Les leaders de la classe politique apprécient différemment les derniers développements de la situation sécuritaire au nord du pays. Pour les uns, l’intervention de la France est à saluer alors que pour Oumar Mariko et ses amis, l’armée française n’est pas sur le théâtre des opérations et l’offensive jihadiste a été repoussée grâce à la bravoure de l’armée nationale.
Au moment où l’existence de la nation malienne est en péril, Oumar Mariko et ses amis du MP 22 et de la COPAM continuent de distraire le peuple en exigeant les concertations nationales et la démission du président intérimaire. M. Mariko, lors d’une conférence de presse, samedi, affirme qu’il n’y a pas d’intervention des Français pour soutenir l’armée nationale pour la reprise de Konna, proteste contre la proclamation de l’Etat d’urgence et annonce la poursuite des manifestations. Pendant ce temps, IBK et Tiébilé Dramé, le même samedi sur RFI, se félicitent de l’intervention salutaire de l’armée française et des pays de la CEDEAO sur le théâtre des opérations, en plaidant pour la poursuite des offensives dans le but de libérer totalement les régions occupées. Pour le leader du RPM, il n’y a pas à s’étonner de la célérité avec laquelle la France de François Hollande a volé au secours du Mali, attaqué par des forces obscurantistes. A propos de l’engagement personnel du président français aux côtés du Mali, IBK sera plus enthousiaste : “ Je ne suis pas étonné, je connais l’homme. Je sais également son souci d’un Mali uni, d’un Mali libre dans ses frontières, d’un Mali démocratique … Je n’ai jamais perdu confiance dans les forces armées de mon pays… Il n’y a pas eu de défaite. Dans ces genres d’opération, on envoie une escouade en reconnaissance. Que cette escouade ait été submergée par la marée humaine en face, cela n’est pas pour me surprendre… L’intervention rapide de l’armée française a permis de stabiliser les choses et même de repousser les terroristes “, a-t-il expliqué. Il a alors exprimé son vœu de voir bientôt les forces de la CEDEAO et de l’Union africaine se déployer aux côtés des Français pour bouter les terroristes et jihadistes hors du territoire national. L’action militaire sur le terrain ne doit plus s’arrêter. “Il faut que ce cancer soit détruit dans les meilleurs délais“, a-t-il souhaité.
C’est sur le plan des manifestations politiciennes à Bamako que IBK voit son blason terni par sa proximité de vue avec les pro-putschistes de la COPAM. Le leader du RPM et de l’alliance IBK-Mali -2012 se défend de n’être pas dans aucune logique “anti-Dioncounda “ mais l’on a vu des cadres de cette alliance parmi les manifestants de la coalition du 8 janvier réclamant la démission du président intérimaire et la tenue immédiate des concertations nationales. “Je suis homme d’Etat, je ne suis pas dans la logique des manifestations de rues “, déclare IBK qui estime qu’il n’a pas donné des consignes à ses partisans de se lancer dans ces manifestations de rues. Mais, il ne leur a pas non plus interdit de se joindre à ses véritables déstabilisateurs de la nation au moment où l’armée, au front, a besoin de sérénité derrière elle à Bamako et ailleurs. Difficile de comprendre que le Secrétaire politique du RPM, Nancoma Kéita, souvent représentant personnel d’IBK, le secrétaire à l’organisation Mamadou Diarrassouba, le Secrétaire à la communication, Boubacar Touré et d’autres cadres du RPM et des partis alliés, dont Amadou Soulalé, prendre part à ces marches très mal venues.
Pour sa part, Tiébilé Dramé plaide pour une accélération de l’intervention de la force militaire en attente pour la libération totale de chaque centimètre carré du territoire national. Le leader du PARENA a toutefois reconnu que l’armée malienne éprouve quelques difficultés pour faire face à l’équipement militaire de ces jihadistes et qu’il faut nécessairement compter sur un soutien international pour venir à bout de cette pègre terroriste contre le Mali.
Pour le front anti-putsch, “nul n’a le droit de rester indifférent face à la plus grande menace de l’histoire de notre Nation. Levons nous, rassemblons-nous, unissons-nous pour sauver le Mali ! “ a proclamé l’honorable Mme Coulibaly Kadiatou Samaké. Le FDR a invité les Bamakois à une journée de rassemblement républicain et citoyen le samedi 12 janvier 2013 à partir de 9h00 à la Bourse du Travail. “Le Mali peut trébucher mais le Mali ne tombera jamais ! “ Par ailleurs, l’ADPS de Soumana Sako ” remercie la France et les autres partenaires africains et extra-africains pour leur solidarité agissante à travers leur intervention rapide en appui au peuple malien et à nos Forces Armées en ces moments particulièrement critiques pour l’avenir de la Nation et la sauvegarde de la nature républicaine, démocratique, laïque et unitaire de l’Etat “.
Ce regroupement politique renouvelle son appel à l’union sacrée de toutes les forces républicaines, démocratiques, patriotiques et progressistes autour des forces armées et de sécurité et des institutions de la République en vue de la restauration rapide de l’intégrité territoriale et la sauvegarde de la démocratie.
Bruno D SEGBEDJI
Mariko c’est un vrai malade lui e ses amis de la COPAM il n’y aura pa de concertation ni ojrd8 ni dm1 parce ke cette concertation va amené le Mali o chaos.
Mariko e ses amis v juste un terrain pour parler d politique.
Ns maliens 100% di non e non.
Il fo ke le Malien leur montre sil sont pa les seul malien e jamais on donne pa notre pouvoir à des malades coe eux jamais e jamais
Mariko c’est un vrai malade lui e ses amis de la COPAM il n’y aura pa de concertation ni ojrd8 ni dm1 parce ke cette concertation va amené le Mali o chaos.
Mariko e ses amis v juste un terrain pour parler d politique.
Ns maliens 100% di non e non.
Il fo ke le Malien leur montre sil sont pa les seul malien e jamais on donna pa notre pouvoir à des malades coe eux jamais e jamais
IBK est un caméléon et opportuniste de surcroit.Il pense être plus malin que les autres. “Je suis un homme d’état et ne me met pas dans la logique de la manifestation de rue ” mais alors les membres de son parti qui manifestent avec la COPAM sont des moutons qu’il utilise à sa guise.
Qu’il aille au diable………….. 😆 😆 😆 😆 😆
C’est vraiment dommage que ce monsieur se comporte ainsi dans une situation où l’existence même du Mali est mise en cause. En plus si les politicards africains sont incapables de gérer un pays, en assurer la sécurité, il faut remercier au moins ceux qui risquent la vie de leurs citoyens pour venir vous aider.
M. Mariko et son capitaine félon et parano, s’ils ont des c…, ils n’ont qu’à prendre les armes et aller défendre l’honneur du Mali au lieu de jouer aux zozos..
De toute façon le RPM était dans la rue au même titre que la COPAM pour reclamer une soi disante concertation au moment où les militaires combattaient à KONNA.
Mariko vraiment tu ferme ta sale guelle.
Mariko, we are coming, better cover your ass you little piece of shit mother.fucker!
👿
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