Perte de Kidal du giron malien : IBK et Moussa Mara coupables au même degré ?

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En politique on a l’habitude d’attendre de la part des militaires que les responsables ont la langue fourchure à l’image de celle du varan. Ce qu’ils disent aujourd’hui est diffèrent de celui de demain. Ces paroles se révèlent être justes de plus en plus, surtout sous le régime actuel ou ce qui s’est dit pendant la campagne électorale est diamétralement opposé à ce qui se fait une foi le poste obtenu. Ainsi va la politique au Mali désormais. Notre surprise est grande lorsque nous avons lu les recommandations préliminaires de la commission mise en place pour enquêter sur les événements du 21 mai 2014 à Kidal. Cette commission d’enquête parlementaire a recommandé ce qui suit :

En dépit des alertes et mises en garde formelles données à Gao, par le commandant des FAMAS présent à Kidal, par la MINUSMA et SERVAL et les témoins oculaires des éléments précurseurs, le Premier ministre refusa d’annuler sa visite sur Kidal le samedi 17 mai, ni de réduire la taille de la délégation. Il faut en déduire que, ni le chef d’Etat-major général des armées, Général Mahamane TOURE, ni le Premier ministre n’ont fait preuve de prudence. Interrogé sur l’opportunité de continuer la visite sur Kidal, suite à l’empêchement de la mission précurseur d’y atterrir, des tirs à l’arme de guerre par les groupes armés et les troubles perpétrés la veille, le Premier ministre a répondu comme suit :

« à la fin de la réunion que nous avons eue à Gao, lorsque la décision a été prise de partir à Kidal, j’ai dit aux autres membres de la délégation que personne n’est obligé d’aller à Kidal. Celui qui veut peut retourner à Bamako. Tous, à l’unanimité, ont décidé de partir à Kidal. J’ai demandé à Monsieur Soumeylou Boubèye MAIGA qui était souffrant, de retourner à Bamako, compte tenu de son état de santé… »

La question de partir ou de ne pas partir n’est pas moins qu’un baroud d’honneur pour les membres de la délégation, qui au risque de sacrifier la solidarité gouvernementale à peine voilée, n’avait d’autre choix, ni droit au déshonneur.

En prenant cette décision, le Premier ministre a dénié toutes les règles et procédures normales de prise de décision dans le fonctionnement de l’appareil d’Etat et de bonne gouvernance, ce qui dénote l’entêtement et l’insouciance qui le caractérisent, son manque de respect et de considération pour les conseillers et leurs avis pertinents.

En effet, il ne fait aucun doute que le Premier ministre, a disposé d’informations et de conseils opportuns, avant de prendre la décision de visiter Kidal, et poursuivre cette visite, en dépit des alertes formelles données à Gao et des événements ayant précédé à la veille.

Le Premier ministre Moussa MARA, a par ailleurs affirmé que les trois régions du nord-est (Tombouctou, Gao, et Kidal) sont déclarées zone de guerre, suivant décret n°13-628/P-RM du 28 juillet 2013 instituant « OPERATION MALIBA ».

En égard à tout cela :

La commission d’enquête parlementaire recommande ce qui suit :

-l’ouverture d’une enquête judiciaire contre Moussa MARA en sa qualité de Premier ministre chef du gouvernement, dont la décision politico-administrative de visiter Kidal à tout prix, est à l’origine de l’assassinat de fonctionnaires et agents de l’Etat, de la mort banale des FAMA et de l’éviction de l’Etat de Kidal.

Comparons ces recommandations quant aux termes du discours du Président IBK le 19 mai 2014 dont nous vous livrons les éléments essentiels à savoir :

Vous avez suivi les développements tragiques que les mouvements armés ont tenu à donner à la visite du Premier ministre à Kidal, samedi 17 mai 2014 à Kidal, où il fût reçu sous des balles et des tirs à l’arme lourde par les groupes armés. Et ce n’est là, ni plus ni moins, qu’une déclaration objective de guerre à l’état du Mali, au moment où tout est mis en œuvre pour relancer les pourparlers devant conduire à une paix définitive au nord, à travers un dialogue inclusif.

Sous les balles de snipers qui n’hésitent pas, à leur manière lâche, à se servir de femmes et d’enfants comme chair à canon, comme bouclier humain placé entre deux feux. Des soldats de l’armée malienne ainsi que de paisibles citoyens, sont tombés. Et même dans l’esprit comme dans la lettre de l’accord préliminaire de Ouagadougou, il ne peut subsister aucun doute sur l’appartenance de Kidal à la République du Mali dans ses frontières internationalement reconnues. Je vous fais le serment que ces crimes odieux ne resteront pas impunis. Le Premier ministre, dont je salue le courage, le sang-froid, l’esprit patriotique et le sens élevé de l’état, ne posait aucun acte de provocation à travers cette visite à Kidal. Au contraire, suivant en cela mes instructions, et dans l’exercice de ses prérogatives, il s’y rendait pour écouter notre peuple, en prélude aux pourparlers dont les animateurs et les détails se mettaient en place autour de l’ancien Premier ministre Modibo KEITA, aîné de valeur et de mérite.

Oui, le développement harmonieux, intégré et intégral du pays !

De Diboli à Labezzanga, de Zégoua à Tinzawaten

Partout, le Mali utile ! Nulle part, un Mali moins utile ! Et jamais, un citoyen malien ne sera privilégié par rapport à un autre !

Tous les citoyens sur le même pied d’égalité, toutes les régions logées à la même enseigne !

Mais personne ne prendra le Mali en otage. Personne !

Je n’ai pas d’autre honneur que de remettre à mon successeur, demain, un Mali debout, uni et un.

Ce Mali debout, uni et un, ce Mali qui arrive à nourrir, soigner et scolariser ses enfants, ce Mali qui crée de l’emploi et prend en charge sa jeunesse, je m’y suis engagé et je ne faiblirai pas sur cette voie.

Plus jamais, une délégation de l’état ne sera prise à partie à Kidal.

Je ne laisserai pas ces mouvements armés, certains qualifiés de terrorisme, d’autres désignés de manière commode comme rebelles, mais tous, réunis et solidaires à nouveau, comme ils le furent lorsqu’ils perpétraient, ensemble, l’horreur d’Aguelhoc, mais tous, de connivence avec le narcotrafic international, je ne les laisserai pas, disais-je, continuer à faire la loi, ni à Kidal, ni dans une autre partie de notre territoire.

