Second mandat d’IBK : Les dessous d’une démarche

100
visite de IBK en 2015 à Ségou (photo archives)

Tout naturellement, Ibrahim Boubacar Keïta sera candidat à sa propre succession à la magistrature suprême en 2018. Que Dieu lui prête longue vie pour ce faire. Un sage président africain avait coutume de dire qu’on n’organise pas les élections en Afrique pour les perdre. Dans le contexte politique de notre continent, cette conviction semble justifiée quand on sait que lorsqu’un président africain est candidat à sa propre succession, il est de règle qu’il y arrive. Certes, les moyens pour réussir cette fin sont multiples et variés.

Le président malien IBK va-t-il réussir son pari à l’image de la presque totalité des chefs d’Etat africains ? A moins d’être charlatan sinon, il n’est pas déjà judicieux d’épiloguer sur une telle éventualité en République du Mali. La seule certitude aujourd’hui, c’est que le président malien a déjà pris la température du match politique de juillet 2018. Il n’échappe à personne que pour avoir servi Alpha Oumar Konaré (AOK) en sa qualité de Premier ministre durant 6 longues années, IBK a eu le temps et les circonstances d’apprendre les manœuvres divisionnistes d’AOK en vue de se maintenir aux affaires contre vents et marrées.

Nous avons toujours en mémoire que l’ancien président Alpha Oumar Konaré, par l’entremise de ses apprentis sorciers, devins et opportunistes de tout acabit, a pratiqué dans notre pays la fameuse politique chère aux Anglais à savoir «divid to rule» (diviser pour régner). C’est ainsi que les différents partis politiques qui avaient pouvoir de nuisance ont vu leur sort scellé par leur émiettement progressif en de petits partis qui n’ont d’autres choix que de jouer aux manœuvres politiciennes de Alpha- président. Son élection pour son deuxième mandat à la tête du pays s’est  déroulée dans des conditions peu recommandables.

L’on rappelle par exemple qu’un Collectif des partis politiques de l’opposition (COPPO) s’était constitué pour dire non à la gestion calamiteuse d’Alpha Oumar Konaré. Son Premier ministre, d’alors en la personne d’Ibrahim Boubacar Keïta (aujourd’hui président de la République du Mali), prêt à exécuter les décisions sans discernement, a pris sur lui la responsabilité de boucler pratiquement tous les chefs du COPPO en vue de les réduire au silence.

Pour mettre le vernis «démocratiste» à son élection, Alpha a tout simplement déniché du PUDP (Parti pour l’union, la démocratie et le progrès) feu Mamadou dit Maribatrou Diaby, cet analphabète politique pour l’accompagner sur la liste de candidature en vue de sa réélection. Du coup, les syndicats, au moyen de la corruption et de la délation des chefs syndiqués, se sont fragmentés en miniatures. La conséquence immédiate a été la phagocytose du monde syndical.

Bref, Alpha Oumar Konaré, par la phagocytose des PSPR (Partis signataires du pacte républicain) et des syndicats, est parvenu à se maintenir aux affaires à la faveur de son illicite élection de 1997.

Ibrahim Boubacar Keïta, aujourd’hui président de la République, en bon élève de Alpha, va-t-il appliquer cette fameuse leçon anglaise de ‘’diviser pour régner’’ ? Rien ne nous permet aujourd’hui d’écarter cette éventualité tant il est de plus en plus évident qu’IBK n’est plus sans savoir que les Maliens qui l’ont élu à 77,66% des suffrages exprimés sont déjà lamentablement déçus de ses prestations. Cela est d’autant exact que le mieux être tant attendu par les masses laborieuses de notre pays se fait de plus en plus cruellement attendre, surtout sans la moindre perspective d’en sortir pendant ce premier mandat qui se trouve déjà à mi parcours.

Un proverbe de chez nous dit que ‘’la nuit qui doit être agréable s’annonce depuis le crépuscule’’. Nul doute qu’IBK a déçu la quasi-totalité de ses concitoyens. Quelle carte lui reste-t-il donc à jouer face à son saut dans l’inconnu de 2018 ?

 

IBK à la manœuvre konaréenne pour régner en maître absolu

Visiblement, il ne peut que mettre en pratique la fameuse leçon de son président Alpha Oumar Konaré qui consista à mettre les partis politiques et même les citoyens sincères dos à dos pour tirer son épingle du jeu et cela aux dépens de tout comportement responsable et démocratique.

En tout cas, le parti FARE (Forces alternatives pour le renouveau et l’émergence) Anka wili de Modibo Sidibé et le Parti socialiste (PS) Yélen- Coura d’Amadou Koïta ont déjà pris leur distance vis-à-vis de la marche qui se voulait unitaire de l’opposition du 21 mai dernier. Et si demain le président IBK faisait appel au PARENA pour l’aider à gérer les affaires ? Il y a fort à parier que le président réélu de ce parti, en la personne de Tiéblé Dramé, va se métamorphoser en défenseur averti de l’action gouvernementale. Comme le ridicule ne tue plus au Mali !

