La ville de Kidal a toujours été depuis l’indépendance du Mali, une contrée qui a servi de base à tous les mouvements de rébellion. Les forces de défense du Mali et alliées sont vivement interpelées à démanteler le berceau de la Rébellion. Car le peuple ne souhaite plus encore un comeback de ces groupes racistes.
Depuis près d’un quart de siècle, la République du Mali est confrontée à un dur problème de rébellion. Les régimes successifs ont d’une manière ou d’une autre tenté de gérer cette épineuse crise sécuritaire, mais sans parvenir à une paix durable. Toutes ces douloureuses crises qui ont ébranlé la stabilité et la paix sociale de la République du Mali, sont parties de la ville de Kidal. Une ville tristement célèbre par le manque de civisme de certains groupuscules qui mettent toujours en mal le socle de l’état- nation de ce pays, reconnu dans les instances internationale pour son attachement à la paix.
La ville de Kidal est par excellence une zone extrêmement dangereuse de par la velléité sécessionniste manifeste d’une minorité parmi l’ethnie la plus minoritaire du Mali. Il convient de rappeler que ces bandits racistes et antirépublicains, se sont spécialisés depuis de belles lurettes au trafic de tout genre pour se faire de l’argent. Du coup, ils sont allergiques de voir les forces de l’ordre dans cette zone, qui pourraient logiquement les empêcher de faire leur business en toute tranquillité. Ils ont pris une mauvaise habitude de s’enrichir sans fournir assez d’efforts. Si de telles pratiques arrivent à altérer le bon, il sera très difficile de se faire une peau neuve pour embrasser d’autres métiers, qui exigera dès lors une dépense d’énergie.
Bien que cette zone soit défavorisée par la nature, il existe pleins de possibilités dans ce pays pour échapper de sombrer dans le désespoir. Ces malandrins ignorent peut être comment vivent les populations du sud du Pays. Ce n’est pas l’Etat qui entretient gracieusement les braves populations du sud. Ils cultivent pendant la saison des pluies. Après les récoltes, ils quittent les villages et campagnes vers les grandes villes à la recherche de l’argent pour améliorer leurs conditions de vie.
Par ailleurs, d’autres se destinent dans des pays occidentaux au péril de leur vie dans l’espoir de faire fortune sous d’autres cieux. A-t-on jamais vu un des ressortissants Touareg pousser de petites charrettes transportant des marchandises dans les rues de Bamako pour gagner de l’argent ? Pis encore, avez-vous vu un Touarèg de cette région avec une truelle pour construire une maison à Bamako ou dans d’autres capitales régionales ? Il existe tant de petits métiers qui peuvent permettre de vivre décemment sa vie, mais malheureusement ils s’en foutent de ça. Ils se prennent comme des super hommes dans ce Pays. Il faut le dire, ce sont des enfants gâtés de la République.
Selon des sources biens informées dans cette région, depuis la signature du pacte National dans les années 1992, les dirigeants successifs du Mali auraient pris l’engagement d’accorder des prébendes aux leaders tribaux en vue d’obtenir une paix. Il ne faut pas se voiler la face, la paix ne s’achète pas avec de l’argent. Il est illusoire qu’un Pays pauvre comme le Mali puisse se permettre tout le temps de faire graisser les pattes de ces brigands. L’expérience a prouvé que tant qu’on offre de l’argent à quelqu’un pour qu’il cesse les hostilités, une fois il aurait fini de dilapider ses ressources, il renouera avec ses vielles habitudes.
L’Etat doit s’assumer
La crise qui secoue actuellement la République du Mali a mis à nu toutes les faiblesses de l’Etat. Jamais le Mali n’a été couvert de honte. L’image de notre Pays a pris un sérieux coup. Des chouchous de la République ont presque perdu tout l’avantage du terrain. Le moment semble décisif pour le Mali de se débarrasser de ces vermines. Ils ont causé trop de dégâts dans ce beau pays.
Il apparait impérieux pour les autorités de la Transition de relever les défis du moment en réglant définitivement le problème de la rébellion. L’Etat malien est largement servi de leçons sur les dernières années de gestion pacifique sans lendemain de cette crise sempiternelle. L’armée malienne a la lourde responsabilité de mener d’intenses opérations de ratissage à Kidal, bastion de la rébellion, pour détruire complètement ce mal qui sape tout effort de développement.
