Plus de quatre mois après leur assassinat, des zones d’ombres demeurent sur l’identité et les mobiles des assassins de nos confrères Claude Verlon et
RFI
Dupont. Et leur avocat, Me Christophe Deltombe suspecte même un manque de volonté des autorités maliennes.
Selon nos confrères de RFI, les zones d’ombre sur les circonstances et les mobiles de l’assassinat restent nombreuses. “Il y a au moins un homme qui a été reconnu, notamment par le chauffeur, un certain Baye Ag Bakabo, confirme Christophe Deltombe, avocat de nos confrères Claude Verlon et Ghislaine Dupont, enlevés et assassinés à Kidal en novembre dernier. Pour les autres, on a commencé par nous annoncer qu’on avait repéré les quatre personnes, ensuite on nous a dit qu’on ne les avait pas repérées. Bref, on est un peu dans le flou. Il y a des interrogations à la fois sur la manière dont cela s’est passé et sur les circonstances. Par exemple, on a parlé d’un hélicoptère, dans les débuts, de l’intervention de Serval, puis on en a plus parlé après. Quel est véritablement le but de ce rapt ? On en saura peut-être plus le jour où on pourra mettre la main sur les personnes qui ont procédé au rapt. Mais à ce jour, on n’a arrêté personne”.
Peut-on espérer voir un jour les assassins arrêtés ? Pour l’avocat, “cela va dépendre bien sûr de la volonté politique malienne, de la capacité de la justice malienne à mener ses actions efficacement, des capacités de la police malienne à agir. Donc ça dépend d’un contexte politique compliqué, et en même temps on est totalement dépendant du Mali”.
Côté français, les familles, qui se sont portées parties civiles, attendent toujours la saisine d’un juge promis par le parquet antiterroriste de Paris. “Le parquet de Paris nous avait annoncé qu’il avait l’intention de saisir un juge fin janvier ou début février, mais à ce jour, à ma connaissance, aucun juge d’instruction n’est encore désigné”.
Rassemblés par Y. C.
Un mandat contre le principal suspect
Il y a quatre mois, le 2 novembre dernier, les envoyés spéciaux de RFI au Mali, Ghislaine Dupont et Claude Verlon, ont été assassinés après avoir été enlevés à Kidal en plein jour par des hommes armés et cagoulés. Les assassins sont toujours dans la nature. Une enquête a été ouverte à Bamako et à Paris, mais jusque-là, elle a bien du mal à avancer.
A Bamako, l’enquête sur l’assassinat de Claude Verlon et Ghislaine Dupont a été confiée à un juge d’instruction, Mahamadou Kassogué, un homme à la réputation de sérieux qui travaille déjà sur des dossiers de jihadistes. Récemment, un mandat d’arrêt a été lancé contre le seul suspect identifié Baye Ag Bakabo, le propriétaire du véhicule de l’enlèvement. L’homme est un trafiquant proche d’Ançar Eddine, soupçonné de travailler pour l’islamiste Abdelkrim al-Targui.
Y. C.
Nous avons des journalistes qui disent du n’importe quoi.
ils sont pires que le diable
LES JOURNALISTES A LA SOLDE .
TOUT LE MONDE SAIT QUE LE MALI N’AVAIT UN GRIN DE CONTROL SUR CETTE ZONE L’ORSQUE LES DEUX JOURNALISTES SONT PARTIS A KIDAL. 💡
Moi je ne vois pas dans le texte partie qui indique les soupçons sur les autorités, et puis quelles autorités?? Maliennes ou Françaises???? Évitez de balancer des gros titres. On voit maintenant la vraie nature de certains envers la république. Mais soyez rassurés, vous êtes tous identifiés journaliste apatrides.
A mon entendement, les journalistes français ne sont pas les premiers à être tués à Kiadal et pourquoi internationaliser la disparition de deux journalistes français sachant bien qu’au par avant plus de 100 soldats ont trouvé la mort dans des conditions criminelles. Que faisaient les journalistes français à Kidal? et c’est ce qu’ils étaient entrain de préparer sur le Mali. Tout semble à croire qu’ils voulaient nous faire croire que tout va bien à Kiadal, malheureusement pour eux et heureusement pour le Mali, le complot n’a pas bien marché. Allez voir à Kidal, la sécurité est loin d’être au rendez-vous par le mauvais comportement des hautes autorités de Paris. En conclusion, le MNLA qui est une marque de la France a tué les journalistes français à Kidal. MNLA=France donc équation complexe.
