Paix et réconciliation : Ibk s’impose, le Mali sur la voie de son renouveau

Ce samedi, à l’unisson, maliennes et maliens, sous la houlette d’un homme éclairé, décidé à faire renaître sa patrie, ont chanté l’hymne du Mali. C’était en prélude de la signature par nos frères égarés de l’accord pour le développement harmonieux et durable du Mali.

Après moult tractations, le peuple malien est sur la voie de sa réconciliation pour son bonheur et l’honneur de sa patrie. Grâce à l’engagement sans faille d’un homme, El Hadj Ibrahim Boubacar Kéïta dit IBK. En effet, lorsqu’il décida de s’engager sur la voie du dialogue, de la concertation, il était jugé comme un homme au service de la France. Pourtant, en s’engageant, il a été clair et conséquent avec lui-même : “Tout se négocie sauf l’intégrité et la souveraineté du Mali ; la laïcité et l’unité du Mali entre autres”. Des chantages aux trahisons de ses alliés, il est parvenu à rester inflexible, serein et objectif. Finalement, après plusieurs mois, IBK s’est imposé et en train de mettre le Mali sur la voie de son renouveau. Un discours qu’il a toujours tenu et qu’il tient en toutes circonstances. Depuis ce samedi 20 juin, le mandé Massa peut se targuer d’être le président de la République depuis plus de 50 ans à emprunter la voie de la réconciliation définitive. Celui qui est en train de fermer la plus grande tare de l’histoire du Mali. Puisque de 1960 (Indépendance) à nos jours, chacun des présidents de la République a eu sa rébellion, ses négociations et certainement son accord. Le présent accord, sans être parfait, semble avoir l’avantage de réunir toutes les couches du Mali autour d’un objectif commun. Le développement harmonieux du Mali, de Kayes à Kidal. A cet effet, le président IBK doit rendre grâce à Dieu de lui offrir une telle opportunité. Sans être le plus âgé, le plus riche, le plus beau, le plus élégant, le plus instruit, le plus rigoureux, le plus stratège, il est parvenu par sa méthode à trouver un point d’orgue entre le fils d’un même pays qui partait en lambeaux. Alors, bravo Ladji Bourama !

Boubacar DABO

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