Regain de violence au nord Mali : Blaise tente d’affaiblir IBK

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Le président malien Ibrahim Boubacar Keïta (c) AFP
Le président malien Ibrahim Boubacar Keïta (c) AFP

Le Burkina Faso sous le Président Blaise Compaoré a été directement impliqué dans des crises au niveau de sept pays  de l’Afrique de l’ouest : le Libéria, la Sierra Leone, le  Niger, le Togo, la Côte d’Ivoire, la Guinée et enfin (on l’espère) le Mali.  Si dans tous ces pays il a remporté des  « trophées de guerre » et est parvenu à placer son homme aux  affaires, tel n’est pas le cas au Mali où il est convaincu de courir le risque de laisser beaucoup de plumes après avoir été affaibli et écarté intelligemment du jeu par le Pr. Dioncounda Traoré. BLAISE COMPAORE ou quand la crédibilité du médiateur devient problématique.

Depuis  l’élection d’IBK à la tête du pays, le capitaine vieillissant ne dort plus et ne perd aucune occasion  pour installer la confusion, histoire de se rappeler au bon souvenir de la communauté internationale. Il tire les ficelles dans l’ombre, depuis Ouaga, pour tendre le climat intérieur malien en manipulant les apprentis rebelles du MNLA auxquels il suggère la révolte et le sabotage. Il n’ya rien de nouveau au soleil; c’est cela la technique de Blaise depuis des décennies, qui consiste à gêner les autorités du pays concerné, les mettre dans une mauvaise posture et se rendre important et incontournable à l’occasion des négociations.

 

 

Au Burkina Blaise est-il irremplaçable ?

 

 

En tout cas le parrain des rebelles de tout genre de Ouaga mélange les pédales. Son bras de fer perdu avec le Président  Hollande pour empêcher toute intervention militaire extérieure au nord du Mali est encore frais dans nos esprits.

 

 

Aujourd’hui il cherche à affaiblir le Président IBK en appuyant sur l’épine plantée sous son pied, en l’occurrence la rébellion au nord du Mali. Mais cette stratégie de Blaise a toutes les chances d’échouer lamentablement cette fois-ci, car le Président IBK fut un des acteurs privilégiés au sommet de l’ETAT malien dans la gestion de cette question, il ya juste deux décennies; il fut après, en tant que député et citoyen, un témoin averti des différents rôles joués par les voisins du Mali dans le traitement de cette crise. Mais cette démarche de Blaise échouera surtout parce que, pour la première fois depuis très longtemps, le Président du Mali dispose de la légitimité nécessaire, d’un large soutien de son peuple, de la confiance et du soutien des institutions de son pays et il a les mains propres et la conscience libre.

 

 

Blaise a donc intérêt à prendre ses distances avec la communauté internationale des  terroristes dont le MNLA est membre, qui se nourrissent des activités de prise d’otages occidentaux, de trafic d’armes et de drogue ainsi que de déstabilisation des pays sahéliens.

 

 

 

S’il n’a pas encore médité la leçon de sagesse du Pr. Dioncounda qui a eu l’intelligence d’éventrer avec délicatesse son double-jeu dangereux, il n’est pas loin le moment où la communauté internationale se rendra à l’évidence pour constater que Blaise est un médiateur autoproclamé, ni crédible ni neutre et adepte des systèmes complexes et lugubres.

 

 

Ce Blaise qui, fâché et gêné dans l’exécution de ses basses besognes, n’avait pas hésité d’être inélégant à l’endroit du Pr. Dioncounda, en ces termes ‘’N’oublie pas qui t’a fait roi’’; ce qui en dit long sur ses méthodes peu catholiques et sa fragilité d’esprit. Malheureusement pour lui et heureusement pour le Mali, l’Afrique et le monde, son argument utilisé à tort contre le Pr Dioncounda ne peut tenir devant le Président IBK, qui est le Président d’un Etat démocratique le mieux élu au monde et qui continue de surfer sur les vagues d’une popularité qu’il puise dans la confiance et l’espoir légitimes que ses compatriotes fondent sur lui. Toutes choses qui plaident pour le leadership naturel du Président IBK (élu à plus de 77%) en Afrique. Cette forte légitimité digne d’un Manden Massa ne manquera certainement pas de faire beaucoup de jaloux chez les chefs d’Etat dont le pain quotidien est la contestation de leur autorité.

