Depuis la signature de l’accord de paix, de nouvelles menaces se sont dressées sur le chemin de la stabilité et de la cohésion nationale. Le processus de sortie de crise se trouve ainsi gravement compromis. Des artisans de la paix au Mali sont non seulement interpellés pour sauvegarder les acquis mais aussi pour veiller à l’application de l’Accord. Sinon, aucun acquis dans ce processus de paix n’est irréversible.
La signature de l’Accord pour la paix et la réconciliation nationale devait marquer un point de départ dans l’apaisement du climat sociopolitique de notre pays. Au lieu de cela, elle a fait des frustrés qui sèment la mort, la terreur et la désolation. A y regarder de près, depuis la signature du fameux Accord, les lignes peinent encore à bouger comme on s’y attendait. Car chaque jour, des forces armées maliennes et partenaires du Mali sont aux prises avec les forces du mal. Tout porte à croire que le chemin de la paix tant recherchée par les parties prenantes de la crise malienne est plus que jamais parsemé d’embuches, donnant du fil à retordre à tous les acteurs du processus de sortie de crise. De toute évidence, la signature de l’accord a révélé les vrais défis auxquels notre pays est confronté depuis belle lurette. Il s’agit du terrorisme, du trafic de drogue, d’armes. Ce sont ces véritables réseaux qui se sont implantés et développés au fil du temps au grand dam des pouvoirs publics. Au delà de notre pays, l’ensemble de la bande Sahélo-saharienne sert de zone de transit pour la drogue, les armes et bien d’autres produits de consommation illicites. Il ne faut pas se voiler la face, le terrorisme se nourrit du trafic de drogue, d’armes et d’humains. Donc, il serait illusoire de le combattre sans extirper le mal dans sa racine. Pourtant, depuis sous le défunt régime d’ATT, des déclarations de bonne volonté ont été émises, suivies de la mise en place du G5 Sahel, mais des résultats probants ont notoirement manqué au tableau. Cependant, les groupes terroristes mènent rondement leurs business sans crainte sous le couvert de la propagation de l’Islam. Alors que des actes qu’ils posent sont en contradiction avec les principes de Dieu.
Visiblement, ces pseudo-musulmans qui opèrent dans cette zone sont sous l’autorité du chef d’Ansar Eddine, Iyad Ag Ghali, dont la signature de l’accord a quasiment mis fin à leur lune de miel avec les mouvements de l’Azawad. Des lors, ils font montre de signe de vie en fauchant la vie des paisibles citoyens ainsi que des forces de défense de notre pays et d’ailleurs. Faut-il alors prendre langue avec Iyad Ag Ghali ? La question mérite d’être posée. Surtout quand on sait que celui-ci est devenu par la force des choses le véritable chef d’orchestre des groupes terroristes du nord Mali. Il semble ne pas digérer sa mise à l’écart du processus de paix.
Faux départ dans la mise en œuvre de l’accord
A peine signé, des velléités tendancieuses se sont déjà exprimées en faveur d’un partage réel du pouvoir. Dans une interview accordée à « Jeune Afrique » après la signature de l’Accord, Sidi Brahim Ould Sidati, signataire de l’accord dans le rang de la CMA, n’a pas passé sous silence ses ambitions : « Nous tenons à ce que les choses soient transparentes dans le cadre d’un partage réel du pouvoir et cela à tous les niveaux. Nous voulons des portefeuilles-clés comme celui de la Sécurité intérieure, de la Défense ou encore des Finances et des Affaires étrangères. Nous attendons aussi l’ouverture de postes au sein des services nationaux et régionaux ou encore des représentations diplomatiques à l’étranger », a-t-il déclaré.
Le terrorisme gagne du terrain et semble fragiliser les acquis. D’autres problèmes, non des moindre, se greffent à ceux déjà cités. Il s’agit du manque d’entente au sein de la Coordination des mouvements de l’Azawad (CMA) sur le choix de leur représentant dans le gouvernement en gestation ; la contestation de la décision du gouvernement portant organisation des élections communales, régionales et du District de Bamako le 25 octobre prochain. Et la Commission Technique Mixte de Sécurité chargée de superviser la mise en œuvre des Accords de cessez-le-feu et de cessation des hostilités peine à trouver une solution à la situation de Ménaka.
