« Les premiers éléments du mécanisme opérationnel de Tombouctou sont au nombre de 50 (un manque à l’appel). Ils sont dans un premier temps sécurisés dans leur camp par la Minusma et auront en charge leur propre sécurité au fur et mesure. Ils feront également des patrouilles », a déclaré le commandant de la force de la Minusma, le général belge Jean-Paul Deconinck, au cours d’une conférence de presse.
Ils sont repartis entre les trois parties signataires de l’accord, à savoir les ex-rebelles de la coordination des mouvements de l’Azawad avec 17 éléments, la Plateforme des groupes armées jugés loyalistes avec 17 hommes et le gouvernement malien avec 17 soldats de l’armée régulière.
Le mécanisme opérationnel de coordination est prévu pour sécuriser les autorités intérimaires, autre disposition de l’accord. Le MOC, comme on l’appelle en abrégé, est une étape clé dans la mise en œuvre de l’accord pour la paix et la réconciliation.
AD/te/APA