Le médiateur de la Cédéao et une partie de la communauté internationale dont la France, sont en train de tout mettre en œuvre pour un retour “honorable” du Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA) sur la scène après sa déculottée face aux djihadistes au nord du Mali. Cette stratégie, au lieu d’être une solution à la crise, risque de choquer davantage nombre de Maliens qui ne sont pas prêts à pardonner au MNLA pour toutes les absurdités dont ce mouvement est à l’origine.
En effet, dans un pays à plus de 90 % de confession musulmane, vouloir “imposer” un choix entre celui avec lequel il partage au moins des liens religieux (même si leurs méthodes sont généralement désapprouvées) et un groupe d’individus considérés comme des irrédentistes et éternellement insatisfaits, n’ayant jamais hésité “à trahir” la nation pour un oui ou pour un non, le choix risque de ne pas être du tout compliqué pour la majorité des Maliens.
Aujourd’hui au Mali, nul besoin de sondage pour savoir que les populations, en tout cas dans leur grande majorité, sont prêtes à pardonner plus Ançar Eddine et les admettre dans le giron national plutôt que le MNLA. Les raisons sont simples. Les mouvements islamistes n’ont posé comme revendication que l’application de la “charia” selon leur concept. Ils n’ont jamais renié le Mali en tant qu’entité souveraine. Ils sont également perçus comme ceux qui n’ont pas été les premiers à prendre les armes contre le Mali. Maudit soit celui par qui le malheur est arrivé, a-t-on coutume de dire ! C’est en tout cas le sentiment général qui prévaut aujourd’hui au Mali par rapport au MNLA.
Pis, les crimes inqualifiables et totalement inacceptables commis à Aguelhok ont été clairement et solennellement revendiqués par le MNLA. Ces actes ont choqué la conscience nationale malienne. Aujourd’hui, vouloir à tout prix “ramener” le MNLA comme acteur majeur dans la recherche de solutions à la crise risque de compliquer davantage la situation en faisant rallier la majorité des Maliens aux “islamistes”.
Le peuple malien est fier et foncièrement jaloux de sa liberté. C’est un peuple qui a horreur de tout ce qui lui est “imposé” de l’extérieur et en dehors de lui.
En la matière, l’histoire nous enseigne que les colons ont eu beaucoup plus de difficultés à “convaincre” les peuples de cette zone géographique que n’importe quels autres ailleurs dans leur conquête de pénétration en Afrique. Les enseignements et leçons de l’histoire sont tirés pour être mis au profit du présent afin de mieux bâtir le futur. Le Malien n’aime pas être mis devant une situation de “fait accompli” décidée par autrui en son lieu et place, même si cela est supposé être dans son intérêt.
Par contre, dès lors que vous faites preuve de “respect” et de “considération” à son égard, vous pouvez alors tout avoir de lui, même, si généralement cette “faiblesse émotive” lui a joué plusieurs sales tours, dont la crise actuelle constitue un aspect des conséquences profondes.
Pour l’histoire, la forte mobilisation du peuple malien à l’éclatement de la Fédération du Mali était motivée par le discours jugé haineux tenu par le président Léopold Sédar Senghor devant les députés sénégalais réunis à cet effet, pour proclamer le retrait du Sénégal de la Fédération, mais, surtout par le fait que les responsables “maliens” des institutions fédérales avec à leur tête Modibo Kéita, président du gouvernement de la Fédération du Mali, aient été “arrêtés” et “maintenus” contre leur gré par les forces de sécurité de la gendarmerie sénégalaise.
Ce mépris a été à l’époque pour beaucoup dans la mobilisation générale de l’ensemble des forces vives maliennes en vue de “marcher”, s’il le fallait, sur Dakar pour aller “libérer les dignes fils du pays” détenus par les “Wolofs”. Le 22 septembre 1960 donc, à l’arrivée des “illustres détenus de Dakar” tout le Soudan français était sur le pied de guerre et mobilisé comme un seul homme.
Pour la circonstance, les Maliens, toutes sensibilités confondues, ont accepté de taire leurs divergences de vue pour parler d’une seule voix. La cérémonie est marquée par la ferveur et l’enthousiasme. Un Modibo Kéita requinqué par une foule en liesse franchit la porte du lycée Technique.
Fervent panafricaniste, l’homme fait honneur à son rang de tribun hors pair en prononçant un discours des plus mémorables et les instigateurs de l’éclatement de la Fédération en prennent pour leur grade : “La République du Mali est née. Le Mali continue. Le mot Mali continuera à résonner comme un gong sur la conscience de tous ceux qui ont œuvré à l’éclatement de la Fédération du Mali et qui s’en sont réjouis”. “Toutes les Maliennes, tous les Maliens doivent accepter tous les sacrifices pour que notre pays puisse sortir grandi, rayonnant de l’épreuve qu’il traverse”.