Le Président que je suis, investi de la confiance des maliens et tenu par la constitution du Mali, assumera ses charges, toutes ses charges. Le gouvernement du Mali jouera pleinement son rôle. En particulier, les auteurs de ces prises d’otages et exécutions sommaires seront poursuivis devant les juridictions nationales et internationales.

La souveraineté du Mali sur toute l’étendue de son territoire n’étant pas négociable, nos forces de défense et de sécurité en reconstruction assumeront, totalement, les missions que la constitution malienne leur assigne et que les maliens attendent d’elles.

Et alors, après avoir analyser la quintessence des deux textes où se situe donc la vérité ?

Pour notre part, le Chef suprême des armées, qui n’est autre que le Président de la République a fui sa responsabilité face aux maliens, à la France et à la Communauté Internationale parce qu’il ne voulait pas prendre une part d’humiliation. Nous pensons que s’il voulait éviter l’humiliation, la devise ‘’Plutôt la mort que la honte’’ était la meilleure voie pour reconquérir son honneur devant le peuple. Même dans le coran il est dit que, l’émissaire ne craint rien. MARA ne devrait donc pas être attaqué. C’est l’envoyeur qui en dosse la responsabilité. Pourquoi alors IBK en veut à son ex-premier Ministre Moussa MARA, après qu’il ait cautionné ladite mission et affirmez que l’attitude des rebelles n’est ni moins, ni plus qu’une déclaration de guerre en bonne forme ? Monsieur le Président, l’histoire nous enseigne que lors de la prise de Sikasso par le Colonel AUDEOUD, gouverneur par intérim du Soudan, Babemba TRAORE, roi de Sikasso a préféré se suicider après avoir ordonné à Tiécoura, le chef de ses gardes de le tuer. Il a dit en cet instant que : ‘’Moi vivant les français ne pénétreront jamais dans Sikasso’’. C’était le 1er mai 1898. Cent quatorze ans après cet acte, vous avez été confronté à la même situation, au lieu de vous assumer, vous voulez livrer votre ancien collaborateur, après qu’il ait été votre émissaire à Kidal. Etes-vous tranquille avec votre conscience, après avoir fui votre responsabilité ? Nous vous prions de ne pas en rajoutez à la colère des maliens dont seulement 15% au plus jugent votre bilan positif.

Seydou DIARRA

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  1. Pourtant pendant les quelques heures de récupération de Kidal ce jour là suite à cette même visite, les Maliens dans leur majorité faisaient l’éloge de SEM Ibrahim Boubakar KEITA, président de la république du Mali et de son premier ministre Moussa MARA. Ensuite, les forces du mal ont été secouru par une force venue d’ailleurs qui veillait sur les forces du mal dans leur combat contre le Mali.
    Chers Maliens arrêtons de nous entre remettre en cause, concentrons nous et donnons nous les mains pour le redressement.
    Le Mali à commencé à se relever, nous devons soutenir cet élan.
    Prions pour le repos éternel de nos honorables (il ne sagit pas des membres de l’AN) morts.

  2. Mara , du COURAGE continue ton chemin comme tu l’as toujours fait . Ne rentres pas dans le folklore animé par les GRIOTS de IBK . Au Mali , on ne sait plus : SI c’est L’HOMME QUI SUIT SON DESTIN ou SI C’EST LE DESTIN QUI L’HOMME .

  3. Soit Kidal est une partie du Mali , soit elle ne l’est pas . Il y a eu des morts avant l’arrivée de Mara , il y a eu des morts après le départ de Mara et il y en aura toujours . Arrêtez les réflexions ILLOGIQUES . Pourquoi cherche t on à tout prix à sacrifier Mara ? On cherche à CACHER LE DIABLE INVISIBLE dans cette histoire de la visite de Mara à Kidal . Donc cacher bien votre diable .

  4. Résolution de la crise du nord : 139 millions F CFA pour les Députés rebelles déserteurs, et combien pour les militaires maliens morts en mission ?
    Au commencement de la crise du nord, subitement, tous les députés de la région de Kidal et certains du cercle de Ghourmas-Rharouss ont déserté l’Assemblée Nationale du Mali à partir de janvier 2012. Comme prétexte, ils disaient que leur sécurité était menacée à Bamako. Ce qui est invraisemblable dans la mesure où le Professeur Agory Ag IKNANE, Mohamed Ag Erlaf et autres vivaient en paix à Bamako, même si certains les soupçonnaient d’être les yeux et l’esprit de la rébellion Touareg. C’est alors après le coup d’état du 22 mars, et le vote d’une loi d’amnistie de mai 2012, que les députés se sont révoltés contre le paiement des indemnités des députés Touaregs absents sans motif valable. L’honorable Younoussi TOURE, président de l’Assemblée Nationale pendant la transition en accord avec le bureau de l’Assemblée a fait sortir une note pour suspendre ces paiements. Ladite note ne concernait pas le Dr Oumar MARIKO, qui après le vote de la loi d’amnistie au profit de ses mentors (la junte militaire) a arrêté de venir à l’Assemblée Nationale, tout en demandant que ces indemnités soient reversées au Trésor Public, contre un reçu qui devrait lui être présenté par le questeur de l’Assemblée Nationale.
    Cette décision courageuse a été appliquée par les Députés de la quatrième législature, jusqu’à la fin de leur mandat en décembre 2013.Après la folle journée du 21 mai 2014 relative aux évènements de Kidal, qui avaient pour motif de récupérer le gouvernorat de Kidal par les FAMAS à la suite de l’empêchement du Premier ministre Moussa MARA d’effectuer une mission officielle que lui avait confiée le Président IBK à Kidal ils ont encore disparus. Même si cette version est contestée par le Président IBK et sa majorité parlementaire, parce que Moussa MARA est un candidat potentiel pour 2018, le discours du 19 mai 2014 est là pour recadrer un mensonge d’état.
    Les conséquences de cette sortie ont été la perte de Kidal pour l’Autorité Centrale, l’humiliation nationale, l’assassinat de 6 fonctionnaires administrateurs, de 50 éléments des FAMAS etc…
    Il s’en est suivi des négociations entre les parties à Alger, imposées par la Communauté Internationale. L’Autorité Centrale est allée à Alger la peur au ventre et pour se sauver, elle a tout cédé aux groupes rebelles, voire même le fédéralisme déguisé. C’est pourquoi la majorité des maliens pensent que IBK a trop cédé contre rien pour la République. C’est ce qui lui vaut aujourd’hui, un score de seulement 15% de maliens qui jugent son mandat à mi-chemin bon.
    Non contents d’avoir installé leurs combattants dans les collectivités territoriales tout en chassant les conseillers élus selon la constitution du 25 février 1992 dans l’ensemble des régions du nord, et de leur offrir, toute une zone d’habitation à Muegin-Sikoro appelée Kidal 2 où les beaux immeubles sortent de terre partout, ils réclament pour les députés déserteurs des arriérées de salaires pour lesquelles ils n’ont pas fait le travail. Ce montant s’élève dans le budget révisé la semaine dernière par l’Assemblée Nationale à 139 millions de F CFA pour environ cinq députés.

