Au moment où tous les acteurs impliqués dans la résolution de la crise malienne étaient présents à Bamako, l’ancien premier ministre, Moussa Mara, était en France pour le lancement de son nouveau livre : « Jeunesse Africaine, le Grand défi à relever’’. Joint au téléphone afin d’avoir son avis sur l’AN I de l’accord, l’ancien premier ministre se montre positif : « soyons optimistes pour la suite ». Cette seule phrase prouve l’attachement de Moussa Mara à l’accord de paix d’Alger qu’il n’a d’ailleurs cessé de défendre à travers des contributions (articles) parues dans certains journaux nationaux et étrangers.
Aujourd’hui, il est mieux placé pour parler de cette crise. Il a eu à la gérer étant premier ministre et a même effectué un déplacement à Kidal afin de constater la présence de l’administration et prouver au reste du Monde que Kidal est une partie intégrante du Mali.
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Je remercie l’ancien premier d’avoir donner un bon aperçu sur sa vision futur de l’accord de paix et de réconciliation. Moussa Mara a bienfait de soutenir l’accord et de le voir sous un bon angle.
Je pense que Moussa Mara a raison, la signature d’un accord est une affaire, son application en est une n’autre. Le gouvernement conscient de la situation est en train de faire tout ce qui est en son pouvoir pour la bonne, effectif et rapide application de l’accord de paix.
Je pense si des personnes comme Moussa Marra qui ont décrié cet accord sont optimistes aujourd’hui,cela signifie que le pays est en bonne voie.Nous sommes confiants quant à la suite de cet accord qui va nous amener la paix de manière pacifique.
Moussa Marra est maintenant optimiste quant à la suite de l’accord de paix.Tant mieux.Il a pourtant traiter cet accord de danger pour le pays.Je pense que c’est très bien.
L’accord de paix avance et voilà que certains qui avaient traiter cet accord de tous les noms cet accord se veulent optimistes.C”est très encourageons ça.
Le gouvernement malien et son président IBK fait tout leur possible pour ramener la quiétude, la paix ,la stabilité sur l’ensemble du territoire du Mali.
Ce n’est pas Moussa Mara seul qui est optimiste pour la suite, même le ministre algérien des affaires étrangères est venu, lui aussi se dit optimiste pour cet accord malgré les lenteurs, et les blocages que l’accord a connu.
Même l’ancien premier ministre Moussa est optimiste pour le retour de la paix et de la réconciliation nationale.A travers l’application de l’accord de paix dans ce pays.
Que Mara se préoccupe de son élection au lieu de venir étaler sa carence mentale. Je sais pas ce que le nouveau guide spirituel veut dire encore. Il préférable pour lui continuer sa tournée dans les mosquées et églises.
Aujourd’hui, il est mieux placé pour parler de cette crise. Il a eu à la gérer étant premier ministre et a même effectué un déplacement à Kidal afin de constater la présence de l’administration et prouver au reste du Monde que Kidal est une partie intégrante du Mali. Je pense que nous devons nous nourrir de l’optimisme.
nous devons savoir qu’après un an de la signature de l’accord pour la paix et la réconciliation par les groupes armés et le gouvernement malien, le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale de l’Algérie, Ramtane Lamamra qui conduit la médiation reconnait qu’il avait un blocage mais aujourd’hui la deuxième année connaîtra des avancés qui permettront le retour définitif de la paix au mali.
Comme l’ancien premier ministre l’affirme nous sommes tous optimistes pour la suite de l’accord d’Alger.Nous voulons que la paix et la réconciliation nationale.
Mara a raison de dire que nous devons rester optimiste pour la suite du processus de paix car après une année qui a vu plusieurs blocages, le gouvernement et les groupes armés sont parvenus à une entente qui permettra d’accélérer le processus de paix dont la date a été fixée.
La population malienne est divisée entre ceux qui pensent qu’il y a eu des avancées et ceux qui prouvent le contraire. Malgré tout, Moussa Mara, ancien premier ministre, le président IBK et les groupes armés sont tous optimistes. Et c’est une bonne chose. L’optimisme doit être notre arme de guerre.
Il faut croire à l’accord de paix comme l’a dit le diplomate Algérien en accompagnant le président dans sa mise en place. C’est le lieu d’interpeller tous les partis prenants de l’accord à s’impliquer davantage afin que tout ceci soit un mauvais souvenir dans l’intérêt de la nation malienne.
Un processus de paix a toujours été des étapes. Si après un an les deux protagonistes ont décidé de revoir l’accord c’est de bonne augure car cela montre leur volonté manifeste d’aller résolument à la paix pour le bonheur de tous. Cette action doit être saluée et accompagnée par l’ensemble de la société et des partenaires techniques et financiers.