 

 

Les maliens n’oublieront pas de sitôt l’injure à eux adressée par Blaise à l’occasion de la visite du PM Cheick Modibo Diarra à Ouaga ‘’ il n’ya pas de leader à Bamako’’.

 

 

Aujourd’hui, c’est chose faite et Blaise devra désormais en tenir compte dans la conceptualisation et le déploiement de  ses sales stratégies du «  mettre le feu puis jouer au pompier ».

 

 

Comment doit-on interpréter cette posture du médiateur qui fait venir à ses côtés à Ouaga, Mossa Ag Assarid, le Porte-parole du MNLA, à un moment où aucun pourparler n’est programmé; si ce n’est une forme de chantage de la part de la rébellion armée avec la bénédiction du médiateur qui cherche à forcer la main au Président IBK et le pousser à la faute, histoire de dégrader son image et celle de son gouvernement  auprès de la communauté internationale signataire du « machin » de Ouagadougou.

 

 

Complot contre la République

 

Rien n’explique et ne peut justifier les violents événements  perpétrés récemment à Kidal et à Tombouctou, en violation flagrante de ce « machin » qui indiquait l’ouverture des négociations 60 jours après la formation du gouvernement. Non seulement le délai n’est pas expiré, mais l’Etat a déjà posé un acte fort en conviant les représentants des groupes armés du nord, le dimanche 15 septembre à Bamako, à un conclave de rédaction d’une plateforme de conduite des négociations et aussi la libération des prisonniers de guerre.

 

 

C’est cette rencontre-là qui a poussé Blaise à bouger dans le sens de la crispation pour ne pas que les maliens décident de négocier la paix sans lui et hors du Burkina.

 

 

Mais ce qui est compréhensible, bien que condamnable avec des groupes armés, est inacceptable de la part d’un Etat, quel qu’il soit.

 

 

Si l’objectif visé dans les futures négociations est le développement économique et social des régions nord du Mali, si les groupes armés reconnaissent sincèrement les frontières de la République du Mali héritées de la colonisation, si le caractère laïc et démocratique de l’Etat est reconnu, si les principes de l’inviolabilité des frontières et de l’immuabilité de l’intégrité territoriale sont posés et partagés, si le Président IBK et sont gouvernement sont reconnus, alors toute tentative de revendication d’un quelconque droit ou de contestation d’une quelconque décision ou pratique du pouvoir de manière violente et par les armes, tombent sous le coup de la loi et doivent subir une réaction d’autorité, ferme et vigoureuse de l’Etat. Tout entêtement à vouloir exiger de l’Etat un lieu de négociations en dehors du territoire national, est une simple fuite en avant, un reniement des engagements pris, une réelle fébrilité par peur de la vérité, un complot contre la République.

 

 

 

La diplomatie malienne doit désormais se déployer de manière agressive afin que les fondamentaux soient respectés dans la gestion de la crise au Mali, parce qu’il y a bel et bien un « avant-élections » et un « après-élections », avec des règles totalement différentes du point de vue du droit international. Aucun Etat, aucune organisation sérieuse ne peut reconnaître ou soutenir les groupes armés (MNLA, HCUA,…) sans tomber dans l’illégalité pour délits de complicité ou d’association de malfaiteurs contre un Etat souverain, totalement sorti de la situation de rupture constitutionnelle, depuis l’élection d’un Président de la République (IBK) au suffrage universel. La CEDEAO, l’UA les Nations Unies et leurs Etats membres doivent condamner de manière formelle l’utilisation récente des armes par le MNLA ou tout autre groupe pour des revendications politiques, renouveler leur soutien actif au peuple et à l’Etat maliens et seulement après, encourager et encadrer les pourparlers inclusifs.

 

 

Tout Etat qui reconnaît la République du Mali, entretient avec elle des relations diplomatiques officielles, tout en hébergeant des rebelles et en facilitant même sous une forme tacite, à son insu, une démarche de déstabilisation du Mali de la part de ses enfants égarés, a manqué gravement aux principes de fraternité et de solidarité africaines et est coupable d’ingérence manifeste dans les affaires intérieures d’un pays souverain.

