L’Accord de paix constitue un véritable goulot d’étranglement pour les autorités maliennes. Pressées de toutes parts par la communauté internationale, la Médiation, la classe politique, la société civile et les groupes armés pour accélérer la mise en œuvre du document, l’Etat pose des actes qui semblent poser plus de problèmes qu’ils n’en donnent la solution. La mise en place des autorités intérimaires dans les régions du nord, prévue par l’Accord et dont le projet de loi vient d’être adopté par le gouvernement, est l’illustration parfaite de cet état de fait. Le feuilleton fait beaucoup de bruits entre les élus locaux (soutenus par les populations) et les groupes armés de la CMA et de la plateforme qui vont prendre le relais.
Dans une correspondance, en date du 10 février 2016, le ministre de la Décentralisation et de la Réforme de l’Etat explique aux élus du nord les motivations du projet de texte sur les autorités transitoires. « La mise en place des autorités transitoires dans les collectivités territoriales des régions de Tombouctou, Gao et Kidal est le fruit d’un compromis qui a l’avantage de s’inscrire dans le cadre général de la décentralisation et touche l’ensemble du pays. C’est une réforme de la délégation spéciale… », Indique-t-on dans le courrier du ministre pour apaiser la tension au sein des collectivités du nord.
En fait, avant même l’adoption du projet de texte, des missions de la CMA et de la Plateforme sillonnaient les différentes collectivités pour les informer des changements à venir dans la gestion des collectivités. Ces missions expliquaient que la gestion des collectivités allait être confiée à la CMA et à la Plateforme. Ce qui est incompréhensible dans certaines localités où ces organisations n’avaient même pas de représentants.
Aussi, le courrier du ministre était accompagné d’une note d’information sur les autorités transitoires. Les élus du nord ont trouvé cette note « confuse » dans certains de ses passages, notamment dans les conditions de mise en place et de la désignation des autorités intérimaires.
S’agissant des conditions de la mise en place des autorités transitoires, la note informative du ministre de la Décentralisation et de la Réforme de l’Etat évoque cinq conditions dont seulement la cinquième n’était pas prévu dans le code des collectivités territoriales, pour procéder à la dissolution d’un conseil. Il s’agit de « la non fonctionnalité du conseil de la collectivité qu’elle qu’en soit la cause ». Qui « est constatée lorsqu’il est établi que pendant une période de 12 mois consécutifs ou plus : l’administration communale n’offre pas de services aux usagers et le conseil de la collectivité concernée n’a pas tenu au moins deux sessions régulières… ». Et la constatation est faite par les représentants de l’Etat (préfets, gouverneurs et ministère en charge des collectivités). Pis, les anciens maires et présidents de conseil sont systématiquement écartés de la nouvelle gestion. Tout ça pour faire plaisir à la CMA et à la Plateforme dont les méthodes de gestion sont fortement contestées.
Quant au choix des membres des autorités intérimaires, c’est le sujet qui fait plus polémiques. Parce qu’il met officiellement le nord du Mali (Tombouctou, Gao, Kidal, Taoudéni et Ménaka) sous la coupe de la Coordination des mouvements de l’Azawad et de la Plateforme. Il est précisé dans la note informative que les membres des autorités transitoires « seront désignés par le Gouvernement, la Coordination et la Plateforme au sein d’un vivier comprenant les autorités traditionnelles, la société civile, les conseillers sortants et les agents des services déconcentrés du ressort de la collectivité territoriale concernée… ».
Le texte du conseil des ministres a omis ce passage et ne précise pas le rôle des groupes armés dans ce nouveau dispositif. Mais sur le terrain, les choses sont claires : C’est la CMA et la Plateforme qui vont régner, en maître, sur les collectivités des régions du nord. En tout cas, c’est la nette impression qu’ont les populations et les politiques dans ces localités. Mieux, certains politiques se sont déjà lancés dans la conquête du pouvoir à travers les deux organisations. Des comités, voire des cellules de la CMA et de la Plateforme sont en train d’être mises en place dans toutes les collectivités du nord. Parce qu’ils auraient compris que la « part du lion » reviendrait forcement aux groupes armés, à qui l’Etat vient d’offrir la possibilité de s’ériger en formation politique avant les prochaines échéances électorales.
Des autorités transitoires sont-elles nécessaires ?
Pas évident ! L’installation des autorités transitoires prendra du temps. Elle va retarder la tenue des élections communales et régionales, lesquelles ne devaient pas avoir lieu avant le dernier trimestre 2016. Il y a des risques forts que cette mesure accentue davantage le clivage entre les régions de Tombouctou, Gao et Kidal et le reste du pays. Le contexte a beaucoup évolué. Et le pays est pris aujourd’hui en tenaille par une poignée d’individus qui remuent ciel et terre pour sa partition. Les partis politiques ainsi que les élus des autres localités du pays brillent par leur silence. L’Association des Municipalités du Mali (AMM) n’entreprend aucune action de lobbying pour conforter les positions des élus du nord.
En quoi les autorités transitoires sont-elles (pourtant) avantageuses ?
Les autorités transitoires s’inscrivent dans la continuité des organes élus en ce que, contrairement aux délégations spéciales, elles sont chargées, sans restriction aucune, des attributions dévolues aux conseils des collectivités territoriales. Les autorités transitoires restent non seulement en place jusqu’à l’installation des nouveaux conseils, mais aussi leur taille sera fonction de celle des conseils des collectivités territoriales. Leurs membres proviendront de l’administration, de la société civile et du secteur privé. Ce qui va changer dans le Code des collectivités.
