Les jours passent et la tension monte inexorablement au sein de la population et des forces armées de défense et de sécurité maliennes à cause des nombreuses provocations des rebelles du Mouvement national de libération de l’Azawad. Ce mouvement va-t-il désarmer ou faudrait-il que l’armée malienne le fasse ? Les prochains jours seront déterminants dans la réponse à ces différentes questions.
Plusieurs sources concordantes font état de mouvements de colonnes entières de l’armée nationale, lourdement armées, vers Kidal. Elles seraient déjà aux portes de la ville prise en tenaille, selon certaines sources. Ce qui démontre l’imminence d’un assaut final, si cela s’avérait nécessaire pour faire fléchir les groupes rebelles qui refusent jusqu’ici de répondre favorablement à l’injonction de désarmer afin de permettre le déploiement de l’administration publique en prélude aux élections dont la date approche à pas de géants.
Si l’on ajoute à ces signaux les récentes déclarations des présidents français, François Hollande, et nigérien, Mahamadou Issoufou, à l’occasion d’une visite que ce dernier vient de boucler en France, on peut affirmer sans risque de se tromper que la question de Kidal est en voie de règlement d’une manière ou d’une autre.
Réunis la semaine dernière en mini-sommet à Abidjan, les chefs d’état-major des armées ouest-africaines, ont eux-aussi voulu mettre le pied à l’étrier pour accentuer la pression sur les pouvoirs politiques en vue d’une solution définitive et urgente à l’imbroglio kidalois.
Depuis le début de l’opération Serval et le déploiement des forces africaines de la Misma, la reconquête des régions sous occupation des terroristes et autres jihadistes par l’armée malienne et ses alliées, s’est déroulée à la satisfaction générale jusqu’à l’entame de la dernière phase des opérations dans l’Adrar des Ifoghas.
En effet, faut-il rappeler que cette ultime et décisive phase a été menée par les armées françaises et tchadiennes en l’absence totale de leurs frères d’armes du Mali. Les raisons évoquées à l’époque faisaient état de la nécessité de préserver les intérêts français, notamment le sort des otages probablement détenus dans cette vaste zone montagneuse à l’extrême nord-est du Mali.
Les terroristes ont été vaincus, selon François Hollande ; les jihadistes ont été décapités et mis en déroute. A ce jour, aucun des 7 otages français, supposés y être, n’a été ni retrouvé, ni libéré. Cependant, il reste toujours “interdit” à l’armée malienne d’entrer à Kidal.
C’est le statu quo malgré l’évidence de la montée d’adrénaline sur la ligne de front en raison de la multiplication des attentats-suicides visant les forces alliées et les multiples provocations des groupes rebelles.
La semaine qui commence risque d’être décisive pour un règlement définitif de l’imbroglio kidalois qui entache aujourd’hui le soulagement et la joie légitime des populations qui ont suivi la libération des principales villes du Nord du Mali.
Trêve de discours, aux actes !
Le gouvernement de transition ne cesse de répéter, à qui veut le croire, que Kidal sera libérée avant le 15 mai et que les élections s’y tiendront effectivement à date échue à l’instar du reste du territoire. Au fur et à mesure que cette date, considérée alors comme butoir, approche la tension est pratiquement à son comble aussi bien sur le terrain qu’au sein de la population.
Aucun Malien n’est aujourd’hui insensible à la situation qui prévaut à Kidal. Le sujet est d’autant plus préoccupant que le citoyen a du mal à comprendre l’ambiguïté de la position de la France, malgré le discours officiel qui tranche avec cette attitude.
Bien avant cette dernière sortie de François Hollande et de Mahamadou Issoufou, plus d’une fois des officiels français se sont prononcés sur la question. De façon constante, la position officielle du gouvernement français, exprimée notamment par les ministres Laurent Fabius des Affaires étrangères et Jean-Yves Le Drian de la Défense, réaffirme “l’attachement de la France et de la communauté internationale au respect de l’intégrité territoriale du Mali, l’exercice de sa pleine souveraineté sur l’ensemble de son territoire, entre autres”. Lors de sa dernière visite au Mali, Laurent Fabius déclarait au sujet de la situation à Kidal et du MNLA “qu’il ne saurait y avoir deux armées dans un même pays”.
