Le Mali a-t-il déjà commencé à entrer dans une zone de turbulence politique à quelques deux ans des élections présidentielles de 2018 ? Sans répondre par l’affirmative, on peut dire que le grand déballage a commencé et tous les moyens sont bons pour handicaper ses adversaires et engranger des points. Hier, c’était la cabale contre le chef de file de l’Opposition Soumaila Cissé dans la prétendue affaire de 27 milliards détournés à l’UEMOA. Aujourd’hui, c’est au tour du PM Moussa Mara d’être sérieusement indexé dans le rapport d’enquête parlementaire sur sa visite inopportune à Kidal. Mais toutes les responsabilités ont-elles été situées sans arrières pensées politiques ? Le rapport d’enquêtes est-il impartial ? L’ex Premier ministre a-t-il pu se rendre à Kidal sans l’accord du président IBK ? Que Moussa Mara soit coupable nul n’en doute. Mais qu’il soit le seul sans le Chef suprême des Armées à en répondre est tout aussi incompréhensible. A force de vouloir vilipender un adversaire on finit par lui donner des ailes.
A force de vouloir éloigner un crapaud en le jetant au loin, bien que lui faisant mal, on finit aussi par lui rendre court son chemin, dit un adage bien populaire de chez nous. Bien que l’idée d’un rapport d’enquêtes parlementaires, après un tel évènement qui a tant ensanglanté le pays, soit appréciable et les conclusions acceptables, il n’en demeure pas moins que les observateurs de la scène politique sont restés sur leur faim tant le rapport semble incomplet. Tout indique que la Majorité fait feu de tout bois juste pour affaiblir les potentiels menaces à une probable réélection d’IBK. Aujourd’hui, deux figures emblématiques de la scène politique malienne semblent couper le sommeil à IBK au point que certains acharnements sont perçus comme des tentatives de neutralisation dans le dessein de réduire à leur plus simple expression Soumaila Cissé et Moussa Mara en vue des élections présidentielles de 2018. Si la cabale contre le chef de file de l’Opposition n’aura été qu’une tempête dans un verre d’eau, faute de preuves tangibles, les conclusions qui incriminent son ancien PM sont suffisamment graves et sont loin de connaitre leur épilogue. IBK semble décider à en découdre avec son ex PM Moussa Mara qui s’est déjà prématurément déclaré candidat à sa succession. L’ambitieux PM, ayant eu vent de cette cabale, est monté au créneau pour ne pas être surpris et poignardé dans le dos. C’est pourquoi il multiple aujourd’hui les sorties médiatiques pour d’ores et déjà informer l’opinion de ce qui se trame contre lui. Son interview sur une radio internationale n’avait d’autres objectifs que de se disculper et surtout de se victimiser en dénonçant une cabale contre lui. La question que l’on est en droit de se poser est celle de savoir si la stratégie du PM à faire feu de tout bois est finalement la meilleure. En homme d’Etat, un Premier ministre fut-il ancien est toujours le fusible de son Président. Vu sous cet angle, toutes sorties de Mara contre son ancien patron peut être assimilée à de la déloyauté. De même que les tentatives de déni du Chef de l’Etat face à sa responsabilité de commandant peuvent être vertement qualifiées « d’irresponsabilité politique ». Chacun devrait assumer ses responsabilités dans cette affaire pour en sortir grandi. Dans tous les cas de figures, c’est le Premier ministre Mara qui en sortira perdant étant entendu que les pouvoirs africains ont particulièrement une telle capacité de nuisance qu’il leur est plus facile de détruire que de construire une image, surtout avec une justice aux ordres du pouvoir du jour. Vu les conclusions du Rapport, le pouvoir a tout en ses mains pour déclencher toute procédure judiciaire afin de clouer le bec au PM pendant trois ans le temps de sortir de la zone de turbulence. C’est pourquoi, il est tout à conseiller au PM Mara cette sagesse qui recommande d’observer le silence qui est d’or. En voulant tout déballer on risque de se faire tout discréditer aux yeux de l’opinion publique, secrets d’Etat obligent.
En définitive, le Président de la République IBK a désormais entre ses mains trois dossiers à la fois brûlants et sensibles et dont la mauvaise gestion peut s’avérer être un obstacle majeur à sa propre réélection. Il s’agit du dossier d’ATT, celui du général Amadou Haya Sanogo ainsi que celui de la visite à Kidal de son ex PM Moussa Mara. Au travail donc ses conseillers.
