Reprise des hostilités à Kidal : La responsabilité malienne résolument engagée !

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Le centre de la ville de Kidal
Le centre de la ville de Kidal

Après la signature solennelle de l’accord pour la paix et de la réconciliation nationale, issu du processus d’Alger, de violents combats opposent la CMA à la Plateforme. Suite à ces  différents affrontements meurtriers  survenus sur l’ensemble du territoire national,  particulièrement dans la région de Kidal, le gouvernement de la République du Mali a diffusé un communiqué, ce lundi 24 août 2015. Commentaire!

Constamment dans la quête de la paix, de la stabilité politico-sécuritaire, de l’unité nationale, de l’intégrité territoriale et de la forme républicaine et laïque du pays, le gouvernement du Mali  condamne avec la dernière rigueur  tous les actes susceptibles de semer  la terreur sur l’ensemble du territoire national et  qui empêcheraient également le processus de l’accord de paix de suivre son cours normal.  Ceux qui pensent ou qui indiquent que  le gouvernement malien est  le vrai problème de la situation, doivent savoir, quoi qu’on dise ou quoi qu’on fasse,  que la
République du Mali continue et continuera  toujours de jouer pleinement ses prérogatives pour atteindre ses objectifs. Mais,  pour que cela se fasse, aucune mauvaise appréciation de la part des uns et des autres ne laissera le Mali vaincu. Il faut noter que  la mauvaise situation sécuritaire au Mali a freiné le retour des services sociaux de bases dans les régions de conflit, à savoir : les actions humanitaires, les actions relatives à la santé, à l’éducation, à l’hydraulique… Par ailleurs,  le gouvernement a appris que l’une des parties signataires de l’accord a suspendu  sa participation dans les travaux du  Comité de suivi de l’accord,  ce qui constitue d’ailleurs un obstacle à la paix et à la réconciliation nationale. Le gouvernement du Mali pense objectivement qu’une telle décision unilatérale doit également faire l’objet de toute concertation entre les différentes parties prenantes de l’accord sans qu’il n’y ait la moindre entrave à la situation. Le gouvernement de la République du Mali apprécie à sa juste valeur la démarche entreprise par la médiation qui permettrait à la mise en œuvre effective de l’accord.
Ainsi le gouvernement du Mali saisit l’occasion pour dire aux parties signataires de la paix que la responsabilité de tous les maliens et de toutes les maliennes est résolument engagée dans ce processus de paix et de réconciliation. Quant à Choguel, ministre de l’économie numérique, de l’information et de la communication, porte parole du gouvernement, le gouvernement poursuivra son dialogue sincère et franc avec toutes les parties prenantes pour parvenir à une parfaite entente et enfin de gagner la confiance et le soutien indéfectible de la communauté internationale. Dans la perspective de la mise en œuvre effective de l’accord pour la paix et de la réconciliation nationale, le gouvernement du Mali a déployé des efforts inestimables pour créer des conditions idoines. Le gouvernement du Mali est toujours serein, engagé, et déterminé dans  son  combat  jusqu’à ce que la paix et la stabilité reviennent sur l’ensemble du territoire national tout en assurant la sécurité des personnes et de leurs biens.  Car, telles sont les véritables devises du président IBK. Le gouvernement  de la République  du Mali demande également aux populations de s’engager dans ce même combat pour finalement atteindre le but recherché. Selon Choguel, le gouvernement du Mali à travers son exaltante mission, informera les populations sur tout ce que le gouvernement posera comme acte dans le processus de la mise en œuvre effective de l’accord mais également sur tout ce qui se passera sur l’ensemble du territoire national.

Alassane Cissé

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68 COMMENTAIRES

  1. TOUMANI
    La critique sert à s’améliorer.On critique le pouvoir parce qu’on aime notre pays.
    Si nous pensions que le pouvoir faisait mieux,on serait moins critique.
    Les agissements du pouvoir actuel désolent tout malien qui aime son pays.

  2. Tu as raison, les séparatistes doivent arrêter les hostilités, respecter leurs engagements. Ils doivent faire preuve de responsabilité et de responsabilité, la vie de millier de personne sont en danger dans le septentrion malien.

  3. Cet acte gouvernemental est très salutaire, tous les séparatistes doivent faire preuve de bonne foi et suivre le gouvernement sur sa lancé.

