Projet de loi sur les autorités intérimaires : L’opposition dénonce un « pas de plus vers la partition du pays »

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Hier, mercredi 30 mars 2016, les responsables de l’opposition malienne étaient face aux média à la Maison de la presse pour dénoncer le Projet de loi N°16-06/5L portant modification de la loi N°2012-007 du 07 février 2012 portant Code des collectivités territoriales modifiée par la loi N°2014-052 du 14 octobre 2014. Ce projet de loi sur les autorités intérimaires qui est déjà sur la table de l’Assemblée nationale doit, en principe, être voté ce jeudi 31 mars 2016 par les députés. Et selon l’opposition démocratique et républicaine, si le projet venait d’être voté, la loi consacrerait non seulement une violation flagrante de la Constitution malienne mais aussi serait un pas de plus vers la partition du pays. A cet effet, l’Opposition a invité le groupe parlementaire Vigilance républicaine et démocratique à ne pas voter le projet de loi. En outre, les conférenciers demandent au gouvernement de retirer ledit projet de loi. La conférence de presse était animée par le chef de file de l’opposition, l’honorable Soumaïla Cissé, en présence des autres leaders de l’opposition dont Tiébilé Dramé du Parena, Daba Diawara du Pids et bien d’autres.

Dans une déclaration lue par le président du parti de l’indépendance de la démocratie et de la solidarité (Pids), Daba Diawara, l’opposition s’insurge contre les autorités intérimaires inclues dans l’accord pour la paix et la réconciliation nationale issue du processus d’Alger. « Le gouvernement a déposé sur le bureau de l’Assemblée nationale un projet de loi portant modification de la loi N°2012-007 du 07 février 2012 portant Code des collectivités territoriales modifiée par la loi N°2014-052 du 14 octobre 2014. La Conférence des présidents du Collectif des partis politiques  de l’opposition démocratique et républicaine, réunie le 28 mars 2016 au siège du PS Yelen Kura, a considéré que l’objet dudit projet est triple : substituer une autorité intérimaire à la délégation spéciale ; faire exercer par ces autorités intérimaires toutes les fonctions dévolues aux conseils communaux et aux conseils de cercle et de région ; renvoyer à un décret pris en Conseil des ministres la détermination des modalités de mise en place des autorités intérimaires, y compris les dispositions spécifiques relatives aux collectivités du Nord », a déclaré Daba Diawara. Avant d’ajouter qu’il est prévu par le projet de décret que dans les régions de Gao, Tombouctou, Kidal, Ménaka et Taoudénit, les membres de ces autorités intérimaires seront désignés par le gouvernement, les groupes armés (la Coordination des mouvements de l’Azawad et la Plateforme) et les autorités traditionnelles. A l’en croire, les autorités intérimaires seront constituées d’agents des services déconcentrés de l’État, de représentants de la CMA et de la Plateforme, de la société civile et d’anciens membres des conseils qu’elles vont remplacer. La Conférence des présidents du Collectif des partis politiques  de l’opposition démocratique et républicaine souligne que si le projet était voté, la loi constituerait non seulement un recul démocratique mais aussi consacrerait une violation flagrante de la Constitution et des lois. Aux dires des opposants, si le projet était voté, cette loi serait un pas de plus vers la partition du pays. « Si le projet était voté, la loi ouvrirait, en matière de gestion et d’administration du territoire, la voie à un partage de l’exercice du pouvoir souverain  entre les autorités habilitées par la Constitution (le président de la République, l’Assemblée nationale et le  gouvernement). En outre, dans le projet de loi introduit par le gouvernement la légitimité des urnes est supplantée par la raison du plus fort, celle des armes dont se prévaut les groupes armés », a indiqué l’orateur. Au regard de tout ce qui précède, la conférence des présidents du Collectif des partis politiques  de l’opposition démocratique et républicaine a invité le groupe parlementaire Vigilance républicaine et démocratique (VRD) à ne pas voter ce projet de loi.

