Nous pas bouger, pas moyen bouger : Le Gatia, n’est pas une milice !

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Me Ibrahim Berthe
Me Ibrahim Berthe

Le Gatia, c’est de braves citoyens, guerriers, qui disent non à l’asservissement, à l’abaissement qu’une certaine communauté internationale  veut imposer au Mali en laissant une bande de voyous narco-terroristes semer, depuis 2012, le désordre et la terreur dans les régions nord de notre pays.

Le Gatia est là pour protéger les innocentes populations de Ménaka qui ont salué l’action de salubrité publique ainsi menée.

NOUS PAS BOUGER ! PAS MOYEN BOUGER !

C’est le cri de tous à Ménaka ! débarrassons-les de ces vermines qui pilulent aussi à Léré, Goudam, Diré, Ténékoun, Taba nghor, Anefis et à Kidal et ailleurs au Mali.

Où est passé la résolution 2 100 du Conseil de Sécurité de l’ONU et les textes subséquents? Appliquez les…Mesdames et Messieurs de la Communauté Internationale, tout simplement !

                                            Me Ibrahim berthe

                                               Ancien Député

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2 COMMENTAIRES

  1. dans quelle langue devons dire que l’Etat Malien doit se “sortir” d’une manière ou d’une autre des griffes de cette prétendue communauté internationale. Ce “machin” est un monstre qui ne se signale que pour defendre les interêts sordides de quleques sangsues. Pourquoi ne prend elle pas de mesure contre le génocide, l’infanticide des juifs contre les arabes? Pourquoi ne dit elle pas aux chefs d’Etats negriers “africticide” qu’il n’est pas normal de tripatouiller dans les constitutions? QU’ils n’ont pas le droit de tuer leurs peuples? LEUR JEUNESSE. Merde!

  2. Honorable Berthé, sachez que c’est notre Etat qui encourage la “Communauté Internationale” ( l’Occident) à persister dans son jeu en disant toujours que la France et cette Communauté ne sont pas nos ennemis. Leur dessein est bien avoué maintenant mais l’Etat malien continue à leur faire plaisir. Tout le problème du Mali se situe aujourd’hui au “Courage politique” des dirigeants ; malheureusement c’est ce que les maliens ont choisi en majorité.

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