    • Que dire de cet acte du régime d’IBK lorsque ces députés sont encore dans la rébellion, car Kidal est interdit aux autorités maliennes ? Les députés auxquels l’état va payer 139 millions de F CFA acceptent sinon appuient cette situation. Du jamais vu, dans l’histoire d’une rébellion à travers la planète terre. Mais l’incompétence, et l’incapacité d’un régime se mesurent à la portée des actes antipatriotiques posés par ses dirigeants tout en muselant le peuple. On pourra être amené maintenant à dire que ça suffit !
      Nous en voulons aux députés de la cinquième législature, qui ont accepté de prendre à contre-pied les décisions des députés de la quatrième législature. Les rebelles continueront à coincer le régime d’IBK, tant que la rébellion reste un fonds de commerce pour les Touaregs.
      Déjà en mars 2016, votre journal serviteur a étalé au grand jour le montant de 7,5 milliards de FCFA pour les fonctionnaires et rebelles armés. Le régime a apporté un démenti sur l’idée et les chiffres annoncés dans votre journal serviteur.
      Voilà maintenant que la chose commence à pointer du nez à commencer par les députés, ensuite les fonctionnaires déserteurs. En ce qui concerne les combattants rebelles à cantonner, dans la convention signée le 19 juin par l’état et les rebelles, le gouvernement à accepter de prendre en charge financièrement ceux qui ont tué des milliers de maliens. La majorité présidentielle, la société civile seront les comptables de cette capitulation du régime face aux rebelles. Qu’est-ce que le régime d’IBK prévoit pour les soldats et les fonctionnaires maliens morts en missions commandées depuis l’attaque d’Alguelhoc en janvier 2012, de Kidal en 2014 et autres agressions contre les FAMAS depuis l’éclatement de la rébellion ?
      Pour une question de justice sociale, l’Etat doit assurer la prise en charge des familles des soldats morts lors de la rébellion, de 2012 à l’image de ce qui se fait en France.
      En effet, dans l’armée française, tous les soldats morts en mission commandée ont droit à une prise en charge totale de leurs familles.
      D’abord, l’Etat assure le salaire régulièrement à la famille jusqu’à l’âge de la retraite normale du soldat mort en mission commandée, ensuite la pension prend la relève. Également les études des enfants sont prises en charge par l’Etat.
      Actuellement, ce qui se passe lorsqu’un soldat meurt en mission commandée, l’Etat lui apporte 50 kg de riz et une somme de 50 000 F CFA. Au bout d’une semaine on presse sa famille à quitter le logement du camp, la mettant ainsi dans une détresse totale.
      Pour les 116 morts d’Aguelhoc l’Etat leur doit dans les conditions normales, 656 millions F CFA comme salaires pour les quatre premières années (2012-2015) après leur assassinat.
      Leurs ayant droit doivent percevoir mensuellement leurs salaires comme s’ils vivaient naturellement jusqu’à l’âge de la retraite. A l’âge de la retraite, les ayant droit percevront la pension normale. Sans cela, l’armée sera la grande perdante des différentes rebellions, parce qu’elle est muette.
      Pourquoi, ne pas confier cette mission réparatrice d’une injustice rapport aux FAMAS à la commission défense et sécurité de l’Assemblée Nationale du Mali. Si tel n’est pas le cas, le régime d’IBK va-t-il échappé à une plainte des parents des soldats morts en missions commandées contre lui après son mandat constitutionnel ?

      • En tout cas kopin T. Sankara, la question merite bien d’etre posée.
        Bref le president, son premier ministre et le ministre de la defense doivent compaitre devant Notre Haute Cour de justice. Lol
        Les vrais coupables se sont eux au lieu D3 chercher des boucs emissaires. Lolllll.
        Si cette visite etait bien preparée et planifiée Nous en serions pas là aujourdhui .

  5. Attention !!! Certains ont la mémoire courte. Souvenez-vous. IBK avait bien soutenu devant les Maliens, à la télé, qu’il était le Président le plus renseigné du continent, avant de se rétracter quelques jours plutard. Mais, souvenez-vous aussi de sa jubilation effrénée, en plein conseil de Ministres, lorsqu’il lui a été rapporté la fausse victoire de l’armée sur les rebelles à Kidal. Alors, vieux bourricot, tu n’est plus au courant? Avec son Moussa Marrant, ils sont vraiment des menteurs ces deux-là. Si le PM lui même a demandé à Boubèye de retourner à Bamako, pourquoi donc sa comparution devant la commission d’enquête? Reste maintenant IBKon, Moussa Marrant ou Mourant et le Général de pacotille Mahamane Touré au banc des accusés. Pour avoir défier les rebelles dans leur sanctuaire, au mépris des mises en garde des forces étrangères en présence à Kidal,en violation des accords de Ouagadougou,avoir laisser se faire assassiner de nombreux compatriotes à cette occasion, ils doivent comparaître devant la haute cour pour haute trahison, jugés, condamnés et pendus haut et court ou pour faire gentil-gentil, les faire passer par les armes comme ce serait pour leur complice Sanogo, le serpent sale. Trop de vauriens à la tête de ce beau pays foutu en l’air par la faute de gens incapables. Aucune noblesse dans leur comportement. Le noble meurt pour sa parole. Aucun d’entre eux ne veut assumer. Des femmelettes en somme.