Dans un état de droit, l’expression plurielle est le sel dans la démocratie. Tout citoyen peut revendiquer dans le respect de la constitution, mais prendre des armes pour revendiquer est un acte de provocation. Il faut vaincre le mal dans sa racine, sinon on n’est pas encore sorti de l’auberge. Les Maliens dans leur écrasante majorité sont unanimement hostile à la tenue d’une négociation avec les rebelles du MNLA. L’Etat malien, ne doit accepter de discuter avec ces renégats qu’à une seule condition .Ils doivent déposer préalablement les armes, et de fournir une liste complète aux autorités maliennes de tous ceux qui sont impliqués aux actes de subversions et d’assassinats des soldats maliens afin de laisser le soin à la justice de décider de leur sort.
Boubacar SIDIBE
de toute les façon le nord n’appartient au MNLA et le mali ne va jamais les laisser la zone pour qu’il profite de faire leur bêtise trafic enlèvement etc…aucun pays ne en sécurité a coté de ses bandits.les touareg son des nomade il n’ont meme pas de place.et c le mnla qui a favorise tous ces problèmes.
Lu sur le web:
Mali : la France, chantre de l’autonomie du Nord
(Survie 13/02/2013)
Après l’entrée en guerre de la France au Mali, et la prise des villes du nord, des personnalités politiques françaises, Laurent Fabius et Elisabeth Guigou en tête, mettent en avant les revendications du MNLA et l’autonomie du nord du pays.
Al’occasion du point presse du 28 janvier, le ministre des Affaires étrangères, Laurent Fabius déclare qu’« il revient aux autorités maliennes de préparer des élections et d’engager sans plus attendre des discussions avec les représentants légitimes des populations du nord (élus locaux, société civile) et les groupes armés non terroristes qui reconnaissent l’intégrité territoriale du Mali. Seul un dialogue nord-sud permettra de préparer le retour de l’Etat malien dans la région Nord ».
Elisabeth Guigou, députée, présidente de la commission des Affaires étrangères déclare à son tour le 2 février qu’«il faut qu’un plan d’autonomie pour le nord du mali soit mis en place parce que c’est demandé depuis très longtemps par les Touaregs en particulier mais pas seulement. » La classe politique semble assez unanime sur la question.
En janvier 2012, le ministre des Affaires étrangères de l’époque, Alain Juppé, en visite à Bamako en avait appelé au dialogue avec le MNLA. Un an plus tard, il semble vouloir donner aussi du crédit au groupe Mouvement islamique de l’Azawad (une scission d’Ansar Dine au lendemain de l’intervention de janvier 2013, qui en appelle soudain à une solution politique) et persiste « beaucoup d’entre eux [des Touareg] se battent, depuis des décennies, non pour imposer la charia mais pour faire valoir leurs droits. Nous avons affirmé notre détermination à garantir l’intégrité territoriale du Mali et c’est un principe fondamental. dans ce cadre, des solutions de décentralisation poussée, voire d’autonomie sont envisageables».
En réalité, à partir de fin 2011, quand le MNLA se constitue, les autorités françaises ont adopté une posture équivoque et lui ont prêté une oreille attentive, sans doute notamment dans l’idée que ce groupe armé touareg puisse être un allié dans la lutte contre AQMI – un argumentaire à nouveau repris aujourd’hui. La même année, la visite au Quai d’Orsay d’une délégation du MNLA avait fait du bruit.
En janvier 2013, un drôle de personnage refait surface : Robert Dulas. Emissaire officieux, barbouze, ancien conseiller de divers chefs d’Etats africains, vice-président de la société militaire privée française Secopex, cet « ex-« ambassadeur itinérant et plénipotentiaire » (!) a été nommé, en 2010, par la junte au pouvoir à Niamey pour travailler « à l’émergence d’une province autonome touareg » (Lettre du continent n°604). Dulas explique donc dans un interview à la Tribune de Genève qu’un accord se négocie en coulisses avec le MNLA : « Des contacts ont été pris avec la France, les choses sont en phase de finalisation ». A noter que le MNLA et une faction du groupe Ansar Dine entrée en dissidence, le MIA, ont opportunément repris la ville de Kidal à la veille de l’arrivée de l’armée française.
