Acculé dans ses derniers retranchements ? IBK l’est assurément. Ainsi, il livre l’Etat malien, pieds et mains liés, aux bandits armés qui continuent d’occuper Kidal, avec leurs complices terroristes et narcotrafiquants. Ceux-ci, depuis la signature de l’accord d’Alger, alignent les victoires sur l’Etat-nation du Mali, dont le premier responsable cède sur toute la ligne, aux prix de compromis et de compromissions. Loin derrière, le temps des discours va-en-guerre, les promesses électorales et la « fermeté » qui ont tout simplement laissé place à la capitulation. Alors qu’IBK, qui pourfendait l’ancien président ATT, avait pris l’engagement de sévir dans la question du nord avec la plus grande fermeté.
IBK s’est longtemps présenté comme l’homme qui peut « matraquer » la rébellion au nord du pays et rétablir l’honneur des Maliens. Ses premières déclarations confortèrent certains de nos compatriotes à croire à sa détermination de sauver le Mali. « Aucun bandit ne hissera à mon niveau » ; « Je ne négocierai pas avec des hommes armés » ; « je ne serai pas trimbalé… », sont, entre autres, discours guerriers adressés à la rébellion et aux adversaires politiques. Ces propos et beaucoup d’autres déclarations fracassantes ont été tenus dans l’euphorie de son élection en 2013.
Hélas ! La désillusion est désormais la règle ; l’espoir, l’exception.
Le président Ibrahim Boubacar Keïta est surtout rattrapé par ses paroles. Aujourd’hui, il ne devrait plus pouvoir supporter le regard de ses concitoyens qui n’hésitent plus à donner raison à l’ancien président, Amadou Toumani Touré. Celui-ci a été traité de tous les noms d’oiseaux, en 2006, quand il avait sollicité le médiateur algérien pour négocier un Accord de paix avec les insurgés de Kidal. La démarche de l’ancien président et le contenu du document intitulé “ACCORD D’ALGER POUR LA RESTAURATION DE LA PAIX, DE LA SECURITE ET DU DEVELOPPEMENT DANS LA REGION DE KIDAL” avaient séduit tous les Maliens. Tous ou presque, sauf IBK, hanté par des discours et des positions va-t-en guerre. Pourtant, il était le président de l’Assemblée nationale et son parti, le Rpm, participait au gouvernement. Pendant que les déclarations de soutien et les félicitations (à l’endroit du chef de l’Etat) pleuvaient pour la signature de cet accord du 04 juillet, IBK est monté sur ses grands chevaux pour dénoncer. Pour IBK, ATT n’agissait pas pour éviter la guerre, mais il a fui ses responsabilités. « Ne nous laissons pas abuser. Il y avait simplement des responsabilités à assumer et rien d’autre. Traiter les problèmes aux véritables niveaux où ils se posent. C’est tout ! Les rodomontades n’y changent rien ! », peut-on lire dans une déclaration issue d’une réunion du Rpm, tenue à Sébénicoro le 12 juillet 2006. Sans doute, IBK était loin d’imaginer qu’il pouvait venir un jour aux commandes de l’Etat. Le « va-t-en-guerre » qu’il fut, est aujourd’hui devenu doux comme un agneau, trimbalé par les rebelles et humilié par les évènements. Alors qu’il avait également affiché (en 2006) une hostilité vis-à-vis de la médiation algérienne. « Comment est-on passé de la gestion d’une mutinerie à une négociation sous l’égide d’un pays ami et frère, certes, mais nullement concerné par une affaire relevant exclusivement de la compétence militaire du Mali ? », s’interrogeait-il dans sa déclaration 12 juillet 2006. Depuis deux ans, il a certainement la réponse à sa question. Lui-même a choisi de remettre le « destin » du Mali entre les mains d’un voisin qui impose tout à l’Etat malien: l’Algérie. Et pourtant, la CEDEAO était bien partie pour trouver une issue heureuse à la crise politico-sécuritaire du Mali. L’accord de Ouagadougou en est une preuve. Il avait, entre autres, permis l’organisation des élections présidentielles et législatives sur l’ensemble du territoire national.
Ensuite, IBK a été contraint à la négociation avec les groupes armés, requinqués par leur victoire sur le Mali. IBK, qui ne voulait pas être « trimbalé », fut obligé de céder aux multiples caprices des bandits de Kidal.
Par ailleurs, des négociations se sont déroulées de façon monarchique à Alger. Elles ont finalement conduit à la capitulation de l’Etat avec la signature d’un accord qui consacre la partition du Mali.
Désormais l’Algérie est désigné comme un pays frère du Mali. Et IBK ne manque aucune occasion pour affirmer qu’il croit dans son âme que c’est seulement la « vertu du dialogue » qui permettra au pays de sortir de la crise. « Ma mission n’a jamais été la guerre, mais le dialogue et la paix… Depuis la signature de l’accord, les choses bougent, la mise en œuvre d’un accord n’est pas facile, mais nous sommes tous décidés à concrétiser ses engagements…», déclarait-il, lors du deuxième anniversaire de son accession au pouvoir, sur les antennes de la télévision nationale.
Les désirs des rebelles sont des ordres…
Aujourd’hui, les rebelles ont l’honneur, le prestige et une immense satisfaction sur toute la ligne. Tous les principes sacro-saints d’égalité, de justice et de solidarité sont malmenés au profit de bandits armés. Avant, pendant et après la signature de l’accord de paix des 15 mai et 20 juin 2015, les chefs rebelles ont toujours été aux petits soins du gouvernement malien, des partenaires et du lobby pro-touareg. Espèces sonnantes et trébuchantes, séjours payés dans des hôtels de luxe en Afrique et en Europe, des postes taillés sur mesure dans l’administration publique…, sont, entre autres, les avantages accordés aux chefs rebelles du nord du Mali.