Youssouf Sissoko
Dans une interview en bambara à la télé, face aux Maliens, le Président IBK avait bien dit, qu’il était un Président très bien informé. Puis, qu’il n’a pas été informé de la visite du PM à Kidal, soit. Mais, ce que IBK oublie, c’est sa jubilation effrénée, lorsqu’il reçu le coup de fil, l’informant que l’armée Malienne avait pris le dessus sur les rebelles à Kidal, le jour de l’attaque supposée ordonner par le PM. Combats au cours desquels, 160 personnes environ, ont perdu la vie. Qu’allons-nous comprendre dans cette histoire. S’il dit ne pas avoir été informé du voyage du PM à Kidal, il a certainement donné l’ordre de venger l’affront fait à celui-ci lors de ce voyage. Sinon, comment expliquer sa jubilation, en plein conseil des Ministres, sur la pseudo victoire de l’armée pendant les affrontements.. De deux choses l’une. Ou bien, comme l’a écrit notre confrère Youssouf Sissoko, IBK veut incriminer le PM pour des raisons bassement électoralistes, ou alors, il n’était au courant de rien. Ce qui remettrait en doute sa capacité de gouverner, en tant que chef suprême des armées. Autrement, comment le PM, qui n’est pas chef des bidasses, a t-il pu ordonner la contre attaque meurtrière de Kidal? Les députés se trouvent devant la réponse toute crue à cette question. Mais,connaissant bien les applaudisseurs qui siègent dans l’hémicycle, transhumants notoires, sans idéal, pour la plupart traîtres à leurs partis, Moussa Marra peu d’ores et déjà dire ses prières. Aucun ne culpabilisera IBK,
139 millions F CFA pour les Députés rebelles déserteurs, et combien pour les militaires maliens morts en mission ?
Au commencement de la crise du nord, subitement, tous les députés de la région de Kidal et certains du cercle de Ghourmas-Rharouss ont déserté l’Assemblée Nationale du Mali à partir de janvier 2012. Comme prétexte, ils disaient que leur sécurité était menacée à Bamako. Ce qui est invraisemblable dans la mesure où le Professeur Agory Ag IKNANE, Mohamed Ag Erlaf et autres vivaient en paix à Bamako, même si certains les soupçonnaient d’être les yeux et l’esprit de la rébellion Touareg. C’est alors après le coup d’état du 22 mars, et le vote d’une loi d’amnistie de mai 2012, que les députés se sont révoltés contre le paiement des indemnités des députés Touaregs absents sans motif valable. L’honorable Younoussi TOURE, président de l’Assemblée Nationale pendant la transition en accord avec le bureau de l’Assemblée a fait sortir une note pour suspendre ces paiements. Ladite note ne concernait pas le Dr Oumar MARIKO, qui après le vote de la loi d’amnistie au profit de ses mentors (la junte militaire) a arrêté de venir à l’Assemblée Nationale, tout en demandant que ces indemnités soient reversées au Trésor Public, contre un reçu qui devrait lui être présenté par le questeur de l’Assemblée Nationale.
Cette décision courageuse a été appliquée par les Députés de la quatrième législature, jusqu’à la fin de leur mandat en décembre 2013.Après la folle journée du 21 mai 2014 relative aux évènements de Kidal, qui avaient pour motif de récupérer le gouvernorat de Kidal par les FAMAS à la suite de l’empêchement du Premier ministre Moussa MARA d’effectuer une mission officielle que lui avait confiée le Président IBK à Kidal ils ont encore disparus. Même si cette version est contestée par le Président IBK et sa majorité parlementaire, parce que Moussa MARA est un candidat potentiel pour 2018, le discours du 19 mai 2014 est là pour recadrer un mensonge d’état.
Les conséquences de cette sortie ont été la perte de Kidal pour l’Autorité Centrale, l’humiliation nationale, l’assassinat de 6 fonctionnaires administrateurs, de 50 éléments des FAMAS etc…
Il s’en est suivi des négociations entre les parties à Alger, imposées par la Communauté Internationale. L’Autorité Centrale est allée à Alger la peur au ventre et pour se sauver, elle a tout cédé aux groupes rebelles, voire même le fédéralisme déguisé. C’est pourquoi la majorité des maliens pensent que IBK a trop cédé contre rien pour la République. C’est ce qui lui vaut aujourd’hui, un score de seulement 15% de maliens qui jugent son mandat à mi-chemin bon.
Non contents d’avoir installé leurs combattants dans les collectivités territoriales tout en chassant les conseillers élus selon la constitution du 25 février 1992 dans l’ensemble des régions du nord, et de leur offrir, toute une zone d’habitation à Muegin-Sikoro appelée Kidal 2 où les beaux immeubles sortent de terre partout, ils réclament pour les députés déserteurs des arriérées de salaires pour lesquelles ils n’ont pas fait le travail. Ce montant s’élève dans le budget révisé la semaine dernière par l’Assemblée Nationale à 139 millions de F CFA pour environ cinq députés..