  4. Une chose est sûre et certain, le Mali ne sera pas le premier fautif de l’échec de l’accord. Le gouvernement malien mettra tout en œuvre pour que la paix au nord Mali soit une paix et réconciliation durable et éviter tout risque de division territoriale.

  5. Les belligérants doivent faire preuve de bonne foi. L’Etat a tout mis en place pour que l’accord puisse aboutir. Seule le respect scrupuleux de l’accord du 20 Juin peut donner une suite favorable à l’accord de paix.

  6. Kidal c’est le MALI, Kidal appartiendra toujours et à jamais au MALI. Comme IBK l’a toujours dit haut et fort « Le Mali restera un et indivisible » « MALI TE KILA LA ».

  7. Nous serons répondre aux appelles du gouvernement, cette paix est notre premier intérêt dite général.
    Que dieu sauve la Nation
    Vve le Mali
    Vive la paix et
    Vive IBK en sa position de président de la république.

  8. le gouvernement du Mali a déployé des efforts inestimables pour créer des conditions idoines. Le gouvernement du Mali est toujours serein, engagé, et déterminé dans son combat jusqu’à ce que la paix et la stabilité reviennent sur l’ensemble du territoire national tout en assurant la sécurité des personnes et de leurs biens. Car, telles sont les véritables devises du président IBK. Le gouvernement de la République du Mali demande également aux populations de s’engager dans ce même combat pour finalement atteindre le but recherché.
    le gouvernement ne sucerait jamais d’étonner les maliens par leurs bonnes pratique…
    IBK est véritablement l’homme de chaque situations du Mali… un véritable leader.

  9. Le gouvernement joue pleinement son rôle qui lui impose d’être présent pour toutes les partis.
    Quant au président IBK sa position est connue de tous, il a toujours été ouvert aux dialogues.
    C’est à la CMA de prendre une position qu’elle ne regrettera pas un jour.

  10. Cette paix ne doit en aucun cas connaitre des difficultés. Elle devrait être une réussite pour la nation, qui a assister à tend des souffrances et tend des manipulations. Nous devons nous donner les mains entre autre pour se combattre au nom d’une même cause, la paix et rien d’autre que la paix. Il n’est pas trop tard pour récupérer ce qui nous appartienne,
    il n’y a pas de plus meilleur qu’un Mali en paix.

  11. Pour le meilleur de la CMA et autres, la paix doit être un élément de vérité. Ils doivent choisir le chemin de la paix, il ne pourrait jamais avoir deux commodément dans un même bateau.

  12. La situation s’aggrave et continuera de s’aggraver tant qu’on ne se donne pas les mains dans l’union et l’entente et surtout la confiance mutuelle pour prendre les grandes orientations ensemble afin de libérer notre pays. On doit rester souder, sinon c’est à rang dispersé que l’ennemi peut mieux nous attaquer et très nous pouvons tomber dans leur piège.
    Un philosophe disait que : « l’intérêt des particuliers se trouve toujours dans l’intérêt commun et que vouloir se séparer c’est vouloir se perdre. »
    Cependant, l’aigreur, les critiques et la révolte ne sont point la solution dans cette situation. Nous sommes dans une affaire où c’est la souveraineté de l’Etat malienne qui est mise en mal. Alors le devoir pour tout citoyen est bien de soutenir et de défendre l’intérêt de son pays.
    Tout porte à croire que ce pays est un pays qui a fortement besoin de l’apaisement et du calme pour que notre développement puisse prendre son envol. Les uns et les autres doivent comprendre cela sans même que les autorités ne le disent.
    Consciencieusement je n’ai pas par exemple besoin qu’on me dise que vu l’état actuel du pays, le terrorisme en grande envergure et les autres fractures, les citoyens se doit soutien et accompagnement aux autorités afin que le pays s’en sorte tête haute.
    Chers amis, frères, et concitoyens, ce pays a assez souffert. Notre pays n’a plus droit à la révolte ni au coup d’état, ni au putsch. Nous avons intérêt que dans l’union et la solidarité autour de notre autorité.
    L’ESPOIR EST PERMIS !!!
    LE MALI VA SE LEVER !!!
    LE MALI VA MARCHER !!!
    LE MALI IRA LOIN !!!

