Signature de l’Accord le 20 juin prochain ? : La CMA dit «oui», mais, seulement «si tout va bien»

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CMA Negociation«Si tout va bien, nous signerons l’accord de paix le 20 juin à Bamako»,

Si j’avais su, je l’aurais prévenu avant”, “si j’avais eu plus de chance, cela ne me serait pas arrivé”, si, si, si… Combien de fois nous sommes-nous perdus dans ces spéculations sans fin? Un vieux dicton français existe alors pour nous rappeler à l’ordre: “avec des si, on mettrait Paris en bouteille”!

Cette expression exprime l’idée qu’avec des hypothèses tout devient possible, mais surtout que ces spéculations sont sans fondement, donc aussi vaines qu’inutiles! D’autre disait que ‘’ Si’’ et ‘’Quand’’ étant plantés, il poussa ‘’Rien’’ Il ne faut pas tergiverser et émettre hypothèses sur hypothèses avant d’agir. En effet, à faire des suppositions et à attendre que les conditions soient parfaites, on ne fait rien.

 «Si tout va bien, nous signerons l’Accord le 20 juin prochain». Si tout va bien, dit-il. A quoi donc, le chef de la CMA fait-il allusion ? A certains détails contenus dans les arrangements sécuritaires signés le 05 juin dernier. Ils portent notamment sur «la reconnaissance de  « l’Azawad» comme  entité géographique, politique, regroupant les trois régions du nord que sont Gao, Tombouctou et Kidal, la création d’une Assemblée interrégionale pour les trois régions citées auxquelles viendront s’ajouter Ménaka et Taoudéni érigées en régions ; la composition à hauteur de 80% de ressortissants du nord des effectifs militaires, administratifs et sécuritaires qui seront déployés dans cet espace ; enfin l’affectation de 40% des ressources financières du Mali à «ce qu’il faut bien appeler» l’Azawad».

Mais que reste-t-il de la souveraineté de l’Etat malien après ces arrangements sécuritaires ? Très peu de chose. Et malgré tout, voilà que le chef de la CMA évoque une conditionnalité  qui ne dit pas son nom : «si tout va bien», précise-t-il. Autrement dit, «il se peut que nous ne signons pas dès l’instant où nous estimerons qu’il existe un seul grain de sable dans le processus de mise en œuvre». En somme, il lui reviendra seule de décider que tout va bien ou non et de signer par conséquent.

Et selon toute évidence, il existe un, voire plusieurs points  d’achoppement susceptibles de bloquer la procédure. Et parmi lesquels, Ménaka. L’une des exigences de la CMA reste en effet le retrait du GATIA et des FAMAs de cette localité. Toute chose que rejettent Les populations de cette localité ainsi que le Mouvement de la Plateforme. L’Armée voit aussi d’un mauvais œil pareille éventualité.

Ce préalable, voire cette conditionnalité  à la signature de l’Accord par la CMA risque bien d’en être le goulot d’étranglement. Elle explique, en tout cas le «si tout va bien» du chef de la CMA. (Lire l’article du journal algérien El Watan en encadrer)

Par ailleurs, il nous revient que le gouvernement du Mali a donné son accord de principe à d’autres doléances présentées par la CMA; à savoir, l’affectation des postes spécifiques et même le fauteuil de Premier Ministre.

Isaac

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262 COMMENTAIRES

  1. La France a miné le système des Nations-Unies et continue de le faire étant convaincu que IBK ne comprendrait pas le jeu. Nous en voulons pour preuve, le renforcement des positions des forces françaises et de la Minusma à Kidal depuis la reprise de Ménaka par le Gatia.

  2. La Résolution 2164 devrait –elle attendre une annexe à l’Accord pour être rappelé et promise à l’application par la MINUSMA ?

  3. Aucun malien du Nord ne vaut ni plus ni moins qu’un autre malien quel qu’il soit, qu’il soit armé ou désarmé et cela il faut que l’ONU le comprenne

  4. IBK avait raison lorsqu’il dit que le Mali n’est pas un pays de ségrégation racial 😥 😥

  5. Les Maliens en savent que trop venant de la Minusma ! Où est la justice de la Minusma quand elle annonce une enquête à charge contre les forces armées et de sécurité du Mali et les forces patriotiques de la plateforme pour «exactions» et «violations graves des droits de l’Homme et du Droit international humanitaire » au moment même où les criminels de la CMA quotidiennement attaquent, pillent et mettent à feu et à sang les localités au Nord du Mali ? C’est en ce moment que M. Ladsous devient aveugle, sourd et muet.

