Pour la première fois depuis le début de la crise malienne, les deux groupes rebelles et les autorités maliennes de transition se sont retrouvés autour d’une même table à Ouagadougou.
Les différentes parties se sont engagées à respecter « l’intégrité territorial » du Mali et à participer au dialogue. Il s’agissait avant tout, d’une rencontre « exploratoire » et non d’un début effectif du processus de la négociation.
Selon la déclaration finale lue par le ministre des affaires étrangères burkinabè, M. Djibril Bassolé, la délégation malienne et les deux groupes rebelles touaregs ont reconnu la nécessité d’un cadre de « dialogue inter maliens ». Et, en attendant la mise en œuvre du processus de négociation, ils ont convenu d’observer “l’arrêt des hostilités”.
De quelles hostilités ? Allez savoir !
Toujours, selon le ministre du Faso, le communiqué est basé sur plusieurs principes, à savoir,(entre autres), le respect de « l’union nationale et de l’intégrité territoriale » ; le respect « des droits de l’homme et de la liberté religieuse » et le rejet, de « toute forme d’extrémisme et de terrorisme ».
L’occasion a été propice pour la partie malienne de réitérer sa position : l’unité du pays, le caractère “laïc, démocratique et social” de la République, préalables à toute forme de négociation.
De leur coté, les “frères égarés” ont réaffirmé leur volonté de dialogue.
Avant ce grand rendez-vous, le locataire du palais présidentiel du Faso, a multiplié les rencontres bilatérales. Ainsi, mardi dernier, (dans la matinée) il a accueilli les émissaires du MNLA et d’Ansar Dine après avoir reçu, le lundi, ceux de Bamako.
Au terme de cette réunion, le porte-parole du MNLA n’a pas manqué de souligner “la particularité de la rencontre”. « Nous avons pu, pour la première fois, rencontrer le gouvernement malien ».
Quant au président de la délégation malienne, M. Tièman Coulibaly, ministre malien des affaires étrangères, il a expliqué que l’heure n’est pas encore à des négociations, mais « examiner, ensemble, les possibilités d’amorcer un dialogue ».
Les présidents ivoiriens et tchadiens donnent le ton
Le chef de l’Etat ivoirien et président en exercice de la CEDEAO juge que l’intervention militaire au Mali est inévitable et indispensable. « Il faut que le Conseil de sécurité des Nations-Unies adopte rapidement la résolution pour permettre une intervention au Mali. Pour nous, c’est une question qui est d’une très grande urgence », avant d’affirmer que le nombre de contingent par pays est fin prêt. Il s’est exprimé ainsi, à l’issue d’un entretien qu’il a eu avec le président Hollande, le Mardi 4 Décembre au palais de l’Elysée.
Aussi, la crise malienne a été au centre de la rencontre qui a eu lieu le 3 Décembre, entre le président Déby, le Premier ministre malien Cheick Modibo Diarra et le président béninois Boni Yayi, président en exercice de l’Union Africaine à N’djamena.
Au lendemain de cette rencontre, SE Thomas Boni Yayi et SE Idriss Déby ont lancé, « un appel aux Nations-Unies pour autoriser d’urgence le déploiement de la force internationale au Mali ».
Malick Camara
je voulais expliquer à tous les frères que la rencontre avec ansar dine te mlna patai patata ça na aucune importance MODIBO KEITA avait fait la bonne solution et les touaregs étaient devenu calmes alors qu’on fasse la même chose négociatio tout ça c’est faux on te prend ton pays et on demande de négocer non moui je préfère qu’on se tue d’abord et après on verra car ces imbésile de” touregs sont toujours hors de la réalité en plus c’est des gens qui aiment l’argent facile pas le trvail ne leur donner aucune importance ni
je voulais expliquer à tous les frères que la rencontre avec ansar dine te mlna patai patata ça na aucune importance MODIBO KEITA avait fait la bonne solution et les touaregs étaient devenu calmes alors qu’on fasse la même chose négociatio tout ça c’est faux on te prend ton pays et on demande de négocer non moui je préfère qu’on se tue d’abord et après on verra car ces imbésile de” touregs sont toujours hors de la réalité en plus c’est des gens qui aiment l’argent facile pas le trvail ne leur donner aucune importance ni légitimité
Aux autorités actuelles du Mali.Si vous continuez à dialoguer avec des terroristes, c’est que vous avez l’intention de vous éterniser au pouvoir!Ces bandits qui ont commis des atrocités ont montré que RIEN NE LES FERA RECULER A PART LA FORCE!Pourquoi l’AN et CMD oubien Djonkis ne DECLENCHENT-ILS PAS LE DEBUT DES HOSTILITES alorsque notre peuple au nord souffre?Si vous ne pouvez pas prendre vos responsabilités à ENGAGER NOTRE ARMEE DANS LA GUERRE DE RECONQUETE, DE GRACE DEMISSIONNEZ!!!Y en a mare des vos rencontres qui n’aboutissent jamais sur du concret: LA LIBERATION DE NOTRE TERRITOIRE EST IMPERATIVE! 😈 👿 😈
NOTRE TABOURET A TROIS PIEDS DE LONGEUR DIFFERENTE….
ILS SAVENT CE QUE TU DIS ICI….MAIS ILS FONT SEMBLANT DE NE PAS LE SAVOIR…PARCEQU’ILS N’ONT PAS CONFIANCE A NOTRE ARMEE ET ONT LA TROUILLE DE S’OPPOSER A CERTAINS DU MONDE EXTERIEUR POUR NE PAS PERDRE LEUR PLACE…..
Moussa Ag, qui est sure que les dirigeants maliens savent bel et bien ce que le simple citoyen malien sait…MAIS L’OPPORTUNISME ET LE MANQUE D’UNE ARMEE UNIE ET PRETE….
Monsieur Camara….
Vous ne semblez pas etre bien informe….sinon vous n’auriez pas pose la question suivante par rapport aux engagements des uns et des autres de mettre fin aux hostilites….
“De quelles hostilités ? Allez savoir !”
GENIAL ❗ ❗ ❗ ❗ 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 Ca doit avoir quelque chose a faire avec nos “TIREURS D’ELITE DE DIABALI”
NOUS AVONS DES FARCEURS….ET UN PUTSCHISTE NEGOCIATEUR 👿 👿 👿 👿 👿 👿
Moussa Ag, qui se demande SI ON NE NOUS PREND VRAIMENT PAS POUR DES CONS AU BURKINA….. 👿 👿 👿 👿 👿
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