Une partie de l’ADEMA étant déjà blottie entre deux chaises peut glisser dans la majorité présidentielle avec le slogan ‘’Pour la cohésion nationale’’. L’URD (Union pour la république et la démocratie) de Soumaïla Cissé se verra déplumé de ses combattants intrépides dans la course pour Koulouba (quand bien même, à mi chemin de son mandat, IBK n’a toujours pas déménagé au palais présidentiel).

D’autre part, force est de rappeler, hélas, que les «démocrates» maliens ont réduit notre peuple en une masse de personnes sensibles à la seule politique du ventre. Cela est d’autant plus visible dans notre pays que de nos jours, pratiquement tous les Maliens (hommes et femmes, filles et garçons, jeunes et vieux) se sont rabougris en de misérables chercheurs de la pitance quotidienne de quoi faire bouillir les marmites dans les foyers.

Face à cette misère populaire de plus en plus humiliante, IBK peut facilement se garantir le deuxième mandat à la tête du Mali, mais à condition de tendre l’appât irréfutable des billets de banque aux citoyens qui n’ont plus d’autre choix que de vendre leur conscience aux plus offrants. Tant pis si le peuple doit rester dans le labyrinthe de la misère et de l’humiliation séculaire !

Enfin, l’autre carte probable aux mains du président IBK est et reste la problématique du retour d’ATT non pas pour qu’il revienne se remettre en selle, mais pour lui faire éviter les mailles de la justice malienne. Cette carte ne peut pas ne pas arranger le président fuyard coupable de haute trahison de notre peuple travailleur.

L’on ne peut s’empêcher de rappeler à ce niveau qu’ATT a laissé délibérément entrer sur notre sol des combattants venus de Libye avec armes et munitions, sans oublier les centaines de fûts d’essence auparavant enfouis dans le sable du désert malien.

En tout cas jusqu’à demain, le peuple ne sait pratiquement rien ni de l’identité de l’avion calciné au Nord ni de son contenu (les enquêtes étant toujours en cours), cet avion que certains ont dénommé ‘’Air Cocaïne’’. Mieux, nos soldats ont été victimes de boucherie à Aguelhok sans que suite n’y soit donnée par ATT. Leur cause inspirera toujours notre armée. ATT ayant impliqué bien de politiciens dans son aventure politicienne et dans sa gestion calamiteuse des affaires, ceux-ci pourraient constituer une force sur laquelle IBK peut compter pour ne pas perdre la face lors des joutes électorales de 2018. Sans oublier un seul instant que sur la scène politique gisent  dans l’ombre les pêcheurs en eaux troubles. Et qui dit que c’est le bonheur du peuple malien que l’on cherche par le biais de la «démocratie malienne» !

Mais ce que l’on oublie si dédaigneusement, c’est que le peuple est toujours capable de générer des hommes et des femmes pour le sauver de l’effondrement. Aussi, faut-il se rendre à l’évidence que Dieu ne dort pas et qu’il ne peut porter au cœur nos vampires de la politique dont le seul gage est de se nourrir du sang de notre peuple travailleur. C’est dire, n’en déplaise aux innombrables politiciens sangsues de notre pays, que la roue de l’histoire tourne et que notre jeunesse est de plus en plus à l’écoute du président feu Modibo Keïta qui enseigne à la postérité : «Lorsque les vrais propriétaires deviennent des spectateurs, c’est le festival des brigands

Fodé KEITA

Commentaires via Facebook :

100 COMMENTAIRES

  1. Cher journaliste , la politique n’est pas de la mathématique . lorsqu’on a à faire avec l’opinion publique tout est aléatoire . Maintenant en utilisant les méthodes peu recommandées telles que la fraude, le vol ou bourrage des urnes et la corruption avec de l’argent, IBK pourra peut etre faire un 2eme mandat sans crainte sinon par la voie normale la probabilité de son élection pour un 2eme mandat est infime . Merci

  2. Dans leurs agissements, les cadres partis politiques de l’opposition semblent donner l’impression de faire échec à tout prix à l’Accord de Paix et de Réconciliation issu du processus d’Alger, signé entre le gouvernement et les groupes armés.C”‘est ce que le P/S YELEEN KURA désapprouve et n’a pris à la marche de l’opposition et par la suite rejoins la majorité présidentielle.

  3. L’opposition malienne est irresponsables.La stabilité du pays n’est pas son problème.Elle veut à tous les moyens créer du désordre dans le pays..C’est ce que les responsables de P/S yeleen kura ont compris et quitté l’opposition pour la majorité présidentielle.C’est une très sage décision.

  4. Il est évident que ladite marche a été révélatrice de la divergence, voire de la fissure dans son camp, composé de l’axe du Bien abritant PS YELEN KOURA ET PRVM-FASO KO ainsi que FARE AN KA WILI qui se sont démarqués de leurs alliés au nom du Mali et l’axe du Démon regroupant les partis politiques comme l’URD, PARENA, PDES et autres.

