Après de violents affrontements qui ont fait des victimes parmi nos troupes comme dans le front rebelle, le calme semble revenir, mais ce n’est pas fini et l’armée ne doit pas perde la vigilance.
Certes, la lutte contre la rébellion au Nord de notre pays n’est pas une tâche facile. Parce que ces hommes-rebelles ont une longue tradition des combats brutaux et des fuites brutales pour revenir aussitôt à un moment inopportun. Ainsi depuis près d’une semaine, le calme règne dans nos villes qui ont été tumultueuses et soucieuses lors des évènements tragiques de Ménaka, d’Aguelhok… Mais malgré ce petit calme que Dieu nous a accordé, notre armée ne doit pas quitter ses bases, elle doit garder la vigilance pour éviter toute surprise de ces traitres insensés. Cela doit être pris au sérieux par nos autorités qui ont charge. A défaut, une autre méthode analogue doit être adaptée par elles pour assurer la sécurité intérieure jusqu’aux et même après les élections de 2012. Cela va sûrement nous revenir très cher, mais nous en sommes obligés de faire ainsi pour conserver notre patriotisme très cher à nos aïeux. Ce qu’il faut retenir des nouvelles qui véhiculent ça et là, ce que le peuple malien doit prendre avec discernement ces informations-là qui ne reflètent toujours pas le réalisme, mais plutôt de la tragi-fiction prompte à nous excité à la colère, voire même à des manifestations populaires souvent violentes dans une confusion totale. Chers compatriotes, patientez-vous, le fruit du trouble ne revient jamais à celui qui l’a provoqué. Notre armée est prête à se battre pour sauver le Mali. Que de regrettable que cela soit, ce qui se passe chaque jour au Nord n’est toujours pas à notre portée. Mais nous ferrons tout notre possible pour informer chaque semaine nos fideles lecteurs et lectrices sur la situation du Nord-MALI.
A suivre…
Brahim Diamouténé.