  6. On ne ramène pas la paix sur un territoire, en érigeant un groupe armé illégal au firmament et en piétinant au grand jour les autres groupes armés illégaux. 😆 😆 😆 😆 😆

  7. Mais comment fuir un cyclone déjà déclenché dont est dans l’œil?
    Il faut s’assumer quand on est dirigeant d’un pays surtout s’il est en crise et donner la chance à un langage de vérité qu’il pleuve ou qu’il neige c’est le début de la responsabilité et la responsabilité est le gage du succès. le 20 arrivera

  8. Mais ce qui est bizarre pourquoi cet « arrangement » est spécialement fait pour Ménaka et non pas pour Kidal ou une autre ville du Mali occupée par des groupes armés illégaux?

  9. Sur le papier, la crise malienne semble se diriger vers la fin prions pour qu’il en soit ainsi…

  10. L’accord pour la paix au Mali vise, rappelle-t-on, à instaurer une paix, et la paix n’a pas de prix …..

  11. Pour cet Arrangements sécuritaires, donc notre propre sécurité est arrangé quelque part, c’est le comble….

  12. Voilà l’article du journal Algérien « EL WATAN » dont ce journaliste fait acte:

    Les touaregs de la CMA disent «oui»

    Sur le papier, la crise malienne semble se diriger vers son épilogue. Après avoir refusé, dans un premier temps, de signer l’Accord pour la paix et la réconciliation au Mali scellé en grande pompe le 15 mai dernier à Bamako, au motif qu’il ne prend pas en charge leurs principales revendications, les rebelles touareg de la Coordination des mouvements de l’Azawad (CMA) ont fini par accepter de le parapher.
    La signature du document devrait avoir lieu durant à la fin du mois courant dans la capitale malienne. «Si tout va bien, nous signerons l’accord de paix le 20 juin à Bamako», a affirmé à ce propos, hier à Alger, le chef de la CMA, Bilal Ag Acherif, dans une déclaration à la presse.
    La CMA a-t-elle fini par obtenir la prise en charge de ses revendications ? Il faut le croire.
    Un relevé de conclusions des négociations autour de l’application de l’Accord et un document contenant des arrangements sécuritaires au Nord Mali, signés hier aussi à Alger par toutes les parties prenantes au dialogue malien, le suggère en tout cas.
    D’après le premier document, les rebelles touaregs ont notamment obtenu qu’«une insertion prioritaire et majoritaire des combattants des mouvements politico-militaires, notamment de la CMA, soit prévue au sein des forces de défense et de sécurité reconstituées déployées au Nord».
    Il a été également donné à la CMA des garanties concernant «la représentation des populations du Nord dans les institutions des grands services publics, corps et administration de la République (…)».
    Arrangements sécuritaires
    La prochaine étape devrait consister, pour les parties maliennes, à mettre en œuvre concrètement l’accord. Un gros morceau eu égard à l’importance du chantier et à la volatilité de la situation sur le terrain. En bon connaisseur du Mali, le représentant spécial des Nations unies pour le Mali, MongiHamdi, s’est d’ailleurs voulu prudent et a estimé que cette phase était l’une des «plus difficiles». En un mot, la communauté internationale ne pourra véritablement crier victoire qu’une fois tout le travail accompli.
    A ce propos, le «si tout va bien» dont est assortie l’annonce de Bilel Ag Cherif laisse penser que la signature de l’Accord de paix par la CMA le 20 juin prochain est encore tributaire de la prise en charge de certains détails. Quels détails ? Difficile à dire. La question mérite d’être surveillée comme du lait sur le feu, car à ce niveau chaque détail compte.
    La prudence doit rester de mise, d’autant que le dossier malien a habitué à fluctuer non pas au gré des accords signés ou des engagements pris, mais plutôt en fonction des rapports de force sur le terrain. Il ne faut pas perdre de vue que le conflit malien est probablement la crise qui a le plus fait l’objet d’accords en Afrique.
    Des accords qui sont tous restés lettre morte.

    Néanmoins, il est à parier que «l’arrangement sécuritaire» trouvé cette semaine pour mettre fin aux violences dans le nord du Mali et particulièrement à Ménaka a contribué à mettre en confiance les membres de la CMA. Il faut espérer maintenant que tout le monde, sur le terrain, joue le jeu.
    Mais quoi qu’il en soit, il faut tout de même reconnaître que le ministre algérien des Affaires étrangères, RamtaneLamamra, véritable cheville ouvrière des négociations intermaliennes, vient de réussir une mission que tout le monde qualifiait il y a peu d’«impossible».
    L’accord pour la paix au Mali vise, rappelle-t-on, à instaurer une paix durable dans le septentrion Mali, sujet à des rebellions touareg récurrentes depuis les années 1960. Il avait été signé le 15 mai à Bamako par le gouvernement malien et les groupes dits de la plateforme. Mettant en avant certaines exigences, la CMA avait, quant à elle, exigé de consulter sa base avant de parapher le texte final. Ce moment est maintenant arrivé.