  13. Nulle personne ne saurait dire que le gouvernement malien ne fait pas d’effort pour soutenir cet accord de paix et de réconciliation. C’est le gouvernement qui a voulu signé cet accord comment et pour quelle raison ce même gouvernement voudrait compromettre la portée et les exigences de celui-ci. Il a tout fait et il continue toujours déployer des efforts pour maintenir la paix et la stabilité dans ce pays. Alors, que les ennemis se ressaisissent.

  14. La paix est un chant, la guerre est un long hurlement parmi des cris.
    Un arrangement médiocre, ou une paix boiteuse, vaut mieux que la guerre.

  15. Donnons-nous la main, restons soudé et soutenons le gouvernement dans ces projets qui est déjà en train de tout de tout faire pour la paix et sécurité

  16. On s’en fout des mauvaises langues, on veut notre pays. Le gouvernement a bien fait de ne pas céder au cadeau empoisonné de l’opposition. Sans quoi, elle aurait dit qu’elle a empêché le gouvernement de faire quelque chose. Si cela avait marché, elle continuerait de mettre des barrières épineuses sur la route du gouvernement. Je suis contraint de penser que l’opposition au Mali n’a pas son sens. Elle ne peut que critiquer et suspecter le gouvernement de tous les maux.

  17. Si la cma sait qu’elle n’était pas encore prête pour l’accord fallait pas qu’elle signe sinon elle n’avait pas le droit de quitté le comité sans l’accord des autres partis.

  18. Il y a bien des garants pour cet accord. Les garants ne sont personnes d’autres que nous-mêmes. Nous constituons nous-mêmes notre propre garantie de la paix et de la réconciliation au Mali. Cette garantie ne vient de nulle part; ni du ciel ni de nulle part sur cette terre. Il faut que nous nous donnions les mains et qu’on s’applique tous en fournissant beaucoup d’effort pour faire de cet accord une réalité au Mali.

  19. “On cherche le génie dans l’homme de guerre, pourquoi ne pas le chercher dans l’homme de paix ? Pourquoi persister à vouloir enfermer la paix dans le cercle étroit et tant de fois parcouru de la routine ? Pourquoi ne pas faire au hasard une aussi large part dans la paix que dans la guerre ? Pourquoi la paix, comme la guerre, n’aurait-elle pas sa stratégie, ses éclairs, ses batailles, ses victoires ?”

  20. Our leaders have done their best, the problem is at the CMA, it has not only removed the monitoring committee but also the government. To restore peace, all parties are called upon to implement the agreement to the letter. It is not enough to sign the agreement on paper but translate the acts consistent with its text.

  21. Depuis que le processus pour la paix a été ouvert, le gouvernement malien a toujours respecter sa part de responsabilité pour la bonne résolution de cette crise du nord. C’est la CMA qui cause toujours de problème pour la bonne suite de ce processus pour la paix. Nous soutenons notre gouvernement et nous sommes fiers de lui.

  22. Pour mettre fin à toutes ces provocations entre ces deux groupes, le gouvernement malien doit prendre des mesures rigoureuses. Il a employé beaucoup d’effort pour signer la paix et maintenant il n’est pas question cet effort aille en fumée.

  23. This is not always continuing to violate the cease-fire that Mali will know peace and tranquility. The Malian government was right to condemn the recent violations of the agreement. Including clashes between CMA and GATIA. So the entire population has to play its role for the effective implementation of the agreement.

  24. La CMA en train de faire tous ses malins et bêtises parce que la communauté internationale et la France l’appuient dans l’obscurité. Sinon cette infime minorité des nordistes du Mali ne peut pas se moquer de notre gouvernement comme elle veut. On les a fait appel pour qu’ils viennent nous aider et non pour empirer notre situation. Elles se sont montrées incapables, donc qu’elles quittent chez nous.

  25. Les hostilités provoquées entre la CMA et le Gatia récemment est un non respect de l’accord de paix et du cessez-le-feu. Ces gens doivent cesser avec les attaques qu’ils font l’un contre l’autre. Le Mali est entrain de basculer, il ne faut pas qu’il chute à cause de leur irresponsabilité.

  26. La résolution 😥 😥 de cette crise ne dépend pas du gouvernement malien seul. 😀 😀 Toutes les parties signataires sont responsables et la médiation plus particulièrement.