  5. Les cadres de l’opposition n’ont pas le souci du retour de la stabilité dans le pays. Ils nourrissent l’intention de faire échec à l’Accord de paix et de réconciliation à tout prix.Il faut donc saluer la sagesse de PS/YELEEN KURA qui veut désormais aider le président IBK dans la gestion de notre pays.Modibo Sidibe suit la même voie que AMADOU KOITA.

  6. L’opposition malienne se déchire et cela n’est pas prêt s’arrêter.Après le P/S yeleen kura dont le président a viré à la majorité présidentielle,c’est Modibo Sidibé avec son parti qui vont rejoindre très bien les rangs de la majorité présidentielle.

  7. L’opposition malienne va en ruine sans aucun espoir de se reconstruire.Je pense que les compagnons de Soumi vont tous le fuir quand ils seront réellement qui est l’homme.Cela n’est pas du tout étonnant de voir l’opposition malienne se disloquer.Soumi restera tout seul avec une opposition orpheline.

  8. On ne peut plus rien pour l’opposition malienne.Elle part en pièce détachée.La raison elle simple.Les maliens ont compris que Soumi n’est qu’un opportunistes qui se sert d’eux pour atteindre ses buts.L’opposition malienne ne veut que nuire à ce pays.Les responsables de parti qui sont patriotes se sont donc désolidarisés de cette opposition irresponsable.Le président IBK a le champs libre en 2018.

  9. C’est du moins ce qu’on peut dire y égard du climat délétère qui prévaut au sein de l’opposition démocratique et républicaine. Le président du PS-Yelen Kura a décidé de quitter l’opposition pour rejoindre la majorité présidentielle et le président des FARE a brillé de son absence lors de la marche du 21 mai organisée par l’opposition démocratique et républicaine.Il n’y rien en face du président IBK en 2018.

  10. Mon cher Fodé keita; c’est l’analyse que vous faites de la situation mais est ce que la réalité sur le terrain en est ainsi?
    Le président IBK est de loin celui qui est en train de redorer le blason de notre pays à l’étranger. C’est celui qui est en train de remettre notre pays de bout au plan économique et faire de notre armée une armée digne de ce nom.
    Si nous partons de ce constat; il n’y a pas de doute que le président IBK ne puisse être réélu.

  11. Au vue de certaines analyses; on se rends compte que des personnes n’ont encore rien compris dans ce pays ou bien qu’elles refusent de voir désormais ce qui saute à l’œil. L’heure des fanatismes politiques aveugles est terminé.
    Aussi pour votre information le président IBK a été plébiscité pendant qu’ATT était en exil donc ce n,’est pas son potentiel retour qui fera élire le président IBK encore moins votre histoire de diviser pour mieux régner.
    Comme nos voisins qu’à côté le disent; il n’a absolument rien en face.

  12. La politique de “diviser pour mieux régner”; 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 vous allez vraiment nous en dire des choses dans ce pays. 😆 😆 😆 😆 😆 😆
    Le combat n’est plus à ce niveau mais plutôt au niveau de la présentation des arguments des faits et des visions dans ce sens afin de pouvoir venir à bout des difficultés de notre pays et d’offrir un mieux vivre aux populations de ce pays.
    2018 ça promet car les personnes qui sont en lice ont à un niveau ou à un autre eu la chance de pouvoir faire leurs preuves. C’est ce qui sera l’élément fondamental sur lequel nous devrons juger.
    Et en dehors des voleurs sous-régionaux comme soumi et des personnes qui montrent qu’elles ne sont pas de bons citoyens Tiébilé et Mariko et des personnes orgueilleuses comme Mara; IBK est de loin le meilleur partant.

  13. Ce n’est pas parce que le président de la république a travaillé avec des personnes comme AOK qu’il devra impérativement utiliser leurs pratiques qui ne sont pas assez recommandables. Le président IBK est un homme de conviction qui sait où il va et ce qu’il veut pour ce pays. Sa gouvernance comme toute action humaine d’ailleurs ne peut être parfaite mais si nous voulons faire la part des choses de manière objective; nous lui accorderons un second mandat parce qu’il nous aura démontrer au premier qu’il travaille que dans l’intérêt du Mali.

  14. Il faut vraiment que les gens sortent des fanatismes politiques aveugles et intéressé. Le président IBK malgré tout ce qui se dit de part et d’autres; malgré la crise est en phase de remplir les promesses qu’il nous a faites. Les personnes qui crient sur tous les toits qu’il a trahi les promesses qu’il nous a fait et qu’il n’a pas de bilan à défendre seront désillusionnées et devront présenter assez d’arguments solides pour étayer leurs dires. Le président IBK est une chance pour le Mali et cela nous devrons pouvoir l’apprécier à juste valeur.