    ZineCherfaoui (El Watan)

  13. selon toute évidence, il existe un, voire plusieurs points d’achoppement susceptibles de bloquer la procédure. Et parmi lesquels, Ménaka. L’une des exigences de la CMA reste en effet le retrait du GATIA et des FAMAs de cette localité.

  14. URGENT URGENT – CONFÉRENCE DE PRESSE
    Le vendredi 12 juin 2015, à 15h, représentants et cadres du Mouvement National de Libération de l’Azawad (MNLA) convient les médias et la presse internationale à une conférence de presse autour de « “L’Accord” ou “Désaccord” d’Alger » entre le gouvernement du Mali et la Coordination des Mouvements de l’Azawad (CMA).
    En effet, après plusieurs mois de discussions entre les organisations représentant l’Azawad et le gouvernement malien, sous les auspices de l’Algérie, chef de file d’une médiation internationale, un projet d’”accord pour la paix et la réconciliation au Mali” a été présenté aux parties. Le gouvernement malien et ses milices l’ont signé le 15 mai 2015. La CMA, en dépit du rejet largement exprimé par ses propres mandataires, s’est à son tour publiquement engagé à le signer le 20 juin prochain.
    Or, ce texte fait l’impasse sur les points essentiels remis à la médiation internationale élargie le 17 mars 2015 à Kidal suite à des journées de concertation populaire. Le document d’Alger ne répond donc pas aux aspirations légitimes du peuple de l’Azawad qui se bat depuis plus de cinquante ans pour sa liberté, sa dignité et sa sécurité gravement menacée.
    La conférence de presse a pour objet de :
    Dénoncer un “non accord” et une guerre civile déjà en cours,
    Lancer un appel humanitaire pour sauver un peuple autochtone en péril,
    Rejeter totalement le terrorisme sous toutes ses formes, qu’il soit l’œuvre d’un Etat ou d’une organisation criminelle.
    Lieu : 16, rue des Fossés Saint-Bernard – 75005 Paris
    Métro : Jussieu
    Heure : 15H00
    Les représentants et cadres du MNLA qui animeront cette conférence de presse sont :
    Eglès Ag Oufène , vice-président de la
    Coordination des Cadres de l’Azawad ,
    Ishaq Ag Alhousseyni, président du bureau MNLA (Mouvement National de Libération de l’Azawad ) en Europe,
    Moussa Ag Assarid, représentant diplomatique du MNLA en Europe,
    Mahamane Adama Cissé , conseiller à la Mission diplomatique du MNLA en Europe.
    Contact presse : infosmnla@gmail.com

  15. Pas de manifestation aujourd’hui à Ménaka où la situation est calme. Une délégation de la Minusma était hier dans la ville pour échanger avec la population sur le 20

  16. Mes amis Maliwebiens, préparer vous à accueille ses CHIENS de la CMA, le 20 avec des mots comme: Bâtard, Traitre, Assassins, Violeur, ….. tous se qui passe dans vos tête…. 😛 😛 😛 😛 😀 😀 😀 😆 😆 😳 😳 🙄 🙄 😈 😈 😉 😉 8) 8) 😯 😯 ❗ ❗

  17. Si tout va bien, nous signerons l’accord de paix le 20 juin à Bamako.
    Mais rien ne va depuis que ses mercenaires de Libye de Kadafi sont venu chez nous. c’est pas un accord bidon qui va changer quelque chose.

  18. Le 20 est une date plus importante pour les dirigeants actuels de notre pays, pour nous les internote c’est un non événement.

  19. Le 20 est une date plus importante pour les dirigeants actuels de notre pays, pour nous les internote c’est un non événement.

  20. Les observateurs internationaux estiment que si la signature de l’accord venait à avoir lieu le 20 juin prochain, elle favoriserait dans une large mesure, l’instauration d’un plan de paix entre les différentes parties. Une fois cette étape franchie, il sera alors plus aisé pour la mission onusienne en place au Mali, de neutraliser les groupes terroristes actifs dans la région.

  21. Les mandats d’arrêt pour ses terroristes narcotrafiquant ne doit pas être levé même s’il signe. Ils doivent répondre de leur acte devant la justice..

  22. Si j’avais su, je l’aurais prévenu avant donc tu la su en retard qu’est ce que tu as fait après ? ❓ ❓ ❗ ❗ ❗

  23. Lorsqu’on la Minusma dit que des milices ou des mouvements armés ne peuvent pas sécuriser une ville, pourquoi des mouvements armés sont en train de sécuriser Kidal. Maudit soit cette MINUSMA. tres bonne question merci

  24. « Le langage de la population de Ménaka est clair. La CMA hors de Kidal et l’armée malienne doit sécuriser Kidal. Sans cela, il n’est pas question que la plate-forme quitte Ménaka.