 

 

Les différents acteurs dans la résolution de cette crise ne peuvent plus se comporter comme si le Mali était toujours en période de Transition avec un Président sans assez de légitimité auquel on peut dicter la conduite à tenir.

 

 

Le Mali a élu un Président et tout le monde doit faire son « update ». Il ne sert à rien de vouloir placer le MNLA en position de force et mettre ainsi des bâtons dans les roues du régime du Président IBK, histoire de l’affaiblir avant d’hypothétiques négociations et le contraindre, le cas échéant, à la capitulation. C’est peine perdue, car ce n’est ni le tempérament ni la philosophie du Président IBK, désormais soutenu par une majorité de maliennes et de maliens qui lui font entièrement confiance et qui lui serviront de  bouclier chaque fois que de besoin.

 

 

La crédibilité, la neutralité et le respect de la légalité sont des conditions sine qua none pour la réussite d’une médiation.

 

 

AliouBadara Diarra 

Commentaires via Facebook :

26 COMMENTAIRES

  1. ARRETER DE PRENDRE DES VESSIES POUR DES LANTERNES,BLAISE NE PEUT PAS ET NE POURRA JAMAIS DESTABILISER LE MALI.SEULE L’ARMEE MALIENNE,A TRAVERS L’INTERVENTION DE TOUTE LA HIERARCHIE MILITAIRE,AVEC LE CHEF SUPREME DES ARMEES EN TETE.JE PENSE QUE LA FRANCE A DEJA DONNE UNE CARTE BLANCHE A NOS MILITAIRES,EN JUGEANT L’ATTAQUE DE L’AUTRE JOUR,COMME NO SEE,NO THERE,NO COMMENT.
    D’AILLEURS,JE ME DEMANDE CE QUE BLAISE POSSEDE POUR DESTABILISER LE MALI?SUR LE PLAN MILITAIRE?SUR LE PLAN ECONOMIQUE?BEN JE VOIS PAS SUR QUEL PLAN,IL PEUT FRAGILISER LE TISSU SOCIAL DU MALI.

  2. Cher AliouBadara Diarra,
    La haine que tu portes dans ton coeur va t’etouffer. Ce qui est le plus decevant c’est que tu es cense etre alphabetise meme si tu manques d’education. Comme d’autres l’ont dit avant moi, Il est irresponsable de blamer les autres pour ses malheurs. Le probleme du Nord du Mali est un moindre mal compare a ce qui se passe a Bamako. Vous pouvez toujours blame BLAISE, mais il ne sera pas toujours la et vos problemes n’en seront pas pour autant regles. Le BURKINA FASO sera toujours le BURKINA FASO, fier et stoique plus preoccupe par son developpement et l’amelioration des conditions de vie de ses filles et fils. Il ne se laissera jamias distraire!!!!!!!!!!!!!!!
    Le mensonge a beau courir pendant 1000 and LA VERITE finira toujours par la RATTRAPE. La verite a rattrapper les maliens de ton espece, soyez sage de vous en rendre a l’evidence…………..

  3. Je me demande pourquoi ce Blaise soit le médiateur de la crise malienne. Il faut juste reculer un peut voir la manière dont il est venu au pouvoir. Une personne de ce genre, avec des mentalités criminelles, un dictateur caché sous la couverture d’une démocratie insignifiante et qui a une moralité douteuse qu’il aille se faire voire. Vive le Mali, Vive la bonne gouvernance, Vive le changement, Vive IBK et Moussa Mara.

  4. Bonjour,
    Merci Civicus-Mali pour votre commentaire.

    J’ai adressée en ligne, éditée sur MALIWEB depuis le 05 octobre 2013, une lettre ouverte au Président, aux Maliens et aux partenaires pour le choix judicieux des modèles d’organisation de l’État (décentralisation, autonomie, confédération, fédération, indépendance) et des systèmes de gouvernance pour un développement durable, équitable et équilibré du Mali et de ses régions.

    Veuillez lire cette lettre ouverte et donnez-moi vos opinions par la suite.

    Elle montre, qu’aujourd’hui, la seule solution efficace au Mali est la bonne gouvernance d’une décentralisation équitable et équilibrée.

