Partition programmée du Mali par la communauté internationale : La médiation burkinabè chargée de l’exécution comme au Soudan

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Une coïncidence malheureuse ou une stratégie planifiée pour diviser le Mali en deux ? En tout cas, l’implication de Djibrill Bassolé dans la résolution de la crise malienne par son président Blaise Compaoré, médiateur officiel de la Cédéao dans ladite crise en dit long. Elle fait craindre le pire chez nombre d’observateurs avertis car, en tant que médiateur de l’Onu et de l’Union africaine pour le Darfour, l’actuel chef de la diplomatie burkinabè, le même Bassolé, aurait beaucoup contribué à l’éclatement du Soudan. Est-ce pour cette raison qu’il a été mis en avant pour faire autant au Mali ?

Les médiateurs de la CEDEAO

Les rebelles du Darfour avaient presque les mêmes revendications que ceux du Mnla. Ils ont motivé leur révolte par une certaine marginalisation de la part des autorités de Khartoum. La seule différence est la forte présence des terroristes islamistes au nord du Mali. On ne peut d’ailleurs s’empêcher de penser à ce qui s’est passé au Soudan pour ensuite conduire ce pays vers l’éclatement en deux Etats distincts car, avec la déculottée du Mnla chassé par les islamistes, l’on ne comprend pas pourquoi le promoteur de la division, Djibrill Bassolé aux ordres du loufoque Blaise Compaoré, tient vaille que vaille à remettre ce groupe d’apatrides du Mnla en selle.

Faut-il le rappeler, au Soudan, la solution de  sortie de crise proposée par le médiateur de l’Onu et de l’Union africaine, le tristement officier supérieur de gendarmerie, Djibill Bassolé, était d’accorder aux rebelles du Darfour une autonomie. Après cette étape, suivra le référendum pour l’indépendance du sud Soudan en 2011.  A l’occasion du déclenchement du processus de l’autonomisation de cette partie sud du Soudan, alors sous occupation des rebelles,  le chef de la diplomatie burkinabè,  Djibrill Bassolé, ancien médiateur conjoint de l’Onu et de l’Union africaine pour le Darfour, en février 2011,  a assisté  personnellement à l’installation de l’Autorité régionale au Darfour.  En ce temps-là, les Soudanais s’étaient massivement mobilisés pour être témoins d’un évènement et avaient accueilli ce Burkinabé avec tous les honneurs, pensant que c’était un porteur d’espoir, de paix et de développement pour la région.

Et bien, ils se sont lourdement trompés sur le compte de Bassolé qui a marqué l’histoire douloureuse du peuple soudanais. En effet, cette installation de l’Autorité régionale du Darfour, concrétisation de l’Accord de paix signé le 14 juillet 2011 à Doha au Qatar, suite à la médiation menée par le même Djibrill Bassolé pour le compte de l’Onu et de l’Ua, était le début de la matérialisation de la partition du territoire soudanais. La création de ladite  Autorité du Darfour, organe transitoire, aboutira à une autonomisation de cette région en vue d’une soi-disant  meilleure prise en compte de ses priorités et de ses attentes.

Cependant, pour le cas du Mali, le stratège de Djibill Bassolé oublie que le Mali n’est pas le Soudan. Et les contextes géopolitiques sont différents. Au Mali, les rebelles Touaregs ne représentent qu’une minorité au sein de la population des régions nord du Mali. Et en plus, la rébellion n’est pas soutenue par tous les Touaregs. C’est donc un groupuscule d’habitués du gain facile et du désordre qui veulent freiner l’élan de développement du pays. Il s’y ajoute que le Mnla a prouvé qu’il ne représente rien pour avoir été bouté hors de son fantomatique territoire de l’azawad à qui il a dit bye-bye suite aux attaques de a coalition islamo terroriste. Le Septentrion est donc loin d’être contrôlé par ces rebelles du Mnla pour que ces derniers puissent prétendre à quoi que ce soit.

