Monsieur, Hamadoun Touré, Porte-machin du gouvernement Cheick Modibo Diarra aurait certainement dut faire comme tous ceux-là qui n’ont rien à dire : se taire ! Mais le voilà qui s’autoproclame grammairien, burlesque linguiste et syntacticien de son Etat en tentant maladroitement de rappeler qu’il faille plutôt dire «le Nord du Mali» que «Nord-Mali». Ce, dans un communiqué aussi laconique que mélancolique lu sur les antennes de la télévision nationale.
A peine si le Porte-machin du Gouvernement n’accuse pas les utilisateurs de cette expression, « Nord-Mali», en l’occurrence la presse, d’être les auteurs de la scission du pays. Mais le sait-il ? Un mot, une expression ne vaut que par le sens qu’on lui prête. D’ailleurs, la parole n’est-elle pas l’expression de notre pensée ? En parlant de «Nord-Mali», les utilisateurs font allusion au «Nord du Mali». Et il en a été ainsi, avant l’occupation des régions…, pardon, du Nord-Mali, d’ailleurs, bien avant la rébellion touarègue et arabo-berbère des années 90. Evidemment, c’est seulement dans les têtes et dans des esprits qu’il en est autrement.
Alors, pour notre part, nous continueront à écrire «Nord-Mali», n’en déplaise au porte-machin du Gouvernement Cheick Modibo Diarra.
Aussi, ce rôle de donneur de leçons ne sied pas à un ministre de la communication qui garde un silence coupable, complice et dédaigneux pendant que des journalistes sont arrêtés et agressés par ses mentors.
En tout état de cause, ce n’est pas un «porte-machin» qui mettra la presse malienne au pas. D’autres avant lui, ont échoué.
Alors à l’attention de « Monsieur Nord-Mali » : Nord-Mali, Nord-Mali, Nord-Mali, Nord-Mali, Nord-Mali, Nord-Mali, Nord-Mali, Nord-Mali, Nord-Mali, Nord-Mali…
B.Diarrassouba (Aujourd’hui-La Résistance)
Tout d’abord le communiqué est venu du gouvernement. Mais c’est un devoir du ministre porte parole d’informer le peuple. Le journaliste n’a pas eu d’article pour publier donc au lieu de laisser sa page vierge il a écrit des bla-bla. Certains journalismes ont oublié leur métier au profit d’escrocérie. Si chacun savait ce que chacun disait de chacun à chacun personne ne parlera de chacun à chacun.
il a raison nos journalistes sont des amateurs, ils ne reflechissent même pas, je parle de certains journalistes bien sur si non pas tous
Plutôt que ces enfantillages de formulation dans le discours du Porte-blabla, il me semble plus important de noter qu’il avoué sans le vouloir que depuis tout ce temps, l’armée et gouvernement n’avaient toujours pas été capable d’évaluer ses besoins, et donc n’avait toujours rien foutu pour résoudre la crise du Nord.
Ne pas confondre Journalisme et gamineries d’écolier!
Le journaliste ne connaît pas la différence entre la grammaire et la politique.
Mr le journaliste sait tu que tu as une carence intellectuelle?
Il faut avoir un esprit critique s’il te plait.
Il y’a incontestablement une difference entre Nord Mali et Nord du Mali. Merci pour la compréhension.
Commence d’abord par mettre un s à ton “sait tu” avant de faire tes remarques sur l’intellect du journaliste
M.le journaliste le Ministre n’a fait que dire la vérité si tu ne sais pas qu’il ya une différence entre l’expression Nord-Mali et Nord du Mali et bien c’est grave.Nord-Mali peut vouloir dire la partie qui est située au Nord du Mali et qui peut ne pas faire partie du territoire du Mali tandis que le Nord du Mali veut dire tout simplementle côté Nord du territoire Malien.Demande à un bon professeur de français. Donc faîtes attention les mots ou expression ont bien un sens qu’il faut chercher à connaître.
Quand les Politiques emploient un mot avec insistance. Ce mot a tendance à perdre son sens premier au profit du sens idéologique que lui donne l’insistance avec lequel le Politique l’a utilisé. Ainsi en France le mot ” virtuel ” était employé peu couramment. IL est devenu un mot à la mode quand un ancien Premier Ministre l’a employé au cours d’un débat télévisé… Récemment le Président Français, quand il était candidat en campagne, a insisté sur le terme ” Normal ” pour qualifier son trait de caractère. Et depuis, ses moindres faits et gestes sont épiés par des journalistes ou adversaires politiques, pour voir si sa conduite dans la vie de tous les jours est conforme à ce qu’il a dit. Je trouve ça mesquin, et ça porte un nom…, c’est tout simplement du harcèlement. S’il suffit d’employer un mot avec insistance pour que des petits malins se prennent pour des PSY et perdent leur temps à chercher à vous tester pour voir si ce que vous dites vous correspond bien… Je trouve ça nul…! Si Maliweb veut bien laisser paraître mon commentaire…!
Ce journaliste nous fait honte!!!!!!!
Mais “le Nord du Mali” ou “Nord du Mali” quelle est la difference si la dite zone est toujours occupée par les rebelles. Que ce ministre pense d’abord à recuperer la zone et ensuite il viendra donnér le nom qu’il voudra.S’i veut il pourra l’appeller centre du Mali.
Aulieu de nous parler de plans et moyens de recoquête des zones occupées, on vient nous faire une leçon de grammaire comme un proffesseur et ses elèves.On est pas encore sorti du trou.
BJR
VOUS VOUS ARCHARNER CONTRE LE PAUVRE JOURNALITE MAINTENANT EN TOUTE FRANCHISE LE MINISTRE TOURE A VOULU DIRE QUOI EN DISANT NORD MALI OU NORD DU MALI.FAIRE DES GRNDES ECOLES OU UNIVERSITES NE GERE PAS UN PAYS COMME LE MALI CE QUE LE DEBUT
VIVRA KI VERRA
La libertez de la presse on ny crois ou pas !
Nord Mali NordMali Nord Mali lol lol
Monsieur le soit disant journaliste, vous incarnez la nullité dans le métier de journalisme qui est un métier si noble. Vous devez retourner à l’école du journalisme professionnel. Vous êtes un journaliste en poux et faites honte à la corporation. Mrrrôôôô, Hé tè foye.
dites a ce petit morpion de journalise qu’on a besoin d’info mais pas pietrerie de la sorte il lui fallu combien d’année d’etudes pour qu’il ponde de telle pietrerie journalistique qu’elle honte, je sais pourquoi maliweb publi de telle chose !!!
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