    Difficile qu’il y ait des entraves de qui que ce soit car à travers une volonté collective des Maliens cette décentralisation sera possible et menée par les Maliens eux-mêmes à travers un développement endogène utilisant, autant que possible, les ressources locales.

    Bien cordialement
    Dr ANASSER AG RHISSA
    EXPERT TIC/GOUVERNANCE
    Webanassane@yahoo.com

    • Bonjour,
      Le médiateur pour la crise Malienne, Blaise Compaoré, est aussi un des recipiendaires de cette lettre ouverte.

      Bien cordialement
      Dr ANASSER AG RHISSA
      EXPERT TIC ET GOUVERNANCE
      E-MAIL: Webanassane@yahoo.com

  5. Vraiment! je pense que vous devriez vous revoir. on ne tire aucun enseignement de cet article. les pays ont des intérêts et non des amis.

  6. C’est aux autorités d’assumer leur responsabilité, de prendre des bonnes décisions pour l’intérêt et le bonheur de la nation malienne.

    Dans tous les cas, le Mali doit savoir choisir ses alliés de confiance et ne plus utiliser la méthode d’ATT qui était : Le bon voisinage avant tout.

    L’intérêt du Mali doit plus que jamais être placé au dessus de tout.

    Dans cette crise chacun voit son intérêt que ça soit la France, le Burkina Faso, le Tchad, le Niger, la Mauritanie ou l’Algérie.
    Certains voudront toujours que le conflit perdure, mais c’est aux autorités maliennes d’assumer leur responsabilité.

    Conclusion : Dans la vie, on n’a pas que des amis. Le malheur des uns fait le bonheur des autres.

  7. Honteux journalistes croyez vous que c’est du journalismes ça? du courage allez encore à l’école apprendre.

  8. est-ce Blaise qui a renversé ATT?
    est-ce Blaise qui a poussé Amadou Haya Sanogo a commettre la bêtise d’ordonner la cessation des combats à ElHadj Gamou?

    Si le Mali est dans la merde c’est à cause de l’ineptie de ses propres dirigeants comme ATT et ses généraux de salon, au capitaine Sanogo et sa bande du CNRDRE.

    N’accusez personne pour masquer vos propres incuries.

  9. si c’est Blaise, vraiment chapeau à lui, car il est très très fort. Les maliennes grace leur imbécilité se font diriger par le Blaiso, donc faut qu’on ne nomme Président de l’Afrique de l’ouest. Journaliste idiot comme son derrière!

    • ha ha ha ha Blaise président du Mali, Blaise président du Mali,Blaise président du Mali,Blaise président du Mali,Blaise président du Mali.

  10. Ca y est!
    D’habitude c’est la France qui “est derrière”!
    La semaine dernière, c’était la Mauritanie qui “était derrière”! Maintenant, c’est Blaise qui “est derrière”!…

    Et chaque fois que ce nullard de Diarra agite les sonnettes d’un “complot étranger”, à CHAQUE FOIS, des dizaines de c.ons foncent tête baissée!

    La COMPLOTITE ETRANGERE c’est la maladie du siècle du Malien moyen! 🙁 Et surtout du Malien TRES MOYEN!

    Après Blaise, on sera à nouveau victime de QUI?

    • DE ADO,PLUTARD DE YAYI BONI,MEME LE “MESSI” IDRISS DEBY,QUI SAIT,C’EST LE MALI NON. 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀

  11. 😳 😳 QUAND EST CE QUE VOUS ALLEZ AVOIR LE COURAGE DE DIRE LA VERITEE= CELLE DE LA MANIPULATION DE BLAISE OUI DEPUIS TOUJOURS PAR LA FRANCE ❗ ❓
    ….Blaise Compaoré a été directement impliqué dans des crises au niveau de sept pays de l’Afrique de l’ouest : le Libéria, la Sierra Leone, le Niger, le Togo, la Côte d’Ivoire, la Guinée et enfin (on l’espère) le Mali. Si dans tous ces pays il a remporté des « trophées de guerre » et est parvenu à placer son homme aux affaires, tel n’est pas le cas au Mali où il est convaincu de courir le risque de laisser beaucoup de plumes après avoir été affaibli et écarté intelligemment du jeu par le Pr. Dioncounda Traoré. BLAISE COMPAORE ou quand la crédibilité du médiateur devient problématique….