Cet appel pourrait bien être adapté à la situation que traverse la Mali depuis le 17 janvier 2012 au déclenchement de la plus grave crise que la nation ait connue après l’éclatement de la Fédération du Mali.
Quoi que les Sénégalais aient pu reprocher à l’époque au gouvernement de la Fédération et à son président, le peuple n’en avait cure. Des “enfants de la patrie” avaient été “trahis et humiliés” donc il fallait “laver l’affront” et par tous les moyens. Le Malien de nature a “le sang chaud” comme on aime à le dire dans le jargon de la rue. Il peut être amené à réagir d’abord à certaines situations avant même de chercher à savoir quelles en sont les vraies raisons.
C’est ce même sentiment de fierté et d’attachement à la patrie malienne, qui a amené une partie de la population à manifester à plusieurs reprises ces derniers temps contre le déploiement d’une force étrangère au Mali. Ils ne sont certes pas les plus nombreux. Mais, si l’on n’y prend garde, les “petites erreurs” dans les stratégies d’approche et de règlement de la crise, pourraient vite être “exploitées” par les partisans de l’aile dure de la population et d’une partie de l’armée malienne, en vue de faire basculer les populations, à majorité analphabète et très sensible aux “appels nationalistes”, dans les bras des islamistes radicaux.
Pour éviter un tel risque, le langage de “vérité, de respect et de considération” promis par François Hollande, lors de son entretien télévisé sur le plateau de France 24 le jeudi dernier, “pour écrire une nouvelle page des relations entre la France et l’Afrique” doit avoir tout son sens. Les mots doivent être traduits en actes concrets.
En tout cas, sur le dossier malien, la position de la France de Hollande est sans ambiguïté. Après avoir introduit un projet de résolution auprès du Conseil de sécurité des Nations unies, le président français a rappelé la détermination de son pays à “ne céder aucun pouce de terrain au terrorisme” qu’elle pourchassera avec “intransigeance et vigilance”.
Quant à l’éventualité de négociations, en l’état actuel, François Hollande a été là aussi on ne peut plus clair en ces termes “négocier avec qui ? Avec des terroristes ? Des gens qui violent les femmes, amputent les bras et les jambes, détruisent des monuments classés Patrimoine de l’humanité ? Jamais !” Et de poursuivre, “la France a pour missions de défendre l’intégrité territoriale du Mali et de lutter contre le terrorisme et l’islamisme radical. Elle le fera dans le cadre du droit international en soutien et en appui à toutes les initiatives que les Africains prendront dans ce sens”.
Pour des choix stratégiques, d’aucuns peuvent privilégier l’un des groupes qui sévissent aujourd’hui au nord du Mali par rapport à d’autres. Mais pour le commun des Maliens, ils sont tous les mêmes et doivent être combattus avec la même détermination.
A ceux qui prônent la négociation, les Maliens répondent “dialoguer, oui ! Mais négocier, jamais !” D’ailleurs si négociation il devrait y avoir, elle va se faire avec qui ? Elle va porter sur quoi ? Pour quel compromis, sans compromission ? Pour quel résultat final que les précédents accords n’auraient pas pris en compte ?
La démonstration de force réussie par le Front uni pour la sauvegarde de la démocratie et de la République (FDR) et le Collectif des ressortissants du Nord du Mali (Coren) à travers la grande marche organisée dans les rues de Bamako, le jeudi 11 octobre dernier, intervient comme un signal pour rappeler que la majorité, demeurée jusque-là docile et silencieuse, commence à véritablement s’impatienter.
En effet, les slogans qu’on pouvait lire sur les pancartes et banderoles ainsi que des propos scandés par les marcheurs, ont été très explicites à ce sujet. Pas de négociation avec les terroristes ! Pas d’auto détermination à plus forte raison d’indépendance ! Respect de la laïcité dans un Mali indivisible ! Pas d’impunité pour les criminels ! Tous au front pour libérer le Nord ! Sont entre autres les slogans et propos qui ont jalonné le parcours des milliers marcheurs sur plusieurs kilomètres dans les rues de la capitale malienne.