  27. Le gouvernement est en train de mettre tout en œuvre pour la paix et la sécurité du Mali. on doit le soutenir vraiment

  28. A mon avis la cma doit se joindre à la Comité de suivi de l’accord, ce n’est pas le moment pour aucun groupe de se retirer. Si tous les groupes ont accepté de signer l’accord, donc ils doivent tout faire pour que cela soit une réussite.

  29. Le gouvernement a totalement raison. La CMA ne devait se retirer du comité de suivi sans au préalable consulter les autres parties concernées. Cette décision unilatérale montre tout simplement qu’elle se fiche de l’avis des autres.

  30. La reprise des hostilités à Kidal engage la responsabilité de tous sans exception. Donc le GATIA et la CMA, sans pointer le doigt sur le coupable des récents affrontements, doivent respecter leurs engagements et rester fidèles à la paix. Les armes n doivent circuler au nord. Le Mali a déjà fait l’essentiel dans le cadre du retour de la paix. Car un accord a été signé.
    Mais ce qui a attiré mon attention aujourd’hui est le fait que dans un article du jour (http://www.maliweb.net/interview/moussa-ag-acharatouman-de-la-cma-il-faut-quon-sache-sil-y-a-des-garants-pour-cet-accord-1129502.html#comment-16881762) et qui me semble discriminatoire affirmatif d’une conspiration contre le Mali, c’est le terme «azawadiens» que Moussa Ag Acharatouman est en train d’utiliser pour qualifier les ressortissants de Kidal. Un tel usage du mot «azawadien» sans fait de moi un sceptique sur l’appartenance de Kidal au Mali.
    😛 😛 😛 😀 😀 😀 😀 💡 💡

  31. Après les violations faites récemment à l’accord d’Alger, toutes les parties sont priées de revenir sur leur position initiale. Car en tant que les parties ne s’attendent pas je ne vois aucune pour ce pays de parvenir à une paix durable paix sur papier mais sur le terrain. La Communauté internationale est elle aussi concernée. 😯 😯 😯 8) 8) 8) 8)

  32. Ce n’est pas en continuant toujours de violer le cessez-le-feu que le Mali connaîtra la paix et la quiétude. Le gouvernement malien a bien fait de condamner les récentes violations de l’accord. Notamment les affrontements entre la CMA et le GATIA. Donc toute la population est appelée à jouer son rôle pour la mise en œuvre effective de l’accord. 😛 😛 😛 😆 😆 😆

  33. Au lieu que nous nous donnons les mains pour sortir ce pauvre pays de la crise des individus de mauvaise foi ne visent qu’à se venger de leur rancune politique. Là ou on parle du Mali 😀 😀 nous ne devons plus parler de sensibilité politique à ce niveau 😀 😀 parce que là bas c’est un sujet d’intérêt général 😀 😀 qui nous concerne tous.

  34. La décision de la CMA de suspendre sa participation aux travaux du comité de suivi pour la mise en œuvre de l’accord est une décision unilatérale prise sur le dos des autres parties. Une telle ne devrait pas être adoptée sans la consultation de toutes les parties. De ce fait toute la population est mise devant les faits. 😯 😯 😯 💡 💡 💡

  35. Comme l’a dit le gouvernement, la responsabilité de tous les maliens et maliennes est engagée face à ces situation. Le processus de paix et de réconciliation nationale ne peut en aucun cas commettre de succès tant que les parties continueront de violer le cessez-le-feu. 😛 😛 😛 😀 😀 😀 😀

  36. C’est l’union qui fait la force, la CMA doit regagner sa position conformément à l’accord de paix et de réconciliation. La reprise des hostilités n’a plus de sens du moment où elle a agréé l’accord pour la paix. Le gouvernement malien suit les pas de son peuple, tout comme lui, toutes les autres parties prenantes de l’accord doivent éviter la guerre car elle n’aboutit à rien.

    • ASSY, le mali a besoin plus que jamais de tous ses fils paix maintenir une paix sur l’ensemble de son territoire y compris ces gens que vous qualifiez de rebelles ou de terroristes, c’est à dire CMA et autres alliés.

