La présence de la seule Administration pour la tenue de l’élection présidentielle de juillet 2013 est aujourd’hui une préoccupation majeure pour les travailleurs du Mali. Pour manifester leur inquiétude sur la question, les représentants de l’Union nationale des travailleurs du Mali (Untm) étaient face à la presse, mardi 28 mai 2013, à la Bourse du travail. Ils en ont également profité pour faire le point des revendications de 2010 qui ont connu des avancées.
Le premier tour de l’élection présidentielle aura lieu, en principe, le 28 juillet au Mali, suivi, deux semaines plus tard, d’un éventuel second tour «sur toute l’étendue du territoire national», confirme un décret adopté lundi en Conseil extraordinaire des ministres. Une décision tout à fait partagée par les syndicalistes de l’Union nationale des travailleurs du Mali, acceptant de privilégier la présidentielle de 2013 afin d’abréger une transition qui, selon le Secrétaire général, Siaka Diakité, peine à conduire le pays qui sort exsangue des graves chocs qu’il a connus. Par contre, le patron de l’Untm a fermement rejeté, à la suite de la dite rencontre, une éventuelle tenue de l’élection présidentielle à Kidal sans la présence de l’armée. A ce titre, il a appelé les autorités en charge de la transition à être réalistes et à prendre les dispositions nécessaires afin que l’armée et l’administration maliennes puissent se déployer sur l’ensemble du territoire national. «C’est un parjure d’admettre que la région de Kidal soit sous administration des troupes étrangères amies qui nous accompagnent, sans notre présence. Il est inadmissible d’envisager le redéploiement de notre administration sans notre armée dont le poids politique exprime la souveraineté et l’indépendance de notre pays. Ce sera une faute politique grave que nous dénonçons, dont le coupable désigné reste le gouvernement du Mali, qui aura renoncé à assumer son rôle politique dans la définition de la stratégie nationale de défense de l’intégrité de notre territoire», a-t-il estimé
Faisant le point sur les avancées des revendications, notamment du 2 octobre 2010 et du 1er janvier 2013, le Secrétaire général de l’Untm rassure les militants sur l’engagement du gouvernement renouvelé pour combler leurs attentes. Selon lui, c’est le Conseil national du patronat du Mali (Cnpm) qui est manifestement lent dans sa réponse. En outre, Siaka Diakité explique que son bureau a déposé le 1er mai 2013 un cahier à profit pour rappeler les revendications tout en mettant en exergue la préservation des intérêts géopolitiques et géostratégiques du Mali. «En effet, nous ne devons jamais oublier que dans les relations entre les Etats, les intérêts occupent toujours la première place», a-t-il conclu.
Ibrahim M.GUEYE
HUMMMM LE S.G de l’UNTM ????????????????????????
MAIS QUE VE CE TYPE ???????????????????????????
La France est derrière le problème de Kidal France n’a toujours pas établi le double jeu sale France pays divisé qui consacre ses intérêts impérialistes et pour aider à promouvoir les criminels et les bandits de la rébellion minoritaires à semer le chaos malien doutait que si la France est intervenue créer un autre problème encore divisée pays que les politiciens français sont des poisons
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