Une barbouze française grenouille avec le MNLA
Robert Dulas déballe même largement son rôle d’intermédiaire :
« J’ai aidé à la réalisation d’une tournée diplomatique pour leur ouvrir des portes en Europe et aux Etats-Unis. Il fallait que les gens et en particulier les politiques comprennent que les Touareg du MNLA étaient laïques et totalement contre l’application de la charia. En France, ils ont été reçus à l’Assemblée nationale, au Sénat, aux Affaires étrangères et dans différents ministères. Ils ont aussi pu nouer des contacts avec le Nigeria et l’Algérie. Par la suite, ils ont été perçus différemment. La Suisse aussi a noué des contacts avec eux et collaboré à la rédaction de textes de consensus. »
Au-delà du politique, les médias français offrent aussi une couverture exceptionnelle aux portes-parole du MNLA. En premier lieu Moussa Ag Assarid qui a accès régulièrement aux antennes depuis le mois de janvier 2012 y compris depuis la déclaration d’indépendance de l’Azawad du MNLA faite le 6 avril 2013. Surprenant quand officiellement, l’intervention française a pour but officiel le retour à l’intégrité territoriale du Mali.
On peut s’étonner que les autorités et les médias français fassent tant de cas des revendications fluctuantes de ce groupe – et à l’inverse prennent peu en compte la voix des autres Maliens demeurant dans le nord du pays – ou d’ailleurs.
Au Mali, Kalifa Doumbia, député UDD élu en Commune VI de Bamako déclare en janvier 2013 : « Nous pensons qu’il n’y a pas réellement d’interlocuteur en matière de négociation en ce moment. Nous ne les croyons pas du tout, mais seulement, il y a des communautés qui sont restées en place, nous pouvons demander une table-ronde de conciliation avec ses populations pour que nous puissions établir une véritable base de développement socio-économique et de mieux vivre avec les populations du nord. »
L’engouement des autorités et médias français pour le peuple touareg et l’autonomie du nord évacue les réalités que les Maliens connaissent bien : le MNLA n’est pas représentatif des Touareg, loin s’en faut et ils ne sont pas seuls habitants au nord du Mali. Et ils ne sont même pas majoritaires en nombre, Peuls, Songhaï, Arabes, Bamanan étant complètement oubliés. Escamotés aussi l’histoire politique complexe de la région et les différents accords – en particulier le Pacte national signé à l’issue de la rébellion des années 1990 qui ont permis d’intégrer de nombreux Touaregs et Arabes du nord dans l’armée et dans l’administration depuis vingt ans et prévu le décaissement de sommes importantes pour le développement du nord du pays..
Simplification à outrance
Les autorités comme les médias français ne rappellent pas non plus que des personnalités touaregues sont aux commandes des plus hautes institutions du Mali comme Oumarou Ag Mohamed Ibrahim président du Haut Conseil des Collectivités, Assarid Ag Ambarcaouane, vice-président de l’Assemblée nationale, Agatham Ag Alhassane, ex-directeur de l’ABFN, ex-ministre de l’Environnement puis de l’Agriculture… Ni que sur dix-neuf députés du Nord, onze sont des Touareg.
Quant à savoir si le nord du Mali a été particulièrement négligé au profit du reste du Mali, rien n’est moins certain. Plus de 70% de la population du Mali vit en dessous du seuil de pauvreté, que ce soit dans les régions du nord ou ailleurs. Des projets étaient en cours avant le conflit : une route pour mieux desservir Tombouctou ou le barrage de Taoussa qui allait transformer l’agriculture de la région. Et si les fonds d’aide affectés au nord n’ont pas apporté les résultats escomptés, le phénomène n’est pas propre à cette région.
Alors pourquoi cet amour immodéré des autorités françaises pour le MNLA ? Comment se fait-il que les champions de la démocratie placent sur le même plan les élus des régions du nord et les « groupes armés non terroristes », alors que ce même groupe a été le premier à prendre les armes en janvier 2012 ? Pourquoi tout ce vocabulaire qui fait des Touareg un groupe à part, alors que le Mali est un pays pluri-ethnique. Pourquoi chercher à dresser le « nord » contre le « Sud », alors qu’un collectif des conseils régionaux de Mopti, Tombouctou, Gao et Kidal en appellent à un processus où « les populations civiles et l’ensemble de leurs élus et représentants [seraient] au cœur du processus de paix et de réconciliation » et engagent leur responsabilité collective « pour la préservation de notre vivreensemble » ?
par Gérard Moreau, Juliette Poirson
Vous venez de lire un article du mensuel Billets d’Afrique 221 – février 2013.
