Les raisons économiques justifieraient la déstabilisation du Mali, via cette lutte contre les groupes terroristes d’Al-Qaïda au Maghreb islamique, Ançar Eddine et le Mouvement pour l’unicité et le jihad en Afrique de l’Ouest.
Cette stratégie de création de micro-conflits dans les pays riches en ressources naturelles permet en fait de justifier n’importe quelle ingérence étrangère des grandes puissances. Au lendemain de l’éclatement de la rébellion touareg en 2012, conduite par le MNLA dans le Nord-Mali, un centre de recherches belge : le Service international de recherche et d’éducation et d’Action sociale (ASBL) a publié une analyse qui soutient cette thèse.
L’auteur de cette analyse, Pascal De Gendt écrivait en août 2012 : “Ce n’est sans doute pas par hasard si la carte d’implantation des forces armées islamistes au Sahel est presque parfaitement calquée sur celle des ressources pétrolières dans cette région. Le bassin de Taoudéni, qui s’étend sur les territoires de la Mauritanie, de l’Algérie, du Niger et du Mali, semble particulièrement prometteur. Un nouvel Eldorado, comme l’a nommé le directeur pour l’Afrique du Nord du Groupe Total. Le Groupe français sait de quoi il parle : déjà présent dans la région, il a signé, en janvier dernier, un accord avec la Mauritanie pour deux nouveaux permis d’exploration. Un off-shore, l’autre en plein bassin de Taoudéni”.
Le nom d’un pays arabe, qui a ouvertement affiché sa volonté d’assurer sa suprématie au Proche-Orient, est cité comme un élément déstabilisateur de cette région. Ce pays est le Qatar, actionnaire dans le Groupe français Total à hauteur de 3 %. “Le même émirat qui a fait une spécialité du soutien aux groupes salafistes, en Libye, en Syrie comme au Mali”, une de ses stratégies d’expansion.
L’auteur cite aussi les Etats-Unis parmi ces pays qui veulent avoir la main sur les richesses du Mali. “La stratégie sahélienne des Etats-Unis est d’ailleurs pratiquement inscrite noir sur blanc dans les principes fondant l’action de l’Africom, leur commandement militaire sur ce continent. On y parle d’assurer – la libre circulation des ressources naturelles de l’Afrique vers le marché mondial – et – de protéger l’accès aux hydrocarbures et autres ressources stratégiques abondantes en Afrique -. Les protéger notamment contre la féroce concurrence russe et chinoise”, expliquait encore l’analyste belge.
Cela explique la présence accrue de l’armée française et l’entrée en douce de l’armée américaine à travers son dispositif spécial pour l’Afrique, plus connu sur l’appellation de l’Africom. Mais d’autres analystes soutiennent le contraire, même si les enjeux économiques demeurent au centre de leurs réflexions.
Dans un documentaire réalisé par la chaîne de télévision franco-allemande Arte, des chercheurs du très sérieux Institut français des relations internationales (Ifri) nous offrent une autre vision. Pour le chercheur français de l’Ifri Benjamin Augé, l’or noir malien n’est pour le moment qu’un mirage.
“Certes le Mali repose sur cinq bassins sédimentaires prometteurs, mais pour l’heure on est loin de la phase d’exploitation. Parmi les bassins à fort potentiel pétrolier et gazier, celui de Taoudéni, au nord-ouest du pays, aiguisent tous les appétits. C’est un forage opéré par Total dans la partie mauritanienne du bassin qui a fait dire à certains que la région pourrait devenir un eldorado du pétrole. Mais jusqu’à présent côté malien aucun forage ne vient étayer cette hypothèse”, explique un extrait du documentaire d’Arte qui fait le même constat pour l’existence de gisement de l’uranium et les terres rares, pour ne citer que ces deux minerais, très convoités par les puissances industrielles.
Dans tous les cas de figure, le Mali n’est qu’une partie du problème qui a plongé toute la région sahélo-saharienne dans le chaos. L’enjeu majeur de la présence française au Mali, de la crise politico-militaire dans le Nord est loin de se limiter au seul territoire malien. Mais ce qui est certain, c’est le risque d’un échec du dialogue d’Alger, dans le cas où les violences armées s’aggravent entre les groupes politico-armés du Nord et Bamako.
Avec la Tribune
n’oubliez pas que le Qatar soutient aussi le PSG
LE PETROLE C EST LEXCREMENT DU DIABLE
FOUTAIESSSSSSSSSSSSSS LA VASTE ETENDUE DU NORD MALI A TOUJOURS ETE UNE ZONE PROPICE AUX TRAFFICS EN TOUT GENRE DE LA DROGUE AUX TRAFFICS D’ARMES.
