A l’invitation de l’Algérie, les mouvements rebelles du nord du Mali (HCUA, MNLA et MAA) et les groupes d’autodéfense regroupés au sein de la Coordination des Mouvements et Forces Patriotiques de Résistance (CMFPR) ont été conviés, le 14 juin 2014, à des discutions exploratoires engagées en janvier 2014 à Alger.
Outre ces mouvements, il y avait là un mouvement dissident du MAA et un autre du MNLA appelé “Coalition du Peuple pour l’Azawad” (CPA) dirigé par l’ex-député de Bourem, Ibrahim Ag Mohamed Assaleh. Les débats étaient dirigés par des officiels algériens dont le chef de la diplomatie et l’Ambassadeur d’Algérie au Mali. 4 points étaient inscrits à l’ordre du jour de la rencontre: l’aspect politico-institutionnel de la crise du nord, l’aspect sécuritaire, l’aspect économique et l’aspect socioculturel.
Les différents mouvements devaient proposer une solution à ces problèmes et préciser leurs revendications. L’Algérie, selon un participant, a pesé de tout son poids écarter toute partition du Mali. La CMFPR a obstinément refusé toute revendication d’autonomie d’une portion du Mali. Le document que nous publions ci-dessous constitue la synthèse des propositions et revendications des mouvements sus-nommés.
Abdoulaye Koné
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Le document indiqué dans l'article comme étant publié ci-dessous ne l'est pas en réalité. Aucun document n'est publié ci-dessous comme il ressort de l'article
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