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la meilleure façon de gérer cette contrée rebelle et irrédentiste est de faire immigrer bcp de maliens du sud dans cette zone pour un métissage forcé avec les femmes berbères et tamazhyg et en réinstallant aussi une bonne partie de de cette peuplade vers les limons fertiles de la zonne office du niger afin qu’ils puissent apprenne à travailler la terre , en procédant ainsi on pourra éparger le pays de cette façon de vivre de ces brébis égarées.Franchement on doit plus les laisser vivre dans ce banditisme millénaire et avec son cortège de fainéantisme et d’éternels assistés qui ne dit pas son nom , l’heure des enfants choucoux de la république est révolue….il faut que ces gens la apprennent à ganger à la sueur de leur front coe les autre fils dignes de ce pays !
Avant de prétendre à négocier avec le M.N.L.A essayez d’arbitrer le match qui oppose les bérets rouges et verts .
Je trouve honte pour un pays qui sollicite une force étrangère pour le libérer des griffes de son frère ennemi , celui qui revendique juste l’équilibre dans le développement entre le sud et le nord et même s’il opte pour pour une autonomie ce n’est pas la fin du monde .
La chose qui ne répond pas au cautionnement de cette revendication ,c’est l’intégration des étrangers arabes terroristes dans cette région qui fait vraiment mal à tout le Mali et même pour toute l’Afrique et pour le monde entier .
Les Touareg,sont toujours laïcs ,pacifistes , ils ne veulent rien que le recouvrement de leur liberté qui s’englobe dans leur identité culturelle avec leur langue le Tamashek .
Ce peuple divisé sur quatre pays : l’Algérie, la Libye;le Niger et le Mali trouve des difficultés à se distinguer des autres cultures les quelles cherchant souvent à voiler celle des autochtones .
tu sais ce que tu dis mon pere est de chez toi ma mère est du mali ou est la honte c est gens la viennent de beaucoup de pays meme de chez mon pere alors reflechis avantd de l ouvrir
occupe toi de ce qui ce passe chez nos pères notre pays à toi et à moi
Ne vous y trompez pas. Malgre la gravite des derniers evenements a Gao (qui servent en fait de diversion), LA FRANCE N’A PAS ABANDONNE SON PROJET DE PARTITION DU MALI. N’OUBLIEZ DONC PAS KIDAL CAR TOUT SE JOUE A KIDAL. Pourquoi la France empeche-t-elle a l’armee malienne d’avoir acces a Kidal? POUR SE DONNER LE TEMPS DE NEGOCIER AVEC LE MNLA ET LE MIA MAIS AUSSI POUR ”RETOURNER” LES AUTORITES LOCALES ET LES POPULATIONS CONTRE LE MALI ET LES GAGNER A SON PROJET D’AUTONOMIE DU NORD, ETAPE (COURTE) VERS LA PROCLAMATION DE L’INDEPENDANCE DU PRETENDU ”AZAWAD”. Comme le MNLA est minoritaire, insignifiant, la France veut maintenant trouver des gens capables de rassembler ”une majortite” derriere eux pour justifier le separatisme. C’est cela la verite, C’est ce qui se prepare. Le reste, toutes les paroles ”apaisantes”, ”rassurantes”, ce n’est que de la diversion.
Aucun pretexte ne saurait en effet justifier qu’on interdise a l’armee malienne d’exercer son controle sur quelque centimetre-carre de territoire malien que ce soit. Du reste, il n’appartient a personne de dicter aux Maliens la conduite qu’ils doivent tenir, sur leur propre territoire, a ce sujet.
Comme la France ne peut imposer cela sans se ”griller” definitivement aux yeux des Africains, elle veut mettre l’ONU en avant afin de se cacher derriere ”la communaute internationale” pour proceder au demembrement du Mali. ACCEPTER LES TROUPES DE l’ONU SUR LE SOL MALIEN SERA FATAL POUR LE MALI CAR ”L’INTERPOSITION” PROGRAMMEE DE CES FORCES SIGNIFIE UNE PARTITION DE FAIT DU PAYS.