Pourquoi ne pas interroger Ag Rhissa chef du MNLA, et frere du ministre de l’assainissement au Mali.
Beaucoup oublient déjà d’où on vient toutes les réactions sans aucune exception accusent déjà la France en oubliant tout ce qu’elle a fait depuis un an . On recommence encore notre politique de l’autruche qui consiste a toujours accuser les autres. La France contrairement à nous ne navigue pas à vue et anticipe presque tout, certainement si les France avait libérée Kidal pour remettre les clés à l’armée malienne on aurait certainement assisté à une épuration ethnique dont la France aurait été complice directe de part son intervention. C’est toujours facile de juger les autres surtout quand on est le pays le plus faible du monde anéanti par moins de 4000 hommes et enfants pour 15 millions d’habitants. Comme le Mali théoriquement est un pays indépendant alors mettez dehors toutes ces forces étrangères et gérez vous même le problème on verra bien ce qui se passera je suis sûre que cette fois les islamistes marcheront en quelques jours sur Bamako. Les français qui font face aux terroristes qui ne vont jamais fuir ont leur principes et leur vision des choses qui très différente de la notre et heureusement pour eux car tout le monde a vu où nous a mené notre vision qui est purement sentimentale et ne tiens jamais compte de la réalité , si nos soldats n’avaient pas fuient comme des lâches on en serait pas là. Tout ce que la France fait ou ferait serait un moindre mal par rapport à ce qui pourrait arriver si elle quittait le Mali.
Les parents des journalistes français assassinés n’ont qu’à s’en prendre à la FRANCE qui est la protectrice de leurs assassins.
FOUTAISE : Ce n’est pas SERVAL qui avait reçu AG BAKABO par le canal du Mènèmènèla à Kidal avant qu’il n’enlève et tue les 2 journalistes Français ! ALORS SERVAL n’a qu’a arrête AG BAKABO du MNLA 😳 😳 😳 ➡ ❗
Mais c’est quoi ce charabia, ”cela dépend des autorités maliennes”, mais qui protégeait le MNLA à Kidal pendant ce triste événement, la France ou le Mali?, il faut éviter de nous prendre pour des tarets. La France est seule responsable de la mort de ces journalistes.
il n’existait pas une autorité malienne a Kidal à l’époque donc va voir la minusma, le serval ou le MNLA 😳
Trop facile de lancer la pierre au Mali, à nos autorités, la Frce est seule responsable de la mort des journalistes de RFI, sinon, les autorités maliennes n’ont ps la maîtrise de KIDAL, que les français demandent à leurs autorités pourkoi la situation à kidal n’évolue ps. Ainsi, ils auront la réponse pr retrouver les assassins des journalistes.
c’est le gouvernement français qui a permis au mnla de se réinstaller à Kidal,
Je ne suis pas d’accord avec ce point car, le movement du zazaouad n’a jamais ete a kidal, c’est avec l’armee francaise qu’ils se sont installes dans cette ville..Kidal etait occupies par les sardines!!!
………C’est bien le SERVAL,LA MUNISMA et le MNLA qui contrôlent KIDAL donc, le gouvernent malien ne peut pas être tenu responsable si les coupables courent toujours. RFI n’a qu’à laisser le MALI en paix et demander à ses amis du MNLA, de lui trouver les assassins puisse le MNLA connait bien le terrain.
👿 Biensur c’est facile à dire que : “…cela va dépendre bien sûr de la volonté politique malienne, de la capacité de la justice malienne à mener ses actions efficacement, des capacités de la police malienne à agir…”
c’est le gouvernement français qui a permis au mnla de se réinstaller à Kidal,
c’est le gouvernement français qui protège et défend les interêts du mnla,
c’est le gouvernement français qui encadre le cantonnement de l’armée malienne à Kidal,
c’est me gouvernement français appuyé par la communauté internationale qui ne veut pas entendre parler de désarmement préalable du mnla avant toute négociation,
Et ces journalistes ont été tués au nez et à la barbe de l’armée française à Kidal…
🙄 Alors si suspicion il y a, c’est du côté du mnla et de serval…
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