BAMAKO (Reuters) – Les miliciens progouvernementaux se sont retirés vendredi de la ville stratégique de Ménaka, dans le nord du Mali, comme le réclamaient les séparatistes touaregs en échange de leur acceptation de l’accord de paix qui doit être signé samedi à Bamako.
Leur départ de la ville a été confirmé par l’armée malienne et par des sources à la mission des Nations unies dans le pays, la Minusma. Un convoi d’une soixantaine de véhicules a quitté Ménaka, a précisé une source de la Minusma.
“Nous avons remis le contrôle de la ville à la Minusma et à l’armée malienne”, a confirmé Fahad Ag Al Mahamoud, secrétaire général du Gatia (Groupe autodéfense touareg Imghad et alliés), favorable au gouvernement de Bamako et membre d’un mouvement plus vaste appelé la Plate-forme.
L’envoyé spécial de l’Onu pour le Mali a déclaré que ce retrait de Ménaka était un signe rassurant sur la bonne marche du processus de paix. “La Minusma salue la décision courageuse et responsable de la Plate-forme”, a dit Mongi Hamdi.
A Kidal, également dans le nord du Mali, les dirigeants de la Coordination des mouvements de l’Azawad (CMA) se préparaient vendredi à partir pour Bamako, la capitale malienne où sera signé l’accord, ont rapporté des habitants.
(Souleymane Ag Anara et Tiemoko Diallo, Guy Kerivel pour le service français)
QUE LA PQIX SOIT DURABLE AU MALI ET DANS LE MOND.
M. du GATIA vous allez repondre de la mort des innocents Kel essouk
Ibk a encore montré sa faiblesse pour diriger un pays
Merci a vous les gars. Ne restez pas loin. Et maudit soit ce gouvernement qui ne peut meme pas etre neutre .
Honneur au GATIA !
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