Que dire de cet acte du régime d’IBK lorsque ces députés sont encore dans la rébellion, car Kidal est interdit aux autorités maliennes ? Les députés auxquels l’état va payer 139 millions de F CFA acceptent sinon appuient cette situation. Du jamais vu, dans l’histoire d’une rébellion à travers la planète terre. Mais l’incompétence, et l’incapacité d’un régime se mesurent à la portée des actes antipatriotiques posés par ses dirigeants tout en muselant le peuple. On pourra être amené maintenant à dire que ça suffit !
Nous en voulons aux députés de la cinquième législature, qui ont accepté de prendre à contre-pied les décisions des députés de la quatrième législature. Les rebelles continueront à coincer le régime d’IBK, tant que la rébellion reste un fonds de commerce pour les Touaregs.
Déjà en mars 2016, votre journal serviteur a étalé au grand jour le montant de 7,5 milliards de FCFA pour les fonctionnaires et rebelles armés. Le régime a apporté un démenti sur l’idée et les chiffres annoncés dans votre journal serviteur.
Voilà maintenant que la chose commence à pointer du nez à commencer par les députés, ensuite les fonctionnaires déserteurs. En ce qui concerne les combattants rebelles à cantonner, dans la convention signée le 19 juin par l’état et les rebelles, le gouvernement à accepter de prendre en charge financièrement ceux qui ont tué des milliers de maliens. La majorité présidentielle, la société civile seront les comptables de cette capitulation du régime face aux rebelles. Qu’est-ce que le régime d’IBK prévoit pour les soldats et les fonctionnaires maliens morts en missions commandées depuis l’attaque d’Alguelhoc en janvier 2012, de Kidal en 2014 et autres agressions contre les FAMAS depuis l’éclatement de la rébellion ?
Pour une question de justice sociale, l’Etat doit assurer la prise en charge des familles des soldats morts lors de la rébellion, de 2012 à l’image de ce qui se fait en France.
En effet, dans l’armée française, tous les soldats morts en mission commandée ont droit à une prise en charge totale de leurs familles.
D’abord, l’Etat assure le salaire régulièrement à la famille jusqu’à l’âge de la retraite normale du soldat mort en mission commandée, ensuite la pension prend la relève. Également les études des enfants sont prises en charge par l’Etat.
Actuellement, ce qui se passe lorsqu’un soldat meurt en mission commandée, l’Etat lui apporte 50 kg de riz et une somme de 50 000 F CFA. Au bout d’une semaine on presse sa famille à quitter le logement du camp, la mettant ainsi dans une détresse totale.
Pour les 116 morts d’Aguelhoc l’Etat leur doit dans les conditions normales, 656 millions F CFA comme salaires pour les quatre premières années (2012-2015) après leur assassinat.
Leurs ayant droit doivent percevoir mensuellement leurs salaires comme s’ils vivaient naturellement jusqu’à l’âge de la retraite. A l’âge de la retraite, les ayant droit percevront la pension normale. Sans cela, l’armée sera la grande perdante des différentes rebellions, parce qu’elle est muette.
Pourquoi, ne pas confier cette mission réparatrice d’une injustice rapport aux FAMAS à la commission défense et sécurité de l’Assemblée Nationale du Mali. Si tel n’est pas le cas, le régime d’IBK va-t-il échappé à une plainte des parents des soldats morts en missions commandées contre lui après son mandat constitutionnel ?.
C’est du n’importe quoi, ce rapport. Des parlementaires nuls ne produiront qu’un rapport nul. Il faut que le procureur se saisisse du dossier. Je n’ai rien à lire dans ce rapport bancal et discrédit.
Moi personnellement, je ne perdrai jamais une seconde à lire un rapport aussi biaisé que ses auteurs. Les députés à mi-mandat qui n’ont même pas le courage d’interpeller à l’A.N un membre du gouvernement sur sa gestion des affaires publiques sont-ils à mesure de produire un rapport fiable sur une action gouvernementale ? Ma réponse est NON. Le fond alloué à la production de cette connerie de rapport est tout simplement du gâchis. C’aurait été plus judicieux de soutenir les familles des victimes par ce fonds et laisser la justice se saisir du dossier, s’il y a lieu.
Comment une simple visite sans arme peut provoquer des morts. Si je vous comprends bien vous innocentez ceux qui ont tué? Personne ne parle d’eux. Donc c’est bien ce qu’ils ont fait? Tout le monde s’acharne sur Mara par ce qu’il est politique plein d’avenir et il est bien à abattre. Courage Mara ces même gens vont changer de langage tôt ou tard. On les a vu sous ATT on les voit aujourd’hui sous IBK et on les verra demain sous Mara.
