Partition du pays : Le MNLA, toute honte bue

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Profondément méprisé par le peuple du Mali qu’il a acculé à la faillite morale et sociale, pourchassé, corrigé et réduit à sa plus simple expression par le MUJAO et An sardine, le MNLA, renonce et sur le tard à sa visée sécessionniste sur les régions du nord de notre pays.

La déclaration de la reddition de la honte a été faite dimanche dernier à Ouagadougou, en présence du médiateur de la crise malienne, le président Blaise Compaoré. Le MNLA souhaite engager des pourparlers de paix avec notre pays et a engagé le président Burkinabé à renouveler au président du Mali, Dioncounda Traoré, la demande des chefs d’état de la Cédéao dans la perspective de la création d’une structure nationale chargée de promouvoir le dialogue avec le nord.

En rapport à l’engagement du dialogue avec le nord, le médiateur de la Cédéao pour le Mali, en recevant les mouvements armés, avait,  demandé à ceux-ci de s’entendre sur une plateforme politique qui ne remettrait pas en cause l’intégrité territoriale du pays, tout en se démarquant de l’extrémisme et du terrorisme. Le MNLA satisferait –il ainsi toutes les exigences ? A la face du monde, toute honte bue, voilà la déclaration pondue à Ouagadougou par les traîtres apatrides du MNLA.

« Nous sommes là aujourd’hui pour informer le monde entier que le MNLA a réussi pendant des mois de travail à tomber d’accord sur une plateforme politique avec des aspirations très claires et nettes pour pouvoir atteindre le règlement politique de cette crise qui nous oppose au Mali depuis 52 ans”, a notamment indiqué Ibrahim Ag Assaleh, membre du Conseil national de transition de l’Azawad et chef de délégation.

« Nous revendiquons notre droit à l’autodétermination qui ne veut pas dire sécession. C’est le droit à la vie, à la santé, à l’éducation, les droits politiques et le droit à l’expression », a-t-il précisé.

Selon le ministre burkinabé des Affaires étrangères, le médiateur de la Cédéao, en accord avec les présidents Alassane Ouattara de la Côte d’Ivoire et Goodluck Jonathan du Nigeria, établira et soumettra aux parties en conflit, un cadre formel de dialogue prenant en compte les exigences exprimées par les Chefs d’Etat de la Cédéao.

Il s’agit notamment de la préservation de l’intégrité territoriale du Mali, du respect des droits humains et des libertés fondamentales et l’accès des populations du nord Mali aux services humanitaires et sociaux.

Ce cadre, selon Djibril Bassolé, déterminera l’agenda des pourparlers inclusifs devant aboutir à l’établissement d’un accord global définitif de paix, de stabilité et de développement.

La rédaction

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3 COMMENTAIRES

  1. nous n’en voulons pas aux gens du MNLA, car toute leur existance ils n’ont jamais eu honte c’est à voir s’ils connaissent même le sens de ce mot. Par contre nous en voulons à mourir à ce médiateur autoproclamé et ridicule, qui ne se rend même pas compte qu’il est en train de cautionner la dominance de la couleur blanche sur celle du noir en cette période de village planetaire.

  2. Quand ton chien que tu as bien nourri te mord et s’en aille au maquis et que ce chien trouve chaud là-bas puisque mordu par plus forts: des lions, des panthères et des hyènes…et que ce chien te revienne afamé, humilié, meurtri et confus…queue entre les jambes, pardonnera-tu ce chien? Cest possible de le pardonner, mais avec sa queue restant toujours entre ses jambes… et non pas en demandant quoi que ce soit. Le MNLA doit plutot demander le Pardon Nationale au Mali… sinon s’ils pensent qu’ils auront encore quelque chose au nord (autonomie auto-blah blah) ils rêvent doulereusement. Le nord ne sera plus jamais negligé aux mains de quelques apatrides touargues. Cest fini ça!!!

  3. Le Mouvement National des Lâches Apatrides (MNLA) est devenu une marionnette à la main de Blaise Compaoré pour avoir la main sur le Mali. Ce criminel en veut à mort au Mali et passe par ces renégats de notre peuple pour nous affaiblir. Nous avons rien à discuter avec ces apatrides sauf qu’ils rentrent dans le rang en attendant la CPI, en tout cas s’ils mettent le pied à Bamako c’est la mort certaine, les services secrets du Mali ( pas forcement la SE) s’en occuperont. La décentralisation est là pour tous le monde, qui dirige les communes de ces renégats là? sinon eux-mêmes, alors pourquoi ils ont versé notre sang? Donc ils payeront pour ça. Cela est inéluctable.

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