L’autre aspect qui distingue profondément le cas malien de celui du Soudan, c’est la présence sur le sol malien de groupes armés jihadistes composés d’étrangers. C’est une agression armée contre le Mali qui non seulement doit user de la force armée pour récupérer sa portion de territoire occupée, mais doit aussi sécuriser pour toujours cette zone qui fait de plus en plus l’objet de convoitise. En effet, avec les multiples richesses que le sous-sol contient dans cette partie du Mali, il y a lieu d’y instaurer une paix et une stabilité durables afin que ces richesses profitent au Mali. C’est aussi le lieu de rappeler à Djibrill Bassolé que lorsque la case du voisin brûle, il faut penser à sa propre case. Autrement dit, garantir une stabilité au nord du Mali, c’est aussi assurer la stabilité dans les autres pays frontaliers dont le Burkina Faso qui s’est trop joué du Mali. Les implications du Burkina Faso dans plusieurs opérations de déstabilisation de cette partie du territoire malien sont actuellement un secret de polichinelle.  Un seul exemple : c’est en plein territoire Burkinabé, à Ouayigouya plus précisément, que les ravisseurs des deux Français à Hombori ont «vendus», ces otages, selon leurs propres termes, au groupe de Moktar Belmaktar. N’est-ce pas là la preuve d’une présence et d’une liberté de mouvements des bandes armées sur le territoire burkinabé ?

Un complot international contre le Mali

Il est désormais clair que dans ce complot international contre le Mali, les grandes puissances du monde veulent, à travers la médiation burkinabè, redonner un semblant de crédit, disons de reconnaissance internationale aux canailles du Mnla dont l’existence sera reconnue à travers des négociations, avant d’aider le Mali à recouvrer son intégrité territoriale. En d’autres termes, l’idéal pour la communauté internationale est sans nul doute de tordre la main du gouvernement de transition à accepter les exigences du Mnla qui n’est même plus au Mali, avant d’autoriser l’intervention des forces internationales dans notre pays. Une fois cette revalorisation du Mnla faite, la communauté internationale se dotera des moyens pour aider le Mali à se débarrasser des terroristes d’Ansardine, du Mujao et du Boko Haram. Mais c’est pour exiger, en contrepartie, que le nord puisse bénéficier d’un statut particulier. Ensuite cette communauté internationale jouera sur les mots pour aller crescendo et faire comme au Darfour pour nous plonger dans une atmosphère d’autonomie du nord, puis de référendum d’autodétermination et enfin d’indépendance. Si le Mali venait à tomber dans le même piège qu’on a tendu au Soudan, en faisant une quelconque concession au Mnla, les choses vont s’accélérer. D’ailleurs, dans certains milieux diplomatiques, on parle déjà d’un projet de fédération entre le nord et le sud, après la guerre contre les terroristes qui occupent présentement les 2/3 du territoire. Et tout porte à croire que la médiation du Burkina, avec le même Djibrill Bassolé, travaille à cela.

Rappelons que dans sa stratégie démoniaque dans le conflit soudanais,  Djibrill Bassolé avait en un moment annoncé que les conditions posées pour revenir à la table des négociations par Khalil Ibrahim, le leader du  Mouvement pour la justice et l’égalité (Jem) qui avait trouvé refuge à Tripoli, étaient «inaccessibles». Mais n’empêche, il avait appelé le gouvernement soudanais à faire des «concessions». Le  Mali en est à ce stade et doit donc faire preuve de vigilance devant la médiation burkinabé et ses parrains de l’occident qui, dans les discours, soutiennent le respect de l’intégrité territoriale et du principe de la laïcité au Mali, mais qui, dans les faits, ont autre chose en tête. Ils sont allés jusqu’à proposer l’organisation des élections avant la libération des zones occupées. La meilleure façon de consacrer la partition du territoire en sapant le moral des habitants du nord qui se considèreront comme désormais exclus du Mali. Alors vigilance ! vigilance ! vigilance !