Jusqu’aux derniers développements à travers les récents propos de François Hollande, les réalités sur le terrain semblaient prendre le contre-pied de ces discours plus ou moins rassurants.
De toutes les façons, il n’incombe ni à la France, ni aux troupes étrangères présentes au Mali dans le cadre de la Misma, à se substituer à l’armée malienne pour désarmer les groupes rebelles qui détiennent encore des armes, rejetant toutes les injonctions faites à ce sujet. Est-ce la faute à la France, si le Mali n’est pas capable de désarmer certains citoyens qui ont fait le choix de braver toutes les lois de la République ? Assurément non !
Les autorités maliennes doivent assurer la police sur le territoire national. C’est donc à l’Etat malien d’abord de prendre ses responsabilités sur la situation à Kidal par quelques moyens qui lui semblent appropriés. Soit en ouvrant, toute honte bue, le dialogue avec les rebelles du MNLA, soit en usant de la force publique pour désarmer tous ceux qui ne s’inscriront pas dans cette logique du respect de l’ordre et des principes républicains.
Les nerfs des populations sont à bout. D’une manière ou l’autre l’Etat doit faire vite, car le temps presse et il faut donner la possibilité à chaque citoyen de jouir pleinement de ses droits à travers l’expression libre et démocratique de son choix lors des prochaines élections initialement prévues dans moins de deux mois.
Cette semaine sera décisive pour la libération totale du pays et la restauration de l’autorité de l’Etat sur l’ensemble du territoire national. Le MNLA ne peut et ne doit aucunement constitué un obstacle insurmontable en cela.
Bréhima Sidibé
Militaires maliens au front
“Nous attendons les ordres pour rentrer à Kidal”
Déterminées à assurer l’intégrité du territoire national, les Forces armées et de sécurité du Mali ne sont qu’à quelques kilomètres de la ville de Kidal. Leur entrée ne tient qu’à la décision des autorités de Bamako.
L’information nous est rapportée par un militaire malien au front. Joint par nos soins, notre source assure que les opérations se passent normalement. “Le moral est au beau fixe, les hommes assurent leur mission avec passion”, explique le militaire malien, qui ajoute que l’armée n’est qu’à quelques kilomètres de Kidal.
Interrogé sur le temps que prendra l’entrée dans cette ville, le militaire ne donne pas plus d’explication. Comme l’ensemble des éléments déployés sur le terrain, ils disent attendre le feu vert du commandement de Bamako.
Les nouvelles sont donc rassurantes sur le front. Et tout porte à croire que l’entrée de Kidal dans la souveraineté nationale n’est plus qu’une question de jours. Jusque-là tenue par les rebelles indépendantistes du MNLA, la Capitale de l’Adrar des Ifoghas échappe encore au contrôle du pouvoir central de Bamako.
Le gouvernement malien, qui veut imposer son autorité sur tout le pays avant les élections législatives et le scrutin présidentiel prévus le 7 juillet (selon le calendrier initial), a laissé jusqu’à la mi-mai au MNLA pour remettre le contrôle de la localité à l’armée nationale.
Selon plusieurs informations provenant du front, une colonne de l’armée malienne a quitté la semaine dernière la ville de Gao en direction de Kidal. Mais le MNLA refuse de déposer les armes et a promis de s’opposer à toute tentative de l’armée de reprendre la ville, tout en se disant ouvert à des négociations politiques avec Bamako.
De source militaire, citée par l’agence de presse Reuters, on précisait dimanche que la colonne gouvernementale avait dépassé la petite localité d’Anefis, à 90 km au sud-ouest de Kidal.