  15. Je le dis toujours; ce sont les actions posées par le président IBK qui lui assureront un deuxième mandat sans grandes difficultés. Les histoires de diviser pour mieux régner ne sont que des calculs mesquins. Toutes les personnes qui rejoignent la majorité aujourd’hui sont celles qui croient aux idéaux du président IBK.

  16. Les actions entamées par le président de la république à tous les niveaux porteront leurs fruits. Et ce sont ces actions loin des calculs politiciens qui permettront aux uns et aux autres de lui faire confiance.

  17. L’espoir du Mali ne se transformera jamais en désespoir, le rêve de revoir un Mali fort, uni et indivisible ne se transformera jamais en cauchemar.
    Avec IBK tout ira bien, on doit être patient car ses actions porteront leurs fruits pour notre bien être.
    Les personnes qui disent être déçues du président IBK se feront à l’évidence car ses actions nous prouverons le contraire.

  18. IBK a eu en héritage un Mali complètement ruiné mais il s’est battu et continue de le faire d’arrache-pied pour que le pays avance. Il a redonné confiance aux investisseurs.
    Des projets de développement que personne n’est censé ignorer sont en train d’être mis en œuvre pour le bien-être des populations de ce pays. Le Mali est sur de bons rails et cela sera un moyen pour lui de pouvoir avoir un deuxième mandat.

  19. Moi je n’arrive vraiment pas à comprendre des choses dans ce pays. Comment le président qui est présenté comme le plus mauvais de l’histoire de notre pays est celui dont les progrès sont salués par les institutions financières internationales?
    Comment le président le plus mauvais sous l’ère de qui ont dit que la corruption a atteint son paroxysme et que le vol du dénier publique est comme un jeu est celui sous qui les recettes douanières ont atteint des niveaux jamais égalé?
    Comment le plus mauvais président est celui qui offre à tout bout de champ des véhicules et autres matériels flambants neufs aux forces de défenses et de sécurités?
    2018 ça promet car le président IBK va clouer le bec à tous ses détracteurs. Wait and see!

  20. IBK n a pas besoin de ce Tiebile car c’est un fins manipulateurs, ils prennent les Maliens pour du bétail. Combien sommes nous victimes de ces vagabonds aux cols blancs. Tièbilé comme les autres, devraient réfléchir à mille fois d’abord avant de grimper dans l’arbre de la transparence.Car aussi Tiebile Drame est tout de même implique dans les mauvais coups de ce pays.

  21. Le Mali n’a pas besoin des politiciens comme Tiebilé Drame,sont des gens qui sont déjà finir mais ils veulent toujours semer la terreur dans ce beau pays parce que il ne profit pas, parce qu’il n arrive pas bien voler.

  22. Toi minable journaliste la tu cherche quoi au juste va voir ailleurs avec tes théories bidon je ne quoi encore( diviser pour régner ) va dire cela a Alpha O Konaré et ses partisans le président IBK s’en fou de cela.

  23. Tous citoyens conscient savaient très bien que la gestion d’un pays en pleine crise n’est pas du tout facile.Comment le général Usain Bolt a laisse pays entre les mains des jeunes soldats ne savaient que faire.

  24. C’est pas donner a tous les présidents de gagner une élection présidentielle avec un suffrage de 77,66 % du jamais vu dans ce pays.Donc pour le deuxième mandat le président de la république sera réélu nous en sommes sûr et certain.

  25. personne ne pourra inquiété le président IBK en 2018 car les opposants maliens ne peuvent rien apporter de bien au mali mais si c’est pour sa destruction ils ont tous des idées pour ça. et le chef de fil de l’opposition qui est accusé de détournement de 27 milliards et il n’arrive toujours pas à s’en sortir, et de nombreux scandales dans les quels il est cité. aussi l’opposition malienne se déchire de jour en jour. ce qui permet au président IBK de voir son chemin libéré.

  26. Un second mandat se dessine pour le président de la république SEM Ibrahim Boubacar Keïta car il y a des soutiens de par et d’autre. Les partisans de l’ex-président ATT ont mis leur confiance en lui afin de permettre le retour de leur mentor et il faut dire que le président le ferra et aussi la fragilisation de l’opposition par la démission de son porte parole pour rejoindre la majorité présidentielle.

  27. Le président IBK n’a pas besoin de diviser pour régner car lui il a un bilan a fait face au peuple malien qui a confié la nation avec 77% des voix donc son travail sur le terrain lui permettra de faire un second mandat sans aucun problème.

  28. notre président IBK est l’homme qu’il faut à la tête du Mali car il a une bonne vision pour le développement du pays. les actions qu’il a posé marquent son engagement à bâtir le Mali son pays qu’il aime autant. le président IBK ne peut pas être aimé de tous, mais tous sommes d’accord que ce monsieur est au boulot. donc sa réélection en 2018 n’est à discuter.

