La journée du mercredi 21 mai a été marquée par de violents combats entre l’armée nationale et les groupes armés du MNLA soutenus par des jihadistes d’Aqmi du Mujao, du Hcua, du Maa dans la ville de Kidal, fief de la rébellion touarègue. Une bataille à l’issue de laquelle, notre armée nationale a été contrainte de se replier laissant ainsi la ville de Kidal aux mains des groupes armés ni foi ni loi.
Considéré comme une nouvelle défaite de notre armée face aux groupes armés du MNLA et leurs acolytes jihadistes, ce repli tactique après celui de 2012 donne lieu à de différents commentaires.
En effet, après avoir mené une offensive contre les séparatistes touaregs de l’Adrar des Ifhogas, notre armée a été mise en «déroute» par des irrédentistes et leurs alliés narcotrafiquants et jihadistes au vu et au su des forces onusiennes et celles de Serval, qui affirment n’avoir pas été informées par les militaires maliens au moment de lancer l’offensive. Vrai ou faux, on n’en sait rien. En tout cas, c’est la parade qu’elles (forces onusiennes et celles du Serval) ont trouvé pour se justifier. Une passivité de la Minusma et de Serval qui a été décriée maintes fois poussant certains de nos concitoyens à dire que certainement le gouvernement du Mali et les groupes armés du MNLA bénéficient du même soutien.
De fait, il n’est plus à démontrer le soutien médiatique et «politique» dont bénéficient les groupes armés du MNLA de la part de certains médias étrangers, comme cela se passe actuellement. Cette situation ne fait plus l’ombre d’aucun doute et la position de la France est loin d’être tranchée. Il est clair que ni la communauté internationale, ni la France qui avait aidé notre pays à se débarrasser des jihadistes en janvier 2013, n’arrivent pas à rompre définitivement avec les groupes armés du MNLA, comme si un deal les liait.
Dans de telle situation, le peuple malien doit rester mobilisé non seulement derrière le président de la République et son gouvernement, mais aussi derrière nos forces armées et de sécurité pour faire face à ce que certains appellent «un complot international contre le Mali».
Fombus
L’état Malien doit préparer le plan B en cas d’échec. Que dieu bénisse le Mali!
La défaite de notre armée n´est qu´une experience de plus en matiére de guérre plutot qu´une honte
ce que vous oublier la france a toujours été du cote de la rebellion et le dile c´etait quoi:
L´armee, la garde rappochée de Khadafi,l´armee d´elite de Kadafi etaient composees en majeur partie de Touaregs et arabes du nord du Mali pour faciliter la guerre contre khadafi le dile etait d´abandonner les combats avec une promesse d´un etat independant dan le nord du Mali ce qui a permis a ceci de combattre aujourd´hui Le Mali av les armes les plus sofistiquees. voles dans le stoque de kadafi en plus des armes livres au Mnla et leur formation dans le but de combattre les jhihadistes comvertits en islamistes mais en faites il sont tous les memes
l´erreur de notre armee c´est de ne pas employer l´aviation avant tout attaque pour detruire leur QG la maison de Luxambourg et leurs logistiques
SOUTENONS NORTRE ARMEÉ AUJOURD´HUI ON APERDU UNE BATAILLE MAIS PAS LA GUERRE
VIVE LE MALI
Comments are closed.