Après la crise politico-sécuritaire que le Mali a traversée en 2012, le gouvernement du Mali a privilégié le dialogue pour faire taire les armes. En effet ce dialogue se tient à Alger entre le gouvernement du Mali et les groupes armés.
Le conférencier dans son exposé linéaire a affirmé que tout le monde était unanime que la tâche majeure du président élu lors de l’élection présidentielle de 2013 sera la résolution de la crise du Nord, d’où le choix porté sur IBK. Mais force est de constater que depuis son accession à la magistrature suprême les maliens vont de déception en déception tellement les coups qu’ils reçoivent sont aussi durs les uns après les autres. Le dernier en cours est le fameux préaccord d’Alger qui jette les bases du futur éclatement de notre pays. La mauvaise analyse des causes profondes de la crise ainsi que sa manifestation, de la situation du Mali en générale et en particulier celle des régions du Nord a signalé notre orateur. Selon le MP22 le gouvernement est entrain de privilégier les régions du Nord au détriment des autres régions, certains ethnie notamment les touaregs au détriment des autres ethnies des trois régions. Le MP22 ne reconnait pas la nationalisation de ces groupes armés.
En effet, le conférencier a signalé que des gens qui ont passé 30 à 40 ans dans la légion islamique de Mouammar Khadhafi prennent le fruit de leur imagination malade pour la réalité malienne, soit, mais qu’une délégation gouvernementale malienne puisse donner crédit à de pareilles fadaises. Tout cela n’est que phraséologie dans un mélange éclectique destiné à satisfaire les parties prenantes aux négociations. En effet, tous les malien s savent aujourd’hui que le président IBK n’a aucune velléité novatrice et que les groupes rebelles indépendantiste ne songent qu’à la prochaine étape de leur mouvement pour l’indépendance.
Selon eux dans l’article I (nous paraient flou). Ils pensent que le président est entrain de promettre des choses impossibles à réaliser et qu’ils ne croient pas à la lutte contre la corruption et l’impunité. Alors que l’année 2014 a été décrétée par le président de la république comme année de lutte contre la corruption, elle fut caractérisée l’année la plus corruptrice que le Mali n’a connue depuis l’indépendance. L’achat de l’avion présidentiel, l’achat des matériels militaires pour ne citer que ceux-ci en sont des illustrations. La question que la population lambda se pose est que le président de la république peut il mener à bien la lutte contre la corruption ? Son slogan lors de sa campagne mon pays d’abord est en passe de devenir ma famille mes proches et mes camarades d’abord
Pour clore le secrétaire générale invite les maliens à une vigilance et à une observation sans faille concernant la gestion de cette crise par ce qu’elle détermine notre futur et celui de nos enfant
Bissidi S
Source: La Sirène
C edt pas IBK qui gouverne c est ses amis de l international socialisme qui mene la donne et lui n est qu un gouverneur colonial entre les pays arabes et leurs islamisation arabique du mali pour avoir leurs part du gateau car avec des aides de 10.0000 corans on laisse les mines et d autres richesses du pays a leurs solde l islam est devenu un fond de commerce sur ce territoire par des crapules et amis de la mafia politico economico religieuse. Il faut oser le dire sans avoir peur des mots. Les hommes les plus riches sont les porteurs de malettes venant du Qatar et autres. C est le cancer de ce pays . Sans oublier hollande fabus ledrian et autres pour des questions géopolitiques et geostrategiques avec un peu d economie n oublier pas quil y a areva a côté
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