  29. Monsieur le journaliste votre concept «divid to rule» (diviser pour régner)C est l ancien président Alpha Oumar Konaré qui a utiliser ce concept pour pouvoir gagner son élection.Mais IBK nous pas besoin de cela pour sa réélection a la tête du pays.

  30. Nous sommes plus que conscient que c’est IBK l’homme de la situation, comment laisser ça sans finir le travail qu’il a commencé, en 2018 IBK battera lui-même son record, avec 77,77%. :223love: :223love: :223love: :223love:

  31. Ibk a le soutien de la population malienne, il s’en fou de tous de faire de campagne pour l’élection de 2018. IBK kankeletigui, kaklokélé. Nous sommes convaincu que qu’il sera élu pour son deuxième mandat a la tête de ce pays.

  32. En ce moment là a part IBK y a pas l’homme,personne ne saura bien gérer cette crise malienne.Donc IBK soit tranquille vous êtes à la tête du pays pour 10 ans.
    Mettez les hommes a la place qu’il faut notre président IBK est a sa place.

  33. le président IBK a eu la chance d’occuper le poste de premier ministre sous AOK ce qui lui a permis de connaitre la gestion d’une nation sur toutes ses formes, une expérience très bien acquise qui lui permet aujourd’hui d’être à la hauteur, de relancer l’économie malienne, et la gestion de certains problèmes.

  34. lorsque nous nous basons sur la parole du sage président africain qui dit qu’on n’organise pas les élections en Afrique pour les perdre eh oui mais avec des réserves car le cas de la Côte d’Ivoire n’est pas un exemple. mais il faut dire le peuple doit être en accord avec le président.

  35. Monsieur le journaliste ne vous en faites pas IBK est travailleur l’homme qu’il faut à la tête de ce pays pour nous permettre de sortir de cette crise et de ramener la paix et la réconciliation nationale.

  36. Si le président IBK veut le retour de son jeune frère ATT c’est pour la réconciliation et non pour sa réélection. Il sera réélu pour son bilan donc il n’a pas besoin de l’adhésion du parti d’ATT. Et Amadou Koita l’a bien dit qu’il rejoint la mouvance présidentielle par patriotisme et les actions posées par le président.

  37. il faut dire que seul le travail paye et pour cela le président en est conscient. après six années de gestion de la primature qui lui ont permis d’être l’homme de la situation actuelle au mali car sur le terrain il ne manque de montrer sa volonté de bâtir son pays par des investissements et la recherche de la paix.

  38. Le président du Ps Yelen Kura sait que le pays n’a pas besoin d’une opposition négative dans tous ces actes vue sa situation. Donc s’il a adhéré à la vision du président de la république, c’est parce qu’il se retrouve dans son objectif et programme.

  39. Il faut naif pour suivre ces politicards dans leur sale besogne. Le Ps Yelen Kura, Le PRVM ont jugé bon suivre de suivre les actions gouvernementales.
    C’est une preuve de patriotisme. Le Mali a besoin d’union

  40. Certes, Ibrahim Boubacar Keïta sera candidat à sa propre succession à la magistrature suprême en 2018. Nous sommes convaincu que qu’il sera élu pour son deuxième mandat a la tête de ce pays.

  41. Le président IBK et le Rpm ont déjà tracé le sillon du 2ème mandat. Je ne pense pas qu’il compterait sur d’autres personnes encore. Ils n’étaient pas là à la première élection et il l’a emporté à plis de 77%. Le peuple a confiance à son président pour les actes de développement qu’il ne cesse de poser jour et nuit.

  42. J’apprécie la politique du parti d’Amadou Koita qui avait refusé de participer à la marche du 21 et aujourd’hui il quitte définitivement l’opposition pour rejoindre la majorité présidentielle. C’est un parti mature qui veut apporter sa pierre à l’édifice national.

  43. Le président IBK donnera tout pour la paix et la réconciliation de tous les fils de notre pays. Mais nous devons aussi reconnaître qu’ATT est poursuivi par la justice pour des faits anti-démocratiques.
    Le président est conscient de tout cela donc je pense qu’il fera tout ce qui est en son pouvoir pour le retour de son jeune frère.

  44. Je demande que nos politiques prennent leur responsabilité face aux situations qui ont crée. Ou tout simplement montré leur bonne foi au peuple qui leur a confiance en les mettant à ces postes de responsabilité. Tout le monde doit savoir que nul n’est au dessus de la loi.

  45. Je pense que les défis sont énormes à relever que de s’opposer au président. Nous devons tous soutenir le président IBK pour ce qui fait pour ce pays. Donc je ne vois pas l’importance de notre opposition immature et de mauvaise fois pour ces critiques inutiles.

  46. Le retour d’ATT au Mali n’est aussi facile comme on le pense. La plainte est en cours à l’assemblée nationale et le peuple suivait avec intérêt ce dossier. La justice fera le travail qui l’incombe car le président ne peut pas s’interférer dans le pouvoir judiciaire. Je peux infirmer que le second mandat du président ne dépend pas du retour d’ATT mais de son bilan positif en faveur du bien-être de son peuple.