Le gouvernement, dans sa quête irréfléchie de paix à tout prix, est soupçonné de « financer » de hauts responsables et des notabilités de Kidal. Des milliards de FCFA décaissés des fonds publics et bien d’autres avantages seraient offerts gracieusement aux responsables de la rébellion. On se souvient des milliards de FCFA interceptés à l’aéroport d’Abidjan avec un chef rebelle en provenance de Bamako.
Actuellement, tous les responsables du Mnla, de la Cma sont en train de se la couler douce à Bamako, Paris, Alger, Bruxelles et dans les capitales voisines. Ils sont pris en charge soit par l’Etat malien, les pays voisins ou de l’occident. Ils sont désormais les chouchous de la République. Ils sont même présentés à la communauté internationale comme des « hommes de paix ». Les Maliens ont allègrement découvert que la délégation présidentielle (lors de certains voyages d’IBK en France) comprenait des chefs rebelles. Comme à Bamako, le tapis rouge leur a été déroulé à Alger, comme si les crimes commis ont été tout simplement oubliés et pardonnés. Au même moment, l’on tente d’apaiser la colère du peuple, en distillant mensonges et faux messages…
Comme si cela ne suffisait, le gouvernement été contraint de leur offrir, entre autres, des postes sur un plateau d’argent. Il s’agit notamment de la première vice-présidence de la Commission Vérité, Justice et Réconciliation.
Pour les beaux yeux des rebelles touaregs, les élections municipales ont été renvoyées aux calendes grecques. Certes, les conditions sont loin d’être réunies, mais le des observateurs estiment que le gouvernement a tout simplement cédé face aux menaces proférées par la Cma qui affichait son hostilité pour la tenue des élections municipales.
Aussi, les autorités maliennes, qui veulent toujours s’afficher aux côtés des rebelles, ont jeté l’argent par la fenêtre, en finançant un soi-disant forum de Kidal. Ce Forum qui devrait se tenir, le 27 mars dernier, n’a pas eu lieu. Il a été remplacé par une rencontre de la CMA qui a finalement décidé d’organiser un semblant de forum sans les autres acteurs, notamment le gouvernement et la Plateforme. On se rappelle, le discours des rebelles avait changé quand la cagnotte (400 millions de FCFA) est tombée dans les caisses de la CMA. « L’Etat n’est pas coorganisateur du forum, mais un invité », a précisé un responsable de la CMA. C’est une façon pour ce mouvement rebelle de recadrer certains médias qui sont allés vite en besogne, en faisant le lien entre la participation du gouvernement au forum de Kidal et le retour de l’administration à Kidal.
Comble d’humiliation pour les Maliens !
Il y a de cela quelques semaines, la Coordination des mouvements de l’Azawad et la Plateforme avaient suspendu sa participation au Comité de suivi de l’Accord et conditionné son retour à la table du dialogue à la mise en place diligente des autorités intérimaires. Les représentants du gouvernement au CSA ne trouvaient pas cet aspect prioritaire, ni urgent. Les deux parties se déportent alors chez le Médiateur, l’Algérie, qui a exigé la reprise des travaux du CSA avec, à l’ordre du jour, l’examen de deux points essentiels à savoir la mise en place des autorités intérimaires et l’opérationnalisation des mécanismes sécuritaires, en particulier les patrouilles mixtes. Le CSA tient sa neuvième session ordinaire au Centre International de Conférence de Bamako, les 13 et 14 juin 2015, sous la présidence de l’Algérie. Un communiqué de capitulation du gouvernement sanctionne la fin des travaux.
En effet, les parties adoptent une sorte de protocole d’« ENTENTE sur les modalités pratiques de mise en place des autorités intérimaires, des chefs de circonscriptions administratives, le redéploiement des services déconcentrés de l’Etat et sur le mécanisme opérationnel de coordination ». « Cette ENTENTE constitue une avancée significative dans le processus de paix », selon le Comité. Qui exhorte les parties au respect de leurs engagements et d’en assurer une mise en œuvre diligente dès sa signature.
En outre, « le Comité s’est félicité de l’esprit de collaboration, de dialogue et d’engagement renouvelé à la mise en œuvre diligente et intégrale de l’Accord, manifesté par les Parties lors des différentes discussions ».
Voilà comment le gouvernement malien a encore mordu la poussière sous la pression des rebelles, de l’Algérie et de la France.
Pourtant, c’est le même gouvernement qui a initié et défendu vaillamment l’idée des autorités intérimaires contre l’avis de l’opposition et d’une frange importante de la population.
Pour clore le tableau, l’Assemblée nationale vient de voter le budget (rectificatif) de l’année 2016. Ainsi, l’Etat va octroyer des primes d’un montant de 139 millions de francs CFA à sept députés. Il s’agit des honorables Algabass Ag Intalla, Mohamed Ag Intalla, Ibrahim Ag Assaleh, Deity Ag Sidimou, Sala Ag Albekaye, Mohamed Ag Bibi.
Mais les Maliens désabusés et humiliés par ces nombreux actes posés par le régime en place, gardent l’espoir que leur pays pourra, un jour, retrouver les ressources nécessaires pour rebondir et réécrire une belle page de son histoire.
Issa B Dembélé
los politicos mali zero zero zero.
los politicos mali zero zero zero.
MALIENS soulevons-nous afin de reprendre notre destin à la main, sinon, IBK, c’est bzzzzzzzzzzzzzz :chuckle: :chuckle: :chuckle:
Ce qui est dramatique dans ce pays, c'est de continuer a nier l'evidence. Continuez a supporter aveuglement. Vous aurez un reveil tres brutal et ca sera sauve qui peut. Le menteur n'arretera jamais de mentir tant que le peuple devant lequel il ment pense qu'il dit la verite.