    • je suis à Bobo et j’ai des collègues maliens ici qui ont honte des journaux maliens; c’est triste 😆 😆

  12. Dans ce pays ; on essaie toujours de trouver des bouc émissaires à l incompétence généralisée nos responsables
    C est toujours la faute aux autres :
    Si ce n’est pas la France , c est la Côté d’ivoire ou la Mauritanie, Blaise du Faso, l ´Algérie
    Tout le monde entier sauf nos responsables; irresponsables, faibles , corrompus et incompétents
    Le pillage organisé des deniers de l État ; c est aussi les autres
    Ce ne sont eux qui ont laissé une partie du territoire national aller à la dérive
    Ce ne sont ces pays où leurs responsables politiques qui ont signé les accords de Ouagadougou
    Ce ne sont pas eux qui libèrent des criminels sans faire justice aux innocentes nombreuses victimes
    Les problèmes du Mali sont les conséquences du comportement des maliens point final

    • solo

      Merci de ta lucidité! Ca devient exaspérant chez nous, cette lamentable manie de nous prétendre toujours victimes de quelqu’un, pourvu que ce quelqu’un SOIT ETRANGER!

      Je ne le supporte plus, cette mauvaise foi irresponsable ME REND DINGUE!

      On fait les pires c.onneries, mais non: C’EST LA FAUTE DE… Et plus grave, ce sont nos jeunes générations qui sont adeptes de cette tournure d’esprit LAMENTABLE! 👿 👿 👿 👿 👿

  13. MERCI POUR CETTE MISE AU POINT TRES APPRECIABLE . BELLE ANALYSE DE ABD. BONNE CONTINUATION DE VOS SUPERBES CONTRIBUTIONS.
    8)

  14. Bonjour,
    A travers les états généraux de la décentralisation et les assises nationales, le Président Malien, Ibrahim Boubacar Keïta, projette un futur inclusif.

    Sa main reste tendue pour un dialogue inclusif.

    Comme il le dit, il faut laisser de côté la kalachnikov et venir au dialogue.

    Blaise Compaoré n’est qu’un facilitateur, c’est aux Maliens de piloter le dialogue inter-Maliens.

    Effectivement, à travers le dialogue, en mettant en avant LE MALI D’ABORD, LA JUSTICE ET LA NON IMPUNITÉ, se dessineront des pistes efficaces pour une paix et une sécurité durables et pour l’indispensable réconciliation nationale en garantissant l’unité nationale.

    Le budget 2014 aidant, il donne une priorité à l’instauration de la paix, de la sécurité et au fonctionnement de la justice ainsi qu’au développement économique, au développement humain et au renforcement de la politique de la décentralisation.

    Bien cordialement
    Dr ANASSER AG RHISSA
    EXPERT TIC ET GOUVERNANCE
    E-mail: Webanassane@yahoo.com

    • Dr Rhissa.
      Bonsoir.
      Cette grande decentralisation proclamée depuis des décennies n’a jamais été une realité au Mali et il y a beaucoup de doute qu”elle va resoudre les problèmes car les grands commis , ces “stakeholders” mafieux et corrompus sont eux-mêmes des entraves à la realisation des grands projets/programmes.

      • Bonjour,
        Merci pour votre commentaire.

        J’ai adressée en ligne, éditée sur MALIWEB depuis le 05 octobre 2013, une lettre ouverte au Président, aux Maliens et aux partenaires pour le choix judicieux des modèles d’organisation de l’État (décentralisation, autonomie, confédération, fédération, indépendance) et des systèmes de gouvernance pour un développement durable, équitable et équilibré du Mali et de ses régions.

        Veuillez lire cette lettre ouverte et donnez-moi vos opinions par la suite.

        Elle montre, qu’aujourd’hui, la seule solution efficace au Mali est la bonne gouvernance d’une décentralisation équitable et équilibrée.

        Difficile qu’il y ait des entraves de qui que ce soit car à travers une volonté collective des Maliens cette décentralisation sera possible et menée par les Maliens eux-mêmes à travers un développement endogène utilisant autant que possible les ressources locales.

        Bien cordialement
        Dr ANASSER AG RHISSA
        EXPERT TIC ET GOUVERNANCE
        E-mail: Webanassane@yahoo.com

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