  25. La Minusma a compris, parce qu’elle a eu une marrée humaine de plus de 5000 personnes qui ont dit non à la CMA,. Et la Minusma dit qu’elle fera passer le message au niveau de la médiation et au niveau de leur siège à New York ».

  26. ET son Premier ministre Modibo Keïta, l’a annoncé dans sa déclaration de politique générale. Modibo Keïta au micro de nos confrères de l’ORTM.

    « Faisant suite à la signature de l’accord de paix, le gouvernement s’attellera à l’opérationalisation de la commission vérité, justice et réconciliation. L’organisation de la conférence d’entente nationale et l’élaboration d’une charte nationale pour la paix, l’unité et la réconciliation nationale. La valorisation du statut des autorités traditionnelles, l’adoption de la loi 2012 – 025 du 12 juillet 2012 portant indemnisation des victimes de la rébellion du 17 janvier 2012 et du mouvement insurrectionnel du 22 mars 2012, l’élaboration du projet de décret d’application de la dite loi est en cours. La tenue des assises sur le nord du Mali. L’organisation des foras locaux, régionaux et nationaux. L’organisation des conférences, séminaires, ateliers et manifestations culturelles. Les rencontres inter-communautaires et intra-communautaires ».

  27. IBK au micro de nos confrères de la télévision nationale.
    « Nous avons l’espoir très fort que le 20 juin ici même à Bamako, en ce lieu même, que nos frères qui ne l’ont pas encore fait viendront apposer leur signature au bas de l’accord de paix, scellant ainsi la fin d’un processus officiel et théorique. Le reste devra suivre, qui ne sera pas aisé, qui ne sera pas facile, qui ne sera pas de tout repos. Pour lequel également, nous aurons besoin avec modestie, avec humilité, avec foi en la solidarité humaine, nous aurons besoin encore de l’accompagnement et de la Minusma et de l’ensemble de la communauté internationale. Lequel accompagnement qui ne nous a jamais fait défaut au long de cette crise multiforme que nous avons connu en ce pays, le Mali ».

  28. Les signatures de tous ses documents est « un pas supplémentaire dans l’intérêt exclusif de la paix ». Donc le contraire serons juger comme des va t-en guerre.

  29. Le second document, d’ordre sécuritaire, préconise le retrait de la ville de Menaka (nord-est) de tous les groupes armés, « sous la supervision de la (Force de l’ONU au Mali) Minusma avec la collaboration des autorités locales ».

  30. D’après le premier document, la CMA a notamment obtenu qu’« une insertion prioritaire et majoritaire des combattants des mouvements politico-militaires notamment de la CMA et des autres mouvements politico-militaires, soit prévue au sein des forces de défense et de sécurité reconstituées déployées au Nord ». La rébellion à dominante touareg a également obtenu des garanties concernant « la représentation des populations du Nord dans les institutions des grands services publics, corps et administration de la République (…) ».

  31. Des zones entières du Nord du Mali échappent encore au contrôle du pouvoir central ? DONC OCCUPER PAR TOUT SORTE DE TRAFIQUANT.

  32. La CMA, Coordination des Malade de l”AZAWAD, Le Mali est un et indivisible même après le 20

  33. La CMA, Coordination des Malade de l”AZAWAD, Le Mali est un et indivisible même après le 20

  34. Dans cette affaire, ce que je n’ai pas compris, c’est l’immobilisme des partis de la majorité

  35. IBK, dans toute sa dignité man dingue et sa fierté malienne, a dit ses quatre Vérités au diplomate français Onusien, en présence de la Communauté Internationale. BRAVO PRESI……..

  36. La raison de la non signature par la Coordination des mouvements de l’Azawad (CMA) de l’accord de paix est bien connue maintenant de tous. Pour preuve, M. Ladsous s’insurge contre le Mali qu’il taxe d’ingrat, parce qu’IBK a fait savoir qu’il en a marre de jouer au «faire semblant avec la France».

  37. Le Président IBK a tout fait auprès de Laurent Fabius et du Président Hollande par le canal du médiateur Mauritanien Mohamed Abdel Aziz pour que l’armée malienne revienne sur ses positions avant les hostilités. Ils ont dit niet. Pourquoi n’ont t-ils pas exigé du Mnla de revenir sur ses positions d’avant le 21 Mai 2014 ? Pourquoi, les diplomates onusiens qui ne sont d’ailleurs que des satellites français demandent au Gatia de sortir de Menaka? Aujourd’hui, le peuple malien a compris les plans secrets de la France à travers l’ONU et ses démembrements.