L’opposition réitère son appel à la tenue des concertations nationales

En réponses aux questions des journalistes, Me Hamidou Diabaté du Parti pour la renaissance nationale (Parena) a démontré le caractère inconstitutionnel de la loi. Selon lui, au cas où le projet de loi venait d’être adopté par le parlement, l’opposition se réserve le droit d’attaquer la loi devant la cour constitutionnelle pour annulation. Quant au chef de file de l’opposition, l’honorable Soumaïla Cissé, président de l’Union pour la république et la démocratie (Urd), il a évoqué le manque criard de concertations qui auraient permis d’améliorer l’Accord d’Alger en vue de faciliter sa mise en œuvre. «Nous demandons au gouvernement de retirer le Projet de loi. Nous recommandons l’abandon de ce projet de loi et invitons le gouvernement à des discussions avec la majorité et l’opposition afin de trouver un compromis acceptable pour tous. Nous réitérons notre appel à la tenue de concertations sur l’Accord pour la paix et la réconciliation nationale et prenons à témoin l’opinion publique nationale et la communauté internationale sur le manque de volonté politique du président de la République et du gouvernement et leur refus obstiné d’entendre les propositions de l’opposition républicaine », a souligné Soumaïla Cissé. Concernant le Forum de Kidal (27 au 30 mars 2016), le président de l’Urd a rappelé que l’opposition n’a pas été invitée à ce forum. « Ce forum dit de Kidal est un forum uniquement des gens de la Cma. Donc je ne vois pas comment ce forum là rentre dans le cadre des accords d’Alger. C’est un effet d’annonce. Et le gouvernement s’en est saisi pour dire qu’on a trouvé une solution et que désormais tout va bien se passer à Kidal, et malheureusement rien ne s’est passé à Kidal », a-t-il dit. Par ailleurs, il a indiqué que les partenaires au développement sont là pour aider le Mali et non pas pour leur imposer quoi que ce soit. Enfin, le chef de file de l’opposition a fait savoir que la Minusma (Mission multidimensionnelle intégrée des Nations Unies pour la stabilisation du Mali) a besoin de changer son mandat pour se protéger et pour pouvoir lutter efficacement sur le terrain.

Aguibou Sogodogo

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71 COMMENTAIRES

  1. Moi je ne suis pas contre une opposition dans un pays, mais je suis contre ses pratique de cette opposition qui essaye de jouer tout rôles pour essayé de nuire contre la gestion de l’actuel président de cette république.
    Le Mali est pour nous tous et nous avons chacun une partie de responsabilité…

    • une triste réalité :chuckle: :chuckle: :chuckle: :chuckle: :chuckle: :whew: :whew: :whew:
      Quand es ce que ses personnes comprendrons que le Mali est une partie de nous tous ?

  2. Honte à l’opposition !!! 😯 😯 😯 😯 😯
    Honte à l’opposition !!! 😯 😯 😯 😯 😯
    Honte à l’opposition !!! 😯 😯 😯 😯 😯
    Honte à l’opposition !!! 😯 😯 😯 😯 😯
    Honte à l’opposition !!! 😯 😯 😯 😯 😯

  3. Quoi qu’il en soit, le Mali restera toujours debout…
    L’opposition ne mérite même pas d’être écouté…

  4. Au Mali nous avons une opposition honteuse, il y’a lieu de se poser des questions si se n’est pas ses même opposant qui sont des ennemies de ce pays ?
    je ne peut pas comprendre que ses gens se disent amoureux de se pays…

  5. Au Mali nous n’avons pas une opposition, nous avons des gens qui ne crient que pour leurs positions…

  6. Comment l’opposition peut elle se permettre de faire une déclaration pareil ?
    Il faut que nous restons des maliens optimistes quand même…

  7. Les opposants sont les ennemis numéro 1 du Mali, comme dit toujours les BAMBARAS KABINI NTIGERA NPOROLA A MA KE NSOUROFANA YE, tous les Maliens sont au courant a tous actes faites SOUMAILA.

  8. Nous savons réellement que les opposants sont de de mauvaise foi, vue son parcours, c’est lui qui est l’acteur principal de tous les désordres qui dont le Mali confronte actuellement, il faut que tous les Maliens se donnent là pour aider le gouvernement pour la bonne gestion de l’Etat.

    • C’est ce que je ne cesse de rappeler depuis mes interventions sur ce site, les politiques malien doivent comprendre que le pays est dans des situations qui interpelle la participation de tout un Chacun !!!

  9. LES OPPOSANTS SONT DE VERITABLES REBELLES, J’AI LA PREUVE CONCRETE CONCERNANT CERTAINS DOSSIERS.

  10. Malgré tous ceux qui lui a été fait par le président IBK, pour que l’opposition soit à la mesure, et capable d’accomplis sa mission en faisant bien son travail ? Mais on constate que c’est le contraire à ce que l’opposition fait actuellement.

