Le président de la commission de la CEDEAO condamne les actes de violence à Kidal

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Le président de la commission de la CEDEAO condamne les actes de violence à Kidal
Le président de la Commission de la Cédéao, Kadré Désiré Ouedraogo, le 9 novembre 2012 à Abuja
© AFP

Abuja, 18 mai 2014 – La communauté économique des états de l’Afrique de l’ouest (CEDEAO)  vient d’apprendre, avec beaucoup de préoccupation, la détérioration grave de la situation politico-sécuritaire survenue dans la nuit du 17 au 18 mai 2014 dans la ville de Kidal et qui a causé des pertes en vies humaines.

Devant cette situation déplorable, le Président de la Commission tient à condamner avec fermeté les actes de violence perpétrés suite à la visite du Premier Ministre dans cette localité. Il déplore surtout avec tristesse les pertes en vies humaines et les blessés de part et d’autre et présente ses condoléances les plus attristées au Gouvernement et aux familles éplorées.

 

Le Président de la Commission de la CEDEAO saisit cette occasion pour réitérer l’adhésion totale de la CEDEAO à l’Accord préliminaire à l’élection présidentielle et aux pourparlers inclusifs de paix signé le 18 juin 2013 à Ouagadougou et surtout aux principes cardinaux y contenus relatifs à l’intégrité territoriale, à la souveraineté et au caractère laïc de l’Etat républicain du Mali.
Il exhorte ainsi toutes les parties prenantes à la retenue et à la recherche de solutions durables mutuellement acceptables par des voies pacifiques. Le Président de la Commission en appelle à toutes les parties prenantes maliennes pour qu’elles reviennent à l’esprit de l’Accord de Ouagadougou et que les dernières orientations définies par le Président de la République, SEM Ibrahim Boubacar Kéita, soient immédiatement mises en œuvre pour un démarrage effectif des pourparlers inclusifs avec les mouvements armés.

Le président de la commission de la CEDEAO 

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3 COMMENTAIRES

  1. Ce monsieur de Kadré est faux type et maudit. Il est dans tous les manœuvrages au Mali, lui et son Blaise Compaoré.

  2. Vous pouvez continuer à rêver.
    L’accord de Ouagadougou n’est plus à l’ordre du jour.
    C’est fini! A ban na!

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