  37. Nos dirigeants ont fait de leur mieux, le problème se situe au niveau de la CMA, elle s’est non seulement retiré du comité de suivi, mais aussi du gouvernement. Pour restaurer la paix, toutes les parties prenantes sont appelés à appliquer l’accord à la lettre. Il ne suffit pas de signer l’accord sur le papier mais de le traduire à des actes conformes à son texte.

  38. La CMA est en train d’exagéré la situation, de tout compte fait la CMA doit respecter son engagement, pour l’amélioration de la situation du pays.

  39. On demande à la population de continuer à faire son travail pour la satisfaction de l’intérêt général de la population, les mesures prisent par le gouvernement concernant le problème sécuritaire sont efficaces et extraordinaire.

  40. Les dispositions prises par le gouvernement sont essentiels concernant l’affrontement entre la GATIA et la CMA. Nous saluons infiniment les gestes du gouvernement pour tous ceux qu’il fait concernant la situation sécuritaire du pays.

  41. L’affrontement entre la CMA et la GATIA est l’œuvre de la CMA qui cherche à rendre difficile la situation sécuritaire du pays, après la signature de l’accord de paix et la réconciliation du 20 juin 2015. Le gouvernement Malien fait tout pour rendre la situation sécuritaire plus stable, il fait tout pour respecter leurs engagements pour la bonne application de l’accord.

  42. Le message du gouvernement prône l’unification et le retour de la paix, toutes les autres parties prenantes de la paix doivent tenir compte de leurs engagements. C’est l’union qui fait la force, si on se donne la main les occidentaux ne pourront rien contre nous. Lieu de convier la CMA a revenir sur sa décision enfin qu’un nouveau Mali puisse être une réalité.

  43. VAN MO
    «…on doit s’attaquer au vraie problème et laisser IBK et son gouvernement en paix»
    Le vrai problème d’un pays ne peut être que la sécurité.Tout est lié à ça(economie ,social,politique…)C’est ce qu’on lui dit régler.Et il a été élu en grande partie pour ça.
    On ne peux pas laisser IBK en paix puisque c’est la démocratie qui l’exige.Tous ses prédécesseurs ont connu les mêmes pressions.C’est à lui de nous prouver qu’il en est capable de les supporter.
    Ne pas comprendre ça frise l’imbécilite.

    • Sangaré ce n’est pas une question pression que monsieur VAN MO veut expliquer 🙁 🙁 Il faut qu’on comprenne que nous confrontons actuellement des imprévisions 😥 😥 c’est à dire une situation qui est plus complexe que celles qu’on avait prévues. Nos ennemis cherchent à nous diviser et nous même au lieu de nous s’entre critiquer 💡 💡 soyons unis pour qu’ensemble nous trouvons une solution finale à notre problème.

  44. Nous félicitons notre brave armée malienne. Ils nous ont prouvé que la population peut compter sur eux. Nous les félicitons pour leurs efforts de protection de la population. Nous sommes très fier d’eux, ils sont en train, tout comme le Président, de sauvé l’honneur et la dignité de notre MALIBA. Ils ont le soutien de tous les maliens. Ils font la fierté des maliens.

  45. Les négociations ont été compliquées par la volonté de la médiation que les parties « s’alignent sur son agenda anti-terroriste, afin de tracer une démarcation nette entre les mouvements armés fréquentables et les mouvements armés infréquentables », a expliqué à l’AFP Yvan Guichaoua, spécialiste du Sahel.

  46. Le gouvernement malien est salué pour ses efforts fournis, nous leurs soutenons dans leur combat sans égale. Le peuple malien doit aussi contribuer à la reconstruction du pays, pour cela il est nécessaire que chacun apporte son soutien à nos dirigeants.

  47. Nous les félicitons déjà pour la bravoure par laquelle ils se défendent sur le terrain avec les moyens de bord.
    Nos forces armées reflètent la bravoure et le courage des dignes fils du Mali. Ils sont à l’image de leur brave Président IBK, nous les félicitons.