LE RESSEREMENT DU CONTROLE A LA FRONTIERE MEXICO-AMERICAINE A DONNE L’IDEE AUX NARCO TRAFIQUANTS DE PASSER PAR LE SAHARA POUR AVOIR D’AUTRES MARCHES D’ECOULEMENT. LE MNLA FAIT PARTIE DES FILIERES CREEES ET NOURRIES PAR LES NARCO TRAFIQUANTS SUD AMERICAINS QUI APPROVISIONNENET LES PAYS DU MAGREB ET L’EUROPE..IL FAUT ETRE BETE POUR NE PAS VOIR..
L’IDEAL EST DE FAIRE DE CETTE ZONE UN NO MAN’S LAND (ZONE SANS LOI.).MALHEUREUSEMENT LES GOUVERNEMENTS PRECEDENTS DU MALI NE L’ONT PAS COMPRIS ET ONT MEME OSE CREER DES ZONES DEMILITARISEES AU NORD UNE BENEDICTION DES NARCO TRAFIQUANTS DU MNLA ET LEURS ALLIES. SUIVANT LES CAS DE FIGURES CE GROUPUSCULE CRIMINEL TRIBAL FASCISTE S’ALLIE AVEC D’AUTRES GROUPES (BANDITS)TEL AQMI; ANCARDINE ETC ET IL ARRIVENT QUE CES GROUPES ALLIES S’AFFRONTENT POUR LE PARTAGE DU BUTIN OU AUTRES INTERESTS STRATEGIQUES 💡
FOUTAIESSSSSSSSSSSSSS LA VASTE ETENDUE DU NORD MALI A TOUJOURS ETE UNE ZONE PROPICE AUX TRAFFICS EN TOUT GENRE DE LA DROGUE AUX TRAFFICS D’ARMES.
LE RESSEREMENT DU CONTROLE A LA FRONTIERE MEXICO-AMERICAINE A DONNE L’IDEE AUX NARCO TRAFIQUANTS DE PASSER PAR LE SAHARA POUR AVOIR D’AUTRES MARCHES D’ECOULEMENT. LE MNLA FAIT PARTIE DES FILIERES CREEES ET NOURRIES PAR LES NARCO TRAFIQUANTS SUD AMERICAINS QUI APPROVISIONNENET LES PAYS DU MAGREB ET L’EUROPE..IL FAUT ETRE BETE POUR NE PAS VOIR..
L’IDEAL EST DE FAIRE DE CETTE ZONE UN NO MAN’S LAND (ZONE SANS LOI.).MALHEUSEMENT LES GOUVERNEMENTS PRECEDENTS DU MALI NE L(ONT PAS COMPRIS ET ONT MEME OSE CREE DES ZONES DEMILITARISEES AU NORD UNE BENEDICTION DES NARCO TRAFIQUANTS DU MNLA ET DE SES ALLIES. ET SUIVANT LES CAS DE FIGURES CE GROUPUSCULE CRIMINEL TRIBAL FASCISTE S’ALLIE AVEC D’AUTRES GROUPES (BANDITS)TEL AQMI; ANCARDINE ETC. 💡
@Anna.Je suis du même avis que vous.Cependant le fait “DE PASSER PAR LE SAHARA” pouvait bien se faire sans que notre pays à nous soit occupé!Le Sahara on le partage avec bien d’autres pays
pourquoi pas eux et pourquoi nous et nous seuls?NOS AUTORITÉS ONT BIEN FAILLI A LEUR DEVOIR C’EST LA SEULE EXPLICATION. 😉
Qui ne savait pas que la crise actuelle découle de la découverte des potentialités minières de notre sous-sol?C’est comme ça partout: dès qu’il y a du pétrole les appétits sont aiguisés c’est aux autorités du pays concerné de prendre des mesures allant dans le sens du maintien de la stabilité indispensable à l’exploitation des dit-ressources!Tel n’a pas été le comportement du régime ATT!Il s’est contenté de dire que la lutte contre le terrorisme exige une action collective de tous les pays concernés…Même si cela est vrai, mais à titre individuel, chacun s’occupe de son propre sort!Ce moment n’était donc pas propice à laisser traverser nos frontières par des ex-combattants libyens, des soi disant maliens qui ne parlent aucune langue de la région et qui ont certains servi 30 ans durant dans l’armée libyenne.Ce fut l’erreur fatale pour notre pays puisque le nord a été vite conquis par les djihadistes avec l’aide précieuse de certains de ces nouveaux arrivants
…. 😉
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