Le point de presse de la Minusma pour l’année 2018 a été animé le jeudi 11 janvier par le commandant Jean Paul Deconinck dans la salle de conférence du siège de l’organisation onusienne à Badalabougou. Il était question des actions militaires que la Minusma a menées au cours des trois derniers mois de l’année 2017 et ses projets pour 2018.
Cette première rencontre avec les hommes de médias a commencé avec le message du représentant du secrétaire général de l’Onu, Mahamat Saleh Annadif. Lequel a souhaité ses vœux de bonne année pour 2018. Il espère que cette nouvelle année apporte un vent d’espoir, une nouvelle dynamique dans le processus de paix. Il a ensuite encouragé l’ensemble des parties maliennes à redoubler d’efforts dans la mise en œuvre de l’accord pour la paix et la réconciliation, issu du processus d’Alger.
Le général de division, commandant de la force de la Minusma, Jean Paul Deconinck, a, dans son intervention, apprécié le travail fait sur le terrain par les forces de la Minusma. Les défis, selon le commandant, sont les engins explosifs improvisés sur le terrain. À cela s’ajoute la lenteur dans la mise en œuvre de l’accord sur le terrain.
«Ces défis pèsent directement ou indirectement sur la population civile. Nous ne sommes pas là en première ligne pour assurer la sécurité de tout un chacun sur le territoire malien. Loin de là ! Les premiers acteurs, ce sont les forces de sécurité et de défense maliennes. Mes priorités opérationnelles pour 2018 s’étendent sur 150 points que je ne vais pas développer pour des raisons de sécurité», a laissé entendre le commandant Jean Paul Deconinck.
Gabriel TIENOU
C’est juste des vautours qui ne s’interessent qu a la misere et aux ressources de l’Afrique
N’importe quoi. En plus, ils ne peuvent pas assurer leur sécurité. Youweri Mousseveni a raison de traiter la mission de l’Onu en RDC comme complice des terroristes.
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