Tout ceux qui ont pour mission de jeter le discrédit sur la gestion du président IBK sont en train de semer les graines de leur perte car on l’accuse des choses dont sa responsabilité directe n’est pas engagée. Le moment venu, le peuple malien devra faire appelle à son esprit critique pour juger afin de savoir quel genre de personnes sont Soumaila cissé, soulyemane koné, tiébilé dramé, et autres.
Ce ne sont pas des enfants de cœur comme ils tentent de nous le faire croire. Mais comme on le dit; laissons le temps au temps.
En définitive, le Président de la République IBK a désormais entre ses mains trois dossiers à la fois brûlants et sensibles et dont la mauvaise gestion peut s’avérer être un obstacle majeur à sa propre réélection. Il s’agit du dossier d’ATT, celui du général Amadou Haya Sanogo ainsi que celui de la visite à Kidal de son ex PM Moussa Mara. Au travail donc ses conseillers. 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄
Aucun des dossiers ci dessus mentionnés ne constituent un obstacle à la réélection du président IBK car les priorités du peuple malien sont carrément ailleurs.
Le peuple malien aujourd’hui a besoin d’un accès satisfaisants aux services sociaux de bases, les Maliens ont besoin de bonnes conditions de vies, les Maliens ont besoin de bonnes routes pour circuler. C”est ce à quoi le président IBK s’attelle malgré la crise que connait le pays.
C’est la condition de sa réélection sinon les calculs politiciens et autres ne l’intéressent pas. :223love: :223love: :223love: :223love: :223love: :223love:
L’ énigmatique
Vous avez tout à fait raison.
Mais le problème est que le président a oublié de satisfaire aux besoins de la population.A moins d’être aveugle et sourd,tout le monde constate que la préoccupation majeure d IBK est la satisfaction de sa famille et consorts.
Des mesures sont entrain d’être prises pour assurer un avenir présidentiel au fiston;des mesures sécuritaires pour empêcher tout coup d’État;faire tout pour ne pas frustrer le très opportuniste ami François Hollande y compris en acceptant un accord qui va à l’ encontre des intérêts du MALI.
Voilà ce qui préoccupe vôtre DIEU IBK .Pas la satisfaction des besoins urgents des populations.
Le nouveau guide spirituel de notre pays n’a pas honte et peur de Dieu pour indexer le président. Il avait l’admiration du vieux mais il l’a déçu. Mais aujourd’hui, Mara veut changer l’histoire sur cette visite. Il a fait à coup tête. Sinon pourquoi, le président n’a pas limogé les ministres qui ont refusé d’aller à Kidal.
Le nouveau guide spirituel de notre pays n’a pas honte et peur de Dieu pour indexer le président. Il avait l’admiration du vieux mais il l’a déçu. Mais aujourd’hui, Mara veut changer l’histoire sur cette visite. Il a fait à coup tête. Sinon pourquoi, le président n’a pas limogé les ministres qui ont refusé d’aller à Kidal.
Donc que ce menteur et mal éduqué envoie les preuves de l’implication du président dans cette visite ratée. Ce n’est pas parce que Mara fait le tour du monde qu’on peut croire qu’il fait craindre le président IBK. Minable journaliste. 2018 est l’année de toutes les surprises Youssouf car vous allez pleurer
Pourquoi c’est maintenant que Mara a eu la voix pour répondre à cette affaire concernant sa visite suicide de Kidal et surtout pas sur une chaine nationale mais sur une chaine étrangère?
C’est parce qu’il n’a rien à dire de sérieux que c’est sur RFI qu’il va raconter ses conneries.
Cette histoire va le rattraper tôt ou tard.
Soumaïla Cissé n’est pas accusé à tort et sans la moindre preuve d’avoir détourné des milliards de franc CFA par l’Observateur, ce journal sénégalais car des institutions financières très sérieuses ont été citées et elles n’ont rien dit pour démentir le transfert.
Il n’y a pas plus traître que celui qui ne respecte pas ses propres engagements et c’est le dernier degré de l’ignorance. moussa mara est un vrai irresponsable, car après son départ de la primature ce monsieur commencé sa campagne pour la présidentielle de 2018. mais ce n’est pas lui ceux qui l’écoute lors de ses campagnes prématurés. que ses partisans sachent que Mara ne pourra rien contre IBK en 2018.
Le président IBK est au dessus de toutes calomnies car il sait que les actions de Tiébilé dramé, Moussa mara et Soumaila cissé qui trainent plus d’une casserole ne visent qu’à le distraire de le voie dans laquelle il s’est lancée.
