue d’arrêter tout suspect de faire passer de vie à trépas ceux parmi les déserteurs lâches de l’armée libyenne ou ceux parmi les touaregs maliens venus de Libye ou ceux des maliens vivants au Nord qui auraient des velléités rebelles ou indépendantistes ou ceux parmi les islamistes vivants dans le Ouagadou qui refuseraient de quitter le Mali Nous disions que l’armée pouvait se faire aider par le mouvement patriotique d’auto-défense « le GANDAKOYE » qui a 1bonne connaissance de la zone Nous disons que des mandats d’arrêt internationaux ou appels doivent être également lancé à l’encontre de toutes les personnes qui soutiennent ou soutiendront ces dites velléités aux fins de les mettre hors d’état de nuire
2)Nous disons quelle est cette armée où 1soldat ou 1officier peut déserter rejoindre l’armée ennemie et après revenir reprendre sa place sans aucune sanction Nous disons qu’il est temps que cette inconscience ce laxisme ce favoritisme cesse au nom de la rigueur et de la responsabilité Comment 1armée responsable peut elle garder en son sein ses pires ennemies soit disant au nom de la paix Nous demandons aux vrais soldats de ne plus accepter ce état de fait Nous disons que l’ennemie doit être toujours mis hors d’état de nuire par tout les moyens Nous disons également que tout déserteur allant rejoindre l’armée ennemie doit être traduit devant la cours martial et condamné à la peine capital ou la peine à perpétuité et il est inhumain et irresponsable d’envoyer des soldats se battre sans moyens conséquents Nous disons que les responsables de cela doivent passer devant la justice à la demande des parents des soldats
Tout a fait d’accord avec toi!l’intégration oui mais avec discernement et la réintégration après désertion pour moi relève de l’irresponsabilité de nos autorités.
3)Nous disons qu’il est temps que l’exécutif et le législatif maliens cessent d’être pris en otages par ces « Touaregs paresseux sans foi ni loi » au nom du développement de leur région Nous disons que le développement des autres régions est le fait du dynamisme du labeur au travail de leurs populations et aussi grâce à l’argent des émigrés issus de ces zones car le Mali est classé parmi les pays les +pauvres de ce monde Nous disons qu’il est temps pour ces « Touaregs paresseux » d’utiliser l’argent destiné à l’achat des armes l’argent issu de leur émigration à créer des projets régénérateurs de revenues dans leur zone et de se mettre au travail Nous disons que les armes n’apportent que faim misère maladie mort hyper retard dans leur région Nous disons que c’est triste déshonorant paresseux et ignoble d’attendre toujours l’aide d’autrui des autres
4)Nous disons encore 1fois que l’exécutif et le législatif maliens doivent mettre de côté leurs intérêts politiques personnels familiaux égoïstes et primaires aux fins de résoudre 1fois pour toute ce problème des rebelles touaregs et les Suppôts de Satan d’Aqmi car aucun exécutif et législatif étrangers ne viendront faire ce travail à leur place Nous disons que le temps des dialogues est dépassé il faut opter pour la solution finale Nous disons que s’ils en sont incapables ils doivent démissionner selon la déontologie démocratique Nous disons au cas ils refusaient de démissionner sans résoudre ce problème avant les futures élections présidentielles nous demandons au peuple malien de sanctionner tous les membres de l’exécutif (gouvernement) et du législatif (assemblée nationale) qui seront candidats en ne les votant pas
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