Alors, comment concilier des positions aussi extrêmes ? D’une part, se trouvent des groupes terroristes (Aqmi, Mujao) qui ne sont pas des Maliens pour la plupart et des fondamentalistes religieux aux pratiques et méthodes rigoristes et barbares, d’un côté. Et, une population trahie, humiliée, meurtrie et opprimée, qui n’aspire qu’à vivre en paix et en parfaite harmonie et conformité avec les valeurs de liberté, de démocratie, de justice et de solidarité dans un environnement stable, d’autre part.
Si nous n’étions pas dans un monde où “l’intérêt” égoïste prime sur toutes autres considérations, entre ces deux entités, il n’y a pas de conciliation possible. Les crimes commis sont si horribles, le ressentiment si fort et le désir de justice si ardent, que toute solution “arrangée” ne peut être qu’éphémère et aléatoire.
Le peuple malien est fatigué. Son amertume est sans limite. Aujourd’hui, il n’aspire qu’à une seule chose : la libération des régions occupées par des terroristes.
Le monde entier a encore le temps et les moyens d’agir. Il doit le faire vite, sans délai et sans tergiverser aucunement. Après, pourrait être trop tard. Nulle n’y a intérêt.
Ibrahima Sidibé
Nous disons que les faux islamistes Suppôts de Satan Satan faits humains adeptes et fidèles de Dajal d’Ansar Eddine Mujao et consorts les bandits sans foi ni loi de touaregs voleurs violeurs tueurs sur des bases raciale et tribale de MNLA ou « enfants ingrats égoïstes paresseux impénitents assistés permanents du Mali » ont attaqué ensemble leur pays le Mali
Nous disons que ces êtres primaires ont la paresse la violence ingratitude incrustées dans leurs gênes
Nous disons leur association ne pouvait pas durer
Nous disons les êtres primaires ne connaissent que la violence la brutalité comme mode de résolutions des mésententes et conflits Ils appellent cela la loi du milieu qui consiste à corriger chicoter voire tuer l’autre
Nous disons donc que Dioncounda le 1er ministre et le gouvernement ne doivent pas négocier avec de tels êtres Il faut les expédier le plus vite possible en Enfer leur habitat naturel
Nous disons dialoguer avec un et laisser les autres c’est faire 2poids 2mesures c’est se soumettre au dicta et à l’imposé
Nous disons ils ne veulent pas travailler à la sueur de leur front et sont prêts à s’allier avec n’importe qui n’importe quel pays ou puissance même avec Satan pourvu qu’on leur promette l’assistance la pitance gratuites jusqu’à leur mort
Nous disons qu’ils ne reconnaitront jamais les efforts du Mali à leur égard tant que le Mali ne leur promet pas la pitance l’assistance gratuites jusqu’à leur mort
Nous disons ils sont et seront toujours 1problème pour leurs frères touaregs travailleurs les autres ethnies du nord du Mali et pour le pays tout entier
Nous disons qu’ils ne présentent que 1,5% des touaregs du Mali qui ne présentent de 2,5% des ethnies du nord du Mali
Nous disons que les touaregs ne sont pas les 1er occupants de cette zone revendiquée par ces ingrats paresseux impénitents assistés permanents
Nous disons que les ennemis sous régionaux d’Europe et d’Arabie du Mali qui rêvent depuis fort longtemps d’occuper les zones nord du Mali les utilisent en leur promettant l’assistance la pitance gratuites et permanentes
Nous disons à Dioncounda au 1er ministre aux « jeunes gens » de ne point se laisser influencer par des dicta et des imposés
Nous leur rappelons que le pouvoir que DIEU les a confié est transitoire et ils doivent avoir permanemment à l’esprit que le Mali n’a pas d’amis et ils doivent défendre uniquement les intérêts de leur pays le Mali qui les a vu naitre nourri envoyé dans les meilleures écoles et universités des « Autres » aux fins qu’ils soient honnêtes travailleurs qu’ils aient 1amour profond pour le Mali et qu’ils se comportent d’égal à égal avec les « Autres » sans complexe pour la défense des intérêts du peuple malien dans cette compétition mondiale où tous les coups sont permis sans aucun état d’âme
Si le groupe de MNLA (le pire groupe islamistes) ne vient pas demander pardon a la nation.Ils ne sont pas des Touaregs Maliens.Comme leguen a dit il ya des milliers de touaregs maliens qui ne sont pas concernes par leurs revendications.
MNLA = AQMI = Anserdine = MUJAO. On doit les nettoyer. Le mediateur qui aggrave la situation du Mali en les recevant a bras ouvert, comme si ceux ci sont plus importants que la nation malienne. Si c’est pas la France et Blaise, qui a besoin de les ecouter.