“….Mais les Maliens désabusés et humiliés par ces nombreux actes posés par le régime en place, gardent l’espoir….” OUI ASSEYEZ-VOUS LABAS ET CROISEZ VOS BRAS. QUAND IBK AURAIT FINI DE JOUIR, IL VA S’EN ALLER VOUS LAISSE ENTRE LES MAINS DE SES REBELLES A QUI IL A VENDU LE PAYS. SUR INSTRUCTIONS DE LEUR AMIS DJIHADISTS, IL VIENDRONT COUPER VOS MAINS.
Qu’est-ce que peut garantir l’État quant au non respect de l’accord par les groupes armés. Puis que ceux-ci sont déjà installés sur leur base dans leur “azawade” et renforcent chaque jour qui passe leurs positions. Cela leur rapproche au fur à mesure de leur objectif final (connu de tous). Le gouvernement ne doit pas facilement cédé à leurs exigences à tout moment. Pour ne pas hypothéquer l’avenir de ce pays qui est aussi la terre de nos ancêtres.
IBK à fait pour le Mali en terme de négociation de cet accord, il a mis la population Malienne en tranquillité.
Si vous souvenez le président IBK fait toujours face à des situations difficiles, pour rappel il fut 1er ministre en 1996 lorsque sa chauffait pour Alpha. Et aujourd’hui c’est lui seule qui a pu négocier un accord ou le Mali sera un et indivisible laïc.
Mes chers compatriote la moitié du chemin est fait retrouvons nous manche débout derrière le président IBK Dieu nous aimes.
Nous les Malien doivent aider IBK car sous Alpha et ATT, nous avons fermés les yeux sur nos faiblesse, nous avons pactiser avec le diable et ses enfants, nous avons laissé les médiocres prendre en otage notre destiné! Je pense qu’avec le président IBK, nous somme réveiller.
Suite à l’accord de paix, le gouvernement élabore la mise en œuvre d’une stratégie et d’un plan d’actions de retour des réfugiés et des personnes déplacées interne permettra a ceux qui depuis le début des conflits ont quitter leur territoire pour d’autre localités de revenir chez eux enfin de recommencer leurs activités en toutes sécurité.
Quiconque dénigre cet accord est un ennemi de paix et du Mali. Un élan important pour le développement de notre chère patrie merci IBK.
Dans la voix de la mise en œuvre de l’accord de paix issu du processus d’Alger, la nomination et l’installation des gouverneurs des régions de Taoudéni et Ménaka. Le président son gouvernement sont avancés importantes pour le retour d’une paix définitive au Mali.
Le Mali est un pays d’hospitalité, de cohésion sociale, IBK a toujours prôné l’unité nationale l’État laïc et républicain il ne fait qu’appliquer l’accord de paix issu du processus d’Alger, il n’est pas temps d’accuser x ou y mais il est temps de s’unir d’accompagner le président IBK , car c’est lui qui en a la solution.
Pardon il faut nous laisser avec vos accusations bidons qui sont sans tête ni queue, on veut la paix un point c’est tout et la paix n’a pas de prix. C’est mieux de faire un compromis que de prendre les armes et de s’entre tuer.
Coup d’accélérateur au processus de paix. Le gouvernement malien, la Coordination des Mouvements de l’Azawad (CMA) et la Plateforme ont trouvé un accord sur la mise en place des autorités intérimaires.Nous en sommes très heureux.Nous fiers du président IBK et son gouvernement pour tout ce qu’ils font pour le retour d’une paix définitive dans notre pays.Je pense que tous ceux qui trouvent des choses à dire concernant cet accord sont les ennemis de notre pays.
L’accord prévoit un calendrier de mise en œuvre et du retour de l’administration dans les cinq régions du nord du Mali. Ainsi, dès le 30 septembre, on assistera au retour effectif de certains services de l’État à Kidal, actuellement hors de son contrôle. Il s’agit notamment des services techniques de l’éducation, la santé, l’énergie et l’eau et la justice.C’est cette avancée qui gène l’opposition malienne et qui paye ces journalistes pour dire du n’importe quoi.
Prévue par l’accord de paix, la mise en place des autorités constituait un blocage dans le processus de paix. Les groupes armés l’avaient posée comme condition pour poursuivre leur participation aux travaux du comité de suivi de l’accord.Un accord a été trouvé pour avancer.C’est le plus important.L’opposition malienne peut dire ce qu’elle veut le pays avance sur le chemin de la paix.
L’accord entre le gouvernent malien et la CMA indique que les préfets, sous-préfets et gouverneurs seront secondés de représentants de la CMA et de la Plateforme. Les trois parties se sont aussi engagées à assurer la sécurité et le redéploiement des services sociaux de base.C’est le retour de l’administration à Kidal.Les ennemis de notre pays peuvent dire ce qu’ils veulent.Cela ne nous empêche pas d’avancer sur la route de la paix.
L’autorité intérimaire est composée des représentants du gouvernement et de la plateforme et ses membres seront désignés de façon consensuelle. Une fois en place, elle choisira un président et deux vice-présidents en son sein. Le président sera provisoirement le chef de l’exécutif local.Qu’est ce que les idiots ne comprennent pas en cela et dise du n’importe quoi.
Les ennemis de la paix se réveillent de leur sommeil.Ils ont entendu qu’il y a eu un terrain d’entente entre le gouvernement malien et la CMA.Faut il leur rappeler que nous sommes en train de négocier une paix dont l’absence empoisonne notre vie de tous les jours?Le président IBK et le gouvernement malien savent ce qu’ils font.L’essentiel est que les points de désaccords ont été levés et le processus de paix va avancer.
Les ennemis de notre pays ne veulent pas de cela.Mais le président IBK et le peuple malien vont en finir avec cette guerre de façon définitive.
Les blocages ainsi levés par cette entente, il faut donc espérer que les parties auront le sens du compromis pour la suite d’un processus qui accuse du retard. Ce, pour le bonheur des populations du Nord, des milliers de réfugiés, des Maliens tout court.
