Selon des fonctionnaires de l’ONU, la taille de la force d’intervention africaine en cours de déploiement au Mali pourrait doubler. Elle passerait de 3300 militaires à 6600, un plus grand nombre de soldats étant nécessaires pour aider à reprendre le contrôle du Nord du pays aux militants islamistes.
L’ambassadeur de Côte d’Ivoire aux Nations unies (ONU), Youssoufou Bamba, qui représente la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Cédéao) à l’ONU, a déclaré que près de 1000 soldats sont déjà arrivés au Mali. Il a exhorté mardi le Conseil de sécurité à fournir un soutien financier et logistique d’urgence pour l’opération.
Les forces françaises et maliennes ont bloqué une poussée vers le Sud des militants qui se sont emparés du Nord du Mali suite à un coup d’Etat en mars 2012.
Selon une source, la plupart des militants islamistes ont fui la ville de Gao depuis la semaine dernière, lorsque des avions de guerre français ont bombardé leurs positions.
Certains des militants ont été repérés dans la région. Ils conduisaient des camions ou motos, et se cachaient même dans des arbres. Des jeunes de la région ont recommencé à fumer, et les femmes sortent dans les rues sans se couvrir la tête.
Le raid sur Gao il y a dix jours n’a coûté la vie à aucun civil, mais la ville souffre de pénuries de vivres et médicaments, suite à la fermeture des frontières de l’Algérie et du Niger interrompant du coup toutes les livraisons en provenance de ces pays. Ce qui fait qu’aujourd’hui Gao est largement isolé du reste du monde. L’on retient que le calme est revenu aujourd’hui dan les villes de Gao, Douentza et Diabali.
B. D.
QUE l’armé arrive vite à Gao pou sauver les infrastructuctures et meme la population qui est delestée sans accès au telephone depuis deux semaines ces crimineles veulent semer la désolation avant de fuir
Même aux pires moments des exactions de Dibi Syllas au Nord, il n’y a jamais eu un début de génocide au Mali contre une quelconque ethnie, épouvantail que des gens bienpensants nous agitent maintenant. Bien sûr, que des franges de la population ont pu souffrir plus que d’autres des nombreuses révoltes de l’histoire passée ou contemporaine du Mali (touareg, arabe, sonray, etc.). A-t-on oublié le carnage des sonrays de Bamba comme de tant d’autres ? Même les terroristes, racistes, dans un mépris superbe des populations locales, n’ont pas tué systématiquement tout ce qui est noir. Le matraquage journalistique actuel, à présenter tout ce qui est peau claire en danger de mort par les militaires maliens, a quelque chose de bien malsain. IL NE FAUT PAS CONFONDRE CNDERRIERE (QUI N’ATTAQUE QUE LES POPULATIONS CIVILES) ET ARMEE. Bien sûr, qu’il faut former les militaires sur les droits de l’homme en période de guerre. Bien sûr, qu’il faut surveiller les milices anarchiques. La solution définitive à ce faux problème est de :
– s’appuyer sur les brigades d’autodéfense bénévoles, discrètes, initiées, formées et encadrées par l’armée.
– utiliser les nomades (touareg, arabes, peulhs), notamment les chefs de fraction et leurs conseillers comme sources de renseignement contre les bandes armées qui se complaisent à détruire les installations et les vies des communautés sédentaires, créant à dessein l’amalgame. Et pour cela, il faut que des colonnes fortes de l’armée soutenues par des appuis aériens tournent régulièrement en milieu nomade. CAR LES NOMADES ISOLES DANS LE DESERT SONT VICTIMES DE LA MENACE ET DES REPRESAILLES DES TERRORISTES S’ILS SONT SOUPCONNES DE COLLISION AVEC L’ARMEE NATIONALE.
Quant au MNLA, ANESARDINE, MIA ou ZZ TOP, ce n’est pas après avoir volé, violé, profané, enlevé, tué, détruit ou compromis des milliards d’investissements, commis les exactions les plus diverses sur de paisibles populations, attaqué tout en parlant de négociation QU’ON VA ECHAPPER A LA MORT OU A LA CPI. Pour ces gens, le Mali et la Communauté internationale ne sont que des amnésiques qu’on peut mépriser et utiliser comme on veut.
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