  47. Ne vous souciez pas de cela SEM Ibrahim Boubacar Keita est là pour un mandat de 10 ans.Donc l’élection présidentielle de 2018 est une victoire assurée car la population est toujours avec son président.

  48. Le président IBK n’a pas besoin de diviser pour régner. Si des partis quittent l’opposition c’est à cause de leur irresponsabilité et mauvaise vision pour notre pays. Elle n’a jamais accompagné les actions du président mais elle veut plutôt mettre cette cohésion nationale.

  49. lBK n’a pas besoin de faire de précampagne dans ce pays. Il fera le deuxième mandat, j’en suis sûr et certain. Je ne vois aucun candidat qui pourra le remplacer dans ce pays et cela sans aucune méthode du président fuyard, Alpha Oumar Konaré. Je pense qu’IBK a le soutien de la population pour achever le travail qu’il a fait.

  50. IBK a toujours la confiance et le soutien de sa population. IBK est l’homme qui faut à la place qu’il faut. IBK est et reste toujours l’homme qui faut à la place qu’il faut. Il dispose de la confiance de tous les maliens. La lutte est perdue d’avance car IBK dispose de la confiance de tous les maliens. La population malienne garde toujours une grande confiance à IBK.

  51. Mr le journaliste IBK n’a pas besoin d’aide de qui que ce soit pour être réélu en 2018, y a pas l’homme pour lui répondre, je sais que cette affaire est close. IBK takokélé, IBK takokélé.

  52. on sait tous bien que IBK sera reconduit en 2018 son régime est à la tâche afin de satisfaire aux nombreuses attentes de ses concitoyens la confiance que nous avons placer en nos dirigeants il déploie tout les moyens possible de satisfaire le peuple

  53. nous sommes dans un pays démocratique et pour être le président ici c’est la voix du peuple malien qui déterminera le président. cela dire que pour que le président IBK soit réélu, il faut que le peuple soit avec lui et je pense que ses actions sur le terrain prouve qu’il sera réélu.

  54. Ibrahim Boubacar Keïta n’a pas besoin de faire de campagne pour un deuxième mandat, les maliens lui choisiront pour ce mandat. Ce n’est aucunement au retour d’ATT que sa réélection est liée.Tous les maliens sont conscient de son travail.

  55. Visiblement, il ne peut que mettre en pratique la fameuse leçon de son président Alpha Oumar Konaré qui consista à mettre les partis politiques et même les citoyens sincères dos à dos pour tirer son épingle du jeu et cela aux dépens de tout comportement responsable et démocratique. Même s’il fait ça, c’est de la politique, et tout est permis en politique.

  56. IBK n’a pas besoin d’être l’élève d’un pseudo président comme AOK, il ne faut pas confondre vitesse et précipitation, ce que Amadou koita a fait est loin d’être les mêmes que celui des COPPO.

  57. IBK n’est pas comme les autres présidents voleurs qui trichent les élections comme a été victime IBK au Mali, on a tous vu ça, mais il s’ait remis à DIEU, en 2018 IBK y a pas l’homme.

  58. Quand une chose est fait chacun est libre d’interpréter comme il le pense mais une chose est claire, IBK sera élu en second mandat, IBK takokélé, toi Mr le journaliste ne fait pas parler le cœur mais l’esprit, tu vas laisser IBK et prendre qui d’entre ces hommes politiques politiquement pourri dans leur politicard.

  59. Le Mali en marche a le mérite d’avoir édifié les lanternes des Maliens sur les réalisations du régime en place que d’aucuns qualifient n’hésitent pas à qualifier d’échec. Loin s’en faut, le régime est à la tâche afin de satisfaire aux nombreuses attentes de ses concitoyens.

  60. Certains compatriotes veulent jeter l’enfant avec l’eau de bain en affirmant que tout est sombre sous ce régime. C’est faux, il y’a beaucoup de choses positives réalisées sous IBK. C’est à la jeunesse de comprendre cela pour se projeter dans l’avenir en amenant le pouvoir à plus de réalisations

  61. Au niveau du foncier, les pauvres populations qui sont expropriées de leurs terres commencent à retrouver espoir grâce à la lutte sans merci que mène le ministre en charge des domaines et des affaires foncières.

  62. Concernant, l’armée, il y’a eu la loi de programmation militaire afin de mettre nos braves soldats dans des conditions d’intervention sur le champ d’opération avec une augmentation sensible du salaire de nos forces armées et de sécurité (20 000 FCFA pour les officiers et 40 000 FCFA pour les officiers supérieurs.

