C’est le mercredi dernier que la France a pris possession des deux premiers drones de surveillance américains Reaper qui devraient être déployés avant la fin de l’année dans le nord du Mali. Cette acquisition avait été décidée au printemps dernier par le ministère français de la Défense. Parmi ces engins, on peut citer les drones MALE (moyenne altitude longue distance) qui sont des appareils de reconnaissance sans pilote.Une fois déployés, les deux premiers Reaper fabriqués par la société américaine General Atomics renforceront la capacité de surveillance et de renseignement des forces françaises et permettront des tirs de missiles sur les groupes armés activant dans tout le Sahel. Rappelons que le ministre français de la Défense, Jean-Yves Le Drian avait annoncé, en juin dernier, que Paris voulait acheter au total douze drones Reaper aux Etats- Unis, une acquisition dont le montant est évalué par ses services à 670 millions d’euros.
Pourtant, des craintes subsistent encore quant à l’utilisation de ces appareils sans pilote. En Afghanistan ou au Pakistan, leur utilisation par l’armée américaine contre les Talibans a été très décriée en raison d’énormes pertes en vies humaines que ces appareils peuvent souvent engendrer. D’autant plus que la région du nord du Mali est également très fréquentée par les nomades d’où l’inquiétude suscitée par certains craignant de voir ces frappes ciblées entrainer des bavures.
Massiré Diop
Les faits se déroulent en Angola, au pays de José Eduardo Dos Santos (photo ci-contre).
Au début du mois d’octobre 2013, les musulmans particulièrement en majorité des guinéens vivant à Luanda dans la commune de Viana Zango ont eu la mauvaise surprise de voir le minaret de leur mosquée démontée en pièces au motif que celui-ci était mal fait et monté sans autorisation. Le jeudi 03 octobre, au petit matin, les autorités angolaises ont décidé de détruire la mosquée de Zango situé dans la commune urbaine de Viana km 17. Le gouverneur de la ville de Luanda Bento a annoncé dans une radio de la place que les musulmans radicaux ne sont pas les bienvenus en Angola et le gouvernement angolais n’est pas prêt pour la légalisation des mosquées en Angola.
Et avant-hier, mardi 19 novembre, c’est la ministre de la culture de ce pays qui montre la radicalisation du pays face à l’Islam. La ministre de la Culture, Rosa Cruz e Silva a déclaré : « En ce qui concerne l’Islam, dont le processus de légalisation n’a pas été approuvé par le ministère de la Justice et Droits de l’Homme, leurs mosquées seraient fermées jusqu’à nouvel ordre ».
Il faut noter aussi le gouvernement angolais a promis de faire la chute de toutes les mosquées une priorité. Les deux seules mosquées qui se trouvent à Luanda ont déjà reçu un document d’avertissement de l’administration de Viana signé par le maire de la commune de Viana José Moreno.
LES TERRORISTES DU MNLA SONT TELLEMENT VISIBLES QU ON A PAS BESIN DE DROMES.
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