  38. Lorsqu’il dit que : « Je crois qu’il n’est pas exact de dire que les sanctions pourraient frapper ceux qui ne veulent pas rallier la République. Il ne s’agit pas de sanctionner ceux qui ne voudraient pas s’associer à tel ou tel processus », a affirmé Hervé, « Ce sont ceux qui ne respecteront pas le cessez-le-feu qui seront responsables reconnus de violations, et bien ce sont ceux-là qui s’exposeront à des sanctions », a-t-il enfoncé le clou.

  39. Voilà l’article du journal Algérien « EL WATAN » dont ce journaliste fait acte:

    Les touaregs de la CMA disent «oui»

    Sur le papier, la crise malienne semble se diriger vers son épilogue. Après avoir refusé, dans un premier temps, de signer l’Accord pour la paix et la réconciliation au Mali scellé en grande pompe le 15 mai dernier à Bamako, au motif qu’il ne prend pas en charge leurs principales revendications, les rebelles touareg de la Coordination des mouvements de l’Azawad (CMA) ont fini par accepter de le parapher.
    La signature du document devrait avoir lieu durant à la fin du mois courant dans la capitale malienne. «Si tout va bien, nous signerons l’accord de paix le 20 juin à Bamako», a affirmé à ce propos, hier à Alger, le chef de la CMA, Bilal Ag Acherif, dans une déclaration à la presse.
    La CMA a-t-elle fini par obtenir la prise en charge de ses revendications ? Il faut le croire.
    Un relevé de conclusions des négociations autour de l’application de l’Accord et un document contenant des arrangements sécuritaires au Nord Mali, signés hier aussi à Alger par toutes les parties prenantes au dialogue malien, le suggère en tout cas.
    D’après le premier document, les rebelles touaregs ont notamment obtenu qu’«une insertion prioritaire et majoritaire des combattants des mouvements politico-militaires, notamment de la CMA, soit prévue au sein des forces de défense et de sécurité reconstituées déployées au Nord».
    Il a été également donné à la CMA des garanties concernant «la représentation des populations du Nord dans les institutions des grands services publics, corps et administration de la République (…)».
    Arrangements sécuritaires
    La prochaine étape devrait consister, pour les parties maliennes, à mettre en œuvre concrètement l’accord. Un gros morceau eu égard à l’importance du chantier et à la volatilité de la situation sur le terrain. En bon connaisseur du Mali, le représentant spécial des Nations unies pour le Mali, MongiHamdi, s’est d’ailleurs voulu prudent et a estimé que cette phase était l’une des «plus difficiles». En un mot, la communauté internationale ne pourra véritablement crier victoire qu’une fois tout le travail accompli.
    A ce propos, le «si tout va bien» dont est assortie l’annonce de Bilel Ag Cherif laisse penser que la signature de l’Accord de paix par la CMA le 20 juin prochain est encore tributaire de la prise en charge de certains détails. Quels détails ? Difficile à dire. La question mérite d’être surveillée comme du lait sur le feu, car à ce niveau chaque détail compte.
    La prudence doit rester de mise, d’autant que le dossier malien a habitué à fluctuer non pas au gré des accords signés ou des engagements pris, mais plutôt en fonction des rapports de force sur le terrain. Il ne faut pas perdre de vue que le conflit malien est probablement la crise qui a le plus fait l’objet d’accords en Afrique.
    Des accords qui sont tous restés lettre morte.

    Néanmoins, il est à parier que «l’arrangement sécuritaire» trouvé cette semaine pour mettre fin aux violences dans le nord du Mali et particulièrement à Ménaka a contribué à mettre en confiance les membres de la CMA. Il faut espérer maintenant que tout le monde, sur le terrain, joue le jeu.
    Mais quoi qu’il en soit, il faut tout de même reconnaître que le ministre algérien des Affaires étrangères, RamtaneLamamra, véritable cheville ouvrière des négociations intermaliennes, vient de réussir une mission que tout le monde qualifiait il y a peu d’«impossible».
    L’accord pour la paix au Mali vise, rappelle-t-on, à instaurer une paix durable dans le septentrion Mali, sujet à des rebellions touareg récurrentes depuis les années 1960. Il avait été signé le 15 mai à Bamako par le gouvernement malien et les groupes dits de la plateforme. Mettant en avant certaines exigences, la CMA avait, quant à elle, exigé de consulter sa base avant de parapher le texte final. Ce moment est maintenant arrivé.

    ZineCherfaoui (El Watan)

  40. Lorsque les Jihadistes, en lieu et place du Mnla, s’approprient cette guerre et viennent aux portes de Konna, à 35 km de Mopti. Cette intervention a permis au bout d’un mois de chasser les Jihadistes hors du Mali et aussi de Kidal. Le Point obscur de cette intervention a été l’empêchement de l’Armée Malienne de pénétrer à Kidal par l’armée française.