  6. Voilà de la matière pour ceux qui veulent astreindre ATT devant la haute cour. Ici, c'est sans équivoque. Vivement Moussa Marrant et sa vieille bourique de Président devant la cour de justice pour haute trahison. Comme quoi, il faut toujours élargir le trou du piège que l'on creuse pour son ennemi.Convaincus de haute trahison, Dieu a tranché. Voilà ATT blanchi, ses ennemis noircis. Allez, envoyez-les au gnouf, qu'on en finisse. Bande de crétins!!!!

  7. A propos de cette histoire de Kidal nous sommes tous conscient que l’ancien premier ministre a joué la sourde oreille concernant cette visite forcée dans la région de Kidal.Malgré tous les avertissements.

  8. « Aucune fanfaronnade politicienne ne me fera prendre mon avion pour me rendre à Kidal et conduire les fils du pays à s’entretuer. »Cette déclaration de président veut tout dire a propos de cette histoire tragique de Kidal.

  9. Dans cette situation de Kidal l’ancien premier ministre a mal jugé les faits ou a sous-estimer la force des groupes armes qui occupait le nord de notre pays.Avec les resultats de cette investigation nous comprenons que l’ancien premier ministre a essayer de forcer un peu les choses.

  10. Impossible pour l’ancien ministre d’indexer le président de la république pour les événements de Kidal car il a été bel et bien averti de la situation des lieux mais il a préféré aller quand même.

  11. Les responsabilités de ces événements de Kidal sont Moussa Mara, Soumeylou Boubeye Maïga, ancien ministre de la défense et du général Mahamane Touré, chef d’état-major général des armées,c’est eux qui ont organisé ce tourné de force au nord du pays et qui a eu une suite tragique.

  12. Nous savons tous qui sont les responsables de cet événement odieux qui s’est produit a Kidal lors de la visite de l’ancien premier Moussa Mara en mai 2014 qui a couté la vie a plusieurs soldats maliens attaqués par ces groupes armes.

  13. Que le président IBK et son ancien premier ministre soient tous deux coupables au même degré; le mal est déjà fait. Le plus important c’est ce qui est en train d’être fait pour faire revenir Kidal dans le giron de la république un point c’est tout. Sinon les articles visant à diviser encore plus le pays; vous pouvez les foutre à la poubelle. 😡 😡 😡 😡 😡 😡

  14. Vu les resultats de cette commission d’enquêtes,la justice doit ouvrir une procédure judiciaire contre Moussa Mara, Soumeylou B Maïga et Mahamane Touré.Ce trio est appelé à rendre des comptes à la justice concernant ce dossier.

  15. Qui cherche la petite bête, l'excellent Prémier Ministre Mara est ce que les maliens peuvent attendre d'un patriote. Les statistiques de 15% que certains avancent n'engage que eux même. Voyer plutôt qui a commencé les hostilités, à kidal. IBK, et Mara ont fait exactement ce que le peuple attendait d'eux.

  16. Monsieur le journaliste,nous avons compris que l’ex premier ministre veut faire pour se rendre clean dans cette histoire de Kidal vu l’approche de l’élection de présidentielle 2018.

  17. Dans cette affaire de Kidal l’ancien premier ministre a manqué de modestie et à essayer de jouer aux dures oreilles malgré des avertissements de ne pas aller en visite dans cette partie du pays.Enfin c’est lui le seul responsable de cette situation.

  18. Il ne faut pas se voiler la face, le président n’a jamais donné son aval pour cette visite. C’est parce qu’il est poursuivi par la justice donc il veut accuser maintenant le président. Nous savons qu’il est de mauvaise foi tout simplement.

  19. il faut dire lorsque Moussa Mara indexe le président IBK il oublie qu’il avait été demande de ne pas se rendre à Kidal mais comme il se prenait pour Biton Coulibaly et voulait faire un exploit il est parti alors que le président IBK avait promis aux diplomaties étrangères qu’il n’aura pas d’offensive militaire pour reprendre la ville.

  20. Donc que ce menteur et mal éduqué envoie les preuves de l’implication du président dans cette visite ratée. Ce n’est pas parce que Mara fait le tour du monde qu’on peut croire qu’il fait craindre le président IBK. Tu te faisais passer pour Da Monzon non ou est le résultat ?

  21. le président ne vous a pas dit de déclaré la guerre aux rebelle MARA s’est enfoncé lui-même c’est par arrogance qu’il a posé ces actes

  22. Le président IBK n’a jamais fait savoir officiellement qu’il en veut à moussa Mara. Il n’a jamais voulu répondre à toutes ces questions insensées sur cette visite de Mara à Kidal parce que sachant quel genre de mentalité les journalistes de ce pays ont.
    Aussi déclarant que l’attitude des rebelles “n’est ni plus ni moins qu”une déclaration de guerre”; est ce que ce n’était pas une déclaration de guerre?
    Arrêtez de vouloir créer le désordre là où il n’y en a pas.
    Moussa mara est une mule et un orgueilleux et cela tout le monde le sait.

  23. Les responsabilités de ces événements de Kidal sont Moussa Mara, Soumeylou Boubeye Maïga, ancien ministre de la défense et du général Mahamane Touré, chef d’état-major général des armées, c’est eux qui ont organisé ce tourné de force au nord du pays et qui a eu une suite tragique.

  24. Moussa Mara a fait de la Visite de Kidal sa Propre Publicité Politique, Mara S’est précipité dans les Grand Media du Monde pour déclarer la guerre sans avertir le Président IBK , et Sur Place Mara a refusé Tous Conseil pouvant évité les Difficultés.

  25. C’est vrais un premier ministre ne peut A l’époque MARA voyait en cela un acte héroïque qui pourrait lui servir dans sa course vers KOULOUBA mais ce qu’il a oublié est que sa politique est assez jeune et il se fait fourré dans la merde :chuckle: :chuckle: :chuckle:

  26. Il faut dire que les événements de Kidal ont fait beaucoup de perte en vie humaine. L’assemblée nationale qui vient de déposer son rapport après plusieurs mois d’investigations et d’auditions, vient respectivement d’engager les différentes responsabilités.