  48. L’occident est déterminé à détruire ce Mali qui est la fierté des Africains/Africaines. Ce n’est pas pour rien que l’occident reste muet aux exactions de ses bons terroristes au Mali. C’est dans la complicité totale avec ces rebelles de Kidal que l’occident veut changer l’histoire du Mali qui est connu de tous. Ce n’est pas pour rien qu’ils veulent imposer au Maliens/Maliennes un nom azawad qui est totalement dépourvu de toute réalité historique. Dans tout cela l’ennemi numéro un du Mali reste toujours la France qui vit du sang des Africains/Africaines. Les Africains/Africaines ont pris beaucoup de coups de ces nations barbares et je me demande s’ils apprennent de l’histoire que rien dans cette n’est éternel.
    Et l’ennemi numéro deux sont certains journalistes maliens qui non aucune conscience de l’ampleur qu’ils sont entrain de causer au Mali, à cause de leurs article bidon et diffamation des faits, bourrer des mensonges et critiques du gouvernement. Chers maliens ressaisissez-vous, la presse malienne est une conspiration des opposants contre le gouvernement.

    • hum!!! c’est curieux de voir un DADIS réfléchir ainsi??? donc il n’y aura plus a dire donc: a partir de dorénavant….

  49. Nous invitons les deux parties à de meilleurs sentiments. Il faut que la CMA surtout qui a signé la paix assume ses responsabilités, il faut qu’elle se ressaisie et revienne à de meilleurs sentiment pour le bien du Mali.

  50. Nous condamnons fermement les actes tous comme le Président. Et nous invitons la CMA a reconsidéré sa situation et à revenir à de meilleurs sentiments pour la paix et la réconciliation.
    Nous saluons et félicitons le Président IBK et son gouvernement pour leurs sens de patriotisme. Nous nous joyons à lui, pour présenter nos condoléances les plus attristés aux victimes des affrontements. Nous saluons la bravoure de nos forces armés qui se défendent et défendent notre cause avec la plus grande bravoure.
    Nous avons une entière confiance en IBK et son gouvernement, pour le retour de la paix.

  51. Cette paix sera atteinte grâce au travail acharné, la compréhension mutuelle et la coopération, suivant les paroles de Nelson Mandela, selon lesquelles
    « Nous travaillerons ensemble pour soutenir le courage là où il y a la peur, pour encourager la négociation là où il y a le conflit, et donner l’espoir là où règne le désespoir. »
    Moi personnellement, je félicite l’ensemble de la population malienne pour la signature de l’accord de paix.

  52. Nous reconnaissons que la mise en œuvre de l’accord de paix ne sera pas facile ou immédiate. Elle requière tout notre dévouement ainsi qu’une attention continue et constante pour réussir.

  53. Par manque de conscience de certaines personnes, le Mali se trouve partager entre les pro et les contre gouvernement. Alors que le peuple malien doit soutenir le gouvernement au lieu d’aller en rang dispersé qui affaiblit notre force

  54. Le communiqué lancé par le gouvernement malien est clair et précise, toutes les parties prenantes de l’accord doivent se concerter avant de décider quoi que ce soit. D’ailleurs, la CMA n’a aucune raison de se retirer de la commission de suivi. La reprise des hostilités est non seulement condamnable mais aussi doit être suivie par une poursuite judiciaire.

  55. La solution paisible n’est pas pour maintenant parce que d’une part c’est le peuple malien qui contribue à mettre le bâton dans les roues du gouvernement qui fait de son mieux et d’autre part, ceux qui sont censés remédier se penchent considérablement en faveur des séparatistes. Mais tout le monde le sait, le Mali entier est farouchement opposé à une sécession du pays

  56. Il y a longtemps, j’ai dénoncé le manifeste de mauvaise volonté de la CMA et voilà la preuve palpable aujourd’hui avec son retrait du comité de suivi. Les touaregs croient que sans eux la paix est irréalisable au Mali mais cette idée semble tenir debout à moins que la GATIA maintienne leurs positions en pression. Ils n’auront pas le choix en étant en état de faiblesse

  57. Le gouvernement fait tout et met tout en œuvre dans le cadre de son pouvoir pour atteindre les objectifs premiers des maliens. C’est franchement ingrat de traiter ce régime d’incapable en se rendant conscient de la situation dans laquelle le Mali se trouve aujourd’hui. Dans d’autres pays, on aurait vu le peuple entier derrière le régime pour faire face à l’influence occidentale

  58. Penser que le gouvernement est la cause du mal au Mali, c’est d’être idiot. Le Mali est sous l’emprise d’un phénomène plus grand qu’on ne peut le croire mais les imbéciles peuvent dire ce qu’ils veulent, cela ne changera pas la réalité. Pour une alternative, on doit s’attaquer au vrai problème et laisser IBK et son gouvernement en paix