Le mnla est un groupe rebelle et assassains et ne represente qu’une infime partie des groupes ethniques August nord. Donc moi Il n’y a pas de difference entre mnla, ansar dine et tous les autres. Quiconque qui s’attaque a mon pays le Maliba et sa population est un ennemi et doit etre combattu partout les moyens necessaires. Apres le menage on pourra discuter avec les repentis d’une certaine maniere. On est parti pour UN long conflit mais la victoire sera Notre.
La crise actuelle n’est pas une affaire de “touareg”. Il y a des milliers de touareg maliens qui ne se sentent pas concernés par les revendications actuelles du mnla. Pour preuve, le mnla est plus vomi par les populations du nord que les groupes islamistes sinon autant qu’eux. Alors, arrêtez de faire des amalgames entre mnla et touareg. c’est un raccourcis qui n’a rien à voir avec les réalités du terrain.
Le mnla est constitué d’assassins, de criminels de guerre et d’apatrides. Avec ou sans l’appui de l’extérieur, le peuple malien, notamment les autres communautés du nord du Mali, n’acceptera jamais le dicktat de quelques individus (-1% des touareg).Depuis 1990 le Mali n’a fait qu’amadouer ces gens-là. Pour quel résultat? Cette fois-ci, ce sera la dernière rebellion “touareg” au Mali. Mais d’autres pays, tels que le Burkina, qui les amadouent aujourd’hui peuvent d’ores et déjà se préparer à les “accueillir” pour très bientôt. En ce moment, ils apprendront très vite que ce ne sont pas des gens avec lesquels il faut lier “amitié”.
M. Carlosbayo, il y a bien des “Broudamins” au Mali. Ils sont aussi maliens que tous les autres.
je pense qu’il y’a des djihadistes qui commentent sur maliweb.
je ne peu pas comprendre comment qu’elle qu’un peu dire que ces assassin sont des Malien.
ces gens ne nous ressemble même pas c’est des “BROUDAME” de leur vrais nom.
Il faut que le Mali, ou ce qui en reste, s’assume par rapport à sa survie. Nous ne pouvons pas laisser notre destin entièrement entre les mains d’autrui. C’est à nous maliens de savoir d’abord ce qu’on veut réellement. Est-ce la libération des régions du nord et la défense de l’intégrité territoriale? Est-ce qu’on va continuer à encourager l’impunité à des gens qui ne connaissent que la violence comme forme d’expression? Est-ce qu’on va continuer toujours à entretenir des bandits aux frais des impôts d’honnêtes citoyens? Non, le Mali doit rompre avec cette façon de régler la question des rebellions touaregues une bonne fois pour toutes.
IL EXISTE DES MINORITES DANS TOUS LES PAYS DU MONDE, ALLONS VOIR QUI VA ACCEPTER CE QUE LE MNLA A FAIT A SON PAYS A SA PATRIE LE MALI. TOUS LES DESERTEURS DE L’ARMEE ET DE LA FONCTION PUBLIQUE SONT LES MENEURS DE CETTE CABALE, ILS DOIVENT ETRE JUGER ET CONDANNER A PERPETUITE. JAMAIS NOUS LES MALIENS NOUS N’ALLONS PARDONNER LA MORT DE NOS FRERES A AGUELOK, MEME S’IL FAUT ATTENDRE 10 ANS POUR VENGER LEUR MORT. LIQUIDER DES PRISONNIERS DE GUERRE A BOUT PORTANT MAIN ATTACHEE AU DOS. A ” KOUROU KAN FOUGA “NOS ANCETRES ONT DIT : TU PEUX TUER TON ENNEMIS MAIS NE L’HUMILIE PAS.
IL EXISTE DES MINORITES DANS TOUS LES PAYS DU MONDE ALLONS VOIR QUI VA ACCEPTER CE QUE LE MNLA A FAIT A SON PAYS DE N
Remettre le MNLA serait une grave erreur tout comme l’a été sa création. Nous les avons accueilli avec des carottes ils sont entrés avec des bâtons. Pour prétexte ils parlent de développement et d’intégration. Chacun sait que cette portion de terre avec sa faible population ne peu constituer un État viable. La preuve est que ceux d’entre eux qui ont les moyens investissent dans le sud, qui va développer leur région à leur place? la vérité est que certains Touaregs qu’ils sont des blancs sous domination nègre et tant que cela durera nous serons toujours en guerre. Le Mali a maintenant besoin de paix pour son développement.