  41. Les narcotrafiquant armés de la Coordination des mouvements de l’Azawad (CMA) devront eux rester en périphérie de la ville de Ménaka. Voila ce qu’a signé nos dirigeants comble de l’impuissance .

  42. A L’éré, près de Tombouctou, comme à Tessit, près des frontières du Burkina Faso et du Niger, des civils et des militaires ont été tués.

  43. A ce propos, le «si tout va bien» dont est assortie l’annonce de Bilel Ag Cherif laisse penser que la signature de l’Accord de paix par la CMA le 20 juin prochain est encore tributaire de la prise en charge de certains détails.

  44. A Tin Hamma, au sud de Gao, «six personnes civiles, dont un humanitaire, ont été exécutées le 21 mai», selon la Fédération internationale des droits de l’homme et l’Association malienne des droits de l’homme.

  45. Suite à l’assassina des bandit à Tin Hamma, toute la tribu des Kel Essouk a quitté le village vers le Niger.» vivement la justice dans se pays

  46. Les violences du mois de mai ont provoqué le déplacement forcé de 57 000 personnes, selon l’Onu, ce qui porte à 100 000 le nombre de déplacés dans le pays. Et si tout va bien vous allez signer alors que le pays est à feu et à sang. Dommage 😳 😳 😳 😳

  47. Les bandits ont obtenu aussi dans ce document une insertion prioritaires et majoritaire de leurs combattant djihadistes

  48. La crédibilité de l’homme ne se montre pas par sa force physique, mais intellectuelle. En résultant de manière diplomatique, le président de la République protège la vie de ses populations notamment celles des régions du nord. Donc attention à ne pas franchir les bornes.

  49. C’est de la pure indignité et faiblesse d’utiliser les armes pour parvenir à ces fins. Ces terroristes n’ont aucune dignité à plus forte raison que l’honnêteté. Le gouvernement malien n’est pas dupe pour suivre dans vos idioties. On a confiance en eux et ils arriveront inch’Allah.

  50. Assez ! Assez !! Assez !!!
    Nos gouvernants ont été assez tripoté, ce n’est pas de la lâcheté qu’ils ont signé avec la CMA, bien au contraire ils pouvaient continuer cette guerre. Mais cela ne sert à rien, la population a assez souffert. Vive IBK et son gouvernement

  51. Walaye force est de reconnaitre les efforts déployés par notre gouvernement dans la mise en œuvre d’une paix durable, malgré tout, ces terroristes veulent mettre ces efforts dans l’eau. Nous ne sommes pas d’accord.

  52. Merde !!!!!!!
    Mais que veulent ces individus ? Il n’y a plus question de négocier encore une fois, c’est fini. Cette fois-ci tout le Mali reste soudée derrière notre gouvernement.

  53. Je pense qu’il est grand temps de faire taire les armes, on par la bouche mais par les actes. Le sang humain a assez coulé, les réfugiés et les déplacés vivent dans la peur et la famine. La CMA, la CMA, la CMA n’est-ce-t-elle pas composé des humains aussi ? Alors ayons la bonté de cesser les hostilités.

  54. Il ne faut pas éveiller la colère d’IBK, c’est évident qu’il a agi sous l’intérêt des maliens mais cela ne veut pas dire qu’il n’est pas capable.

  55. IBK a toujours été Kankélé tigui, tous les maliens en son témoin. Cette guerre n’est rien sous ses yeux, mais la guerre n’apporte rien de sensible. Quoi qu’il en soit nous restons derrière IBK et nous lui apportons notre soutien indéfectible.

  56. Oh ! oh ! oh ! Qu’on se respecte là, qu’on respect nos dirigeants. Si la CMA n’est pas prêt à signé le 20 juin, alors elle n’a plus aucune chance de jouir ces plaisirs au sein de notre pays. Vive un Mali uni et prospère !!! Vive IBK et son staff !!!

  57. Malidenw djigui, Merci d’avoir négocier avec ces terroristes, car c’est là que réside le bonheur des femmes, hommes, vieux, jeunes et enfants maliens. Qu’Allah vous aide IBK !!! Vive un Mali un et indivisible.

  58. Pour la première fois au Mali un président a été démocratiquement élu avec une telle voie, cela prouve la confiance du peuple malien à votre estime. Cette confiance réside toujours !!!

  59. Ces rebelles n’auront plus rien venant de nos dirigeants, on est fatigué. Un peu de respect envers le peuple et son président.

  60. Vous l’avez dit IBK lors de votre campagne présidentielle, seul le bonheur des maliens comptent et jusque-là vous avez montré l’exemple avec la clôture de ces accords. Anbiko !!!