  11. AU MALI L’OPPOSITION A PERDU SON SENS COMPTE TENU DE SA REACTION VIS AVIS AU GOUVERNEMENT.

  12. Que ces opposants sachent que le Mali se trouve dans une situation plus difficile, et plus pire, alors compte tenu de cela tout bon citoyen Malien doit se soucis à la situation qui préoccupe la population.

  13. se taise car, il n’a rien apporté au Mali comme bien, nous sommes tout à fait convaincu que le président IBK est un homme de parole un vrai patriote qui cherche toujours à solution une solution face à la préoccupation des Maliens.

  14. Le gouvernement Malien fait tout pour le bonheur des Maliens, malgré tout cela Soumi et ses compagnons cherchent de nuire à la gouvernance d’IBK, quelle honte de la part de cette opposition. Cet homme doit comprendre que la politique n’est pas de mentir au peuple mais d’être plus réaliste

  15. La révision de la constitution devait se faire avant de voter ces lois sur les autorités intérimaires mais cela a été signifié dans l’annexe de l’accord.
    Ce sont les mêmes qui accusent le président sur le retard de la mise en place de l’accord mais pourquoi vouloir se saisir de la cour constitutionnelle si nous voulons la paix.

  16. C’une opposition qui cherche coûte que coûte à mettre des bâtons dans les roues du pouvoir. Ils voient le mal partout et n’ont jamais tenté d’apporter de bonnes initiatives, des propositions de gestions adéquates. Quoi pensez d’une telle personne ?

  17. L’accord a prévu tout cela alors que ces ennemis du Mali se saisissent de ce qu’ils veulent le projet de loi sera adopté car nous voulons la paix.

  18. Le président n’agit pas à coup de tête. Il veut appliquer l’accord de paix pour le bien être de tous alors ces amis de Mariko ne viennent créer des histoires inutiles. Ils ont pris à la signature des accords et je ne sais pas pourquoi ils s’y opposent de l’adoption de la loi sur les autorités intérimaires

  19. Les autorités intérimaires sont des prescriptions de l’accord d’Alger et le président doit le faire si nous voulons la paix dans le nord. Ces opposants nous disent ce que nous devons faire pour aller à la paix car on ne peut pas dire qu’un remède n’est pas bon et ne rien proposer.

  20. Je ne sais ce que cherche ces opposants. Les députés sont là pour adopter les lois si celles ci sont importantes pour le pays. Le président n’a pas pris une ordonnance pour faire passer ce projet de loi.

  21. Toute personne consciente n’écoutera jamais les idioties de ce troupeau de bœufs. IBK a d’énormes projet de sortie pour le Mali. Voilà des personnes qui sont incapables d’apporter le développement chez elles et elles se permettent d’accuser les autres sur le travail qui leur incombe.

  22. Je pense que ces bandes d’écervelés ne connaissent même pas les textes de notre loi fondamentale qui est la constitution. Je leur demande de réviser les accords et la constitution. Les accords s’adaptent à la constitution. Bande d’ignorants

  23. Chaque situation a sa manière d’être résolu alors ils doivent comprendre que nous devons impérativement passer par là pour retrouver un état normal.
    Je pense que Soumi comprenait la langue de Molière pour savoir qu’on disait ”autorités intérimaires”

  24. il faut juste ne plus commenter sur maliweb. que le poste de souteneurs du régime. c’est ça un réseau social. abandonnons ce site pendant que il est temps.

  25. Le président de la république ne s’engagerait pas dans un accord qui mettrait en mal l’intégrité de notre pays à quelques niveau que ce soit. Ces personnes comme Soumaïla et autres qui rejettent du revers de la main les accords de paix seront surpris par la paix dans notre pays. On verra ce qu’ils diront en ce moment pour se défendre.

  26. Les autorités transitoire sont nécessaires dans la mise en œuvre des accords de paix. Mais puisqu’il s’avère qu’il y a des insuffisances de part et d’autres; il faut que le comité de suivi avec les différents acteurs puissent se concerter pour aplanir les angles afin que nous puissions aller résolument à la paix.