  27. Dans cette situation de Kidal l’ancien premier ministre a mal jugé les faits et à sous-estimer la force des groupes armes qui occupait le nord de notre pays. Avec les résultats de cette investigation nous comprenons que l’ancien premier ministre a essayer de forcer un peu les choses

  28. Cet affaire de KIDAL a prouver a quel point MOUSSA MARA a été un con qui ne se sert pas de ses orgones de sens sinon on ta dit de ne pas y aller tu es parti et çà coûté la vie a pas mal de gens et il se permet de déclaré la guerre

  29. Il est parti de lui-même dans le but de créer l’exploit. Mara n’a pas reçu une bonne éducation c’est pourquoi il a refusé de présenter des excuses à la nation depuis ces événements malheureux. Il ne fit pas le poids devant le vieux, voilà pourquoi il a rejoint la majorité pour avoir la confiance du président.

  30. C’est Moussa Mara le véritable responsable de la tragédie de Kidal sous un orgueil intense et sans l’accord du Président de la république et après il revient jeté la faute sur IBK. Quelle malade !!!!!!!

  31. MOUSSA MARABALINI quand on veut marquer a chacune de ses apparition voilà ce qui vous arrive tu voulais faire la vedette alors que tu es nulle même les idiots savaient que aller a KIDAL c’est trop risquer

  32. Mon cher Seydou Diarra le président IBK est un président responsable c’est pour cette raison qu’il ne s’est pas désolidarisé de Moussa mara et a tenu le discours qu’il a tenu. Si j’étais à sa place je ne regretterai rien. Sans être populiste; un chef est celui qui sait s’adapter à toutes les situations et prends les dispositions qu’il se doit selon le moment.
    Vos articles bidons ne visant qu’à remuer le couteau dans la plaie devraient vous faire honte. Vous ne devez pas être surpris d’être traité d’apatrides car c’est ce que vous êtes. Une personne qui cherche à créer la polémique et semer le désordre dans son propre pays ne peut être traité que d’apatrides.

  33. Moussa Mara doit comprendre qu’il est tout d’abord le premier responsable de cet accident. Il était le premier ministre en exercice et vue la situation politico-sécuritaire il devrait suivre la règle avant de se lancer dans ce voyage.

  34. Moussa Mara est le seul responsable de ce désagrément produit à Kidal, lors de sa visite. Moussa Mara devrait savoir que la situation politique de Kidal et des autres régions du Mali ne sont point la même chose. Il a préféré ignorer tout cela, et aussi malgré le concours de la communauté internationale, la France et la MINUSMA, Moussa a pris la responsabilité de braver les dangers et maintenant il refuse d’assumer ses responsabilités.

  35. L’avènement de Moussa Mara à la primature malienne a été un échec pour dans la gestion de ce pays, sous l’ère IBK. Moussa Mara n’a pas su répondre au attente du président IBK et aussi à celui de la nation malienne. Moussa Mara étant premier ministre a commis beaucoup de faute dont aujourd’hui il refuse de les assumés.

  36. Moussa Mara quoi dira pour sa défense cela n’engage que lui, sinon les faits sont connu de tous. Moussa Mara reste le premier responsable et il doit endossera cette responsabilité jusqu’à la fin des temps. La population malienne et la justice le tien de plus responsable des faits.

  37. “Pour notre part, le Chef suprême des armées, qui n’est autre que le Président de la République a fui sa responsabilité face aux maliens…”
    En tant que journalistes professionnels vous n’avez pas d’opinions à donner. Vous exposez la situation et vous laissez le citoyen lambda juger. Votre objectif n’étant ni plus ni moins que de torpiller les autorités en place; vous faites semblant d’ignorer cet aspect de la fonction de journaliste.

  38. Moussa Mara est le seul responsable de toute ces morts à Kidal lors de son voyage. Le président IBK n’était pas le responsable de la délégation qui l’accompagnait, ce n’est pas IBK n’est pas refuser de suivre les normes comme il se doit avant de se rendre à Kidal, la situation politique de la région de Kidal est différente de toute les régions du Mali.

  39. Moussa Mara est le seul coupable dans cette affaire, malgré les faits Maoussa Mara c’est entêté pour se rendre à Kidal. De ce fait Moussa Mara est le seul coupable des faits qui se sont passé à Kidal. L’ancien PM était chef de son équipe alors qu’il assume et prend ses responsabilités.

  40. Il est parti de lui même dans le but de créer l’exploit. Mara n’a pas reçu une bonne éducation c’est pourquoi il a refusé de présenter des excuses à la nation depuis ces événements malheureux. Il ne fit pas le poids devant le vieux, voilà pourquoi il a rejoint la majorité pour avoir la confiance du président.

  41. Moussa Mara a fait une erreur qui a couté la vie à des centaines de militaire et policier malien. La visite de Moussa Mara à Kidal en ce moment et une visite à haut et d’autant plus qu’il savait très bien que le niveau de sécurité du nord était très bas.

  42. Il ne faut pas se voiler la face, le président n’a jamais donné son aval pour cette visite. C’est parce qu’il est poursuivi par la justice donc il veut accuser maintenant le président. Nous savons qu’il est de mauvaise foi tout simplement. Nous attendons les noms de son mensonges.

  43. MOUSSA MARA fait une menace contre le président de la république on doit dire que MARA veut se débarrasser de sa responsabilité dans l’attaque de KIDAL alors que c’était son idée et il devrait répondre de ses actes

  44. La visite hasardeuse de Moussa Mara a été une leçon pour la population malienne et en plus de cela d’autre accusation fondées commencent à faire surface. Moussa Mara doit pendre ses responsabilité et les assumés, la population malienne ne le pardonnera jamais.

  45. « On a dit qu’IBK ne part pas à Kidal, moi j’aime mon pays, je souhaite que mon pays soit dans une situation de paix durable, réelle, a-t-il déclaré, avant d’ajouter. L’accord a prévu des étapes rigoureusement respectées, et aucune fanfaronnade politicienne ne me fera débarquer à Kidal et créer un incident. » Dixit IBK, et ce qui est tout à fait vrai et salutaire le respect de l’accord est primordiale.

