Difficile de savoir ce que les autorités vont accorder aux groupes rebelles du nord du Mali qui ont accepté de renoncer au terrorisme sous la pression internationale. Mais le gouvernement a-t-il d’autres alternatives que d’offrir des avantages politiques et autres privilèges, même si les bénéficiaires ne sont que des gens ayant pris des armes contre la patrie? Tout semble indiquer que c’est ce qui est en marche, eu égard à de nombreuses initiatives internationales appelant à une reprise des négociations.
A coup sûr, la réinsertion socio-économique des combattants sera accordée aux groupes armés du nord. Il y a déjà un cadre juridique pour cela, à savoir l’accord préliminaire de Ouaga. De l’argent, il y en aura aussi, notamment les milliards promis par les donateurs internationaux. Mais la réinsertion des combattants se heurte à un problème.
Pour l’armée malienne, il est hors de question que ceux qui ont trahis la patrie, en désertant les rangs, servent de nouveau sous le drapeau national. Hors, une bonne partie des groupes armés est issue d’éléments qui avaient été intégrés dans l’armée nationale après de précédents accords de paix signés pour mettre fin à des insurrections antérieures.
Autre problème: dès le début du conflit, les groupes armés ont placé la barre haut en s’accrochant à l’idée d’autonomie. Pour IBK, il est hors de question de parler de cette revendication, balayant d’un revers de la main le postulat selon lequel les Touaregs ont droit à un Etat sur une zone où ils sont d’ailleurs minoritaires.
Depuis, tout le Mali est suspendu aux caprices d’un groupe marginal: le Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA). Ce mouvement dit laïque est d’abord parti d’un prétexte fallacieux pour faire la guerre. Les discours de ses responsables tapis à Paris, Nouackchott ou Ouaga ont longtemps décrit une armée malienne de soudards «touarégophobes» faisant des misères aux nomades depuis l’accession du pays à l’indépendance en 1960.
En réalité, le Mnla est devenu le cheval de Troie des djihadistes. Si son objectif était de priver le Mali du soutien occidental, cela a bien marché au début du conflit en 2011. Et ça marchait encore au moment de l’intervention française, un évènement fêté par la rue de Bamako.
La prétendue haine contre les «yeux bleus» a si bien fait sensation qu’une certaine Beyala, un auteur se prenant pour Zola, écrivait au sujet des Touaregs: «ce peuple souffre beaucoup au Mali ». Mais l’écrivaine noire de France ne savait pas que chez ce peuple qui souffre au Mali il y a des gens qui possèdent des esclaves noirs au 21è siècle.
Les négociations qui vont s’ouvrir bientôt devront résoudre ce problème social qui cache un drame potentiel du genre sud-soudanais en cas d’autonomie même pour la région de Kidal. A force de mettre en avant le seul groupe Touareg, les antagonismes se sont exacerbés entre ces derniers et les ethnies Sonrhaï, Peuls, et Arabes.
Contre la demande d’autonomie, IBK veut une décentralisation poussée, se proposant de corriger les erreurs de l’expérience que le pays a vécue jusqu’ici en la matière. Encore faudra-t-il que les collectivités parviennent à mieux gérer les ressources immenses qui leur seront transférées ainsi.
Quant à la communauté internationale n’empêchera pas les autorités maliennes de gérer la crise au nord selon l’agenda du nouveau président. Et tout ce qui sera cédé aux rebelles procèdera de la volonté du gouvernement. Ce dernier a déjà libéré en octobre passé des criminels de guerre et levé des mandats d’arrêt internationaux contre d’autres.
Soumaïla T. Diarra
Du temps de Bagbo, C. Beyala était fréquemment à Abidjan(je l’y ai vue +ieurs fois)aux frais du contribuable ivoirien. On connait le genre de vie qu’elle et ses semblables mènent entre l’Afrique et l’Europe. Ils cherchent du miel, peu importe où et comment. Ils ne défendent aucune autre cause que leur propre bien-etre et leur poche.