  63. Des allocations familiales de 1500 à 3500 par enfant et 4000 par enfant handicapé. Et en même temps, on assiste à une diminution du taux de l’ITS de 8% et impôts sur les traitements et salaires, le cout de l’électricité est stable, le renouvellement des centrales thermiques hybride (thermiques et solaires), la construction de la plus grande centrale solaire de toute l’Afrique de l’Ouest peut être de l’Afrique, ceci pour répondre aux besoins de la consommation de la population de plus en plus grandissante.

  64. Les élections présidentielles de 2018 sont de formalité. Comme nous sommes dans un État de droit, ces élections seront organisées mais tout le monde sait qu’IBK passera dès le premier tour.

  65. Aucun adversaire politique d’IBK ne représente une alternative pour lui. Parlant de Soumaïla Cissé, je pense qu’il ne sera jamais de la vie président de cette nation. En tout cas pas après cette affaire de détournement de 27 milliards de l’UEMOA.

  66. Mais monsieur le journaliste alors, IBK a gagné d’une manière salutaire en 2013, alors qu’il n’était pas à la commande du pays. Ce qui veut dire dans les affaires ou pas IBK reste les plus grands favoris des élections de 2018.

  67. Modibo Sidibé, malgré son appartenance à l’opposition, n’a pas pris part à cette grande manifestation parce qu’il savait que rien d’important n’allait être prononcé par ses collègues opposants. Un bon opposant est aussi celui qui prend de bonne décision. S’agissant des élections présidentielles de 2018, je pense qu’IBK n’a rien à craindre.

  68. La personne de Modibo Sidibé n’était pas présent à la marche de l’opposition parce qu’il trouvait que cette marche ne devrait pas avoir lieu en cette période de crise politico-sécuritaire. Je remercie le président du parti Fare Anka Wili pour son absence à cette marche.

  69. En termes de progrès, les Maliens notent avec aisance des avancées significatives à mettre à l’actif du Président IBK. nous avons : une augmentation du salaire interministériel garanti (SMLIG) qui de 28 560 est passé 35 000f CFA en 2015 et à 40 000F CFA en 2016.

  70. C’est sûr et certain IBK sera réélu à sa propre succession. IBK a toujours la confiance et le soutien de sa population. IBK est l’homme qui faut à la place qu’il faut. IBK est et reste toujours l’homme qui faut à la place qu’il faut. Il dispose de la confiance de tous les maliens.

  71. Parlant du processus de réconciliation nationale en cours, je regrette que certaines gens mal intentionnées veuillent tirer vers le bas les progrès réalisés sur ce point. IBK va réussir là où ses prédécesseurs ont échoué.

  72. En quelques 30 mois d’exercice de pouvoir, le régime d’IBK est entrain est de faire ses preuves. Malgré le contexte socio politique difficile que traverse le pays, le régime prouve sa bonne foi dans la gestion des affaires publiques.

  73. Ce n’est pas les campagnes précoces qui permettront aux acteurs politiques d’être le prochain locataire de Koulouba. La lutte est perdue d’avance car IBK dispose de la confiance de tous les maliens. La population malienne garde toujours une grande confiance à IBK.

  74. Monsieur le journaliste loin de là, IBL n’a pas besoin de truquer de faire quoi de déraisonnable pour gagner les élections de 2018. C’est la population malienne qui décide toujours, 2018 sera plus salutaire que les élections de 2013. IBK sera réélu dans les normes, parce qu’il dispose toujours de la grande confiance d’une très grande partie de la population malienne.

  75. Malgré son prise de pouvoir dans un contexte socio politique assez difficile, IBK est entrain de donner le meilleur de lui-même pour rendre heureux ses concitoyens.

  76. L’absence suspecte de Modibo Sidibé à la marche du 21 mai passé prouve que les opposants maliens ne sont pas solidaires. On veut que l’intéressé nous éclaircisse sur sa position. Modibo Sidibé ne doit pas laisser de doute sur cette affaire.

  77. En 2018, la lutte ne sera pas entre IBK et les autres politiciens mais plutôt entre IBK et son propre record de 77% de voix. Le peuple est encore plus que rassurée de la réélection du président IBK, car reste toujours le choix du peuple.

  78. En 2018, la lutte ne sera pas entre IBK et les autres politiciens mais plutôt entre IBK et son propre record de 77% de voix. Le peuple est encore plus que rassurée de la réélection du président IBK, car reste toujours le choix du peuple.

  79. Aucun homme politique ne peut diriger ce pays comme, IBK. Il est l’homme qui faut à la place qu’il faut. Oumar Mariko ne peut diriger comme tant d’autre politique ne peut gouverner. Oumar Mariko n’a pas les compétences pour gouverner ce pays.

  80. Les candidats peuvent déjà se lancer dans la course, je ne vois point de problème, mais qu’il sache qu’IBK reste le seul favori. L’autre prétendant ne pèse point contre IBK, IBK reste la seule favorite à sa propre succession.