  27. Quel que soit le temps que cela va mettre les autorités transitoires sont nécessaires. Il faut que les députés adoptent le projet de loi car c’est un des dispositifs prévus pour la mise en œuvre des accords d’Alger II. L’annulation de ce paramètre remettrait en cause donc tout l’accord car cette disposition a été prise avec le consentement de tous les acteurs.

  28. Dans le cadre de la mise en application des accords de paix; l’état a tous les moyens à tous les niveaux que ce soit constitutionnels, juridiques, politiques pour créer les conditions en vue de la mise en œuvre de cet accord c’est pourquoi la clause de non fonctionnalité des collectivités locales n’est pas prise en compte. C’est une disposition particulière et les élus locaux doivent le comprendre.

  29. Ces gens n’ont jamais voulu des accords de paix. Ils mettront donc tous les moyens qu’il faut pour le mettre à mal. La mise en place des autorités transitoires est une disposition spéciale et très importante pour la paix. Ce n’est pas parce ces opposants n’y ont pas leur compte qu’ils vont voir le mal partout. Nous on veut la paix que cela les arrange ou pas!

  30. Ils peuvent bien saisir qui ils veulent. S’ils n’ont pas d’yeux pour lire ou d’intelligence pour comprendre les écrits; ils peuvent continuer dans leurs enfantillages. Quand on dit de réviser la constitution: tout le monde sait que la constitution de 1992 ne réponds plus à nos exigences mais tout le monde sait qu’avec la situation de notre pays ne nous permet pas d’organiser un referendum raison pour laquelle l’article des accords de paix donne légitimité à toutes ces décisions.

  31. Article 3 des accords d’Alger : Les Institutions de l’Etat malien prendront les dispositions requises pour l’adoption des mesures règlementaires, législatives, voire constitutionnelles nécessaires à la mise en œuvre des dispositions du présent Accord, en consultation étroite avec les Parties et avec le soutien du Comité de suivi prévu par le présent Accord.
    Je crois donc que c’est dans cette logique que la révision constitutionnelle et l’installation des autorités transitoires doivent intervenir.

  32. Les élus des Régions de Tombouctou, Gao et Kidal, les responsables des groupes armés ,comité de suivi de l’accord pour la paix et la réconciliation et le gouvernement doivent parler de la même voix afin de faire comprendre les dispositions de l’accord et pour permettre l’installation des autorités transitoires.

  33. L’accord de paix ne peut pas satisfaire tous nos désirs il faut que le comité national de suivi qui a été mis en place il y a quelques semaines; puissent trouver des solutions pour ne pas retarder de plus la mise en œuvre de l’accord qui pourrait le rendre vulnérable.

  34. L’accord de paix connait des avantages comme des inconvénients car il y a des mesures qui sont objet d’un bouleversement institutionnel sans précédant. Il faut donc que les élus locaux puissent éviter d’y faire obstacle pour la bonne marche des accords de paix.
    Il faut que les députés puissent statuer pour qu’on sache leur position sur la mise œuvre des autorités intérimaires.

  35. Je ne vois pas comment la mise en place des autorités intérimaires sera un pas vers la partition de ce pays? L'accord de paix issu du processus d'Alger est la seule chose qui doit compter aux yeux des maliens, actuellement. Et ces autorités transitoires ne feront que conduire le processus de paix. Il n'y aura pas d'inconstitutionnalité.

  36. La constitution du 25 février 1992 devrait être révisée pour que l’accord de paix d’Alger ne soit pas violateur d’un texte fondamental. Mais les choses ont fait que cette révision ne pouvait pas avoir lieu au temps voulu, voilà pourquoi l’accord a été adopté malgré la présence de cette constitution. Mais une fois que les choses seront mises en place, on procédera à cette révision. Donc les autorités transitoires seront mise en place dans les régions du nord pour faciliter l’application de l’accord de paix.

  37. On ne doit pas faire confiance aux opposants maliens. Ils cherchent juste des places. Apparemment ils font comme s’ils sont prêts à sacrifier leur vie pour la cause de la nation. Une fois à une poste, ils cherchent à remplir d’abord leur poche.

  38. Les opposants de cette nation n’ont absolument aucun sens de l’État. Au lieu d’aider et accompagner, en cette période exceptionnelle, les teneurs du pouvoir, ils préfèrent s’isoler dans leur camp d’opposition véreuse et affameuse du pouvoir. Peu importe les conséquences de leurs actes, la seule chose que ces opposants veulent, c’est le pouvoir.