Une année après la signature de l’accord entre les gouvernements maliens et ses groupes armés.Nous constatons de grand changement dans ce processus de paix.
MOUSSA MARA est un intellectuelle qui connait les importances d’un accord de paix c’est pourquoi il reste positif et invite les maliens a être optimiste a la suite de l’accord
MARA a eu a traiter les dossiers concernant l’accord il est sait bien que c’est prometteur contrairement au voyou qui tous les malheurs a l’accord de paix
Soyons optimiste pour la suite de l’accord d’après Moussa Mara, une année de l’accord malgré le blocage et les lenteurs, il y a eu des avancées, le gouvernement et les groupes armés ont eu un accord pour la mise en place des autorités intérimaires pour faciliter le retour des services déconcentrés de l’Etat aux régions nord.
On a pas besoin de son avis sur le processus de paix. Nous gardons encore sa dernière intervention. Il a conduit l’accord de paix mais j’étais étonné de le voir s’opposer quant à une partition du pays. Cela montre qu’il n’a rien dans la tête. Alors méfiance.
Moussa mara est bien conscient que l’accord a connu une grande avancée et cela en une année cela montre une bonne gestion du gouvernement et ses partenaires a mener a bout cet accord et instaurer définitivement la paix au mali
Moussa mara sait que le président de la république est de bonne foi en ce qui concerne la mise en œuvre de cet accord parce qu’il a été premier ministre, il sait de quoi il parle.
moi je ne comprends pas nos politiciens malhonnêtes comme Moussa Mara, à fausse de toujours s’opposer au président IBK, ils finissent par se dédire eux-même. Mara a conduit les accords et il disait être d’accord et lorsqu’il a quitté la primature il disait qu’il n’était d’accords mais aujourd’hui il pense que les accords peuvent aboutir. mais enfin de compte Mara veut quoi?
Concernant le depart de moussa mara a kidal cela a été une lourde perte en vie humaine et çà été la cause qui fait que les soldats ont perdues le contrôle de la ville
Mon oeil, c’est pas ce même Mara qui critiquait la mise en place des autorités intérimaires ici. Alors quel optimisme parle t-il? C’est vraiment la mauvaise foi tout simplement de ces politicards sans vision et objectif pour ce pays. Qu’il épargne de ses critiques inutiles.
Soyons optimiste pour la suite de l’accord d’après Moussa Mara, une année de l’accord malgré le blocage et les lenteurs, il y a eu des avancées, le gouvernement et les groupes armés ont eu un accord pour la mise en place des autorités intérimaires pour faciliter le retour des services déconcentrés de l’Etat aux régions nord.
C’est vrais un premier ministre ne peut pas aller a KIDAL sans l’accord du président mais le président ne vous a pas dit de déclaré la guerre aux rebelle MARA s’est enfoncé lui-même c’est par arrogance qu’il a posé ces actes
Nous sommes tous derrière notre gouvernement et son président IBK pour la mise en application de cette autorité intérimaire pour un avancement pour l’application de l’accord.
Le bilan d’un an de la signature de l’accord pour la paix et la réconciliation nationale divise. Car les citoyens sont divisés entre ceux qui pensent qu’il y a eu des avancées et ceux qui prouvent le contraire. Malgré tout,Moussa Mara, ancien premier ministre, le président IBK et les groupes armés sont tous optimistes. ET c’est une bonne chose.
De la manière dont les acteurs sont optimistes à l’accord d’Alger issu d processus de paix d’Alger avec ses avancées et son blocage, nous devons tous être optimistes pour un retour rapide de la paix et de la réconciliation dans notre pays.
Les acteurs du processus de paix et toutes les parties signataires de l’accord de paix d’Alger croient à l’accord en question. Pour que ce document nous apporte la paix, il faut que nous fassions tous confiance à cet accord et que nous fassions tout ce qui est de notre pouvoir pour qu’il ne soit pas un échec.
Tout comme Moussa Mara, je suis optimiste à cet accord. Cet anniversaire qui connait des avancées mais aussi des échecs, si je peux me permettre de le dire ainsi, marque le début d’une nouvelle pour le processus de paix.
L’ancien premier ministre, Moussa Mara, est optimiste à cet accord car il sait qu’il y a eu des avancées et la volonté ardente du gouvernement malien à aller à la paix. Le gouvernement à travers la voix du premier ministre actuel s’est dit optimiste et convaincu que cet accord sera la solution à la crise et la porte vers le développement et l’émergence.
L’accord d’Alger, malgré le bocage qu’il a connu depuis sa signature à aujourd’hui, il peut faire notre affaire. Avec cette signature, on a constaté que les choses se sont évolué sur le terrain et les attaques ne sont diminuées considérablement.
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