Bjr ne t inquiete pas ce pays ne sera pas diviser sans le consentement des maliens dans son ensemble ce qui est chose impossible
😆 ils sont malades ces groupes armés ils ont tjrs été entretenus par les autauritérs et il faut que ça cesse
@sidibé, il allait pourtant disparaitre sans le consentement de ces mêmes maliens 😥 si ce n’est l’intervention de la France
Notre territoire n’est pas négociable.
Même 10 pour cent c’est trop ils ne representent que 08 pour cent dans le nord du Mali. qu’ils retiennent une chose le nord ne les appartiennent pas surtout les régions de Gao et Tombouctou dont ils sont minoritaires.
UN JOURNALISTE DOIT TRAITER UNE INFORMATION.
LE MILITANTISME C UTRE CHOSE.
QUAND UN JOURNALISTE SE MET A INSULTER SON PAPIER EST DEJA ENTACHE DE SUBJECTIVITE/
CHOISISSEZ VOTRE METIER
Je veux juste que vous ecrivez à EDM et SOMAGEP de revenir sur leurs decisions;C’est pas le moment idéal pour une augmentation tarifaire!
Je crois que nous devons maintenant apprendre de nos multiples eurreurs presentement pour avancer vers notre ennemi commun aujourd’hui qui le sous developpement et son corrolaire : de pauvrete, d’insecurite de tout genre……….
Monsieur le journaliste vous avez totalement raison et votre article doit être lu par tous les députés et en particulires à Mariko et sa bande. Ces bandits armés n’ont jamais travaillé et ne souhaitent que la facilité. La grande majorité du nord sont paysans et éléveurs. Ils cultivent leurs champs malgré qu’il ne pleut pas. Ils n’ont jamais revendiqué quoi que ce soi. Malgré les difficultés, on les oblige à payer des impôts,alors que ces bandits qui ont été toujours soutenus pare l’état n’ont jamais payé dimpôts. A partir de maintenant, il faut que l’état établisse l’équité entre les gens, il ne faut plus qu’il y ait des priviligiés. Je te dit bravo pour ton article et merci pour ton courage!
renouveau de l’administration au mali; plus jamais com avant:
– briser les velleités indépendantistes et séparatistes
– mettre une administration consciente de sa mission et incorruptible
– mettre des agents dignes du mali qui refusent de se faire acheter par l’argent de la drogue….
disons nous la vérité…. est-ce que ce qui est arrivé pouvait arriver sans des complicités? comment moins d’1% de notre population a pu faire ça? ils ont été aidés … nous avons démilitarise=é le nord à leur demande, les gouverneurs, prefets, sous prefets, simples agents fonctionnaires se sont fait acheter à coup de milliards salement acquis; des agents de la sécurité ne pouvaient plus faire correctement leur travail: ils sont mouillés et le coup de fil tombe de bko…desormais il fo ke chacun se resaisisse et mette le mali avant tout. il fo etouffer les effectifs des services de securité, les former, les équiper, les payer correctement entre autres….
Monsieur le journaliste je suis pleinement d’accord avec toi même si parfois vos expressions sont dures. Il nous faut cette vérité au Mali. Une chose est sûre il ne faut pas compter sur les autorités de la transition car c’est la continuité du régime de Alpha et de Ahmadou. Tout ce qu’il faut leur demander c’est de parvenir à organiser des élections libres et transparentes pour commencer avec le Mali nouveau.
oui Mr le journaliste, vos propos sont d’autant vrai que même avec tous les butins que ces malfrats ont accumulé, ils n’ont jamais rien investi à kidal. Alors, que le président de l’association des ressortissants de Kidal se regarde un peu dans le mirroir.