  39. Soumaila Cisse est qui,dans ce pays pour qu’on ait sa caution pour la mise en place des autorités intérimaires au nord Mali?Si cela est adopté par l’assemblée nationale,cela sera exécuté.

  40. La mise en place des autorités transitoires est une obligation pour le gouvernement malien qui veut du retour de la paix et de réconciliation nationale et qui est fidèle à ses engagements contenus dans l’accord qu’il a signé avec les groupes armés. Ces autorités transitoires représentent une disposition de l’accord de paix.

  41. Soumaïla et sa bande d’incapables d’opposants ne sont que des malhonnêtes, ennemis de la nation. Actuellement ce pays a besoin de tous ces fils pour sauver l’honneur de ceux qui ont été des grandes personnalités du Mali et de tout le monde entier, à savoir : Modibo Keïta (l’un des initiateurs de l’OUA), Soundiata Keïta, Fily Dabo Sissoko, Babemba Traoré, j’en passe. Au lieu qu’il se met à critiquer la gestion d’IBK durant l’année 2015, qu’est-ce qu’il a fait pour ce pays durant la même année, en tant que chef de file de l’opposition politique? D’ailleurs quel opposant de ce pays n’a soutenu l’accord de paix ? Donc ils ne peuvent pas se rebeller contre le projet de loi qui doit instituer les autorités transitoires.

  42. Si c’est une exigence pour que la paix puisse revenir dans ce pays que ces autorités transitoires seront déployées, nous sommes pour. La constitution malienne n’a pas été violée et ne le sera pas sous Ibrahim Boubacar Keïta. L’opposition peut aller au diable avec sa menace de saisir la cour constitutionnelle pour anti constitutionnalité du projet de loi instituant les autorités intérimaires.

  43. Les opposants maliens sont devenus des opportunistes ils profitent des situations de la tristesse des pauvres maliens comme argumentation politique.Soumaila Cisse et tous ces autres opposants peuvent en aucune manière discréditer le président IBK

  44. Il n’y aura pas de partition de cette nation. En tout cas pas avec l’institution des autorité transitoires qui conduiront le processus de paix et de réconciliation nationale qui consacre l’intégrité territoriale de notre État. Donc que ces affamés du pouvoirs, opposants je voulais dire, nous laisse respirer.

  45. Soumi ainsi que tous les autres opposants n’ont aucun projet concret pour le Mali.Ils ne font rien pour faire avancer le pays.Le peuple malien n’est pas dupe.On sait qui est qui dans ce pays et on sait qui peut faire quoi pour ce pays.

  46. Le projet de loi instituant les autorités intérimaires n’est pas ce que les opposants e pensent. La constitution malienne n’est pas contre la mise en œuvre de l’accord de paix issu du processus d’Alger. La cour constitutionnelle ne peut pas être saisie pour anti-constitutionnalité dudit projet une fois adoptée. Car l’accord de paix n’a pas été sanctionné comme étant anticonstitutionnel.

  47. Ces opposants tel que Soumaila Cisse sont des vrais virus ils essayent de propager la zizanie entre nous. Ils veulent embobiner tous les maliens avec leurs virus d’égoïsme et d’inconscience. Le Mali d’abord.

  48. Les autorités transitoires auront pour fonctions de conduire le processus de paix pour une bonne application de l’accord de paix. La constitution ne sera pas violée par ce projet de loi. La cour constitutionnelle du Mali ne peut pas être saisie par les opposants pour adoption d’une loi qui vise à faciliter le retour de la paix dans notre pays.

  49. Les autorités transitoires conduiront le processus de paix et prépareront le terrain pour l’organisation des élections locales. J’invite Soumaïla Cissé à être réaliste. Le pays est dans une situation de crise. Donc une période exceptionnelle dans laquelle toutes les dispositions de la constitution ne peuvent pas être suivies. L’opposition doit avoir honte d’elle-même. Après avoir soutenu l’accord d’Alger dans le passé, elle veut dire qu’elle s’oppose au projet de loi sur les autorités intérimaires qui est une disposition de l’accord qu’elle a soutenue.

  50. Chers maliens ne nous laissons plus manipuler par les jeux politiques de certains hommes politiques de notre pays comme Soumaila Cisse. Il est temps que nous fassions beaucoup attention pour ne pas tomber dans leur piège ils ne visent que leurs intérêts personnels.

