Un texte tronqué qui sauve la tête de Dioncounda, hypothèque le Mali et conforte les criminels séparatistes. Et pour ne rien gâcher, faut jamais oublier l’humour, il réjouit les promoteurs de « Touareg land » (ou une patrie pour les seuls Touaregs) : Barak Obama et la gauche française.
Le sinistre torchon signé à Ouagadougou ce funeste mardi noir du 18eme jour du mois de juin entre « les deux parties » (Dioncounda Traoré d’un côté et de l’autre, des génocidaires sécessionnistes couplés avec des arabes opportunistes) met le Mali au bord du gouffre. Il permet à Dioncounda Traoré- qui a tout fait seul dans le dos du peuple malien) de sauver sa tête. Car, sa tête était en ‘’coun balan’’. Il avait échappé au code de la famille car ATT était un fusible. Mais, ce fusible a sauté et il se trouvait seul face au peuple en colère. En manœuvrier de première classe, il a su faire durer les choses, le temps de faire croire par ses relais qu’il était en train de ‘’ noircir sa place’’.
La manipulation a, semble t-il, fonctionné ; car après la signature du document comprometteur pour l’avenir de la nation, le calme est de mise. Est-ce le calme avant la tempête ? Possible, car les Maliens ne savent vraiment pas ce qui est dans ce texte. Comme pour le code, ils ne comprendront la réalité que tardivement. Donc, pour l’instant, il savoure son nectar en douce sans cependant être sûr que le miel peut subitement devenir « djaladji ».
Les Français jubilent et les Arabes et les Touaregs aux mains rouges de sang sont aux anges. Barak Obama a du sauter le champagne et appeler Hollande, son chef d’atelier des horreurs, pour le féliciter chaudement. Bref, tous les ennemis du Mali, blancs et nègres, lointains et proches, cachés et exposés, sont contents de la signature de ce texte qui attache les mains du prochain président du Mali et le livre aux Arabo-touaregs alliés par le racisme et la volonté d’édifier un pays sans nègres, sauf les esclaves. Sur le contenu et les implications du texte, comptez sur votre hebdo favori pour y revenir.
A.Tall