Un projet de résolution, invitant à une intervention militaire internationale au nord du Mali, est actuellement discuté au Conseil de sécurité des Nations unies à l’initiative de la France. Son adoption est envisagée d’ici la fin de l’année. Mais, l’organisation en charge du maintien de l’ordre, de la sécurité et de la paix dans le monde, ne semble pas du tout pressée d’en donner une suite favorable.
En effet, après un rapport du secrétaire général, Ban Ki-Moon, au contenu fortement décrié par les pays africains, un autre document confidentiel serait actuellement en circulation dans les coulisses des NU stipulant le doublement du nombre de réfugiés maliens à l’extérieur en cas d’intervention militaire internationale contre les islamistes dans le Nord du Mali, selon les confrères de la BBC.
Que comprendre de cette extrême prudence des Nations unies vis-à-vis d’une situation dont tous reconnaissent la gravité et les conséquences dramatiques pour des centaines de milliers, voire des millions d’êtres humains ?
Il est évident que ces atermoiements de l’ONU jouent incontestablement en faveur des groupes rebelles, mais contre le Mali, contre les intérêts de la sous-région, voire de l’Afrique et de l’Europe qui n’est malheureusement pas loin de l’épicentre de cette nouvelle zone de turbulence que d’aucuns comparent déjà à un Afghanistan au Sahel.
La communauté internationale, à juste raison peut-être, après l’expérience libyenne, a certainement besoin de l’aval de l’ONU pour une intervention militaire dans le Nord du Mali. Par contre, le Mali a-t-il besoin de l’accord des Nations unies pour libérer les 2/3 de son territoire aux mains de groupes maléfiques ? Si l’armée malienne ne peut pas le faire à elle seule pourquoi le Mali ne ferait-il pas appel à des pays amis dans le cadre d’accords bilatéraux ?
De toutes les façons, le temps joue en faveur des occupants et contre le Mali dont les populations, toutes confondues, souffrent énormément de cette situation. Ne pas agir dans les meilleurs délais pourrait agrandir le fossé assez grand qui est en train de se creuser chaque jour davantage entre les communautés du Nord d’une part et entre les agresseurs et le reste des populations maliennes d’autre part. Toutes choses qui risquent de compliquer l’après-reconquête, en raison sûrement de l’accumulation des sentiments de frustration et de haine.
Lorsqu’on a suivi l’élément relatif à la situation sur le terrain diffusé sur les antennes de TV5-Afrique le jeudi 13 décembre dernier juste après le Journal Afrique, il devient aisé de comprendre que toutes les germes sont présentes désormais pour que le clash puisse survenir à tout moment entre les différentes communautés sédentaires, nomades et surtout touareg, qui se partagent cette vaste région désertique.
Les conséquences d’une non-intervention ne sont-elles pas alors plus inquiétantes qu’une action militaire urgente ?
En tout cas, une fois de plus, l’ONU est mise devant ses responsabilités comme c’était déjà le cas au Rwanda en 1994 et actuellement dans le Nord-Kivu en RD Congo. Car, avec sans son engagement, le reste du Mali n’acceptera pas indéfiniment de subir les lois à lui imposées par une infime minorité, fut-elle armée.
Bréhima Sidibé
le temps joue en faveeur des terroristes : OUI comme çà ils ont le temps de faire des enfants à vos femmes et à vos soeurs ………..et ils vont laisser plein de futurs petits terroristes derrière eux 😆 😆 😆 😆 😆
ta mère a payé ton père la babouin pour coucher…
ton cerveau c’est ton con
😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆
J+117: le nombre de jour ke tes ceul avec ta misérable existanss
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le temps joue contre le journal l,indicateur mais en faveur de la republique un et indivisible du maliba …un sale journaliste qui ne se brosse meme pas les dents vient raconter des conneries ….
Qu’attende les islamistes pour annexer le Sud du Mali??? S’ils prennent cette décision, on verra si l’armée va faire un retrait stratégique sur la Côte d’Ivoire ou si elle va décider d’affronter les islamistes pour tenter de les repousser, voire de les bouter hors du territoire. Maudit soit tous ceux qui mettent l’intervention en retard!
avant de faire un retrait stratégique vers la Cote d’Ivoire ,l’armée malienne a obligation d’apprendre à nager ,sinon ces cons vont aller se noyer danss l’Ocean Atlantique 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆
tiè-ni-mango, donc selon toi le mali peut attendre 1000 ans ou quoi? Et puis tu n’as rien compris du contenu du texte, en te contentant simplement d’une lecture superficielle du titre. Même là aussi tu n’as rien compris. C’est dommage que tout le monde soit dévenu donneur de leçon dans un pays dont tout devrait amener les citoyens à reflechir davantage et sortir des grossiéretés inutiles.
Mr sidibé espérons que diango et son équipe aient les mêmes soucis que toi. En tou cas ils n’ont pas une seconde à perdre pour règler cette question définitivement.
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