Le premier teroriste, c’est la communauté internationale. Au moment certains sont jugés pour crime contre l’humanité par cette même communauté, voilà qu’elle exige du Mali l’abandon des poursuites contre les génocidaires touareg et pis elle l’appui dans sa sordide revendication de parler au nom de toute la population nord du pays. Quelle abération. En tout cas, IBK doit tenir coute que coute et vaille que vaille.Il ne doit jamais accepter d’écarter les autres populations dans les négociations à venir. Les touareg ne repondent pas des autres composantes. Des apatrides venus de nulle part veulent imposer leur volonté avec la bénédiction de la communauté internationale.IBK, il faut agir à la “KAGAME”, seul le Mali doit compter et rien d’autre. Il faut surtout éviter le piège de l’autonomie et les autres groupes doivent se faire entendre, sinon ils regretteront ce mutisme lache.
Mais enfin, mon pauvre Mr DIARRA, rien du tout. Quelle question bête!!!!
👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿
RIEN,RIEN,RIEN,RIEN
mr le journaliste vous pouvez parler d’elle sans la citer,elle ne pese rien, hier derriere gbagbo aujourd’hui lobbyiste du mn..,il ya quelque temps elle voulait remplacer le president DIOUF a la tete de la francophonie,analyser le parcours:gbagbo,mn.. et la francophonie quel lien?l opportunisme le reniement.
Il faut, à mon avis, tenir compte des aspects culturels dans les futures négociations car, comme on le dit souvent, “lorsqu’on étouffe la culture d’un peuple, on le pousse à la révolte”. Moi, je suis de ceux qui pensent que le bambara écrasent toutes les autres cultures du Mali. Cela se sent dans les médias publics (radios, télé), dans les lieux publics y compris l’administration et même dans le recrutement des jeunes par les ONG et entreprises. Beaucoup ne seront pas d’accord avec moi. Certains vont même dire que c’est pareil partout au monde, je les comprends, mais c’est mon point de vue.
Tres joli Pseudo Behanzin,
d’abords si vous etes a Bamako vous savez bien que le bambara comme race est une alliance horizontale de tous les peuples du Mali car cousin a 90% des autres peuples du Mali et meme de certains autres d’autres pays de l’afrique occidentale.
Comme Langue, le bambara est en realite un grand melange de la plupart des langues du Mali ou meme de l’afrique occidentale, c’est une langue qui a respire et s’est revolutionee durant le temps et en contact avec tous les peuples autour du fleuve Djoliba de la Guinee au Nigeria jusqu’au Soudan.
pres de 30% du bambara sont des mots arabes, en somme le bambara & le dioula sont ce qu’est le swaheli en afrique de l’est et une partie de l’afrique centrale.
Bambara est compose de tous ceux la qui ont resiste a la religion arabo musulmane.
😉 AUSSI SI VOUS ETES DE BONNE FOI VOUS SAVEZ QU’AU MALI DU NORD AU SUD LES GENS SONT MELANGE DANS LA MEME FAMILLE SUR 2 GENERATIONS ON RENCONTRE PAS MOINS DE 20 NOMS DE FAMILLES ❗
les negociations avec les bandits du MNLA meme si imposee par la communaute internationale de devrait pas contraindre le gouvernement malien et celui la ne devrait pas accepter qu’on utilise ce probleme pour avoir acces aux ressouces minieres et autres du Mali.
Tout le monde sait que le MNLA a ete cree et remis sur scellette a de but de mettre main basse sur les ressources de la region.
Ce qui ne serait pas facile a obtenir de l’ensemble du peuple malien en toute democratie, l’est a travers une minoritee armee qui destabilise le pays.
🙄 Nord du Mali : Que va-t-on céder aux rebelles ?….
Rien du tout…
les combattants pourraient faire du commerce de chèvres et de dromadaires, mais plus jamais ces traitres ne seront acceptés sous le drapeau malien…ils devraient même avoir honte d’y prétendre s’ils ont encore un atome de dignité et d’amour propre…
Nord du Mali : Que va-t-on céder aux rebelles ?…du plomb dans la cervelle pour ceux qui refuseront de déposer les armes 👿 …
Dommage de citer ici Calixte Beyala!
Ici en France, Beyala (une Camerounaise vivant en france depuis des années) est une petite intriguante qui cherche à se faire remarquer mais qui n’interesse plus personne, et que la justice a déjà condamnée à 2 reprises dans la mesure où il est avéré qu’elle n’écrit AUCUN de ses livres elle-même!
Exemple: C’est cette même idiote qui avait déclaré sur un plateau TV que “l’afrique est un continent foncièrement pacifique et qui, par tradition, ignore tout de la violence ( )
Donc, il est dommage de citer pour le problème touareg une idiote écervelée et cataloguée comme telle…
Comments are closed.