Cette entente constitue d’autant plus une avancée majeure dans le processus de sortie de crise que le fossé s’était creusé, depuis quelque temps, entre le Gouvernement et les mouvements armés, partagés sur la voie à suivre pour l’ouverture de la période intérimaire, prévue à l’annexe I de l’Accord.Je pense qu’il faut saluer tous les acteurs pour cette avancée notable.Pour ce qui est des interprétations faites par les journalistes de l’opposition,on s’en fout.Tout ce qui importe c’est la paix.
Quand on signe un accord c’est pour qu’il soit respecté sinon il n’a pas de valeur. Le président ne fait que respecter ce qui a été conclut sur l’accord.
CE QUI SE MET EN PLACE AU NORD MALI N’EST NI PLUS NI MOINS QU’UNE HAUTE TRAHISON DE LA PART DE IBK !
VILAIN BON HOMME.I M BE INCARNATION DE LA LAIDEUR.
I MBE CILE.VILAIN BON HOMME. INCARNATION DE LA LAIDEUR.
Le président applique l’accord tout comme les groupes armés qui assument leur part de responsabilité. Les journaleux vendus sont les vrais problèmes de ce pays. Je comprends pourquoi vous n’êtes jamais pris pour exemple par les professionnels.
IBK fait de son mieux pour que le Mali puisse retrouver sa tranquillité pendant ce temps des journalistes qui n’ont aucune éthique cherchent à réduire à néant les efforts du peuple.
Tout ce que IBK fait il le fait pour le MALI en terme de négociation et autre, l’armée malienne était à terre, IBK en venant n’avait pas su ça, c’est maintenant qu’il a su que la négociation est le seul arme que nous avions, et c’est dans ces négociations que le Mali a trouvé son intégrité territorial, sa forme républicaine et sa laïcité.
Des choses se sont passées et nous avons choisi de donner une chance au dialogue. Donc je pense que tout le monde doit s’inscrire dans cette optique afin que le pays retrouve la paix et la stabilité. Mais on se rend compte que des journaleux et des politicards se montrent de plus en plus hostiles à cet accord. Le président de la république se laisse pas trimbaler et s’il a décidé d’agir ainsi c’est pour l’intérêt de la nation.
Nous devons savoir que bientôt nous ne parlerons plus de Kidal occupé par des rebelles mais par l’état malien avec la présence des autorités intérimaires car elles seront des représentants du gouvernement dans les cinq régions du nord. Aussi il aura le redéploiement des services techniques et autres cela dire dans quelque temps le pays sera unifié.
L’opposition après avoir échoué dans toutes ces tentatives de déstabilisation du Mali, maintenant, il donne de l’argent au pseudo journaliste d’écrire des articles qui peuvent provoqués la révolte de la population contre IBK, mais on a tout compris.
En tout état de cause le Mali en est sorti victorieux de la négociation, Issa B Dembélé, je sais qu’un Dembélé digne de nom ne fera pas ce genre de chose mais je sais que tu as pris de l’argent des imposteurs pour écrire cet article, pour mettre la population contre IBK, mais je trouve ça une peine perdu. L’accord avance on se rapproche de la paix.
Ça c’est un pas vers la paix mieux vaut tard que jamais, la cma doit savoir une chose même si on fait 100 ans en guerre un jour on retourne à la case de départ qu’est la paix. Tout ça c’est l’effort du gouvernement, il ne ménage aucun effort pour la bonne marche vers la paix entre les fils du Mali.
L’accord de paix a connu des problèmes mais les acteurs se sont retrouvé dans le but de relancer les machines. La paix; le président IBK l’offrira au peuple Malien.
Aussi faut-il dire aux journaleux d’être un peu objectifs car chaque période à ces réalités et pour le moment jusqu’à preuve de contraire; c’est la paix qui est à l’ordre du jour.
je pense que pour le retour de la paix le peuple malien doit être confiant et soutenir les actions du président de la république malienne car ce monsieur ne privera en aucun cas son peuple de son bonheur. les actions qu’il pose sont pour le bonheur des maliens.
La gestion de la crise malienne n’est pas cachée du grand public malien et de toute la communauté internationale. Les avancées faites par le régime en place sont connues de tous et le retour de la paix n’est plus impossible. Le bilan d’un an de la signature de l’accord de paix n’est pas, certes, à la hauteur des attentes de toute la population malienne mais il est acceptable.
La gestion de la crise malienne n’est pas cachée du grand public malien et de toute la communauté internationale. Les avancées faites par le régime en place sont connues de tous et le retour de la paix n’est plus impossible. Le bilan d’un an de la signature de l’accord de paix n’est pas, certes, à la hauteur des attentes de toute la population malienne mais il est acceptable.
Les efforts pour ramener Kidal dans le giron de la république sont perceptibles. Comme la loi sur les autorités intérimaires le stipule; les autorités intérimaires seront installées partout où le besoin se fera sentir.
C’est parce que les Soumaila les voleurs vous ont payé pour mentir sur la mise en place de cette loi. Vous parlez de quelle concertation nationale encore. La société civile et ces opposants véreux ont tous participé à la signature de l’accord de paix. Je ne pense pas qu’ils aient compris le temps de lire cette loi. Tous des bornés.
Vu les réalisations, les avancées, je crois bien que le processus de paix porte espoir d’un retour sans condition de la paix et de la réconciliation nationale. Soyons toujours optimiste pour la paix. Le bilan de l’accord de paix, après un an, est acceptable. Les populations civiles sont rarement victimes d’attaques. La gouvernance d’IBK est à la hauteur des atteintes de la population.
L’accord de paix a été signé entre les groupes armés et le gouvernement pour que notre Mali retrouve la stabilité pour amorcer notre développement. Le président tout ce qui est en son pouvoir pour négocier avec Achérif autant de fois qu’il pourra.