  81. La population malienne en 2018 renouvellera encore sa confiance au président IBK pour gouverner une seconde fois. Les candidats en liste ne peuvent arracher la tête de la liste à IBK, car la population malienne démocratiquement souhaitera une fois de plus être gouverné par IBK.

  82. Je pense qu’IBK en 2018, succèdera à lui-même, cela est clair. Il n’y a pas de leader politique plus responsable, plus patriote qu’IBK et aux quelle la population malienne a confié sa confiance. Les résultats de sa politique de gouvernance sont salutaire alors pourquoi ne pas le laisser continuer.

  83. Dire qu’on ne peut pas organisé un élection et le perdre est faux car l’exemple du Sénégal,du Gana nous a montré le contraire,seul la population peut déterminé le sort d’un pays en confiant sa gestion a qui il veulent.

  84. L’absence de Modibo Sidibé à cette marche s’explique par le fait que cette marche n’était pas opportune au moment où le pays a besoin de l’union sacrée de tous les composants de la nation. Il n’y a pas de quoi interpréter dans cette affaire.

  85. J’invite toute autre formation politique optimiste à la paix de quitter cette opposition amatrice qui ne pense pas du tout à cette nation mais à sa tête. Vive l’arrivée du PS-Yelen Kura dans la majorité présidentielle.

  86. Aucun autre candidat ne peut prendre la place de l’actuel président de la république. Ibrahim Boubacar Keïta n’a pas besoin de faire de campagne pour un deuxième mandat, les maliens lui choisiront pour ce mandat. Ce n’est aucunement au retour d’ATT que sa réélection est liée.

  87. Aucun autre candidat ne peut prendre la place de l’actuel président de la république. Ibrahim Boubacar Keïta n’a pas besoin de faire de campagne pour un deuxième mandat, les maliens lui choisiront pour ce mandat. Ce n’est aucunement au retour d’ATT que sa réélection est liée.

  88. La population malienne préfère toujours le président IBK. Les détracteurs et l’opposition racontent toute sorte de balivernes, mais les maliens gardent toujours une énorme confiance au président IBK.

  89. La vie de toute la nation malienne est entre les mains du président de la république, Ibrahim Boubacar Keïta. C’est cette charge qui veut que les partis politiques l’aident tous pour amener cette nation à la paix. Je remercie le PS-Yelen Kura pour cette décision.

  90. Je demande au peuple de ne plus voter certains partis qui ont fait des coalitions contre lui. On n’est pas militants d’un parti politique pour ne défendre que leur intérêt personnel. Je suis contre toute coalition dans ce pays. C’est IBK qui sera notre candidat pour 2018 comme il le fut en 2013. D’ailleurs le retour d’ATT n’est qu’une illusion de ses fidèles compagnons et autres. IBK n’a jamais dit qu’il ira chercher ATT.

  91. Les récents actes de la scène politique malienne n’ont absolument rien à voir avec la politique de réélection d’IBK. Il n’a pas besoin de faire de précampagne dans ce pays. Il fera le deuxième mandat, j’en suis sûr et certain. Je ne vois aucun candidat qui pourra le remplacer dans ce pays et cela sans aucune méthode du président fuyard, Alpha Oumar Konaré.

  92. C'est tres simple :" Si les maliens conscients de leur situation permettent un autre mandat cela me va que justifier la malediction totale dont on parle il y a des siecles"
    Ce sont les citoyens maliens qui voterons et avec tout le respect , donc observons seulement .
    Une chose est claire :" une seconde crise politique sera fatale a tout le Mali et IBK sa famille vont s'intaller en Europe ou aux USA pour jouir de leur fortune volee au Mali et ce sont les autres citoyens qui resteront dans l'enfer au Mali et pire entre les mains des jihadists …" que tout le Mali comprenne cela…

  93. Le combat de IBK et son gouvernement c’est pour le bonheur des maliens,et dire qu’il prépare les élections de 2018 car ce n’est autre chose que la satisfaction de notre cher Mali.

  94. Dire qu’on ne peut pas organisé un élection et le perdre est faux car l’exemple du Sénégal,du Gana nous a montré le contraire,seul la population peut déterminé le sort d’un pays en confiant sa gestion a qui il veulent.

  95. Nous ne devons pas oubliée ce qui se passe aujourd’hui seul la solution pour un Mali meilleur pourra déterminé le future de IBk,soutenons le dans ses actions pour ne pas regrette demain

  96. La fierté elle est malienne,IBK est un homme capable,le Mali souffre,souffre d’un Mal que seul IBK peut guérir donc ensemble pour 2018.

  97. Les maliens sont conscient,on a besoin d’un l’homme capable,de rigueur,un homme qui pense d’abord au Mali,un l’homme qui est fier du Mali et je pense que seul IBK répond a ses critères donc quoi de plus normale de le reluire en 2018.

  98. IBK n’a pas besoin de faire quoique ce soit pour assure son deuxième mandat ,car les maliens sont encore prés a voté IBk avec un taux de participation plus élève.

Comments are closed.