Réajustement du mandat de la Minusma
La sécurité de notre pays devient de plus en plus préoccupante. Le Mali ne dispose pas de moyen logistique adéquat pour faire face au terrorisme. Les forces partenaires du Mali, plus précisément la Minusma, affirment qu’ils n’ont pas le mandat pour chasser les terroristes. Et pourtant, ils sont là pour stabiliser le Mali. Ils ont payé tout comme l’armée malienne un lourd tribut suite à des attaques terroristes à répétition. Or, la stabilisation de notre pays passe nécessairement par une lutte efficace et efficiente contre les groupes terroristes. La résolution 2277 du Conseil de Sécurité portant renouvellement de leur mandat a autorisé l’envoi de 11 240 militaires incluant 40 observateurs militaires chargés de surveiller et de superviser le cessez-le feu ainsi que des bataillons de réserves et 1 440 policiers. La Minusma qui est une force de la communauté internationale avec ses effectifs ne pourra remplir convenablement sa mission que si elle réussit à enrayer les goulots d’étranglements sur son chemin. Sinon aucun acquis dans ce processus de paix n’est irréversible. Donc, il faut que le Conseil de Sécurité réajuste le mandat de la Minusma en l’adaptant au contexte actuel.
Boubacar SIDIBE
La signature de l’accord n’est la source de toutes ces attaques survenues dernièrement. C’est tout simplement la faute des gens qui ne désirent que voir IBK échouer. L’Accord n’a rien de défaillant.
L’insécurité grandissante qui anime notre pays, existe depuis trois ans maintenant, or le président IBK est exclusivement à moins deux ans de son quinquennat. Cette énorme bêtise connue par l’Ex président ATT en acceptant les bandits armés au Mali, est l’unique prétexte qui a donné un plus à ce fléau. Aujourd’hui, force est d’avouer, les efforts fournis par le régime actuel dans la résolution de la crise du nord. Autrement, sans quoi l’insécurité allait envahir tous les couches du Mali. Certes le pays n’est pas totalement pondéré, mais nos gouvernants ont déjà fait un grand pas vers le retour définitif de la paix sur notre territoire. Le seul obstacle qui s’oppose actuellement c’est la traque d’Iyad Ag Ghali, pour cela nous avons le soutien des U.S.A. Bientôt, nous attendrons plus parlé de ce criminel. Avec la mort de Wadoussène, personne n’est prêt à recevoir une promesse sévère d’IBK. Comme il a si bien dit lors de la signature de l’accord le 15 mai, le Mali est un pays tolèrent, mais pas lâché. Tout individu qui comprend le sens de cette phrase, n’osera jamais jouer avec les paroles du président IBK.
Je pense qu’on ne doit pas mette la crédibilité de l’accord de paix. Le terrorisme est l’un des fléaux universel qui sévit partout dans le monde. Même les Etats qui disposent de tous les conditions nécessaires pour la sécurisation de leurs frontières et de leur sécurité intérieure ont tous les maux pour se protéger du terrorisme et ses méfaits. Prions le bon Dieu que nos autorités arrivent à nous protéger de cela car malgré leurs engagements, elle parait insuffisante. L’accord du 20 juin est plus que bénéfique pour le Mali.
Nos gouvernants ont fait leurs possibles pour ce pays. Mais Le seul obstacle qui s’oppose à la sécurité de notre pays aujourd’hui est le djihadiste. Or partout dans le monde, les djihadistes sont les plus difficiles à combattre, car ils sont disperser. Ils ne sont jamais sur place. Le Mali n’est pas le seul pays confronté aux attaques djihadistes. Considéré comme la première puissance mondiale, les Etats Unis d’Amérique n’arrive toujours pas à trouver une solution concrète à ce phénomène.
Le terrorisme est un fléau très difficile à cerner. Pas que MALI seulement, le terrorisme sévit partout dans le monde entier. Malgré les mesures misent en place par les autorités maliennes, le terrorisme reste incernable. Tant que la société civile ne s’engage pas à aider l’Etat cette lutte restera incertaine et vaine.
Le comité de suivi doit tout mettre en œuvre pour le respect scrupuleux de l’accord du 20 juin par tous les belligérants. L’accord du 20 juin est accord favorable à tous, alors je pense que les rebelles de la CMA doivent tout mettre œuvre pour respecter leurs engagements.
La paix et la réconciliation rien ne vaut cela au Mali. le gouvernement est en train de deployé toutes ses forces afin d’arriver à cella.
Monsieur le journaliste l’accord du 20 juin n’est pas le détonateur des attaques, je suis désolé. Les attaques se déroulaient bien avant cela. Les terroristes essayent d’intimider le gouvernement et la population malienne. IBK a promis de poursuivre une lutte acharner et sans relâche contre les terroristes jusqu’à leurs dernier retranchement.