Les maliens doivent comprendre que les autorités intérimaires ne sont pas des autorités éternelles. Elles sont appelées à dissoudre après leur mission qui consiste à conduire le processus de paix et de réconciliation et d’organiser les élections dans les régions. On doit se réjouir plutôt de cette entente que d’en voir une manière de disloquer notre pays.
Le peuple malien a confiance au président IBK. Le Mali ira à la paix sans ces opposants qui pensent qu’à leur circonscription électorale. Cette entente a un agenda bien détaillé sur le redéploiement des services déconcentrés ainsi les autres services. Les autorités intérimaires seront choisies par le gouvernement , la CMA et lea société civile donc le choix se vient pas seulement aux groupes armés pour lui imposer les choses
Ce sont les politicards opportunistes qui voient une partition du pays à cause de vos intérêts électoraux. La cour constitutionnelle a validé la loi alors ce n’est des idiots de merdes comme vous qui mettrez la mise en place des autorités intérimaires.
IBK est l’homme de la situation et ça personne ne peut en dire le contraire. La preuve, quand il est venu au pouvoir les rebelles ne pouvaient pas se rendre à Bamako pour une quelconque négociation c’est la loi du sang et des armes qui régnait mais aujourd’hui on peut s’apercevoir d’une amélioration conséquente de la situation dans notre pays.
Un accord est juste un document. Pour qu’il soit la solution à la crise, il faut qu’il soit mise en œuvre intégralement. Chaque partie doit s’acquitter de ses obligations vis-à-vis des autres parties. Malgré certaines difficultés d’applications, il y a eu des progrès dans le cadre du processus de paix. Donc le bilan est passable. 😈 😈 😈
Nous sommes heureux que les groupes armés aient pris cette décision assez capitale pour le reste du processus de paix. Les autorités intérimaires étaient une étapes que le chef de l’état avait beaucoup misé pour son adoption mais sa mise en place avait soulevé des polémiques. Et aujourd’hui, tout semble bien se terminé car un terrain d’entente est trouvé pour le bien-être de la population.
C est très difficile que les choses puissent vraiment bouger dans le nord de notre pays.Nous avons les ex-rebelles aux nord du pays et au sud les journalistes de l’opposition qui nous pourri la vie au gouvernement aussi.
C est tout a fait facile de critiquer l’État dans son ensemble car dans une nation il y aura toujours des problèmes nous devons apporter des solutions concrètes si nous nous sentons réellement concerner dans la stabilité de ce pays.
Ces foutu journalistes transforment de façons bizarres il y’a un certain temps c’est ces même journalistes qui parlaient de paix et au moment où les relations nord sud se rétablissent vous êtes là pour nous casser les oreilles bande de microbe
L’accord de paix d’Alger de 2015 est une réussite pour le régime d’IBK. Mais cet accord a du mal à s’appliquer. Car le comité de suivi avait lui aussi du mal à se mettre en place. Les opposants et autres classes politiques et certains journalistes ne veulent pas toujours reconnaitre les actes posés par le gouvernement. Je trouve le bilan du processus acceptable.
Nous sommes tous conscient que le bon fonctionnement de tout ce processus de paix et de réconciliation nationale dépend la mise en place de cette autorité intérimaire qui est une étape nécessaire, important pour la suite de l’application de cet accord de paix.
Des personnes avec qui vous voulez qu’on fasse la paix s’ils ne viennent pas ici comment on fera la paix par téléphone ou quoi des journalistes qui se donnent la tâches de publier de n’importe quoi il est temps que vous arrêtez avec vos intoxication des informations 😀 😀 😀 😯
Je me demande comment le gouvernement malien pourra échanger avec ses ex-rebelle sans même les recevoir pour parler de ce processus de paix et de réconciliation nationale, pour la mise en place de cette autorité intérimaire qui est une étape nécessaire.
Le Mali, depuis qu’un accord de paix a été signé par les parties au conflit, a connu une situation d’après crise. Les assassinats et autres crimes ont cessé et le pays commence à s’imposer sur la scène internationale après des moments difficiles dans les relations diplomatiques.
Le Mali est un pays plongé dans la crise, depuis plus de trois ans maintenant. Le retour de paix dans cette nation n’est pas le rôle du seul gouvernement mais celui de toute la nation malienne qui est la première bénéficiaire.
La volonté de parvenir coûte que coûte à la paix du gouvernement malien est connue de tous. Les groupes armés ont toujours été, sont et resteront les plus grands obstacles au retour de la paix dans notre pays.
La mise en place de cette autorité intérimaire ne veut pas dire que ces groupes armes nous dictes leur loi.Cette autorité intérimaire est une phare incontournable dans l’application de ce processus de paix signé entre le gouvernement et les groupe armes.
Certes, des difficultés jalonnent le processus de paix, après plus d’un an de signature mais nous devons comprendre que le retour de la paix à travers la mise en œuvre d’un accord de paix n’est pas du tout une chose facile. Donc j’invite tout un chacun à rester optimiste pour le retour de la paix dans notre pays.
.Le président est un homme de parole et un homme de principe et cela il est connu pour cela. IBK a toujours dire qu’il ne négociera jamais avec des groupes armés, et bien sa parole reste d’actualité. C’était lors des débuts des pourparlers d’Alger, IBK a refusé une forme de négociation tant que les rebelles ne seront point considérés conne d’armé et ce qui fut fait par la communauté et l’Algérie avant d’invité l’Etat malienne à la table ronde. 😛 😛 😛
Le media est considéré comme le 4ème pouvoir son impact sur la vie sociale peut entrainer et c’est aussi une arme pour certain journaliste comme ce voyou qui ne connait rien en matière de journalisme se permet de dire du n’importe quoi sur la vie politique de notre pays ce journal cherche a nuire a la paix de notre pays a travers ces articles de merde
Il faut que la société civile accepte d’accompagner l’état malien. Si l’accord de paix a été adoptée c’est pour le bien être de notre pays. C’est vrai qu’il y a des non dits dans cet accord mais nous demandons l’accompagnement de tous acteurs politiques pour que le Mali renoue avec la paix.