Oumar KONATE

 

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18 COMMENTAIRES

  1. Mr le President du Burkina Faso, te souviens-tu de Mariam Sankara? Aucune suite n’a été donnée à la plainte de Mariam Sankara, déposée, elle, en 1997. Vingt-cinq ans après la disparition de Thomas Sankara, elle déplore toujours l’absence de vérité sur l’assassinat de son mari, le 15 octobre 1987. Digne, discrète (même si elle a écrit le 13 septembre dernier à François Hollande pour le dissuader de recevoir Blaise Compaoré à l’Élysée), elle continue de vivre son veuvage en silence, essentiellement à Montpellier. L’ancienne première dame du Burkina Faso n’a jamais été reçue par le successeur de son mari, n’en a jamais fait la demande et ne perçoit ni pension ni aide d’aucune sorte.

  2. L’armée malienne ne doit plus compter que sur ses propres forces pour récupérer à la sueur de son front, ce qu’elle aura perdu à la vitesse de ses jambes. Aide-toi, le ciel t’aidera a-t-on coutume de dire. C’est tout le Mali qui sera donc derrière son armée pour laver l’honneur souillé de la patrie. En déclenchant les hostilités face à ces illuminés jihadistes, le Mali ne sera jamais seul dans son combat. Des pays comme le Nigeria, le Niger et l’Afrique du Sud ne resteront pas insensibles à son combat.
    D’autres pays africains, conscients du mépris de la communauté internationale face au drame de tout un continent, sauront se mobiliser et nous aider. Mais on n’a plus le choix, malgré nos lacunes diplomatiques et communicationnelles, malgré la déchirure politique, malgré la crise de trésorerie, il nous faut nous résigner à aller au combat. Un combat pour l’honneur et la dignité retrouvée. Un combat qui fera que le Mali sera de nouveau respecté et craint.
    Avec le double langage diplomatique actuel, ne pas agir c’est accepter de fait la partition du pays. Attendre encore des mois, c’est permettre à cette énigmatique communauté internationale de nous amener vers des négociations biaisées qui consacreront la dislocation du pays pour aller vers un fédéralisme suicidaire. Armée malienne, la balle est dans ton camp. A toi de donner tort à tous ces spécialistes te décrivant comme moribonde et inefficace. A toi de te montrer à la hauteur de la grandeur de ce Maliba très mal en point.

  3. Il suffirait qu’on découvre qu’en fait il n’y a pas de pétrole au nord mali, pour que toute cette mascarade cesse.
    Combien de morts faudra-t-il pour alimenter les réservoirs des voitures du monde entier?

  4. Tout est la faute des maliens.Il faut qu’ils soient respectables eux mêmes.Ils ne font que se diviser au sommet de la republique bananière.Tout le monde sait qu’il se prépare une opération de liquidation de ces terroristes islamiques.Moins on en parle mieux tout ira vite.Les autorités officielles ne s’expriment pas sur la question sauf des fumées allumées par des journalistes payés pour la diversion,le réel est en cours mais les militaires sont en formation.Ces ânes de terrosites coupés des réalités du monde ,vont subir sur le terrain de tests d’armes sofistiquées qui sont en train d’être ajustées.Ils ne pourront pas les appréciés ils seront auprés de leur allah………….Aprés mais aprés les maliens auront intéret à former et discipliner leur armée car personne ne leur viendra plus en aide.Tchao.(Je vous en parle en tant que bien placé).Je n’en parlerai plus jusqu”à la fin des opérations.)

  5. Le fond du problème reste et restera toujours nous maliens! Comme l’a dit un chef d’etat il y’a trop de confusion!!!Nous maliens avons fait trop de confusions aux yeux du monde depuis le coup d’etat à aujourd’hui!Qui sommes nous? que voulons nous? Les autres attendent toujours une reponse!
    Si on ne parvient pas à nous entre-aimer et à nous unir alors la division n’est plus impossible:Kayes va prendre son independance comme Segou et Mopti pourrons s’unir en une republique;Sikasso +Koulikoro une autre avec Bamako,capitale…
    Si nous ne nous entre-aimons pas et ne nous unissons pas :nous ne serions qu’au debut du partage du grand gateau EX MALI.
    Tout depend de nous et nous ne voulons pas le comprendre,mais nous continuons à accuser les autres! Les autres profitent de la situation .