  46. Donc que ce menteur et mal éduqué envoie les preuves de l’implication du président dans cette visite ratée. Ce n’est pas parce que Mara fait le tour du monde qu’on peut croire qu’il fait craindre le président IBK. Mon oeil

  47. La rencontre au gouvernorat entre le Premier ministre et l’administration s’est terminée dans un bain de sang. Il faut endosse la responsabilité de cette visite forcée. Il faut l’assumé et jamais au grand jamais des jamais IBK ne t’a dit d’aller à kidal par la force, tu as fait travaillé ton cœur donc prend ta responsabilité.

  48. La visite de Moussa Mara a été un véritable échec, Moussa Mara a voulu mettre la charrue avant les bœufs et cela à mal tourner, il y a eu des affrontements qui ont occasionné des pertes de vie. Il doit répondre de ses responsabilités devant la justice malienne.

  49. Le président de la république ne donne pas forcement son avis sur toutes les activités du premier ministre qui est responsable de la primature.
    Que Moussa mara nous dise s’il avisait le président de la république, dans toutes les activités qu’il entreprenait?
    Qu’il rejette la faute ou pas sur le président IBK n’en demeure pas moins qu’il est l’instigateur de cette visite.

  50. L’enquête vient de donner son verdict final. Les événements de Kidal ont fait beaucoup de perte en vie humaine. L’assemblée nationale qui vient de déposer son rapport après plusieurs mois d’investigations et d’auditions, vient respectivement d’engager les différentes responsabilités. Les principaux responsables sont Mara en premier lieu en tant que premier ministre, et Soumeylou B Maiga en tant que ministre de la défense, Mahamane Touré chef d’Etat major.

  51. Il faut dire que les événements de Kidal ont fait beaucoup de perte en vie humaine. L’assemblée nationale qui vient de déposer son rapport après plusieurs mois d’investigations et d’auditions, vient respectivement d’engager les différentes responsabilités.

  52. Le nouveau guide spirituel de notre pays n’a pas honte et peur de Dieu pour indexer le président. Il avait l’admiration du vieux mais il l’a déçu. Mais aujourd’hui, Mara veut changer l’histoire sur cette visite. Il a fait à coup tête. Sinon pourquoi, le président n’a pas limogé les ministres qui ont refusé d’aller à Kidal.

  53. La rencontre au gouvernorat entre le Premier ministre et l’administration s’est terminée dans un bain de sang. Il faut endosse la responsabilité de cette visite forcée. Il faut l’assumé et jamais au grand jamais des jamais IBK ne t’a dit d’aller à kidal par la force, tu as fait travaillé ton cœur donc prend ta responsabilité.

  54. Moussa Mara quitte le gouvernorat puis Kidal sur la pointe des pieds, laissant derrière lui des dizaines de victimes. Comme si cela ne suffisait pas, le Premier ministre de l’époque jetait dans la bataille les Forces armées maliennes, occasionnant de nombreuses pertes civiles et militaires. Il est le seul comptable de ces tueries de Kidal.

  55. C’est quand même lui Mr Mara qui, en voulant coûte que coûte prouver qu’il est le chef de l’administration malienne sur toute l’étendue du territoire, qui a conduit une aventureuse visite à Kidal avec les résultats et les conséquences qu’on connait. Nous ne parlons même pas des administrateurs qu’il a laissés tués comme des poulets et pour lesquels sa seule compassion consiste en une attitude bravache : « si c’est à refaire, je le referai ». L’orgueilleux, l’arrogant, la grosse tête.

  56. Monsieur passe son temps à blaguer les religieux en se promenant dans les mosquées et les églises. C’est une peine perdue mon cher. Les urnes s’acquièrent avec ce qu’on a fait pour le peuple.

  57. Le premier ministre ne pouvait se rendre à Kidal, sans l’accord du président de la République, supposons-nous que cela soit vrai, mais est ce les gens qui sont sensé assurer ta protection t’avertie que la situation est incontrôlable pour eux, je crois que tu devais retourner. Mais tu t’es pris par ton, cœur et rendre la situation plus pure.

  58. Merci à la commission d’enquête sur la tragédie de Kidal qui a mis de l’huile sur le feu. Moussa Mara est loin d’avoir l’un de ces qualités indispensable pour la gestion de ce pays. Il peut battre campagne en fer ou au paradis il ne sera jamais président de ce pays. Personne ne t’a dit d’aller à Kidal par la force arriver à la porte de Kidal je pense que tu as été conseillé que la situation est incontrôlable, tu t’es rendu avec ton arrogance, ton orgueil, et aller donner nos préfets à égorger.

  59. Le Premier ministre a dénié toutes les règles et procédures normales de prise de décision dans le fonctionnement de l’appareil d’État et de bonne gouvernance, ce qui dénote l’entêtement et l’insouciance qui le caractérisent, son manque de respect et de considération pour les conseillers et leurs avis pertinents. Et ses partisans peuvent bien dire ce qu’ils leur passent en tête, Mara est coupable de ce débâcle.

  60. Mr Mara je ne sais pas ce qui te prend dans ce dernier mois tu parles par ci, par la comme un enfant qui apprend à parler, mais tais toi un peu 2018 est encore loin tout peu arrivé. A cause de toi nos préfets sont égorgé à Kidal, l’enquête a situé ta responsabilité et celle des autres, qui sont: Soumeylou B. Maiga et Mahamane Touré chef d’état major.

  61. Boubéye qui était le plus avertis parmi ces trois pèlerin de Kidal a mis fin à son voyage à GAO sachant bien que MARA qui tenait à cet forcing pour rentrer a Kidal avait du vent sous son nez

  62. La tragédie de Kidal qui a conduit la mort d’une dizaine de soldats mais aussi la perte de ladite région au contrôle du mali cet affaires implique bel et bien ces trio qu’on vient de citer dans l’article

  63. Pourquoi vous pensez que les autres ministres mis à part boubeye ont refusé de se rendre à Kidal au cours de cette visite?
    Tout simplement parce qu’il avait des inquiétudes concernant la sécurité. Le ministre boubeye s’étant rendu avant Mara avait sommé celui-ci de sursoir à son voyage mais il ne l’a pas fait.
    Il est donc responsable de la mort de toutes les personnes qui ont perdu la vie lors de ce voyage.