  61. S’il s’avère que tous ces informations sont formelles, alors notre gouvernement doit beaucoup faire attention, on a accepté tous les propositions de ces bandits enfin de faire taire les armes. Mais on ne doit jamais accepté la division de notre pays. IBK le peuple malien vous suit !!!

  62. La tolérance n’est pas signe de peur, non, non, non, cela n’a rien à avoir à la peur. Les populations du nord ont extrêmement souffert, sinon cela ne prendrai même pas 10 mn pour anéantir tous ces groupes d’individus malsains. On a confiance au président IBK et on sait qu’il est capable.

  63. Trop c’est trop ! Le Mali n’a jamais reculé face à un ennemi à plus forte raison les rebellions du nord. Les deux anciens présidents Modibo Keita et le Général Moussa Traoré ont montré l’exemple. IBK aussi peut faire la même chose, mais il vous a épargné à cause la communauté internationale. Mandé Massa anbiko !!!!

  64. Que les rebelles signent ou pas, vraiment le gouvernement malien a fait de son mieux. Nos leaders sont irréprochables sur le dossier de la négociation de la crise du nord Mali. Ils sont a félicités. Bravo !!!!!!!! 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆

  65. Aliman, tu as raison le « SI » marque l’incertitude ou le regret, alors nos autorités doivent rester vigilant. 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳

  66. Si, les rebelles de la CMA veulent jouer à un jeu d’arnaque alors ce n’est que le Mali d’IBK qu’ils arnaqueront mais c’est toute la communauté internationale. ❓ ❓ ❓ ❓ ❓ ❓ ❓ ❓ ❓

  67. Cette expression exprime l’idée qu’avec des hypothèses tout devient possible, mais surtout que ces spéculations sont sans fondement, donc aussi vaines qu’inutiles! D’autre disait que ‘’ Si’’ et ‘’Quand’’ étant plantés, il poussa ‘’Rien’’ Il ne faut pas tergiverser et émettre hypothèses sur hypothèses avant d’agir. En effet, à faire des suppositions et à attendre que les conditions soient parfaites, on ne fait rien.

  68. Le mot si, n’a pas d’avenir concret parce que c’est de l’incertitude. Vous signé oui ou non ? Tous le Mali ne souhaitent que cela. 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀

  69. Pour la paix au Mali, IBK et son gouvernement sont prêt à tout. Les conditions de la CMA seront respectées, sauf si la CMA, elle-même ne respecte pas ses engagements. Les leaders maliens sont décidés pour mettre un terme à ce conflit au nord Mali. 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁

  70. Patriote, tu oublies une chose, si les rebelles de la CMA ne viennent pas signés l’accord le 20juin. Le Mali ne sortira pas perdant, cela n’engage qu’eux. Un autre refus de signature des rebelles prouvera à la communauté internationale que le Mali veut la paix mais les rebelles non.

  71. Dans un une négociation comme telle ont peut avoir tous ce dont on veut, mais le président se charge de nous trouver un accord plus crédible. 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8)

  72. Les rebelles de la CMA ont le droit de souligner le respect de leurs conditions, mais que les maliens soient en sure, que nos leaders suivent de près pour que celles du Mali aussi soient respectées au pied de la lettre. 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄

  73. Nos leaders œuvrent pour le retour de la paix au Mali. Alors comme de vrai patriote aidons-leur à réussir la lourde tâche. 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆

  74. Observateur, l’auteur raconte sa vie, toi tu sais ce que tu nous racontes ton enfer, Fermes tes clapettes ok.

  75. L’ Algérie a t-elle procédé à des arrangements sécuritaires en Khabilie pour mettre les khabiles en confiance . Les khabiles sont -ils majoritairement représentés dans les corps et administration de la république Algérienne ? Alors vous croyez quoi !

  76. Ce n’est pas un petit groupe de narcotrafiquants qui va changer la structure de l’organisation administrative et sécuritaire du Mali . <>. Remettez vous de tout ce qui s’est passé . Venez en frères et ensemble lavons le linge sale en famille . Venez et mettez fin l’ errance à travers le monde .

  77. Ce journaliste raconte sa vie.
    Il faut dire que cette crise nourrit certains.
    Vraiment du n’importe quoi cet article. Du vrai coq à l’âne.