C’est pour cette raison il ne perd pas son temps pour à leur répondre. Le temps permettra de savoir qui à fait quoi dans ce pays et qui travaille pour ou contre ce pays.
le président IBK à dit ” j’aime mon pays, je souhaite que mon pays soit dans une situation de paix durable, réelle, l’accord a prévu des étapes et ses étapes seront rigoureusement respectées et aucune fanfaronnade politicienne ne me fera prendre mon avion pour débarquer à Kidal et créer un incident…………des tueries entre maliens.” que ce journaleux trouve autre chose à dire car les autres ministres sont des témoins que Mara est le seule responsable.
L’enquête dans l’affaire de la visite de Mara à kidal n’est pas dans le but de nuire à qui que ce soit mais des personnes sont mortes lors de cette visite, il faut que l’état qui les a commis à la tâche puisse expliquer comment cela est arrivé et permettre de situer les responsabilités.
Si Mara voit cela comme une cabale contre lui; c’est qu’il a des choses à se reprocher; c’est aussi simple à comprendre.
Le nouveau guide spirituel de notre pays n’a pas honte et peur de Dieu pour indexer le président. Il avait l’admiration du vieux mais il l’a déçu. Mais aujourd’hui, Mara veut changer l’histoire sur cette visite. Il a fait à coup tête. Sinon pourquoi, le président n’a pas limogé les ministres qui ont refusé d’aller à Kidal.
Toutes les pseudos activités de part et d’autres de la part de Moussa Mara ne sont que des épiphénomènes car parlant d’avenir politique; il n’en a plus depuis qu’il n’a pas eu la grandeur d’esprit de s’excuser pour la mort des personnes tuées lors de sa visite à Kidal et ose même dire que si c’était à refaire il allait le refaire.
Ils peuvent bien blablater de gauche à droite mais leur réveil sera brusque. mrgreen mrgreen mrgreen mrgreen mrgreen
Le Premier ministre a dénié toutes les règles et procédures normales de prise de décision dans le fonctionnement de l’appareil d’État et de bonne gouvernance, ce qui dénote l’entêtement et l’insouciance qui le caractérisent, son manque de respect et de considération pour les conseillers et leurs avis pertinents. Et ses partisans peuvent bien dire ce qu’ils leur passent en tête, Mara est coupable de cette débâcle.
Je dis à ce pseudo journaliste que Moussa Mara et Soumi le champion en vole, sont trop petit pour couper le sommeil à IBK, il faut qu’on essaye de voir les chose autrement, pas question de couper le sommeil à IBK ou pas question de lui empêcher d’être réélu pour son second mandat, je pense que le débat n’est pas de ce côté, mais plutôt de juger les fautifs, sans la justice rien ne marchera dans ce pays, sinon 2018 on en parle même pas seul contre tous !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Il y a donc désormais trois dossiers entre la main de l’AN à la fois brûlants et sensibles et dont la mauvaise gestion peut s’avérer être un obstacle majeur à la réélection d’IBK. Il s’agit du dossier d’ATT, celui du général Amadou Haya Sanogo ainsi que celui de la visite à Kidal de son ex PM Moussa Mara. Au travail donc l’AN.
Il y a donc désormais trois dossiers entre la main de l’AN à la fois brûlants et sensibles et dont la mauvaise gestion peut s’avérer être un obstacle majeur à la réélection d’IBK. Il s’agit du dossier d’ATT, celui du général Amadou Haya Sanogo ainsi que celui de la visite à Kidal de son ex PM Moussa Mara. Au travail donc l’AN.
Le président IBK ne cherche en aucun cas vilipender un adversaire politique pour sa réélection en 2018 car c’est son bilan qui le portera à la tête de ce pays. Je pense que nous devons savoir qu’au moment où les adversaires du président font des dénigrements , lui il est au travail pour son peuple.
Attendons la justice pour dire après qui et qui sortira indemne de l’affaire, quand la justice n’a pas dit son dernier mot, on ne le saura qui est indemne et qui ne l’est pas.
Tout ce qui moi m’intrigues dans cette histoire c’est que Moussa ne pouvait pas trouver mieux que d’aller présenter une déclaration de politique générale dans une zone “dangereuse” si je peux m’exprimer ainsi sans prendre les dispositions nécessaires. C’est à se demander s’il avait conscience de ce que voulais dire être premier ministre. Chaque zone à ses réalités et il aurait du tenir compte de cela. S’il ne l’a pas fait en tant que chef de cette mission; à qui la faute?