Je pense que de la signature de l’accord de paix à aujourd’hui, les choses s’améliorent de jour en jour. Le bilan d’un an après signature de l’accord peut diviser les citoyens car chacun à sa manière d’analyser mais ne doit pas nous inculquer une notion pessimiste. Vive l’accord de paix d’Alger.
On a donné l’humilité au plus grands meurtrier du monde au seconde guerre on s’est mis a table avec HITLER qui est considéré comme le plus grand criminelle de tous les pour parler de paix pourquoi pas avec BILAL AG ACHERIF ce journaliste est un xénophobe un hâté qui veut détruire a travers le média
La lenteur dans la mise en œuvre de l’accord de paix réside à plusieurs niveaux. Il faut reconnaître qu’en dehors de la mauvaise foi de certaines parties signataires, le gouvernement malien manque de moyens pour tout mettre en place pour cette mise en œuvre, et la communauté internationale ne veut pas la fin de la crise aussi tôt.
Une chose est claire dans l’accord, il y a eu au moins des avancées significatives, mais sur le terrain nous demandons à la Minusma de faire bien leur travail enfin que la mise en application de l’accord soit rapide.
Un processus de paix a toujours été des étapes. Si après un an les deux protagonistes ont décidé de revoir l’accord c’est de bonne augure car cela montre leur volonté manifeste d’aller résolument à la paix pour le bonheur de tous. Cette action doit être saluée et accompagnée par l’ensemble de la société et des partenaires techniques et financiers.
Le président IBK à la base est toujours resté le même un véritable homme intègre et un homme de parole. IBK est le président de tout le Mali, il soumette sa gouvernance à tous les maux, sinon il n’a jamais changé de principe.
Le nord du mali est plus que jamais attribué autorité de l’Etat l’accord de paix établit entre le gouvernement et les groupes fixant les modalités donc l’Etat malien octroi son intégrité territoriale au main des groupes armées contrairement a ce que dit cet article
La paix est nécessaire si nous voulons voir grandir nos enfants aller à l’école, s’épanouir. Il faut accompagner le président dans cette quête de paix qui est bénéfique pour ce pays. Le développement passe par la paix et la stabilité durable donc le président en est conscient et fera tout afin le Mali retrouve la paix que nous ancêtres nous ont légué.
ATT détruit et IBK construit, n’oublions pas cela. La crise du nord Mali a pris de l’ampleur sous le régime d’ATT, l’armée malienne a perdue toute sa digité sous le régime, les caisses de l’État ont été vidé par ATT et ses proches tant d’autres chose à citer. Nous pouvons dire alors que le règne d’ATT (le traitre de la nation) a fait plus de mal que nous pouvons l’imaginer.
Depuis toujours les consignes sont les même le mali d’abord et pour l’honneur du mali je suis désolé pour ce qui pense que c’est ATT qui avait raison et se sont ces même journalistes qui publiaient en disant que ATT a rendu le nord aux rebelles les hypocrites de journalistes avec leur doubles langues
Ce sont les milices maliennes pro-Kadhafi reçu à l’époque sous le régime Att qui ont été la base de la crise au septentrion l’insécurité, la violation des droits de l’homme tant d’autres actions déraisonnables depuis leur arrivée jusqu’au jour d’aujourd’hui. IBK est obligé de réparer cette situation macabre dérivé de la haute trahison de l’ancien président Touré.
IBK n'a trahi personne au contraire. Il gère de plus en plus mieux la situation. La population doit savoir que notre vient d'une crise qui à affaiblie toute ses activités internes comme externes. Le président IBK a besoin d'une suffisante de temps pour sortie le pays de cette crise.
IBK n'a trahi personne au contraire. Il gère de plus en plus mieux la situation. La population doit savoir que notre vient d'une crise qui à affaiblie toute ses activités internes comme externes. Le président IBK a besoin d'une suffisante de temps pour sortie le pays de cette crise.
Je trouve que la gouvernance actuelle du régime au pouvoir est incomparable à ceux du passé. C’est la mauvaise gouvernance des régimes passés qui plongea le Mali dans cette crise. Malgré tous cela le président IBK arrive d’une manière salutaire a sorti le Mali cette crise qui date de plus de 20 ans. La gouvernance IBK est salutaire et très avantageux pour notre pays. ➡ ➡
Comparaison n’est pas raison, IBK est élu pour trouver une solution à la crise qui prit une véritable recrudescence sous le régime IBK. IBK malgré les difficultés dont il est confronté il arrive lentement mais surement a sorti le Mali de cette crise.
Ce journaliste mange dans la main du satan il se base sur des suppositions pour dire du mal au gouvernement on sait tous bien que cet accord est favorable au peuple malien même si on avait combattu les rebelles on finira par les dialogues pourquoi ne pas emprunté le chemin le plus judicieux qu’il soit
IBK est en train de régler maux suites à la mauvaise gouvernance du régime passé et d’un coup d’Etat militaire qui plongé le pays dans une crise sans faille. C’est la mauvaise gérance du président ATT qui conduit le pays au gouffre. IBK n’a pas le fautif mais au contraire IBK est là pour régler la situation. ➡ ➡
IBK est en train de régler maux suites à la mauvaise gouvernance du régime passé et d’un coup d’Etat militaire qui plongé le pays dans une crise sans faille. C’est la mauvaise gérance du président ATT qui conduit le pays au gouffre. IBK n’a pas le fautif mais au contraire IBK est là pour régler la situation.
