Pour la relance du processus de paix : Bouteflika invite IBK à Alger

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Visite d’IBKA l’invitation du président de la République algérienne, Abdelaziz Bouteflika, le président de la République, Ibrahim Boubacar Kéita, a entamé hier “une visite de travail et d’amitié en Algérie du 30 août au 1er septembre 2015”. Ce voyage intervient dans une situation de reprise des hostilités entre groupes armés rivaux au nord.

“Cette visite confortera une longue tradition de fraternité, de solidarité, de coopération et de bon voisinage, qui existe entre l’Algérie et le Mali”, précise le communiqué de la présidence de la République.

Les entretiens qu’auront à cette occasion les deux chefs d’Etat leur permettront d’échanger leurs vues sur les questions régionales et internationales, au premier chef desquelles la mise en œuvre de l’accord d’Alger pour la paix et la réconciliation au Mali et au bénéfice de ses voisins ainsi que de la sécurité dans la sous-région, ajoute la même source.

Les orientations des présidents Bouteflika et Kéita guideront aussi les travaux des délégations des deux pays pour la promotion de la coopération bilatérale et des échanges dans tous les domaines au bénéfice des deux peuples, conclut le communiqué.

 

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2 COMMENTAIRES

  1. Ce President qui n’est pas particulierement vivace et changeant ,a choisi un pays Arabe comme Mediateur.Il aurait ete plus a l’aise avec ses collegues de la CEDEAO.Pour moi,cet Accord est plein de contradictions,c’est-a-dire qu’il n’y a pas une correlation directe entre les objectifs et les outputs.C’est une negociation de dupes.Si l’on n’y fait pas attention,il n’y aura pas de cantonnement,de desarmement,et de demobilisation.Si l’on n’y fait pas attention,les soldats qui ont deserte vont retourner dans l’armee du Mali et s’ils sont Officiers,ils vont commander nos soldats.Les negociations qui ont ete completement bouleversees par des soi-disant complements d’informations ont perdu leur valeur.
    Quand il y a des institutions crees pour resoudre un cas d’espece,il faut les utiliser.
    Il ne faut pas aussi que les mediateurs se substituent aux parties et introduisent des menaces pour couper cours aux arguments de poids qui ont ete employes dans le passe.
    Des pourparlers inclusifs,on est tres loin.Les intruisons des uns et autres pour defendre des pretendus interets.

  2. Certes l’Algérie a choisi d’être médiateur….mais on ne peut s’empêcher de penser qu’elle
    peut beaucoup dans la neutralisation des groupes armés…

    Ce pays est mystérieux et absent

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