IBK n’a pas besoin d’éliminer ces hommes politiques pour être réélu en 2018, mais en 2013 ces hommes étaient là et ce temps ces hommes n’étaient pas aussi mouillé que ça dans l’eau, un Soumaila qui se permet de voler l’argent de l’UEMOA et Mara qui est allé donner nos préfets à l’abattoir. arrow arrow arrow pooooooooooooooooooffffffffffffffffff
Mr le journaliste le quel de ces deux tu veux qu’il sort indemne de cette situation mais le verdict primaire est tombé l’autre jour, ils sont tous mouillé, un chef de gouvernement irresponsable têtue, arrogant, orgueilleux, avec un chef d’Etat-major qui ne voient tous que le bout de leurs nez, ont fait égorgé nos préfets.
Le gros problème dans cette histoire c’est que Mara même n’a pas pris sur lui d’étudier les conditions de ce voyage. Quand il dit que tout le monde était informé de cette visite et qu’il indexe le président de la république; qu’il soit un peu précis et ne tente pas de masquer son mensonge par des suppositions irresponsables. Quand on pose des actes; on les assume.
Le Premier Ministre Moussa MARA engagea alors l’État dans un processus, dont il ne pouvait ignorer le niveau élevé du risque élevé, eu égard à l’intérêt qui s’attachait à une telle visite. Sinon son prédécesseur a refusé une telle visite vu qu’il a estimé que les conditions sécuritaires n’y étaient pas favorables.
Mara en mon sens n’est pas l’objet d’une “cabale” dans cette histoire comme il le prétend . Mais il a posé des actes répréhensibles. N’ayant pas le courage ou du moins l’humilité de le reconnaitre il passe son temps à faire le boucan de gauche à droite en train de jeter la responsabilité sur les autres.
Des personnes sont mortes dans cette histoire et la réaction des uns et des autres est tout à fait normal. Il faut qu’il s’en explique!
Il y a donc désormais trois dossiers entre la main de l’AN à la fois brûlants et sensibles et dont la mauvaise gestion peut s’avérer être un obstacle majeur à la réélection d’IBK. Il s’agit du dossier d’ATT, celui du général Amadou Haya Sanogo ainsi que celui de la visite à Kidal de son ex PM Moussa Mara. Au travail donc l’AN. ➡ ➡ ➡ :hangman: :hangman: :hangman:
Il y a donc désormais trois dossiers entre la main de l’AN à la fois brûlants et sensibles et dont la mauvaise gestion peut s’avérer être un obstacle majeur à la réélection d’IBK. Il s’agit du dossier d’ATT, celui du général Amadou Haya Sanogo ainsi que celui de la visite à Kidal de son ex PM Moussa Mara. Au travail donc l’AN.
Les responsabilités de ces événements de Kidal sont Moussa Mara, Soumeylou Boubeye Maïga, ancien ministre de la défense et du général Mahamane Touré, chef d’état-major général des armées,c’est eux qui ont organisé ce tourné de force au nord du pays et qui a eu une suite tragique.
le Premier Ministre Moussa MARA, au cours de son audition a fait des déclarations totalement contradictoires avec celles d’autres personnes auditionnées. Pour en illustrer, le Premier Ministre au cours de son audition déclara : «personne, je dis bien personne ne m’a jamais informé…. ou je n’ai été informé par qui que ce soit d’un risque d’attaque armée » ; le ministre de la Défense et le chef d’Etat-major général des armés et tous les responsables des services de renseignements militaires et sécuritaires, auditionnés ont déclaré le contraire.
C’est parce que les journaleux comme vous refusez la vérité. Les rapports montrent bien l’agissement de Mara pendant cette visite. Il a utilisé son titre de premier ministre pour enfoncer le pays dans cette tragédie. Mais vous n’entendrez jamais le nom du président car il n’a jamais donné son accord.
il faut savoir que la responsabilité Mara est d’autant plus que celui de Soumeylou Boubeye Maïga, ancien ministre de la défense car après ce qui s’était passé le 17 Mai 2014, 18 Mai à Gao, Mara déclare que la république du Mali est en dorénavant en guerre. c’est ainsi qu’il demande à ce que l’armée vienne pour la récupération de Kidal alors que les groupes armés demandaient à l’apaisement et à la relance du processus de paix. le président IBK avait demandé la voix diplomatique et non militaire.
Des manifestations de femmes et de jeunes sur l’aérodrome sont utilisées pour empêcher l’avion d’atterrir. Ce qui n’a pas empêché Moussa Mara d’entreprendre le forcing hasardeux pour aller à Kidal, malgré les mises en gardes de plusieurs voix qui comptent cela dire qu’il est le premier responsable de tout ce qui s’est passé à Kidal. Moussa Mara doit prendre ses responsabilités car Moussa Mara avait dit que personne ne va m’empêcher d’aller à Kidal.