  6. est-ce que la cote d’ivoire a été divisée?
    Si vous ne voulez pas de partition, commencer à accepter les populations du nord touaregs, tamasheq, etc. Si vous faites amalgames et continuez à vouloir jetter le bébé avec l’eau du bain, c’est bien parti pour la partition. Actuellement c’est le mnla qui est va vous devancer pour réunir les populations du nord, et après?
    Vous direz qu’ils sont tous les memes, complices, etc, etc.
    Bref.

    • Tu fera mieux de boucle ton bec , penses tu que les Touareg sont les seuls au nord , il faut aller revisser tes leçons de géographie ; le Mali ne sera jamais divisé même si des gens comme toi le souhaite, l’occupation d’un pays n’est point une partition, la France a été occupée est ce que après la guerre la france n’a pas recouvré ses frontières?Pour le moment nous les maliens nous avons des problèmes et il vrai que le problème de quelqu’un fait souvent le bonheur de l’autre.
      Vous dites que la Côte d’Ivoire n’a pas ét divisé mais on sait comment Blaise a été désavoué par les ivoiriens , on sait que c’est lui qui a soutenu Charles Taylor au Liberia, on sait également qu’il est entrain de chouchouter les rebelles touregs qui ont élu domicile dans les hôtels DU bURKINA. Burkinabé , vous êtes actuellement de faire la pluie et le beau temps avec nos souffrances mais le temps viendra où tout ser amis au clair et les pêcheurs en eau trouble seront demasqués.

    • Mr sans nom tu viens de dire la verite rien que de la verite.oui le bebe sera jeter avec l eau du bain au fin fond des puits a grand diametres de kidal.si tu toutarek taama ko seck apretre a chercher ton chamau pour te casser.si non ses fini vous ne vouler pas travailler et vous vouler avoir le luxe.oui le luxe est fini vous aller travailé comme nous les sudistes. luxi BAANA,A BEEN TIMMI DOGUI

  7. Analyse tres pertinente qui invite tous les maliens a rester vigilant et mobiliser. C’est capital pour le peuple malien de rester dans cette disposition afin d’aider les dirigeants a faire face aux pressions nombreuses et variees qui s’exercent et vont continuer de plus en fort.
    Des les premiers jours de la crise Djibril Bassole a l’instar d’Alain Jupe avait dit qu’on pouvait discuter l’idee d’une “large autonomie”.
    Le mediateur n’a pas change de ligne mais seulement d’elements de langage habillant sa communication.
    Le mediateur a tout fait pour maintenir le MNLA en vie et le faire admettre comme interlocuteur. Ensuite il fera tout, avec la pression de ses mandants occidentaux et Quataris, pour obtenir que le Mali fasse des concessions. Quelles concessions? Facile a imaginer.
    Seules la mobilisation et la determination dans l’unite nous permetront de contrer les sombres desseins du mediateur et ses mandants.

  8. IL NE FAUT PAS FAIRE DE CADEAU AU MNLA. MAIS JE SUIS SURPRIS AUJOURD’HUI D’ENTENDRE CES BANDITS TOUREGS DE TERRORISME. ILS ONT COMBATU ENSEMBLE AVEC CES JIHADISTES. ET MAINTENANT ….
    CE PAYS MALIBA EST BENIS. QUI VIVRA VERA ! ALORS L’ARMEE MALIENNE FAITE QUELQUE CHOSE……. LE PEUPLE EST AVEC VOUS.