Des habitants de Kidal ont confirmé que les soldats tchadiens stationnés dans la ville s’étaient redéployés plus au nord vers la ville d’Aguelhok. Une autre colonne malienne est positionnée depuis quelques jours à Ménaka, ville de l’Est du pays proche de la frontière nigérienne qui avait été prise l’an dernier par le MNLA, alors allié aux islamistes.
L’entrée de l’armée à Kidal (prévue très prochainement) devra donc marquer la fin de l’impunité et du pouvoir des groupes rebelles dans cette région. Ils se sont fait remarquer ici par des pillages, des viols et des assassinats sur des populations civiles. Contre eux, la justice réclame l’application de la loi.
Issa Fakaba Sissoko
La Dirpa souligne une insuffisance de moyens notamment aériens comme raison de l’absence de l’armée à Kidal.
C’est des couilles qu’il faut pas des avions. Quand le MUJAO a viré le MNLA de Gao il n’avait pas d’avion.
« Nous serons bien à Kidal avant l’arrivée de la Minusma » dont le déploiement est prévu pour le 1er juillet 2013, a conclu Souleymane Maïga.
Oui le 30 juin à minuit déguisés en pom-pom girls.
ça fait au moins une semaine ke les militaires MALIENS disent qu’ils sont à la porte de KIDAL et donc jusqu’à maintenant le MNLA ne les a pas donné la clé
soit ils foncent soit ils rentrent à BAMAKO on est fatigué d’entendre les même discours soyez realistes et passez à l’acte ou retrez à BADALABOUGOU à la rue princesse
Alors que des sources anonymes laissaient croire que l’armée malienne s’était donnée comme objectif d’engager un « assaut final » sur Kidal à partir du 10 mai dernier, la direction de l’information et des relations publiques des armées (Dirpa) a rectifié le tir ce 13 mai lors d’une conférence de presse : le mot d’ordre est « patience » !
« Nos hommes sont en train d’effectuer les dernier préparatifs pour réoccuper la région de Kidal ». C’est en ces termes que le capitaine Modibo Nama Traoré à coupé court aux rumeurs faisant état de l’entrée imminente de l’armée à Kidal. La huitième région administrative du Mali reste la grande ville du nord du pays hors du contrôle de l’état : ni armée ni administration nationales.
« Nous seront non seulement à Kidal mais nous occuperons également toutes nos casernes éparpillées dans la région », a tranché l’officier chargé des affaires publiques à la Dirpa. En plus de Kidal, on dénombre cinq autres casernes dans la région : Aguel-Hoc, Abeïbara, Tessalit, Inabag, Tinzaouatène. Où se trouvent exactement nos militaires en route pour Kidal ? « Tant que nos troupes ne sont pas dans une localité donnée, nous ne pouvons pas révéler leur position », a insisté pour sa part le lieutenant-colonel Souleymane Maïga, directeur de la Dirpa, avant de plaider : « Soyez patients ! Nous tiendrons informer [l’opinion publique, Ndlr] de toutes les mesures qui seront prises ».
Moins que l’absence des militaires maliens, c’est l’occupation de la ville par le Mouvement national de libération de l’Azawad (Mnla) qui agace le citoyen malien. Surtout que le Mnla a été celui qui a ouvert la boite de Pandore dans notre pays, s’alliant avec les groupes terroristes. Les exactions des rebelles touaregs ont abouti, en janvier 2012, à des crimes de guerre contre les forces de défense et de sécurité du Mali, notamment le carnage d’Aguel Hoc, une ville située au nord de Kidal où une centaine de soldats désarmés ont été massacrés.
Kidal : ira, ira pas
Au cinquième mois du processus de libération du nord, les combattants du Mnla continuent à cohabiter dans la région avec des forces « amies », en l’occurrence des troupes tchadiennes et françaises. Plusieurs voix s’élèvent de plus en plus pour exiger que la situation de Kidal soit « réglée ». Mais comment ? C’est la question sur laquelle les décideurs n’arrivent pas encore à accorder leurs violons. A la primature, on tablait sur la « mi-mai » pour la gestion de ce dossier. A ce jour, rien n’indique que ce délai sera tenu. Cet imbroglio politico-militaire reste d’ailleurs un grand obstacle à l’organisation de l’élection présidentielle de juillet prochain puisque des acteurs politiques s’érigent contre l’organisation du scrutin avant la libération de cette localité.
