L’état-major de l’armée française a annoncé jeudi dernier que ses troupes dans le Nord Mali, viennent d’achever une opération anti-jihadiste dans cette région. Au cours de cette opération, quatre hommes armés ont été tués et des milliers d’obus et de munitions saisis.
L’opération a mobilisé dans l’Adrar du Tigharghar 770 hommes durant quatre semaines, du 26 février au 26 mars. L’objectif de ce déploiement visait “à s’assurer que les groupes armés terroristes ne sont pas réinstallés et à faire pression sur leurs flux logistiques”, selon le porte-parole de l’état-major des armées, le colonel Gilles Jaron.
Le 2 mars, des soldats français ont eu un accrochage avec un groupe de huit à dix hommes armés, dont quatre ont été tués, a indiqué le colonel Jaron le porte-parole de l’état-major. “Les autres, vraisemblablement blessés, ont disparu”. Les stocks saisis durant toute l’opération, 4000 munitions et 1000 obus, ont été enfouis par l’armée française dans le sol et détruits par explosion.
Toujours pour l’état-major français, depuis l’intervention française Serval en 2013, le nombre de jihadistes présents dans l’Adrar des Ifoghas se situerait entre 100 et 200 hommes, contre 1500 à 2000 auparavant. Les jihadistes, qui y avaient installé leur bastion lorsqu’ils contrôlaient le Nord du Mali entre 2012 et 2013, ont été tués par centaines lors de Serval où en ont été chassés.
“L’Adrar des Ifoghas et en particulier du Tigharghar est aujourd’hui essentiellement une zone de passage et de stockage” d’armes pour des opérations de harcèlement des forces de la Minusma, a relevé M. Jaron. “Les forces françaises étaient (en 2013) dans une logique de lutte contre des gens retranchés. Aujourd’hui notre combat consiste à déceler ces caches, couper ces flux logistiques”, a poursuivi le porte-parole.
La force française Barkhane forte de 3000 hommes, qui a succédé à Serval à l’été 2014 et concerne cinq pays (Mauritanie, Mali, Niger, Tchad, Burkina Faso), mène régulièrement des opérations de reconnaissance, contrôle de zone et recherche de caches d’armes et de combattants sur la bande sahélo-saharienne.
Neuf opérations d’envergure, associant souvent des soldats des pays partenaires, ont été menées au premier trimestre 2015, de la forêt de Ouagadou au Mali, près de la frontière mauritanienne, à la passe de Salvador à la frontière Libye-Niger. “Nous ne sommes plus dans une logique de coup de marteau mais de coups de râteau pour nous assurer qu’il n’y a plus de mauvaise herbe”, a expliqué le colonel Jaron.
Environ 10 tonnes de munitions ont été saisies par l’opération Barkhane lors de cette opération contre les jihadistes dans le Nord-est du Mali. “Nous ne laisserons pas les jihadistes se réinstaller dans le Tigharghar où partout ailleurs”, indique Gérôme Sallé, responsable de la communication de Barkhane. Il a répondu aux questions de Salimata Dao
“Ce n’est un secret pour personne que la zone du Tigharghar au nord-est du Mali, dans l’Adrar des Ifoghas est une zone particulièrement sensible. Comme vous le savez en 2013 c’était ce qu’on appelait une zone sanctuaire de refuge pour les groupes armés terroristes, leur lieu de vie et d’entraînement. Aujourd’hui, on s’aperçoit que le terrorisme a largement baissé au Mali et que les groupes armés terroristes n’ont plus la même capacité de nuisance qu’ils avaient en 2013. Nous avons trouvé environ 10 tonnes de munitions. En fouillant différentes caches, on a découvert des matériels divers, on a aussi découvert des ateliers de confection d’engins explosifs, des réserves de carburant, etc. Donc on voit bien que si ce n’est plus un lieu où ils sont en permanence, ils y reviennent régulièrement et donc c’était important d’agir dans cette zone et de montrer que nous sommes capables d’aller partout ou ils peuvent être. Les moyens dont nous disposons nous permettent d’être très rapidement sur une zone et de pouvoir intervenir. Donc il faut bien comprendre que le message est assez clair, nous ne laisserons pas les terroristes se réinstaller que ce soit dans le Tigharghar où partout ailleurs”.
Studio Tamani
La fra
Merci Balance-nègre , tu ne dis que de la vérité , euh oui n’es déplaise à ceux la qui te haissent ici bas ! nous sommes sans C O U I L L E S et SANCOEUR , le comble nous sommes acariâtres à la moindre C R I T I Q U E que nous considérons comme une leçon à recevoir , alors que nous voulons pas nous réveiller de la T O R P EU R et LE TH AR GIE presque condescendante ! kabako , fuir la GUERRE en ECHANGE DU DESHONEUR DORON PEWOU..WA ABBANAH ! 😛 😛 😛 😛 😛 😛 😛 😛 😛 😛 😛 😛 😛
nous voulons désormais les images des gens traquées, tuées ou blessées par Barkane dans cette partie du Mali où seule l’armée française évolue. Les salades de la France, on n’en veut plus.
blanche neige raconte ce qui lui ou la passe par la tête. Ces prouesses de l’armée française ne sont que des ragots pour justifier la présence d’une armée d’obédience coloniale dans le septentrion malien. A bon mentir qui vient de loin et opère seul labas. Du mensonge savament orchestré et distillé dans l’opinion malienne et africaine dans le seul but de faire main basse sur les ressources minières maliennes en vue d’allégier la politique d’austérité de l’union européenne. Vivement cette marque française causera sa perte quand le mali quittera la francophonie et s’inscrire resoluement dans toutes les phonies ensemble.
Comme jamais le moindre malien n’a mis les pieds dans l’Adrar des Ifogas parce que là bas c’est l’enfer , sachez quand meme que chaque soldat français porte entre 40 et 45 kilos sur son dos et qu’il fait là bas une chaleur a crever de plus de 40° , alors il leur est assez difficile de soulever chaque rocher pour voir si en dessous ne se cache pas un islamiste 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 mais vous pouvez toujours y envoyer des soldats maliens ,eux ils n’ont que quelques canettes de bière a porter ………………….plus le caca qu’ils ont dans le pantalon à cause de la trouille 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆
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