Tout ce qui arrive au Mali est de la faute des maliens surtout des autorités non compétentes.Nous avons tous admirer la corruption illustrée par les présidents AOK et ATT sans bouger le petit doigt à la grande faveur de ses racistes Touaregs qui ont bénéficié de tout (postes,grades).Combien de jeunes diplômés sont au chômage?Et même après cette guerre,je suis sûr que sur le plan politique,rien ne va changer.Affaire à suivre…
Les trafiquants de drogue ils sont connu: ATT, sa femme, Gassama, Kafougouna, Ould Maydou, Ag Gamou, Ould alhawaynatt, Baba Ould Cheik, Moulaye Ahmed le douanier qui est è Bamako, Ben Maouloud, Mohamed Elmoctar (ex-ministre), Dayti (deputé de tessalit), Diallo (le maire de Gao), Dyna et son groupe dit”les colombiens” de tombouctou, Colonel Guishma, Chato ( la député volage qui semble investir le lit de Diancounda après celui d’ATT), un fils de Mohamed ag Intallah dont j’ai oublié le nom et qui est marié à la fille de Iyad, Aly Badi Maiga, Ould Idriss, Ould Matalli, Nema sidi amar. Voilà les barons, les autres ne sont que des lampions. Arrétez de nous rebattre les oreilles en cherchant à coller des ethnies entières à cette criminalité et Diancounda ainsi que Daniel tessougué savent, qu’ils sevissent ou qu’ils demissionnent.
Si tu partages les conditions d’une seule journée d’un pasteur nomade touareg, tu sauras que tu fais un mauvais procès à ces braves populations. Il se réveille tous les jours à l’aube. Pour tout patrimoine, il n’a qu’une trentaine de chèvres et moutons, soit 300 000 FCFA environ. Sa maison n’est qu’un morceau de toile ou de peaux tannées qui flotte au vent soutenu par quelques piquets de bois rustique. Les enfants se couchent à même le sol, la seule natte artisanale qui existe est réservée pour un éventuel hôte de passage. Très tôt, il se rend au puits pour tenter d’abreuver ses bêtes et tous les jours ils risque d’y laisser sa peau parce que les parts d’eau sont rationnées et des bagarres violentes éclatent très souvent. Après, il doit passer le reste de la journée à chercher à faire paitre son petit troupeau dans une nature hostile et brûlante… Tu ne fais que ruminer haine gratuite! Ne regarde pas des voleurs comme Ag Erlaf et autres du même acabit pour juger les pauvres touareg.
Votre article appelle a une haine et vous ne cachez pas votre rascisme envers les touaregs .
D’ailleurs j’aimerais vous informer que le traffic de drogue a ete entretenu par le gouvernement Malien ( la CIA avait d’ore et déjà identifier ces malfaiteurs) qui apris la population en otage dans cette region de kidal . C’est des officers maliens qui controlaient ce traffic qui d’ailleurs rendaient compte a l’etat Malien . Posez vous la question pourquoi ce traffic a bien pris une grande envergure et se bien developper pendant un certain Bon nombre d’annees sans que les criminels ne soient mis derrière les barres? Evidemment les locaux ne seront pas epargnes puis que c’est une facon facile de gagner l’argent. Le gouvernement est corrompus . Les trafficants des drogues sont connu meme par les sudistes qui connaissent cette region.
Ensuite pouvez vous me dire qui fournis le betail aux sudistes ? Au Senegal ….?
99% des touaregs sont nomades et s’adonnent a l’elevage . Et ceux qui sont dans des grandes villes comme Bamako travaillent aujourd’huit il ya des agriculteurs touaregs .
La population touareg et arabes, dans la République du Mali est de 01 pour cent, tandis que dans le nord du Mali, les Touaregs et Arabes leur nombre total n’est que de 10 pour cent.
Azawad libre,
Tant k’on se dit pas la verite’ les problemes ne seront pas resolus.
1. “Ensuite pouvez vous me dire qui fournis le betail aux sudistes” La reponse est oui.
2. Sachez qu l’elevage est tres pratique’ au Sud et ds le Sahel qui donne plus que le nord d’ailleurs. Ma famille exportait le betail et “caprin” en RCI, Liberia, Burkina- 3-6 chargemts par semaine pendant + de 30 ans. Tte la provision venant du sud et du sahel.
3. Reconnaissons que les Touaregs n’aiment pas l’effort physique. Meme s’ils viennent au sud, c’est difficile pour eux d’integrer car ils n’aiment pas participer aux activities quotidiennes. Ils s’assoient toute la journee. Les gens du sud n’ont pas ce temps.
4. Les Touaregs doivent prendre responsabilite’ et participer au developement du Mali com tout Malien.
Par EXAMPLE, Juska 90 ans my grand-mere allait au champ. Demande 1 femme Touareg de 50 ans d’aller au champ….kel sera le sultat? Cette crise ns oblige de faire face a la realite’
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