  59. Mali Den
    “Je n’ai rien contre M LE PRÉSIDENT IBK ET SON GOUVERNEMENT, mais cela fait 3 ans ou presque que vous dites les choses qui ne tiennent pas débout,”

    C’est un point vue…

    Mais pour moi (et une foule d’autres!), ça serait plutôt: “J’ai une réelle dent contre M le prédient et son gouvernement, P.A.R.C.E Q.U.E cela fait 3 ans ou presque que vous dites les choses qui ne tiennent pas débout,”

    Relation de cause à effet… 8)

  60. Je n’ai rien contre M LE PRÉSIDENT IBK ET SON GOUVERNEMENT, mais cela fait 3 ans ou presque que vous dites les choses qui ne tiennent pas débout, c’est ce qui fait le manquement de confiance de la population en vers vous (IBK son gouvernement) car beaucoup de choses ont été dit qui n’ont toujours pas tenu.
    La population est mal informé car la plupart d’entre elles ne savent pas grand chose sur la situation du Mali, raison pour laquelle, elle n’est pas informé ou informé dans une langue que la plupart d’entre qui ne comprend pas (elle n’a pas informé suffisamment dans la langue national) c’est ce qui pose des problèmes au niveau de l’information.

    Président de la République et son gouvernement doivent faire des efforts pour que la situation s’améliore comme ils le disent, et c’est leurs devoir en vers de la population.

    J’espère comme tous le Malien que vous (IKB et son gouvernement) allez travailler d’une manière professionnel pour amener de la stabilité dans notre pays(Mali)

    Vous avez fait beaucoup des efforts et je vous félicite, mais ce n’est pas suffisant Monsieur le Président, notre pays a besoin de la paix et de la réconciliation, il est sous votre responsabilité car c’est vous qui le dirigez en ce moment

  61. Calmons le jeu sur Kidal et restons fermes sur Anéfis

    Je me souviens de Romano Prodi, ancien représentant spécial de l’ONU sur le Mali en fin 2012 qui prédisait qu’une intervention militaire internationale au Mali sous l’égide de l’ONU n’était envisageable qu’en septembre 2013.

    Je me souviens des interminables réunion d’états major des états de la Cedeao entre juin et décembre 2012 sur la situation au nord du Mali et sur options d’intervention militaire étrangère pour y déloger les islamistes déchaînés.

    Je me souviens des réticences de la soldatesque katoise de Sanogo, des MP22, des Yerewoloton et autres nationalistes à la peau dure, face à une intervention militaire étrangère au Mali.
    Ils demandaient des moyens matériel jusqu’à ce que les événements de Konna des 9 et 10 janvier 2013 changent leur conviction sur les capacités militaire du Mali et leur faire accepter, la mort dans l’âme, l’option d’une intervention militaire française au pays de Modibo Keita.

    Mais aussi je me souviens de la débandade des groupes armés du Mnla face au Mujao à Gao en juin 2012 et à Ansongo en juillet 2012 jusqu’à ce que les hélicoptères de Blaise Compaoré aillent recueillir Bilal AG Chérif et ses apôtres de “l’état de l’azawad” sur les champs de batailles et les amener à Ouagadougou, avant que l’opération serval des français, ne les remette sur scelles à Kidal en février 2013.

    Comme je me souviens des efforts de Laurent Fabius, le ministre des affaires étrangères français, à l’ONU pour plaider en faveur d’une résolution de l’ONU et d’une intervention militaire internationale rapide contre les islamistes en dépit de la réticence des américains.

    La résolution 2100 de l’ONU qui est l’une des plus importantes qui ont constitué la base juridique internationale de la venue des forces étrangères chez nous, est issue en grande partie de ses efforts de la France pour la crise malienne et nous n’oublierons pas de si tôt cela comme nous n’oublierons pas le français Damien Boité et ses frères d’armes de l’opération serval tombés au Mali pour libérer Diabali, Gao, Tombouctou et plein d’autres villes au centre et au nord du Mali.

    Mais l’ONU comme Serval agissent ou doivent agir au Mali en fonction du droit international et dans les canevas déjà tracés par le conseil de sécurité de l’ONU à travers ses résolutions sur le Mali.

