Aujourd’hui le constat est amer. La population est oubliée. Rien ne va dans le cercle sur le plan sécuritaire la situation est chaotique. A titre d’exemple l’embuscade tendue au convoi du maire d’Anderaboucane par des hommes non identifiés. Ceux qui prétendent assurer la sécurité ne contrôlent rien dans la zone.
Les forains sont dépouillés de tous leurs biens régulièrement dans les foires hebdomadaires comme le cas de la semaine dernière dans la zone Aguazaraguene dans la Commune d’Inekar.
Sur le plan social, les communautés se regardent en chiens de faïence et la confiance ne règne plus entre elles. “Il faut s’attendre à ce genre des situations lorsque l’anarchie règne dans une ville”, s’indigne un habitant de Ménaka.
Comme l’a dit un adage de Ménaka “aman iman” (l’eau est la vie), l’eau est devenue une denrée rare à Ménaka. Hormis dans les grands centres, l’éducation, l’emploi, la santé… sont aujourd’hui de vieux souvenirs à Ménaka.
Yehia M. Baby
Stagiaire
L’état n’oublie pas. Ont peu s’ oublié soit même voila le probleme des maliens
Menaga ne sera jamais tranquille car c’est des islamistes wahabia qui y font la loi. Une ONG a été obligé d’y remplacé son agent indésirable parcequ’il n’était pas musulman il y a environs 5 ans
voyez vous
Effectivement, Frère Cette cité a été oublier et par les autorités politique et l’État
lui même !
MERCI PETIT FRÈRE;l'appel est désormais LANCE aux autorités competentes….
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