Les troupes tchadiennes qui, selon la Dirpa, ont « mené des batailles plus élevées » dans les massifs montagneux du désert ont entamé un processus de retrait. Ce qui suscite des inquiétudes au sujet d’une résurrection des groupes djihadistes.
Selon l’armée malienne, lesdits groupes ont « été défaits à 90 %». La Dirpa souligne une insuffisance de moyens notamment aériens comme raison de l’absence de l’armée à Kidal. « Nous serons bien à Kidal avant l’arrivée de la Minusma » dont le déploiement est prévu pour le 1er juillet 2013, a conclu Souleymane Maïga.
Que dire sinon que la force soit avec notre armée !
Seydou Coulibaly
comment reconnaitre un francais parmi les autres europeens …il les couilles molles il n,arrive pas a satisfaire une nana au lit…… 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆
LE MNLA EST UN GROUPE DE MAUDITS TOUAREGS RACISTES QUI CONTINUE DE FAIRE SOUFFRIR LE PEUPLE MALIEN APRES TOUS CES CRIMES.
IL TROUVERA LE PEUPLE MALIEN DANS SA DIVERSITE ETHNIQUE PRET A EN DECOUDRE. 😥
il est toujours amusant de voir les gens traiter les autres de racistes… et de lire leur prose !
ma chère Anna, tous tes posts sont racistes… et tu traites généralement les autres de raciste. Un peu d’autocritique serait la bien venue.
comme dit jean miché kankan : ON MONTE ….ON DESCENT … UN CADAVRE VA MOURRIR …. ➡ ❗ 😳 CE 15 MAI : Vaille que vaille LA VILLE OTAGE KIDAL SERA REPRIS DES MAINS DES RAVISSEURS DU MNLA ❗ ❗ ❗ 💡 💡 💡 💡 😉
Information de dernière minute, l’armée Malienne partie de Gao samedi matin vient de prendre position à Kayes . La DIRPA précise qu’il ne s’agit pas d’un repli tactique. Selon une source bien informée il s’agirait d’un dysfonctionnement du GPS chargé de guider le convoi vers Kidal.
La DIRPA s’excuse auprès du peuple Malien mais tient à préciser que l’armée sera bien à Kidal après les élections si toutefois on arrive à réparer le GPS. C’est le Capitaine futur Général Sanogo dans le cadre de sa mission de réforme des armées, qui doit se prononcer sur l’utilité de réparer ou de réformer le GPS. Le colonel d’aviation KIAPADEMOTO gouverneur de Kidal ne peut donc pas se prononcer quand à la date de sa prise de fonction. En attendant le MNLA assure toujours l’intérim.
Malgré la gravité de la situation, il faut toujours un brin d’humour pour décrisper un peu l’atmosphère très tendue au propre comme au figuré. Bravo!
LE MNLA EST UN GROUPE DE MAUDITS TOUAREGS RACISTES QUI CONTINUE DE FAIRE SOUFFRIR LE PEUPLE MALIEN APRES TOUS CES CRIMES.
IL TROUVERA LE PEUPLE MALIEN DANS SA DIVERSITE ETHNIQUE PRET A LE CHASSER HORS DU TERITOIRE NATIONAL ET A LE POURSUIVRE J USQU AU TPI. 😥
LE MNLA EST UN GROUPE DE MAUDITS TOUAREGS RACISTES QUI CONTINUE DE FAIRE SOUFFRIR LE PEUPLE MALIEN APRES TOUS CES CRIMES.