Nous savons tous que monsieur Moussa Mara est le premier couple dans cette affaire de Kidal.Parce que personne ne l’a obligé d’aller faire une visite dans le nord du pays pendant ces périodes de crise.
L’exercice de haute responsabilité au sommet de l’administration publique, requiert un Homme prudent et avisé, qui, s’appuyant sur des renseignements et conseils pertinents, prend des décisions dans l’intérêt supérieur de la nation, sauvegardant sa vie et celle des autres. C’est par pure entêtement qu’il a agi et les temoins le démontrent également. Donc qu’il n’accuse pas le président
C’est le quotidien sénégalais qui a relayé cette information alors pourquoi pensez que c’est le président qui est derrière cela. Qui ne sait pas ce qu’à faire Soumaila des caisses de notre pays lorsqu’il était à la Cmdt, aux finances et à l’équipement où il a vendu des terrain illégalement.
Impossible pour l’ancien ministre d’indexer le président de la république pour les événements de Kidal car il a été bel et bien averti de la situation des lieux mais il a préféré aller quand même.
C’est le bilan positif du président qui le permettra de briguer un second mandat donc il n’a pas besoin de réveiller des cadavres des adversaires qui ne font pas le poids. Mara et Soumi le voleur sont tous des voleurs, menteurs et roublards qui n’inquiètent pas le jeune Karim. Donc Youssouf cherche toi un autre alibi.
Je pense que l’ancien premier Moussa Mara peut préparer sa campagne électorale de 2018 sans essayer mettre la faute de l’affaire de Kidal sur le dos du président IBK.
A propos de la visite de Moussa Marra à Kidal,quand on demandait au président IBK s’il va se rendre à Kidal,il dira;« AUCUNE FANFARONNADE POLITICIENNE NE ME FERA PRENDRE MON AVION POUR DÉBARQUER À KIDAL ET CRÉER UN INCIDENT ».Alors pourquoi vouloir associer le président IBK à cette bêtise de Marra?
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Le président n’a accusé personne. Si Soumaila est accusé de voler c’est parce qu’il est coupable ainsi que Moussa Mara car nous sommes tous témoins de ces faits là. Maudit Youssouf qui défend l’indéfendable.
Dans cette situation de Kidal l’ancien premier ministre a mal jugé les faits ou a sous-estimer la force des groupes armes qui occupait le nord de notre pays.Avec les resultats de cette investigation nous comprenons que l’ancien premier ministre a essayer de dégager la responsabilité de cet acte sur le président IBK.
Monsieur Moussa Mara doit admettre moins qu’il est le responsable de cette affaire de Kidal.Car c est lui-même qui a décider d’aller faire un tour dans la partie nord du pays.Pour montrer aux maliens que lui est un vrai homme qui n’a pas peur mais si les choses tournent mal il faut aussi l’admettre.
Honte a vous, qui refuse de voir le SOLEIL même sur il tape sur votre visage !!!
Seul Boubèye a refuser d’être fusible d’IBK sur les commandes de l’armée !
Les Allemands disent : Si tu es le responsable et qu’il y a un CASSE, si tes subordonnées prennent une décision SANS ton aval tu es coupable, si il ne te préviens pas, tu es doublement coupable car tu es la tête.
Comme on le dit une erreur reconnue est à moitié pardonnée ou facilement pardonnable,Moussa Marra doit reconnaître sa forfaiture et demander pardon aux maliens pour avoir forcer cette visite à kidal qui a vu des maliens se faire tuer.Ce sera mieux pour lui.
A propos de sa visite à Kidal Moussa Marra a toujours laissé entendre qu’il n’était pas au dessus de loi et qu’il répondra devant les juridictions de ses actes.C’est le moment donc de répondre de ses actes.Il doit donc assumer ses responsabilité.
Moussa Mara est allé à Kidal le 17 mai 2014, et y a lancé les Fama dans la guerre sans consultation de l’Assemblée nationale et sans la bénédiction du président IBK.Il est responsable de ses actes.Qu’il ne cherche donc pas à incriminer les autres.
Pendant cette visite qu’il a forcé, Moussa Mara quitte le gouvernorat puis Kidal sur la pointe des pieds, laissant derrière lui des dizaines de victimes. Comme si cela ne suffisait pas, le Premier ministre de l’époque jetait dans la bataille les Forces armées maliennes, occasionnant de nombreuses pertes civiles et militaires.Il est le seul comptable de ces tueries de Kidal.
