C’est la grande cacophonie autour de la signature du projet d’accord d’Alger. Ce document, adopté depuis le 1er mars dans la capitale algérienne, a été paraphé par toutes les parties impliquées dans la crise malienne, à l’exception de la Coordination des mouvements de l’Azawad. Après plusieurs semaines d’impasse, l’espoir avait commencé à renaître avec cette annonce du Premier ministre jeudi dernier, affirmant que la Médiation lui a notifié la décision de la Cma de signer le texte d’Alger. Le lendemain, un communiqué signé par la commission communication de la Coordination, a démenti cette information. Selon le communiqué, la Coordination des mouvements de l’Azawad avait «décidé de ne pas parapher le document en l’état et à la date indiquée». Et elle demandait la prise en compte de ses amendements.
Quelque temps auparavant le porte-parole de la Coordination avait confirmé sur les antennes de Studio Tamani l’envoi par la Coordination d’une lettre à la médiation internationale lui faisant part de sa disponibilité à signer le document du 1er mars ce 15 avril. Il a ajouté que la Cma a aussi demandé l’organisation de rencontres informelles pour préparer les conditions d’une signature finale.
Ces déclarations contradictoires qui étaient la preuve d’une scission de la Coordination, ont créé une grande confusion au sein de l’opinion nationale et internationale. Cette situation embarrassante était considérée par bon nombre d’observateurs comme un manque de respect notoire à l’égard du Gouvernement du Mali et de la Communauté internationale. Mais aussi, elle était le fait d’une Médiation qui refusait de s’assumer et qui, au lieu d’informer, en rajoutait à la cacophonie. Illustration : lorsqu’un membre de la Médiation, interrogé sur la question, affirmait qu’«il n’avait jamais été informé d’une décision de la Cma à s’engager en faveur d’une signature». Incompréhensible, lorsque tous les membres de l’équipe de Médiation ne sont pas au même niveau d’information.
Outre l’incertitude qui règne autour de ce paraphe de la Cma, l’on se demande aujourd’hui dans quelle condition l’équipe de la Médiation internationale réussira à l’obtenir.
SORO
Ce peuple qui ne peut pas se prendre en charge et sont surtout préparés au brigandage, au braquage, aux vols et aux mensonges avec ces maux au sein d’un peuple, il ne saurait avoir d’indépendance et d’autonomie. Même, si le Mali accepte de donner l’autonomie et l’indépendance à cette partie du peuple touareg qui réclame mordicus cette liberté totale, cette partie du pays serait le lieu de la vente de drogue et des échanges nébuleux. Ces bandits n’aiment pas la gouvernance organisée, mais ils préfèrent une liberté sans fin et aucun état organisé n’accepterait cette liberté sans limite. Même si ces touareg sont transférés dans des états à très haute gouvernance, ils se rebelleront contre leurs gouvernants parce qu’ils ne veulent pas travailler mais de mener des actions ignobles et éhontées à leur seul profit. Je reste certain que la communauté internationale se rendrait compte de cette attente malsaine de ces bandits très prochainement.
Surtout, ils n’aiment pas se faire gouverner par des négroïdes
Comments are closed.