Le temps de négociation est passé il faut passé maintenant au chose serieuse c’est à dire l’intervention mililtaire depuis 2006 on est entraint de negocié à quoi sa sert on doit jamais négocié avec une rebellion quelqu’on que il est temps d’agir…..
Vraiment votre rappel de l histoire du Mali est bien. Mais ses maliens étaient des vrais patriotes qui ont tout sacrifié pour leur pays jusqu à leur vie. Le patriote Modibo KEITA à donne sa vie pour éviter la guerre civile au Mali.
DANS LE BATEAU SOUMARE QUI L AMENAIT À BAMAKO. IL ÉTAIT INFORMÉ D UN COUP D ÉTAT MAIS AU LIEU DE RETOURNER À SEGOU OU L ATTENDAIENT SES ,PARTISANS MILITAIRES . SES PATRIOTES N ONT PAS VOLÉ ILS N ONT PAS CONSTRUIT DES PALACES ILS ÉTAIENT RESTÉS AVEC LE PEUPLE.
MAIS AUJOURD’HUI NOUS SUBISSONS LES TURPITUDES DE NOS MILLITAIRES MALIENS DONT LE PREMIER RESPONSABLE EST MOUSSA TRAORÉ ANTIPATRIOTE CE ANALPHABÈTE AVEC UNE ÉPOUSE IMPOLIE ET AVIDE D ARGENT ONT COMMENCÉ À DÉTRUIRE LE TISSUS SOCIAL MALIEN .ILS ONT FAIT DE L ARGENT DIEU. ILS ONT ELIMINE LES VRAIS MILITAIRES PATRIOTES LES DIBYSILLAS,NIENTAO ET AUTRES.
MAINTENANT CE SES MÊMES MILITAIRES QUI SONT ALLÉ DANS L ARMÉE POUR UN POSTE BUDGÉTAIRE ET POUR FAIRE LA GUERRE .REGARDEZ UN SANOGO IGNARD,SOULARD INCOMPÉTENT ASSASSIN QUI PREND TOUT SON PAYS EN OTAGE AVEC LES ARMES ACHETÉS AVEC NOS IMPÔTS.ROULENT LES MÉCANIQUES
LE VRAI PROBLÈME DU MALI EST SON ARMÉE ET LA CORRUPTION. AUJOURD’HUI LES MALIENS PRIENT MAJORITAIREMENT POUR L ARGENT QUE DIEU
ON PEUT DIALOGUER AVEC LES TOUAREGS QUI RÉCLAMENT LE DEVELLOPEMENT DE LEURS ZONES MAIS CEUX QUI N ONT PAS TUÉ LES MALIENS CEUX QUI N ONT PAS TRAHI LEUR PAYS. NE COFONDOND PAS TOUAREGS À MNLA .LE PEUPLE TOUAREG EST AUSSINPRID EN OTAGE PAR DES VOYOUS
Ançar Eddine : c’est eux qui ont égorgé nos soldats à Aghelok (méthode et signature caractéristiques des salafistes).
Rappelons aussi qu’il n’y a pas que le MNLA qui a pris une déculottée face aux islamistes, il y a aussi notre armée nationale pourtant dotée de chars, de blindés, d’artillerie, d’avions et d’hélicoptères (contre de simples pick-up).
“Le Malien de nature a « le sang chaud »”. Oui pour faire de enfants qu’il ne peut nourrir et pour palabrer mais pour aller au combat et reprendre le Nord, son sang se refroidit.
Mon frère, des maliens qui sont lucides comme toi, il n’y en a plus. Un proverbe de chez nous dit: ” le chameau voit que le cou de son ami est tordu mais il ne voit pas le sien.”
oui negocier et pardonner, n’est pas synonyme de faiblesse
ce son avent tout des Malien qu’ils soit MNLA ,, GANDAISO ,, ANSAR DINE OU MOUJAO ce son des maliens, qui peuvent être pardonner, si ils impose pas des eiders fanatique anti république oui le Mali peux être grand a pardonner a ses fils dans l’interais d’une Nation UNI et juste..
Pardonner après l échec de la force est pire qu’une faiblesse
il faut pardonner avant l utilisation de la force
mais quand l utilisation de la force n arrange pas les choses les pardon est inutile
Dialoguer, oui! Par contre négocier veut dire : donner et recevoir autant que possible. En l’état actuel et vues les revendications de ceux qui ont pris les armes contre le Mali, sur lesquelles de ces revendications le Mali pourrait céder quoi que ce soit?
pourtant il va bien falloire négocier tôt ou tard qu’on le veuille ou non.
oui mais negocions après. Car le négoce en étant faible ne donne pas de resultats tangibles.
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