Je pense que le journaliste se mélange les pédales. Il n’arrive pas à faire la différence entre les rebelles de la CMA et les terroristes. Nous avons signé l’accord de paix et de réconciliation avec les rebelles de la CMA, voilà pourquoi les rebelles CMA ont déposé les armes. Le Mali ainsi que le monde entier continue la lutte contre le terrorisme. Ce sont les terroristes qui continuent toujours d’agresser la population et les forces de l’ordre d’une manière imprévisible.
Au cas vous l’ignorez Mr Sidibé, Les gouvernants maliens n’y sont pour rien dans cette crise. Les anciens régimes ont vendus, trahi et divisé ce pays. A cause d’eux, le Mali traverse le moment le plus sombre, triste, et difficile de son existence. Privé son pays contre tout achat d’armement de combat est d’offrir l’âme de son peuple aux ennemis. Si bien que moi, vous connaissez très bien cette histoire. L’Ex président Alpha Oumar Konaré a vendu ce pays en signant le pacte national et privant ainsi le Mali contre l’achat des armes de combat. Son successeur Amadou Toumani Touré a trahi et offrir les âmes des maliens en recevant les bandits armés venus de tous les horizons. Alors, dites-moi, qui sont les véritables plongeurs du Mali dans le KO.
S’il vous plait monsieur le journaliste, il y a eu plusieurs attaques terroristes perpétrés sur le sol bien avant la signature de l’accord de paix du 20 juin, alors ne mettez pas la crédibilité de l’accord en cause. Faites preuve de professionnalisme, n’affirmer jamais ce que vous ne maitriser pas, au risque de vous faire perdre votre honneur.
Mr. le journaliste il faut souvent savoir ce que tu dit. Iyad n’as pas son mot ici, avec ou sans lui la paix reviendra au Mali.
L’accord de paix et réconciliation se porte à merveille, on n’est pas censé nier la non adhésion de certains partis à cet accord. Des individus comme Iyad Ag Ghali ne cesseront jamais de semer la terreur sur le sol malien. Ayons confiance en notre gouvernement tout ira bien. Tous ensembles on triomphera !!!
La signature de l’accord de paix et réconciliation fut une glaire et un succès pour l’Etat malien. Sa diplomatie et bravoure se sont avérées réel, rien ne prouve le contraire. L’insécurité qui prévaut dans ce pays en ce moment-ci, n’a absolument rien à avoir avec l’accord. Les partis qui non pas pris part à l’accord continuerons toujours de porter les armes jusqu’à ce qu’on trouve une solution définitive pour leur cas.
Le Mali fut trop affectée par la guerre, la signature de l’accord ne peut pas réinstaurer en un clin d’œil la stabilité et garantir le retour définitif de la paix. La patience et le soutien doivent être notre slogan. Ce pays peut ressortir de ce trou mais seulement si on se donne les mains et ensemble lutter contre les ennemis du Mali.
Pour votre information Mr Sidibé, les vrais rebelles ne sont pas loin, les plongeurs du Mali ne sont autres que ces antagonistes hommes de l’opposition. Vous savez si bien que moi, Moussa Ag Assarid le porte-parole du MNLA est du parti URD et jusque-là ce criminel demeure un membre de l’opposant à dix mille gueules Soumaila Cissé.
Comment critiquer un accord qui vient d’être signé, il n’est pas encore mise en place. On doit attendre le résultat avant de le juger ainsi. Il ne veut pas mettre la charrue avant les bœufs. Finalement les journalistes maléfiques deviennent plus pires que les rebelles, les rebelles ont mis leurs orgueils de côté et signé l’accord. Mais les journalistes sataniques voies toujours le mal dans tous les actions du régime d’IBK.
la CMA de son côté doit faire une position fixe pour le bon déroulement des accords qui ont été signé. La construction du Mali doit être de chaque citoyen et de chaque citoyennes du pays. Ce n’est pas facile de faire un pays, mais un pays est la chose la plus belle au monde.
C’est gens ne sont pas des musulmans. Ils imposent des règles très différentes de celui de l’islam. L’islam est une religion authentique et de paix. Ce des trafiquants, des bandits de grands chemin, des narcotrafiquants ces personnes mal intentionnés sont différents des rebelles de la CMA. Le gouvernement négocie les avec les rebelles mais pas les terroristes.
