Face à un front social nuageux, il arrive que les gouvernants décrètent un moratoire pour passer un cap, avant de reprendre avec la période normale des revendications syndicales. On doit plaider aujourd’hui pour un tel moratoire afin que toutes les voix discordantes se taisent par rapport à la libération du Nord.
Le seul but digne d’être poursuivi par tous, c’est plaider auprès de toutes les instances pour que les régions de Gao, Tombouctou, Kidal et une partie de Mopti réintègrent la République une et indivisible du Mali.
Le Mali est réputé avoir une culture de paix, d’hospitalité et de tolérance. Ironie du sort, le pays fait face à de récurrentes secousses dans son septentrion. Et le drame dans ce dossier du Nord malien, c’est que la plupart des acteurs politiques et de la société civile n’arrivent pas à parler le même langage. Le Mali, qui a eu la réputation d’avoir réussi une gouvernance «consensuelle», pendant au moins cinq ans au moment où plusieurs pays souffraient des actions «destabilisatrices» des oppositions politiques aux relents revanchards, peine toujours à dégager une position dominante en faveur de son septentrion, déchiré par des islamo-terroristes. Même aux assises de la Coalition pour le Mali, certains ressortissants du Nord sont opposés à toute solution militaire oubliant que l’on ne fait pas d’omelette sans casser les oeufs.
Il est établi aujourd’hui que le coup d’Etat du 22 mars 2012 est venu compliquer la donne concernant la reconquête des 2/3 du territoire national. La COPAM et le MP-22 veulent tout sauf l’intervention d’une force internationale au Mali. Où sont les sages? Où sont les familles fondatrices de Bamako? Où sont les intellectuels pour décréter un moratoire, sauver le Nord pour l’intégrer à la République?
Bruno D SEGEBDJI
Je comprends que ceux dont les bonnes sauces ont été versées suite au coup d’état du mars traitent les putschistes de tous les noms d’oiseaux. Mais, même si je suis d’accord qu’un coup d’état est un recul pour un pays, je suis obligé de reconnaitre que, dans le cas malien, il est l’une des conséquences du problème et non pas le problème lui-même. La plupart de ceux qui insultent les putschistes aujourd’hui ont contribué à leur avènement au pouvoir. C’est eux les vrais putschistes.
“Il est établi aujourd’hui que le coup d’Etat du 22 mars 2012 est venu compliquer la donne concernant la reconquête des 2/3 du territoire national” NON BRUNO, VOUS L’AVEZ TOUT FAUT ICI. C’EST LE COUP D’ETAT QUI A CONDUIT A L’OCCUPATION DES 2/3 DU PAYS.
1. Si la CEDEAO ne se dépêche à acquérir les fonds des Nations Unies, il est évident que les barbus nous feront retourner à la préhistoire et non à l’ère du prophète. Avec toute une armée de manchots, de boiteux, de fouettés, de lapidés et d’orphelins que la société malienne devra prendre en charge.
2. Eh oui. Un autre nom pour Satan est MNLA/AQMI/ANE SARDINE/BOKO HARAM/MUJAO. Et un autre nom pour Satan est CNDERRIERE/COPAM/SADI ou YERE WOLO TON. Ce COPAM/SADI/YERE WOLON TON me fait penser à ces Stars, Charlie Hebdo Salman Rushdi et autres Tueurs en série prêts à tout pour que l’on parle d’eux. L’exercice favori de Satan est de se présenter sous les couleurs du Bien. Ainsi en fut – il pour Kaddafi, Sadam Hussein et j’en passe. Il est dit que même Dieu ne fait pas l’unanimité. Sinon ce serait le silence des cimetières. Les oppositions, l’absence d’unanimisme sont le propre de la démocratie qui n’est d’ailleurs pas loin de l’anarchie (les Tea Parties aux USA, Le Pen en France, etc.) L’équipe au pouvoir n’a qu’à justifier sa nomination ou démissionner : 1) libérer le nord occupé depuis plus de 6 mois, avec la CEDEAO, avec l’appui des troupes d’autodéfense et 2) organiser des élections transparentes à partir d’un fichier biométrique. On ne lui demande que çà et rien d’autre…
Conclusion: on arrête un bandit/terroriste ou on capitule. Qu’il s’appelle MNLA/BOKO HARAM/ANE SARDINE/MUJAO ou AQMI C’est aussi simple que cela. Après, on développe la zone en luttant contre le chômage en empêchant les jeunes désœuvrés et désespérés d’adhérer à ces organisations criminelles.
Le Mali est au centre de l’actualité internationale et cela par la faute du CAPITAINE sanogo, qui avide d’argent et de pouvoir a remis les 2/3 du pays aux bandits armés. Sinon comment comprendre qu’à près 6 mois du départ d’ATT, aucune action militaire n’a été entreprise pour la libération du nord mali. Pire cette coalition d’alcooliques de KATI refuse même l’arrivée de la CEDEAO pour aider le mali, que le ridicule ne tue plus.
La junte a menti au peuple malien en disant qu’ATT n’avait pas commandé des armes et ne voulait pas faire la guerre mais aujourd’hui elle se rétracte pour dire que seules les armes commandées par ATT peuvent libérer le Nord. O vaillant peuple malien notre destin est entrain d’être bafouillé par la junte et le DICKO du HCI ? Nous devons prendre conscience et agir au plus vite.
Un premier ministre qui ne fait que la promotion de l’ignorance et de la carence pour preuve la nomination du nullard capitaine comme président du fameux comité de reforme car bien avant le retour de Dionkounda la décision avait été prise. L’affaire du journaliste Aissat Ibrahim MAIGA , les promotions au niveau de la police …..
Le rapport confidentiel de l’ONU confirme ce que nous savions déjà, la connexion de la junte avec les pros BAGBO pour déstabiliser la CI mais aussi le recrutement des mercenaires pour déstabiliser aussi le FASO. Oumar MARICO sert de trait d’union entre les opposants de ces deux pays et la junte d’une part et d’autre part entre les opposants de ces deux pays et les bandits armés qui sévissent au nord enfin de déstabiliser nos pays voisins qui veulent nous aider au non de la solidarité.
La roue de l’histoire tourne et chacun aura son tour. L’exécution sommaire de plus de 20 militaires bérets rouges enfouis dans une fosse commune sera sans nul doute l’événement qui rattrapera cette clique de bandits de KATI qui en réalité font plus de maux que le MNLA et autres.
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