C’est vrai IBK a dit qu’il sera ferme sur la question du nord et qu’il mettra fin aux hostilités et c’est ce qu’il a fait le mali a retrouvé son intégrité malgré que certain personnes mal intentionné cherchent a nous divisé mais le déplorable est que les médias se mettent a leur boulot quelle honte pour les journalistes maliens qui vit dans çà
Avant d’être président de la république, c’est vue la situation que le président IBK a dit que la solution était de matraquer les rebelles, il a aussi affirmé qu’il ne négociera jamais avec des rebelles toujours armés. Les paroles d’IBK restent toujours intouchable IBK a toujours tenu parole.
La gestion de la crise du président IBK est très différente à celui d’Att. L’ancien président Att traité la crise du septentrion malien d’une manière macabre. Le président IBK gère la crise malienne d’une manière salutaire la raison est que malgré la lenteur de l’accord signé, il avance surement.
Dans une telle situation si un accord est signé monsieur le président est obligé de respect les termes dudit accord.Ceci n’est point une déviation des intentions du président mais le respect d’une entente.
IBK ne cédé point aux ex-rebelles mais pour la bonne mise en place de cette autorité intérimaire le président IBK doit beaucoup échanger avec eux pour le respect et l’application de l’accord signé en Alger.
IBK ne cédé point aux ex-rebelles mais pour la bonne mise en place de cette autorité intérimaire le président IBK doit beaucoup échanger avec eux pour le respect et l’application de l’accord signé en Alger.
On ne peut pas réprimander IBK parce qu’il ne veut plus verser le sang des maliens. Je trouve ça absurde de considérer un compromis comme une cession, IBK est à féliciter pour son courage et sa bonne analyse de la situation du Mali.
Nous sommes un pays qui a signé un accord de paix et de réconciliation nationale avec les groupes armés qui occupe le nord du pays.Donc nous sommes obligés de respecter notre engagement aux yeux du monde.Mais si ces ex-rebelles ne font pas pareille.
L’ancien président ATT, avait pris quel engagement de sévir dans la question du nord.C’est pas lui qui avait donner l’ autorisation à ces groupes armés à s’installer au nord du pays.Donc monsieur le journaliste nous devons soutenir la président en place pour le retour de la paix et la stabilité sur nos territoires.
Le journaleux stupides de notre pays en actions. Ce sont les gens comme vous qui font que cette crise n’a jamais eu d’issues durables parce que lorsque nos dirigeants prennent des décisions en vue de la résolution de ce problème bien que sachant la vérité; vous mentez au peuple, vous créez le doute dans leurs esprits pour vos intérêts mesquins au lieu de les inviter à soutenir les dirigeants dans leurs décisions avant qu’on ne se rende compte plus tard que c’était la meilleure solution. IBK n’a vendu aucune partie du Mali et ne le vendra jamais.
Le forum de Kidal bien que n’ayant pas été ce que nous aurions souhaité aurait été un moyen de nous rapprocher de la paix car si les groupes armées s’entendent c’est un pas vers la paix. Rien n’est négligeable dans la quête de la paix c’est pourquoi tout ce qui doit y concourir est la bienvenue.
Aussi arrêtez un jour de nous intoxiquer car le gouvernement malien n’a pas financé ce forum à hauteur de 400 millions mais 100 millions ce qui est loin du compte de plus de 150 millions donné officiellement par le prédécesseur du président IBK et des autres milliards donné officieusement encore par ce dernier; ce qui a permis à ces derniers de s’armer contre le pays.
100 millions pour que les acteurs puissent se parler pour faire avancer le processus de paix ce n’est absolument rien face à ce que la paix peut nous offrir.
L’accord d’Alger connait des problèmes de part et d’autres mais il y a eu quelques acquis même si ceux-ci ne sont pas à hauteur de souhait.
Ce n’est pas la désillusion comme on veut vraiment nous le faire croire car mieux vaut aller lentement et surement que de brûler les étapes et se casser la figure aux premières difficultés. Malgré les problèmes les acteurs ont su toujours se retrouver et garder le cap et cela en plus des actions de ces derniers jours doivent pouvoir constituer des sources d’espoir et d’espoir de mise en œuvre des accords de paix qui nous conduirons à la paix.
Les désirs des groupes armées ne sont pas des ordres mais tous les acquis du processus de paix sont l’objet de concertation et d’entente entre les différentes parties engagé pour la paix.
Une paix ne peut pas se faire sans concession. Et donc tout ce que le gouvernement fait comme concession ; c’est pour que le pays puisse aller à la paix.
Du n’importe quoi. Dites moi Mr le faux journaliste comment peut-on faire la paix sans passer par des négociations ni faire de concessions? C’est impossible alors ne semez pas de troubles dans notre pays, nous on veut la paix.
Pendant que nous nous efforçons à aller à la paix malgré les torts que nous avons pu connaitre afin que le pays puisse retrouver sa stabilité; c’est le moment que des personnes choisissent pour faire des articles pour distraire les acteurs de l’essentiel. L’accord de paix ne sera pas mis à mal quelques soit les calomnies et l’invective dans laquelle vous vous lancez.
“‘ Comme à Bamako, le tapis rouge leur a été déroulé à Alger, comme si les crimes commis ont été tout simplement oubliés et pardonnés. ”
Pourquoi au lieu d’appeler les gens à aller à la paix, les journalistes de ce pays s’évertuent à vouloir remuer le couteau dans la plaie et faire plus de mal que nous ayons déjà connu?
Les familles de victimes de cette crise pleurent toujours leurs enfants et nous devons poser des actions pour montrer que leurs enfants ne sont pas morts pour rien.