  51. La mise en place des autorités intérimaires se fait pour que le Mali ait la paix.La paix est plus importance que les problème de personnes.C’est l’intérêt général qui doit emporter sur les intérêts individuels qui sont que égoïstes.

  52. De toute les façon l’opposition n’a jamais soutenu une action qui va dans l’intérêt du mali.Sa réaction ne nous surprend donc pas.

  53. On n’a nullement besoin de sa caution pour faire quoi que ce soit dans ce pays.Soumaila Cissé n’est rien dans ce pays.C’est le gouvernement malien qui en a décidé ainsi et c’est comme ça que ça va se passer.

  54. Le projet de loi relatif à la nomination des autorités intérimaires est sur la table des députés à l’assemblée nationale.Si la loi passe ,elle sera appliquée et l’opposition ne pourra rien contre ça.

  55. Nous avons ici au Mali des opposants qui ne songent pas à l’intérêt du pays et qui changent à tous les temps ce qu’ils disent. Ce que les opposants maliens doivent comprendre, la gestion des affaires de l’Etat est un problème de l’autorité légale.

  56. Pour la mise en pratique de l’accord de paix et de réconciliation, je pense que ce projet de loi sur les autorités intérimaires est salutaire pour la crise du septentrion malien. L’opposition doit ouvrir les yeux et regarder la réalité en face.

  57. Je pense que l’opposition n’appelle pas à la concertation nationale mais plutôt à la haine et à la violence. Le gouvernement ne fait rien sans que la population ne soit imprégner de la situation, nous sommes dans un État démocratique avec le régime le plus démocratique que le pays n’est jamais connu.

  58. Tu as raison, les critiques ne sont plus d’actualité, le mode de travail de l’opposition doit changer. Elle doit proposer, faire des propositions crédible et avantageux pour une sortie de crise favorable pour le pays. La population malienne a perdue toute la confiance dont elle garde en cette opposition. 😕 😕 😕 😕

  59. Tu as raison, les critiques ne sont plus d’actualité, le mode de travail de l’opposition doit changer. Elle doit proposer, faire des propositions crédible et avantageux pour une sortie de crise favorable pour le pays. La population malienne a perdue toute la confiance dont elle garde en cette opposition.

  60. Tous les actions gouvernementales sont toujours saboté par l’opposition. L’opposition peut dire ce qu’elle veux, le projet de loi portant sur la mise en place et en fonction des autorités intérimaires est salutaire et même favorise l’accord de paix et de réconciliation.

  61. Je pense que nous avons dépassé ce stade de la critique à plus forte raison des critiques insensés et même désavantageux. Le pays a besoin de nouvelles actions, de nouveaux horizons sur le plan politique dans le cadre de la bonne gestion du pays. Les critiques ne sont plus d’actualité.

  62. Le gouvernement est en train de travaillé sur la mise en place dans le Nord des autorités de transition prévues par l’accord de paix. C’est l’accord de paix qui l’exige, donc pour le respect scrupuleux de l’accord le gouvernement est en pied d’œuvre pour la mise en place des autorités transitoires dans le nord Mali.

  63. La Visite hasardeuse de Moussa Mara a été un coup lourd pour notre pays Moussa Mara a mit la charrue avant les bœufs. L’Etat malienne regrette cette visite qui n’a fait que suscité des polémiques au sein du pays.

  64. Après la création des régions du nord il est tout à fait primordiale que des autorités intérimaires soit désigner avant les élections communales. Le régime au pouvoir fera tout sauf porter préjudice ou atteinte à la constitution de se État.

  65. Ce dont l’opposition fait semblant d’ignorer est qu’il est tout à primordiale que c’est autorités intérimaires soit mise en fonction pour tout d’abord dans les intérêts de la population civile. Ce projet de loi sur les autorités ne signifie en aucun cas une possible répartition de notre pays.

  66. L’opposition ne raconte que des balivernes, c’est dans les principes de l’accord de paix et de réconciliation que des autorités intérimaires doivent être mise en fonction dans certains lieux du nord Mali. Il n’y a pas de possible séparation du pays dans l’accord de paix issu du processus d’Alger alors comment es que le projet de loi sur les autorités intérimaires peut-elle séparer le Mali.

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