Rien a pu empêché l’ex-Premier ministre Moussa Mara d’entreprendre le forcing hasardeux pour aller à Kidal, malgré les mises en gardes de plusieurs voix qui comptent. La rencontre au gouvernorat entre le Premier ministre et l’administration s’est terminée dans un bain de sang.Il faut endosse la responsabilité de cette visite forcée.
Président IBK avait dit à propos de la visite à kidal que la gestion d’un pays n’est pas une question de bravade.Il faut donc comprendre que le premier ministre d’alors a fait un forcing car il voulait impressionner les maliens.Qu’il en assume donc la responsabilité.
Pour le président IBK, une telle visite relève tout simplement de l’irresponsabilité qui ne sied pas à la haute autorité.Le président IBK est claire sur cette histoire.Il faut donc que Moussa Marra est un peu dignité en assumant les conséquences de cette visite forcée qu’il a eu à Kidal.
Moussa Marra voulait être brave, et est sorti sur la pointe de pieds, en laissant d’autres y mourir.Et il s’en tire complètement grillé et veut s’en prendre aux autres.Il faut qu’il soit un homme et assumer la responsabilité qui est sienne dans cette visite à Kidal.
Personne ne veut assumer ses responsabilités, chacun des acteurs premiers responsables de la visite hasardeuse de Moussa Mara à Kidal est devenu une visite sans père, ni mère. A commencer par Moussa Mara chacun doit fait preuve responsabilité et accepter ses erreurs. Certes IBK est le président de la république mais ce n’est pas IBK qui s’est entêté et a aussi refusé de respecter la procédure avant de se rendre à Kidal, Moussa Mara est le seul responsable, qu’il l’assume.
Mara est le seul coupable de son histoire, L’histoire l’appelle à répondre de sa responsabilité. Certes si la visite avait été réussite Mara entrerait dans l’histoire dommage pour lui que soit le contraire, il devra faire face au jugement de l’Histoire.
Cette visite de Moussa Mara n’est pas une affaire entre Moussa Mara et le chef de l’Etat non, loin de là, mais plutôt une affaire entre Moussa Mara, ses complices ou collaborateurs et la justice malienne. Lors des faits Moussa Mara était le chef du gouvernement donc la décision de se rendre à Kidal était une décision qui lui revenait de droit.
Moussa Mara est le seul responsable de toute ces morts à Kidal lors de son voyage. Le président IBK n’était pas le responsable de la délégation qui l’accompagnait, ce n’est pas IBK n’est pas refuser de suivre les normes comme il se doit avant de se rendre à Kidal, la situation politique de la région de Kidal est différente de toute les régions du Mali.
Moussa Mara est le seul responsable de ce désagrément produit à Kidal, lors de sa visite. Moussa Mara devrait savoir que la situation politique de Kidal et des autres régions du Mali ne sont point la même chose. Il a préféré ignorer tout cela, et aussi malgré le concours de la communauté internationale, la France et la MINUSMA, Moussa a pris la responsabilité de braver les dangers et maintenant il refuse d’assumer ses responsabilités.
Moussa Mara est le seul coupable dans cette affaire, malgré les faits Maoussa Mara c’est entêté pour se rendre à Kidal, ce n’était pas sous un ordre d’IBK. De ce fait Moussa Mara est le seul coupable des faits qui se sont passé à Kidal. L’ancien PM était chef de son équipe alors qu’il assume et prend ses responsabilités.
Quel que soit le temps que cela prendra Moussa Mara et tous ses complices comparaitront devant la juridiction compétente. Des atrocités ont été commis et plusieurs personnes y ont laisser la vie, réparation doit être faite, la population malienne attend que la lumière soit faite sur tout cela.
Moussa Mara est le principale responsable du désagrément déroulé à Kidal en 2014. Une enquête est déjà ouverte par la commission d’enquête et Mara et tenu comme “responsable du désastre causé par sa visite à Kidal, pour avoir dans son entêtement, et en connaissance de cause, engagé l’Etat dans un risque démesuré”.
Le chef d’Etat n’a absolument rien n’à avoir avec la visite de Moussa Mara. Certes IBK est le chef de l’Etat et il plus ou moins informer de la visite de Moussa Mara à Kidal, il faut savoir que la décision de partie à Kidal est une initiative de Mousa Mara.
J’invite les députés à faire leur travail il se doit, le dossier Moussa Mara est un dossier plus sensible qu’on ne pense. Plusieurs cadres de ce pays dans le viseur de la justice malienne, Moussa Mara ainsi que les autres ils seront tous entendue par la justice malienne.
Nous reclamons juste justice pour nos morts! Que la vérité soit pour les familles des victimes.
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