  9. Ce bassole encore moins son president non elu ne sont pas intelligent que tous les Maliens .
    D’ailleurs , le tout petit citoyens maliens a bien signales ce traitrise d’un partie du gouvernement burkinabe a savoir blaise et son ministre bassala .
    Mais ce qu’ils oublient , le mali est un pays beaucoup plus benis et la fin de crise en DETERMINERA .
    Le Burkina n’est pas un pays voisins qui veut un Mali UNIFIE , mais qui veut plutot un Mali TROUBLE , trouble de haine , de querelles et de vangeances .
    Merci aux mediateurs blaise et son ministre bassala , bien RECUSES par le Mali et les Maliens et bien sure avec leurs exceptionelles PROFIL de mediation .

  10. L’ONU ATTAQUE AUX COTE DU mnla QUI PRETEND REPRESENTER 300 000 PERSONNES POUR COMBATTRE 14 000 000 MILLIONS DE MALIENS.

    LA GUERRE S’EST DEPLACEE. ELLE N’EST PLUS ENTRE LES MALIENS ET LE mnla, MAIS ENTRE LE MALI ET LA COMMUNAUTE INTERNATIONALE AVEC L’ONU EN TETE.

    DONC ATTENTION A LA MEDIATION QUI N’EST QU’INJUSTICE Y COMPRIS DU RACISME.

    SINON, NORMALEMENT, DANS CE MONDE ET CE MALI DU 21è SIÈCLE PLUS RIEN NE PEUT ETRE NÉGOCIE ET OBTENU SUR UNE BASE PUREMENT ETHNIQUE OU RACIALE.

  11. LA GUERRE S’EST DÉPLACÉE. ELLE N’EST PLUS ENTRE LES MALIENS ET LE mnla, MAIS ENTRE LE MALI ET LA COMMUNAUTÉ INTERNATIONALE AVEC L’ONU EN TÊTE. DONC ATTENTION A LA MÉDIATION QUI N’EST QU’INJUSTICE Y COMPRIS DU RACISME.

    SINON, NORMALEMENT, DANS CE MONDE ET CE MALI DU 21è SIÈCLE PLUS RIEN NE PEUT ETRE NÉGOCIE ET OBTENU SUR UNE BASE PUREMENT ETHNIQUE OU RACIALE.

    • Mauvaise graine, toi!
      ça ne marche pas comme ça. Tout ceux qui dans l’histoire se sont tromper de cible, pour s’attaquer à toute la communauté internationale n’ont pas long feu. Heureusement que jusque là le gouvernement ne suis pas vos salades de propos

  12. Que les personnes mal intentionnées périssent misérablement à l’avantage d’un Mali un et indivisible. Amen.

    • J’ai vecu l’experience du mouvement pionnier des années 1970 -debut 1980.Les slogans avaient alors un sens car touchaient le coeur des jeunes élèves!Les ecoles avaient leurs jardins,champs,troupeaux,ateliers de travaux pratiques…
      La jeunesse etait encadrée et disciplinée,courageuse!
      Aujourd’hui,l’incivisme,l’indiscipline,la facilité,l’amusement,…
      Le slogan MALI UN ET INDIVISIBLE ,ne suffit pas,il faut un retour aux valeurs,au courage,à l’unité.Autrement on risque simplement de disparaitre comme Mali,ou devenir un PROTECTORAT d’une puissance(USA,FRANCE,…CHINE).
      Il faut retourner au respect et au civisme dans la famille,à l’ecole,et dans la société.
      C’est une crise qui frappe d’ailleurs tous les pays du monde,mais son impact chez nous se traduit par ce que nous vivons depuis mars dernier.

  13. MES CHERS FRERES MALIENS SOYONS TRES TRES VIGILANT. IL N’YAURAS PAS DE PARTITION AU MALI, LE GRAND MALI RESTERAS INTACTE UN CENTIMETRE NE SERAS PAS PERDUS AU DETRUMENT DE QUI QUE CE SOIT. IL EST INDIVISIBLE, LAIC DEMOCRATIQUE. NOUS DEVIENDRONS PLUS FORT , CETTE PETITE TUBULANCE NE FERAS PAS BASCULER LE GRAND MALI. JAI CETTE CONVICTION JE LE DIS TRES FORT ET HAUT.

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