  64. Quand Moussa mara dit qu’il n’est pas le premier responsable de la visite de Kidal; donc c’est supposé que c’est le président de la république qui lui a aussi dit d’aller présenté sa déclaration de politique générale à sikasso et dans les autres zones où il est parti. On ne peut pas être premier ministre et prétendre que les règles nous étaient dictées.

  65. Dans son entêtement, le Premier Ministre Moussa MARA engagea alors l’État dans un processus, dont il ne pouvait ignorer le niveau élevé du risque élevé, eu égard à l’intérêt qui s’attachait à une telle visite. Sinon son prédécesseur a refusé une telle visite vu qu’il a estimé que les conditions sécuritaires n’y étaient pas favorables.

  66. Mara en mon sens n’est pas l’objet d’une “cabale” dans cette histoire comme il le prétend . Mais il a posé des actes répréhensibles. N’ayant pas le courage ou du moins l’humilité de le reconnaitre il passe son temps à faire le boucan de gauche à droite en train de jeter la responsabilité sur les autres.
    Des personnes sont mortes dans cette histoire et la réaction des uns et des autres est tout à fait normal. Il faut qu’il s’en explique!

  67. Tout ce qui moi m’intrigues dans cette histoire c’est que Moussa ne pouvait pas trouver mieux que d’aller présenter une déclaration de politique générale dans une zone “dangereuse” si je peux m’exprimer ainsi sans prendre les dispositions nécessaires. C’est à se demander s’il avait conscience de ce que voulais dire être premier ministre. Chaque zone à ses réalités et il aurait du tenir compte de cela. S’il ne l’a pas fait en tant que chef de cette mission; à qui la faute?

  68. Le gros problème dans cette histoire c’est que Mara même n’a pas pris sur lui d’étudier les conditions de ce voyage. Quand il dit que tout le monde était informé de cette visite et qu’il indexe le président de la république; qu’il soit un peu précis et ne tente pas de masquer son mensonge par des suppositions irresponsables. Quand on pose des actes; on les assume.

  69. Vu que Moussa Mara veut coûte que coûte remporter les élections présidentielles prochaines. On veut juste qu’il s’explique sur cette visite. Le président n’était pas informé de la visite de Mara qui croyait n’avoir aucun compte à rendre à qui que ce soit.

  70. Moussa Mara est le coupable des coupables, arrivé à suite a des tires, Mr Mara a dit haut et fort qu’à partir de maintenant que l’Etat malien est en guerre avec les groupes armés est ce c’est IBK qui a dit ça Mr le journaliste, lors du conseil des ministres avant son départ on lui a dit de ne pas partir, il a fait la tête, et arriver là bas il a pété le plomb.

  71. Moussa Mara est le coupable des coupables, arrivé à suite a des tires, Mr Mara a dit haut et fort qu’à partir de maintenant que l’Etat malien est en guerre avec les groupes armés est ce c’est IBK qui a dit ça Mr le journaliste, lors du conseil des ministres avant son départ on lui a dit de ne pas partir, il a fait la tête, et arriver là bas il a pété le plomb.

  72. Moussa MARA, au cours de son audition a fait des déclarations totalement contradictoires avec celles d’autres personnes auditionnées. Pour en illustrer, le Premier Ministre au cours de son audition déclara : «personne, je dis bien personne ne m’a jamais informé…. ou je n’ai été informé par qui que ce soit d’un risque d’attaque armée » ; le ministre de la Défense et le chef d’Etat-major général des armés et tous les responsables des services de renseignements militaires et sécuritaires, auditionnés ont déclaré le contraire. Et voilà comment il a transformé les faits donc comprenons de ce qu’il fera en montant des preuves pour accuser les hontes citoyens. En plus d’être mal éduqué monsieur est un menteur, un falsificateur

  73. Les maliens sont tous confiants en la personne de Moussa Mara qui n’écoute pas du tout les gens. Lors de sa visite dans la région de Kidal, il a dévié le chef de l’Etat qui n’allait sûrement pas approuver cette visite qui a conduit nos soldats à la boucherie.

  74. L’exercice de haute responsabilité au sommet de l’administration publique, requiert un Homme prudent et avisé, qui, s’appuyant sur des renseignements et conseils pertinents, prend des décisions dans l’intérêt supérieur de la nation, sauvegardant sa vie et celle des autres. C’est par pure entêtement qu’il a agi et les temoins le démontrent également. Donc qu’il n’accuse pas le président 😎 😎 😎 😮 😮 😆 😆

  75. Merci à la commission d’enquête de l’affaire de Kidal lors de la visite de Moussa Mara, mais Moussa a fait travaillé son orgueil, son arrogance, arriver à la porte de Kidal, je pense que Moussa Mara a été très bien informer comme quoique le moment n’était pas propice. ➡ ➡ ➡ jhjhjhjhjhjhjh 😛 😛 😛

  76. Merci à la commission d’enquête de l’affaire de Kidal lors de la visite de Moussa Mara, mais Moussa a fait travaillé son orgueil, son arrogance, arriver à la porte de Kidal, je pense que Moussa Mara a été très bien informer comme quoique le moment n’était pas propice.

  77. Apparemment Moussa Mara ne veut pas couler seul dans cette affaire de Kidal. Au lieu de prouver son innocence, l’ancien premier ministre se contente d’indexer le chef de l’Etat, SEM Ibrahim Boubacar Keïta qui n’était d’au courant de rien dans cette visite.

  78. Apparemment Moussa Mara ne veut pas couler seul dans cette affaire de Kidal. Au lieu de prouver son innocence, l’ancien premier ministre se contente d’indexer le chef de l’Etat, SEM Ibrahim Boubacar Keïta qui n’était d’au courant de rien dans cette visite.

  79. L’exercice de haute responsabilité au sommet de l’administration publique, requiert un Homme prudent et avisé, qui, s’appuyant sur des renseignements et conseils pertinents, prend des décisions dans l’intérêt supérieur de la nation, sauvegardant sa vie et celle des autres. C’est par pure entêtement qu’il a agi et les temoins le démontrent également. Donc qu’il n’accuse pas le président

  80. L’ancien premier ministre, Moussa Mara, non moins celui qui a conduit nos vaillants soldats à une boucherie qui a été une extermination avec une quarantaine de morts, sinon plus, croit pouvoir gagner les élections prochaines Quand il indexe le président de la République c’est tout simplement dans le souci de porter atteinte à l’intégrité de la personne d’IBK. Sinon nous savons tous qu’il a pris cette décision seule.

