Ainsi, non seulement les séparatistes ont été une nouvelle fois défaits, mais en plus, dans leur fuite, ils ont laissé sur place des armes lourdes, récupérées par leurs adversaires.
Décidément, les séparatistes semblent plus que jamais décidés à ne jamais se plier aux accords de cessez-le-feu précédemment signés. C’est ainsi que dans la nuit du dimanche 15 au lundi 16 février, des combats d’une rare violence les ont, une nouvelle fois, opposés aux unionistes aux alentours de Tabankort, verrou stratégique pour marcher sur Gao. Comme les autres fois, l’avantage est à mettre à l’actif de ces derniers qui leur ont encore fait subir une cuisante défaite. Tombés dans un véritable guet-apens, dans leur débâcle, les séparatistes ont tiré avec des armes lourdes dans toutes les directions. Des sources proches des unionistes nous ont confirmé que ces armes sont actuellement entre les mains des forces loyalistes.
Par ailleurs, il convient de rappeler que depuis quelque temps, les séparatistes jouent leur va-tout pour s’emparer de la localité de Tabankort qui échappe toujours à leur contrôle. Violant du coup les accords de cessez-le-feu déjà en vigueur.
En réalité, le MNLA et ses acolytes ne semblent pas du tout disposés à respecter lesdits accords. C’est ainsi que dans le cadre des travaux de la réunion extraordinaire du Comité de Suivi et d’Evaluation, tenus à Alger la semaine dernière, ils avaient posé des conditions surréalistes pour faire taire les armes. D’abord, la restitution de toutes les localités d’où ils ont été délogés soit par les unionistes soit par les militaires maliens ainsi que l’application de l’accord signé avec la MINUSMA en fin janvier prévoyant l’établissement d’une ” zone temporaire de sécurité “. Un document, rappelons-le, jugé partisan et ayant fait l’objet d’une manifestation de protestation populaire et pacifique à Gao marquée par la mort par balles de trois personnes. Ce qui a entrainé son retrait par la MINUSMA, mise en cause dans la mort de ces trois manifestants. Ledit document n’était qu’un jeu de dupe des séparatistes qui souhaitaient s’offrir sur un plateau d’argent ce qu’ils n’ont pas pu arracher par les armes, à savoir le contrôle de larges portions du territoire au nord.
Après avoir échoué dans cette tentative, ils ont décidé de se livrer à du harcèlement auprès des localités où ils ont été chassés soit par l’armée malienne soit les forces acquises à l’unité du pays. Il est donc plus qu’urgent que les forces alliées (Barkhane et MINUSMA) traitent équitablement les groupes armés au lieu de jeter leur dévolu sur un camp au détriment de l’autre, comme le montrent les derniers développements sur le terrain.
Massiré Diop
Traitre
Cette fois ci l’état malien acceptera de donner une place au GATIA dans l’armée malienne contrairement en 1995 où c’est les groupes rebelles qui ont pris la part du loup dans l’armée malienne. Mêmes les bergers ont été nommés colonel alors que les groupes armées fidèles au gouvernement ont été laissés pour compte et n’ont rien eu.
Ibk Traitre lache
En tout cas Clou, il joue et il est jeux dangeureux est entrain de se dessiner qu’il y ait un accord de paix signe ou pas. Il n’a jamais ete facile de recuprer des milices pares une rebellion partout dans le monde les exemples sont la. Mais j’essaye de faire confiance au Gatia pour une fois car l’armee malienne n’est pas assez connaissanceure de nos localites nordiques et elle connaisse pas qui est qui en tant que tel.
J’encourage malgre tout le Gatia pour leur nationalisme et patriotisme.
Ibk Traitre lache
BRAVO GATIA .Nous sommes fiers de vos exploits et surtout il faudra désormais qu'on vous incorpore dans l'armée.vous faites du bon boulot ,à coeur vaillant rien d'impossible.
Le gouvernement du Mali est en train de diviser le Mali en donnant procuration à gatia pour se battre à la place de l’armée Malienne. Attention au partage du gâteau 🙄
Le séparatisme ne s'en racinera jamais au Mali tant que les populations ne se rendront pas complices de ces rats de la nature.
Mais et l'arme malien dant tout sa
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