La MINUSMA perd tout contrôle de son existence au Mali. Sa présence devient de plus en plus la déception des maliens. La MINUSMA n’est juste que de faire une belle vie au Mali, sa mission qui est de stabilité du pays devient, assister de guerre et déstabilisation..
La lutte contre le terrorisme est une lutte très ardant. Le terrorisme est fléau qui sévit partout dans le monde entier. Main dans la main nous pourrons combattre le terrorisme.
Cet accord est pour le moment la seul et bonne base de regretter nos péchés envers le Mali. L’accord doit être respecté par tous. Les ennemies du pays profitent de cette même occasion pour faire des exaction afin de relever la confiance porté à nos frères.
S’il s’agit de la Nation, on doit se donner les mains pour se soutenir, la signature des accords consiste un symbole de notre propre volonté. Rien d’autre ne doit nous pousser à faire des pats en arrière. Le Mali est notre héritage et c’est à nous de le faire, ensemble.
Monsieur le journaliste, cet accord a favorisé le Mali surtout dans le domaine de la sécurité et la défense de l’Etat.Cela va permettre a nos régions d’avoir une certaine autonomie. La mise en oeuvre de cet accord permettra de renforcer la sécurité et la défense de l’Etat.
La signature n’est pas à saboté, tout autres mauvaises intention qui consiste à saboté l’accord seront punis par les lois fondamental de ce même accord. Des opportuniste se cachent dernière cette accord pour le bafouer.
SIKASSO, si ton père était comme IBK, il allait être le président de la république.
Pauvre con imbéciles.
All the means are good to arrive at the peace, we have to keep the position of the same trust for our authorities. It and when there is a peace which we can speak about wallet and others.
L’accord de paix et la réconciliation issue du processus d’Alger a été une réussite pour le gouvernement Malien et une véritable réussite pour le gouvernement Malien.
Cet accord permet, de garantir la sécurité de l’Etat. Il permet aussi de garantir le développement économique, social et culturel.
Tous ceux qui critiques l’accord sont des principaux ennemis du pays, et qui sont contre le bonheur des Maliens.
La mise en application de cet accord permet de modifié le mode de gestion du régime d’IBK, cela va favoriser a IBK de se débarrasser tous les individus mal intentionnés qui lui entoure.
La mise en œuvre de cet accord va renforcer la décentralisation, dont l’Etat va donner la possibilité aux régions d’exercer leurs propres affaires, soif dans le domaine du financement.
Monsieur le journaliste, c’est grâce à IBK que l’accord de paix a été signé entre le gouvernement Malien et la CMA.
Rappelons aussi qu’avant l’arrivée d’IBK au pouvoir, plusieurs accords ont été signés, les résultats sont nuls, ces accords n’ont pas été appliqué convenablement.
Le premier accord était celui de TABARASET en 1991 et l’accord d’Alger en 2006 sous le régime d’ATT, résultat 0
Le pacte national en 1992 sous ALPHA OUMAR KONARE
Flamme de la paix en 1993 également sous ALPHA OUMAR KONARE, résultat 0.
Pour IBK est le meilleur, c’est du jamais vu.
Monsieur le journaliste, tous ceux ce vous disent dans vos articles sont loin de la réalité car, grâce à la signature de l’accord de paix et la réconciliation du 20 juin dernier permet au Mali de tourner la page de 20 ans de corruption, de vol, du chômage, de détournement du dernier publique.
C’est grâce à la signature de l’accord que les bailleurs de fond ont commencés à faire face au Mali.
Monsieur le journaliste, le président de la république a belle et bien signé l’accord de paix et la réconciliation. Lorsqu’il existe un différend entre deux groupes différents, il faut obligatoirement le compromis, pour la réglementation du conflit.
IBK est arrivé au trône cela fait 1an 10mois et quelque jours, donnez-lui un peu de temps, le Mali était dans le KO depuis 20ans, alors il reste suffisamment de temps pour qu’il réalise ce qu’il a dit.
La signature de l’accord de paix et la réconciliation est une grande étape pour le maintien de l’ordre et la sécurité dans le pays.
Le premier accord signé entre le gouvernement et la CMA le 15 mai 2015 a été mise en application, et pour renforcer l’unité nationale, la CMA a proposé un autre accord qui a été signé le 20 juin 2015.
Les rebelles savent qu’il n’y a pas d’état au Mali Ibk ne maîtrise plus rien a cause de sa lachete incompétence
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