    Le droit international implique la protection des populations civiles.

    Mais il implique aussi la défense et l’affirmation sans anicroche de l’intégrité territoriale d’un pays souverain, membre de l’ONU, quoi que fragilisé par plusieurs dizaines d’années de mauvaise gouvernance.

    Vu comme cela, en janvier 2013 quand les forces françaises débarquèrent au Mali, ça été un soulagement pour tous les maliens ou presque.

    Quand les villes de Gao et Tombouctou ont été libérées ça l’a été encore plus.

    Mais à Gao libéré, un fait est peut être passé inaperçu à Bamako, ça été le saccage et les agressions malheureuses de certaines populations civiles à Gao et cela ne passe pas pour tout ce qui s’accroche aux droits de l’homme car des forces publiques constituées du Mali étaient présentes et n’ont pas pu évité ses événements et ça été une faute.

    Cette faute a été un alibi pour Serval pour partir seule à Kidal et remettre sur pied le Mnla.

    Jean Yves Le Drian, ministre français de la défense a publiquement reconnu que les forces françaises travaillent “en intelligence” avec les rebelles du Mnla à Kidal.

    Il est clair que la France gère la crise nord du Mali avec deux partenaires antagonistes et cela est un jeu dangereux si la partialité n’est pas au rendez-vous.

    C’est justement cette partialité qui est mise à rude épreuve et non pas seulement pour les français mais aussi pour les forces de l’ONU positionnées dans les régions nord du Mali.

    Dès lors la Minusma comme les forces françaises de Berkhane (qui ont remplacé Serval) doivent comprendre et à l’unisson qu’il ne peuvent pas outrepasser les principes de la défense et de l’affirmation de l’intégrité territoriale du Mali telle que c’est reconnue par toutes les résolutions des Nations Unies sur le Mali et qui constitue les postulats de base du droit international dont il est impossible pour elles de déroger sous peine de s’exposer à une expulsion pure et simple du Mali.

    Mais de l’autre côté, les autorités maliennes et les forces armées maliennes ne peuvent pas faire économie du respect des droits humains dans leurs approches et leurs agissements au nord du Mali.

    Face à ses exigences équilatérales et de part et d’autres gouvernement du Mali, Minusma et forces Françaises doivent non seulement protégés les civils quels qu’ils soient mais redonner au Mali l’affirmation de l’intégrité de son territoire.

    Cela passe par un effacement total de tous les autres groupes armés (rebelles de la CMA et alliés, terroristes affichés ou apparents et milices d’autodéfense).

    Pour cela il faut:

    1. L’Armée malienne et les observateurs internationaux reprennent toutes les positions des combattants de la plateforme notamment à Anéfis.

    2. La Minusma plus la médiation internationale et les observateurs maliens reprennent toutes les positions des rebelles de la CMA avant de les remettre à l’armée à la fin de la face 5.

    3. Un désarmement conjoint des rebelles et des milices d’autodéfense par la Minusma en présence des forces maliennes de la médiation internationale, des observateurs internationaux, et des groupes desarmés rivaux.

    4. Une démobilisation et réinsertion de tous les groupes désarmés par le gouvernement du Mali, la Minusma, la médiation, les observateurs internationaux et les groupes désarmés rivaux.

    5. Une réconciliation et un pardon national organisé sous l’égide de la Minusma, du gouvernement du Mali et de la médiation.

    6. Un programme de développement social et économique du Mali est établi par le gouvernement du Mali avec la médiation et toutes les parties prenantes au conflit actuel impliquant fortement les populations de tout le Mali.

    PEACE AND LOVE!

    Salute.

    • Mon petit, on n’a pas besoin de passer par ton long post et assez moins important pour savoir qu’il faut soutenir l’idée de maintenir les positions de la GATIA à Anéfis. Eux quand même, ils se doivent d’être qualifiés de malien parce qu’ils se battent pour le Mali contrairement à toi.

      Espèce de prostituée électronique.

      PS: Il faut avoir l’esprit innovateur et arrêtes un peu avec un seul post sur chaque article pour toute une journée. la Formule un post, tout article, une journée étale ton incapacité de lecture et d’analyse des différents sujets exposés

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