  81. Moussa Mara est le coupable des coupables, arrivé à suite a des tires, Mr Mara a dit haut et fort qu’à partir de maintenant que l’Etat malien est en guerre avec les groupes armés est ce c’est IBK qui a dit ça Mr le journaliste, lors du conseil des ministres avant son départ on lui a dit de ne pas partir, il a fait la tête, et arriver là bas il a pété le plomb.

  82. Les maliens savent que Moussa Mara a toujours été quelqu’un de bien mais aussi quelqu’un qui croit connaitre tout. Ce qui fait qu’il n’écoute pas les autres. Sa visite de Kidal qui a été une tragédie pour l’armée malienne avec des centaines de morts atteste cela.

  83. Au début de cette affaire c’est l’honorable Mody N’diaye qui était indexé par Mara mais c’est le président de la république. Finalement, je pense que Moussa Mara est l’unique responsable de cette visite meurtrière. Que cela soit clair.

  84. Je conseille à Moussa Mara de ne même pas se présenter aux élections présidentielles prochaines. Ce n’est avec son jeune âge qu’il deviendra président de cette nation. C’est pour dire que le temps n’est pas au rendez-vous avec lui pour arriver à Koulouba. Parlant de sa visite de Kidal, je crois qu’il doit être un grand en assumant ce qu’il ait fait et arrête de faire tomber la responsabilité su d’autres personnes.

  85. Je n’en veux pas de Mussa Mara pour sa visite dans la ville de Kidal. C’est aussi certains députés qui ont voulu de cette visite pour plus de nouvelles et de services aux habitants de la localité de Kidal. C’est cela que Mara martelait au début. C’est pour dire qu’il doit y avoir une bonne raison poussant Mara à indexer le président IBK.

  86. Le président IBK faisait tellement confiance à Mara que ce dernier se permettait de faire des choses sans au préalable consulter IBK. Tel a été le cas dans la visite de Kidal qui s’est mal tournée pour nos vaillants soldats qui ont perdu plus de bras valides.

  87. Moussa Mara n’avait pas le choix. Il devrait coute que coûte se rendre à Kidal dans le cadre de sa fonction. Si certains soldats maliens ont perdu la vie, je ne m’en réjouis du tout, c’est aussi dans le cadre de leur mission. Je soutiens Mara sur ce point. Ila pris tout seul cette décision que j’ai apprécié et il doit l’assumer tout seul aussi.

  88. A propos de la visite de Moussa Marra à Kidal,quand on demandait au président IBK s’il va se rendre à Kidal,il dira;« AUCUNE FANFARONNADE POLITICIENNE NE ME FERA PRENDRE MON AVION POUR DÉBARQUER À KIDAL ET CRÉER UN INCIDENT ».Alors pourquoi vouloir associer le président IBK à cette bêtise de Marra?

  89. Moussa Marra voulait être brave, et est sorti sur la pointe de pieds, en laissant d’autres y mourir.Et il s’en tire complètement grillé et veut s’en prendre aux autres.Il faut qu’il soit un homme et assumer la responsabilité qui est sienne dans cette visite à Kidal.

  90. Pour le président IBK, une telle visite relève tout simplement de l’irresponsabilité qui ne sied pas à la haute autorité.Le président IBK est claire sur cette histoire.Il faut donc que Moussa Marra est un peu dignité en assumant les conséquences de cette visite forcée qu’il a eu à Kidal.

  91. Président IBK avait dit à propos de la visite à kidal que la gestion d’un pays n’est pas une question de bravade.Il faut donc comprendre que le premier ministre d’alors a fait un forcing car il voulait impressionner les maliens.Qu’il en assume donc la responsabilité.

  92. Rien a pu empêché l’ex-Premier ministre Moussa Mara d’entreprendre le forcing hasardeux pour aller à Kidal, malgré les mises en gardes de plusieurs voix qui comptent. La rencontre au gouvernorat entre le Premier ministre et l’administration s’est terminée dans un bain de sang.Il faut endosse la responsabilité de cette visite forcée.

  93. Pendant cette visite qu’il a forcé, Moussa Mara quitte le gouvernorat puis Kidal sur la pointe des pieds, laissant derrière lui des dizaines de victimes. Comme si cela ne suffisait pas, le Premier ministre de l’époque jetait dans la bataille les Forces armées maliennes, occasionnant de nombreuses pertes civiles et militaires.Il est le seul comptable de ces tueries de Kidal.

  94. Moussa Mara est allé à Kidal le 17 mai 2014, et y a lancé les Fama dans la guerre sans consultation de l’Assemblée nationale et sans la bénédiction du président IBK.Il est responsable de ses actes.Qu’il ne cherche donc pas à incriminer les autres.

  95. A propos de sa visite à Kidal Moussa Marra a toujours laissé entendre qu’il n’était pas au dessus de loi et qu’il répondra devant les juridictions de ses actes.C’est le moment donc de répondre de ses actes.Il doit donc assumer ses responsabilité.

  96. Comme on le dit une erreur reconnue est à moitié pardonnée ou facilement pardonnable,Moussa Marra doit reconnaître sa forfaiture et demander pardon aux maliens pour avoir forcer cette visite à kidal qui a vu des maliens se faire tuer.Ce sera mieux pour lui.

  97. la honte et humiliation subis par le peule;vos responsabilité est = le plus grave dans cet affaire le manque de courage de IBK et Moussa Mara,un peut de dignité cas même comme Boubeye Maiga qui a pris l’acte de démissionner, quel gout vous avez pour la vie après cet humiliation honteux !!!!!!!!!!!!!!!!

  98. Pourquoi le point d’interrogation: IBK et Moussa Mara Menteur sont les deux faces d’une meme piece.L’ancien PM n’est qu’un vulgaire opportuniste politicien sans scrupule et l’autre ne vaut pas mieux p[uisqu’il a ravale “toutes les paroles qu’il nous avait promises…

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