REUTERS (photo archives)
Dans le souci d’apporter leur contribution dans la résolution de la crise malienne les responsables du mouvement “nouvelle génération” étaient face à la presse, hier mercredi 2 juillet, pour proposer des pistes de sortie de crise. La conférence était animée par son président, Dr Bassirou Diallo.
D’entrée de jeu, le conférencier a fait l’état des lieux de la situation politico-sécuritaire. Avant de déclarer que, les rebelles du MNLA et leurs associés ont battu le gouvernement du Mali sur le plan diplomatique et dans le domaine de la communication. Selon lui, seules la diplomatie et la communication peuvent permettre au Mali d’isoler les rebelles et de résoudre définitivement cette crise.
Pour le conférencier, le problème malien ne se réglera pas au Mali, car c’est une guerre purement géostratégique dont les enjeux dépassent nos frontières. A en croire M.Diallo, la question fondamentale que les Maliens doivent se poser est de savoir qui finance les activités du MNLA. La réponse à cette question permettra à notre pays de résoudre beaucoup d’énigmes.
Il a par ailleurs souligné qu’aucun pays au monde ne se développera, si la population ne prend pas conscience. Car, dit-il, dans un contexte où la marge de manœuvre de l’État est réduite, la clé de certaines crises se trouve entre les mains de la population. Il a ensuite appelé les Maliens à plus d’union autour des autorités pour mener notre pays à bon port. En effet, pour lui, le Mali d’aujourd’hui a besoin de l’union sacrée de tous les Maliens pour sortir de la crise. Même dans les grandes démocraties, quand le pays est en danger, opposition et majorité se retrouvent autour du bien commun, le pays. Dans le cas d’espèce, c’est l’existence du Mali qui est menacée par les irrédentistes qui sévissent dans sa partie septentrionale.
Ainsi, il a mis l’occasion à profit pour fustiger certaines déclarations qui ne font qu’affaiblir davantage la position du Mali sur la scène internationale.
C’est facile de passer le plus clair de son temps à décocher des flèches au gouvernement.
Boubacar PAITAO
Il n’est secret pour personne que notre diplomatie et notre stratégie de communication ont dessiné leurs limites, mais le grand problème de notre république, c’est aussi l’indiscrétion de l’homme Malien, cet homme Malien n’a pas de secret face à son âme dans l’armée, les hautes autorités administratives, judiciaires, militaires (maitresse surtout), bref au sommet de l’état les secrets de la nation pour préserver les valeurs républicaines sont déjà connus des Maliens, des non Maliens(en gros république bafouée), exemple le contenu du conseil des ministres sont déjà connus à l’avance p des Maliennes de la rue, voici une autre faiblesse, une défaillance dont beaucoup d’échecs en sont liés à ce défaut de l’homme Malien, avec une parfaite communication activée et épaulée par une diplomatie expérimentée l’état se retrouve facilement épargner de tous dangers et de toutes humiliations. Solution ne banalisons les affaires de la république, mais considérons nos autorités dignes de ce nom, dénigrons les autorités bananières, ayons l’amour du pays, priorisons l’intérêt suprême de la nation, que tous les soient conscients de la survie du pays. Je demande à nos autorités de corriger les faiblesses qui sont à l’origine du gouffre, du calvaire de notre pays,en passant par une bonne gouvernance exemplaire aussi d’accentuer et de renforcer les visions sans doute de donner un regard omniscient au moral républicain. Que dieu bénisse le Mali!
La gouvernance s’appele “la famille d’abord” sous IBK alors ne nous mettez pas de poudre aux yeux. Quand a l’article, il faut pas dormir, les rebelles ne seront jamais isoles, il est temps pour negotier et tres serieusement pour que les maliens sortent de cette situation plus forts.
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