Les efforts pour ramener Kidal dans le giron de la république sont perceptibles. Comme la loi sur les autorités intérimaires le stipule; les autorités intérimaires seront installées partout où le besoin se fera sentir. Cela sera un moyen d’abord de retour de l’administration dans les zones qui ne sont pas sous contrôle de l’administration régulière mais cela sera aussi un moyen de renforcer l’autorité de l’état ce qui est tout à fait différent de la partition du pays encore moins le signe du diktat de la CMA. 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄
Je me demande si ce journaliste connait la réalité des choses, IBK n’a jamais cédé à la panique, IBK est imperturbable, le fait de négocié avec les groupes armés, je ne trouve pas ça un cède aux rebelles, après tout guerre, il y a négociation.
Tout ce que IBK fait il le fait pour le MALI en terme de négociation et autre, l’armée malienne était à terre, IBK en venant n’avait pas su ça, c’est maintenant qu’il a su que la négociation est le seul arme que nous avions, et c’est dans ces négociations que le Mali a trouvé son intégrité territorial, sa forme républicaine et sa laïcité.
Ce qui est sur à ce que je sache, ce sont les rebelles qui court derrière l’Etat malienne pour la mise en œuvre de cet accord, la preuve est là, ces rebelles refusaient de signer l’entente sur la mise en place des autorités intérimaires dans les régions concernés.
Il donne le Mali, est ce qu’il va donner sa femme Ami à Billal Ag???
HARAM ! HARAM ! HARAM !!
Tout le monde sait qu’IBK a été forcé à aller à la négociation par la communauté internationale et par nous aussi, la population malienne, parce que notre armée n’était pas à la hauteur, bon pour qu’il aille combattre face à face ces gens le vieux à vu qu’il y aura trop de perte en vie humaine.
Le gouvernement a initié et défendu vaillamment l’idée des autorités intérimaires contre l’avis de l’opposition parce que le gouvernement sait qu’il est temps qu’on aille vers la paix et le retour des services déconcentrés de l’Etat dans les 5 régions du nord du Mali.
IBK n’a rien cédé loin de vos accusations, IBK est un homme qui raisonne très bien et il ne cherche que la stabilité au Mali.
En tout état de cause le Mali en est sorti victorieux de la négociation, Issa B Dembélé, je sais qu’un Dembélé digne de nom ne fera pas ce genre de chose mais je sais que tu as pris de l’argent des imposteurs pour écrire cet article, pour mettre la population contre IBK, mais je trouve ça une peine perdu. L’accord avance on se rapproche de la paix, Que dalle.
L’opposition après avoir échoué dans toutes ces tentatives de déstabilisation du Mali, maintenant, il donne de l’argent au pseudo journaliste d’écrire des articles qui peuvent provoqués la révolte de la population contre IBK, mais on a tout compris.
Les parties adoptent une sorte de protocole d’ENTENTE sur les modalités pratiques de mise en place des autorités intérimaires, des chefs de circonscriptions administratives, le redéploiement des services déconcentrés de l’Etat et sur le mécanisme opérationnel de coordination, je pense qu’il est temps d’aimer un peu la paix.
Ça c’est un pas vers la paix mieux vaut tard que jamais, la cma doit savoir une chose même si on fait 1000 ans en guerre un jour on retourne à la case de départ qu’est la paix. Tout ça c’est l’effort du gouvernement, il ne ménage aucun effort pour la bonne marche vers la paix entre les fils du Mali.
Une paix obtenue au prix du sang des uns et des autres ne peut être durable et donc ne peut nous profiter. Je crois que c’est ce qui est à la base de l’attitude du gouvernement qui ne veut que toujours passer par le dialogue mais ces derniers pensent que c’est peut-être par peur. Nous avons fait la guerre et elle ne nous a emmené nul part. On doit donc aller à la paix par le dialogue pour que notre pays sorte de cette léthargie pour amorcer la voie du développement. Est ce que cela on peut arriver à la comprendre?
Le gouvernement malien et les groupes ont trouvé une entente sur les modalités pratiques de la mise en place des autorités intérimaires. Merci au gouvernement, il était temps que les groupes armés voient ce qu’on voyait depuis longtemps. Tout ça c’est grâce à la bonne foi d’IBK qui ne sait pas se laisser emporter par le cœur pour ne pas dégrader la situation.
L’accord de paix a connu des problèmes mais les acteurs se sont retrouvé dans le but de relancer les machines. La paix; le président IBK l’offrira au peuple Malien.
Aussi faut-il dire aux journaleux d’être un peu objectifs car chaque période à ces réalités et pour le moment jusqu’à preuve de contraire; c’est la paix qui est à l’ordre du jour.
En tout état de cause le Mali en est sorti victorieux de la négociation, Issa B Dembélé, je sais qu’un Dembélé digne de nom ne fera pas ce genre de chose mais je sais que tu as pris de l’argent des imposteurs pour écrire cet article, pour mettre la population contre IBK, mais je trouve ça une peine perdu. L’accord avance on se rapproche de la paix, Que dalle.
Vous qui pensez que le président de la république rentrera dans la mauvaise manière en ne tenant pas ses engagements concernant les accords de paix; vous serez désillusionné car ces engagements; il les remplira.
C’est déplorable que des journalistes passent leur temps en train de torpiller les autorités que de les accompagner dans leur quête de la paix pour ce pays.
Ce n’est une question de céder ou pas, il ne peut y avoir de paix sans concessions. IBK a bel et bien raison car c’est en agissant avec tact et intelligence qu’on arrive à ses fins.
En ce mois béni de ramadan QU’ ALLAH protège LE MALI!
Tout président élu est à l’image de son peuple .
N’est ce pas ce peuple qui aime les hommes politiques larges en terme de distribution éhontée de l’argent sans chercher à comprendre sa provenance.
Par contre ,ce peuple déteste les hommes qui préfèrent véhiculer les idées que de distribuer de l’ argent.
Les hommes capables et compétents dans ce pays ,ça ne manque pas.Mais on en veux pas .
QUELLE CATASTROPHE !!
😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥
Tout peuple mérite son chef.
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