IL TROUVERA LE PEUPLE MALIEN DANS SA DIVERSITE ETHNIQUE PET A LE CHASSER HORS DU TERITOIRE NATIONAL ET A LE POURSUIVRE J USQU AU TPI. 😥
C’est pas le gouvernement malien qui donne l’ordre de renter à Kidal plus tôt la France; espérons que les français ne vont pas nous décevoir! Une autre inquiétude mes frères maliens, on se rappelle de l’arsenal de guerre reprit aux islamistes à Tombouctou et à Gao, mais à Kidal, les français n’ont pas fouillé et nous savions que Kidal était le fief d’Açar eddine donc il ne sera pas étonnant de voir que des armes des islamistes soient dans la main du MNLA et que quand on va engager le combat qu’il ait blocage. Donc ayons des avions de combat prêt pour attaquer. Les Français, peut être ont peur d’avoir une situation où ils seront contraint d’intervenir. Je pris le bon Dieu que notre armée arrive à défaire le MNLA en moins de 24h.
Comment reconnaitre un malien par rapport aux autres africains ?? 😉 ………..il a dans la tete ce qu’il devrait avoir dans son pantalon
est ce toi qui utilise mon pseudo
Car il y a un con qui sabote mon pseudo
Vieux retraité
Comment reconnaître un vieux pervers retraité français parmi les Européens
………il ne parle que de la perversité
Il enlève les jeunes petits et petites pour …..
Des prédateurs
Foudkg tu n’est qu’un minable et je pense pas que tu sois un Francais de souche. Je sens un complexe en toi, je te sens miserable qlq part. Mais porte toi bien frere, plus haineux que toi tu meurts. Sissi…
😆 😆 😆 Si je comprends bien, tu accuses les maliens de fonctionner exactement comme FOUDKG? KABAKO! 😆 😆 😆
COURAGE ET BONNE CHANCE A NOTRE VAILLANTE ARMEE. ELLE VAINCRA IN CHALLAH
Tous les éléments de ces bandes de criminels (mnla, mia, aqmi, mujao…)doivent être traduits devant les juridictions compétentes. Aucun d’entre-eux ne doit échapper à la justice. Bande de crétins! Quant aux apatrides du mnla et du mia, ils ont jusqu’à ce soir minuit pour déposer les armes, entrer dans la république et se mettre à la disposition de la justice. Ils n’ont plus d’autre alternative!
que cette armée de merde ferme sa grande gueule maintenant
elle n’est pas capable d’honorer son peuple
c’est une honte d’avoir une telle merde défense nationale
vive le mali à bas nos poltrons . qui font la honte à toute une nation .
C’est facile d’insulter les gens surtout quand on est loin de la réalité. Et fais-tu toi à Dijon au lieu de vêtir l’uniforme nationale et te mettre devant les boulets des djihadistes. Fais-tu souvent un parallèle entre les moyens déployés par la France et le Tchad avec ceux de ton armée “fuyarde” au moment des faits? Crois-tu que la guerre c’est la ruée comme les manifestations de rue des grévistes? Un peu de tolérance et de réalisme.
@Sankingba , merci beaucoup de mettre certains à leur place . IL y en a parmi nous qui sont pires que le MNLA.
aliouc toi et ton sekingba vous êtes que des hypocrites des imbéciles qui se croient plus malien que les autres j’ai pas envie de parler avec imbéciles de votre genre vous pensez que c’est un plaisir pour moi de critiquer l’armée malienne alors fermez vos gueules .
j’apporte plus à mon pays que de porter une tenue militaire être à la charge des pauvres contribuables à ne rien foutre comme ceux bouffons que tu soutiens
tu es hypocrite l’ennemie de la nation des imbéciles de ton genre font toujours du mal au peuple malien tu crois être plus malien que moi enculer , ferme ta gueule
c’est pas un plaisir pour moi de critiquer l’armée malienne.
juste que je suis un patriote pas un hypocrite comme toi
j’ai pas envie de me déballer sur ce cite
je suis de la promotion 2001 j’ai connu des vrais officiers qui sont aujourd’hui aux oubliettes . imbécile
La vulgarité et la grossièreté sont les principales caractéristiques de faibles.
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