    • Tu est vraiment un abrutis (Observateur) . Ce journaliste dit la vérité, Bilal Ag Cherif a bien dit dans le journal Algérien ELWATAN que la signature de l’Accord de paix par la CMA le 20 juin prochain est encore tributaire de la prise en charge de certains détails. Au lieu d’insulter les honnêtes personnes cherche la source d’information. IDIOT

    • Y’a pas que le mali en t’en que set l’homme blanc qui pays pour élure nous présidant en Afrique on restera tous prisone le temps de révolution dois sonne en Afrique pour tous 🙄 vive le mali est vive l’Afrique

  78. DONC Si signature il aura, c’est que les conditions dont le SI fait appel est réalisé. Et le contraire… ❓ ❓ ❓ ❓ ❓ ❓ ❓

  79. En termes clair la signature oh combien important pour le mali est conditionné. au revoir les degats 💡 💡 💡 💡 💡

  80. Avec Si les narco trafiquant de la CMA viendront signer l’accord le 20, avec Si ces narco trafiquant ne viendrons jamais signé l’accord le 20, car ce Si est une probabilité sans laquelle (lesquelles) un événement ou une action ne pourrait se réaliser, ou est conditionné à certain chose qui sont nécessaires pour sa réalisation concrète. QUE DIEU GARDE NOTRE PAYS

  81. Voilà l’article du journal Algérien « EL WATAN »
    Les touaregs de la CMA disent «oui»
    Sur le papier, la crise malienne semble se diriger vers son épilogue. Après avoir refusé, dans un premier temps, de signer l’Accord pour la paix et la réconciliation au Mali scellé en grande pompe le 15 mai dernier à Bamako, au motif qu’il ne prend pas en charge leurs principales revendications, les rebelles touareg de la Coordination des mouvements de l’Azawad (CMA) ont fini par accepter de le parapher.
    La signature du document devrait avoir lieu durant à la fin du mois courant dans la capitale malienne. «Si tout va bien, nous signerons l’accord de paix le 20 juin à Bamako», a affirmé à ce propos, hier à Alger, le chef de la CMA, Bilal Ag Acherif, dans une déclaration à la presse.
    La CMA a-t-elle fini par obtenir la prise en charge de ses revendications ? Il faut le croire.
    Un relevé de conclusions des négociations autour de l’application de l’Accord et un document contenant des arrangements sécuritaires au Nord Mali, signés hier aussi à Alger par toutes les parties prenantes au dialogue malien, le suggère en tout cas.
    D’après le premier document, les rebelles touaregs ont notamment obtenu qu’«une insertion prioritaire et majoritaire des combattants des mouvements politico-militaires, notamment de la CMA, soit prévue au sein des forces de défense et de sécurité reconstituées déployées au Nord».
    Il a été également donné à la CMA des garanties concernant «la représentation des populations du Nord dans les institutions des grands services publics, corps et administration de la République (…)».
    Arrangements sécuritaires
    La prochaine étape devrait consister, pour les parties maliennes, à mettre en œuvre concrètement l’accord. Un gros morceau eu égard à l’importance du chantier et à la volatilité de la situation sur le terrain. En bon connaisseur du Mali, le représentant spécial des Nations unies pour le Mali, MongiHamdi, s’est d’ailleurs voulu prudent et a estimé que cette phase était l’une des «plus difficiles». En un mot, la communauté internationale ne pourra véritablement crier victoire qu’une fois tout le travail accompli.
    A ce propos, le «si tout va bien» dont est assortie l’annonce de Bilel Ag Cherif laisse penser que la signature de l’Accord de paix par la CMA le 20 juin prochain est encore tributaire de la prise en charge de certains détails. Quels détails ? Difficile à dire. La question mérite d’être surveillée comme du lait sur le feu, car à ce niveau chaque détail compte.
    La prudence doit rester de mise, d’autant que le dossier malien a habitué à fluctuer non pas au gré des accords signés ou des engagements pris, mais plutôt en fonction des rapports de force sur le terrain. Il ne faut pas perdre de vue que le conflit malien est probablement la crise qui a le plus fait l’objet d’accords en Afrique.
    Des accords qui sont tous restés lettre morte.

    Néanmoins, il est à parier que «l’arrangement sécuritaire» trouvé cette semaine pour mettre fin aux violences dans le nord du Mali et particulièrement à Ménaka a contribué à mettre en confiance les membres de la CMA. Il faut espérer maintenant que tout le monde, sur le terrain, joue le jeu.
    Mais quoi qu’il en soit, il faut tout de même reconnaître que le ministre algérien des Affaires étrangères, RamtaneLamamra, véritable cheville ouvrière des négociations intermaliennes, vient de réussir une mission que tout le monde qualifiait il y a peu d’«impossible».
    L’accord pour la paix au Mali vise, rappelle-t-on, à instaurer une paix durable dans le septentrion Mali, sujet à des rebellions touareg récurrentes depuis les années 1960. Il avait été signé le 15 mai à Bamako par le gouvernement malien et les groupes dits de la plateforme. Mettant en avant certaines exigences, la CMA avait, quant à elle, exigé de consulter sa base avant de parapher le texte final. Ce moment est maintenant arrivé.

    ZineCherfaoui (El Watan)

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