SD
Ces élus du nord doivent faire des compromis comme tout le monde pour qu’on en arrive à la paix.La paix dans notre est beaucoup plus importantes que ces considérations personnelles.Le gouvernement malien a pris cette décision pour le bien être du pays.
Personne n’a été lésée dans ces pourparlers.Chaque partie a fait des compromis pour en arriver à une décision qui arrange tout le monde et surtout qui permet au Mali d’aller à la paix de manière pacifique.C’est le plus important je pense.
Tout ce que le gouvernement a pris comme mesure dans la résolution de cette crise c’est dans l’intérêt de l’Etat malien.Je vois pas l’injustice qui réside dans le faite qu’on veut aller à la paix.
pourriez-vous diffuser la lettre que vous citez ? merci d’avance !
Les injustices imaginaires dont ces élus du nord parlent là sont très insignifiantes comparativement à nos parents qui perdent la vie chaque jour à cause de la guerre.Je pense que l’injustice serait de regarder cet état de fait sans réagir.
Il n’y a point de justice nul part.Même certaines personnes trouvent la répartition des biens de DIEU aux hommes injuste.Ce qui convient donc de faire c’est de prendre les décisions qui arrangent la majorité.Et dans le cas d’espèce c’est la paix qui importe.
On veut aller à la paix.Il faut donc oublié un temps soit peu nos personnes pour voir et travailler pour l’intérêt général de notre pays.C’est ça le plus important.
Le président IBK et son gouvernement ainsi que tous les partenaires qui ont aidé le Mali dans la recherche de la paix l’ont fait pour le Mali.Seuls les égoïstes trouverons des injustices dans cette résolution.
Je pense que cette sale guerre arrange certaines personnes on dirait.Sinon je ne sais pas comment vouloir aller à la paix peut constituer une injustice.On n’a pas à prendre en considération les problèmes de postes.Le plus important c’est pour que la paix revienne dans notre pays.
J’en vois pas l’injustice.Des maliens remplacent d’autres maliens sur le territoire malien pour l’intérêt général du Mali.Où est le problème à cela?
On ne va pas sacrifié l’intérêt de la nation malienne pour des postes.Tout ce qui a été arrêté comme décisions c’est pour le bien de notre pays.Et je pense que ces décisions n’ont rien d’injuste.
Il n’y aura pas de paix à Kidal sans la présence de l’administration malienne et l’utilisation de la force en contenant les djihadistes et les groupes armés non maitrisés. Comment voulez-vous que les réfugiés retournent dans ces conditions chaotique, rien ne les couvre, ils seraient à la merci des bandits de toutes sortes. Il faut que les groupes armés comprennent qu’on a fini avec Aguelhok et qu’il faut accepter que l’administration retourne sur place en vue de garantir le retour des réfugiés. Qu’Allah le tout puissant aide et protège le Mali déjà au bord du précipice.
NB: Seule la force viendrait à bout des maux dont souffres Kidal; il ne faut pas se tromper.
Je comprend l’inquiétude des élus locaux, mais doivent savoir que le gouvernement malien est conscient de tout cela et que les précautions ont été prise. Le gouvernement malien le fait dans les intérêts primordiale du pays.
Je comprend l’inquiétude des élus locaux, mais doivent savoir que le gouvernement malien est conscient de tout cela et que les précautions ont été prise. Le gouvernement malien le fait dans les intérêts primordiale du pays.
Les élus locaux de Kidal, Gao et de Tombouctou doivent faire confiance et respecter cette initiative gouvernementale. Les élection locales et régionales sont déjà en perceptive, le gouvernement est entrain d’aller vers la paix et il utilise tous les moyens sous main. 😉 😉 😉
Les élus locaux de Kidal, Gao et de Tombouctou doivent faire confiance et respecter cette initiative gouvernementale. Les élection locales et régionales sont déjà en perceptive, le gouvernement est entrain d’aller vers la paix et il utilise tous les moyens sous main.
Je pense que le gouvernement malien a pris cette décision pour le bien n’être de la population, en particulier les population concernés. Les députés des régions concernés ne doivent pas constitués déblocage car le gouvernement le fait pour la paix et la réconciliation.
Les élus locaux de Kidal, Gao et de Tombouctou doivent mettre un peut d’eau dans leur vain. Le gouvernement est conscient de la situation, mais ils doivent accorder leur confiance au gouvernement malien.
Le gouvernement est aussi plus qu’inquiet de la situation raison pour laquelle il est à la quête de diverse solution. Le gouvernement d’IBK n’acceptera point des actions qui pourra porter atteinte à la crédibilité de notre pays à plus forte raison à son intégrité territoriale.
Cela est tout fait normal que les élus locaux se plaigne de cette décision gouvernementale. Mais je pense qu’on doit faire d’avantage confiance à notre gouvernement. Le régime d’IBK s’est très bien pourquoi ce qu’il fait.
Le gouvernement comprend très bien l’amertume des autorités locaux de Kidal de Tombouctou et de Gao, mais à leur tour il doivent essayé de comprendre le gouvernement malien. Ces autorités transitoires c’est pour un bout de temps avant les élections communales et régionales.
Je pense que les élus locaux de Kidal, Tombouctou et de Gao doivent essayé de comprendre le gouvernement, c’est pour la bonne mise œuvre de l’accord de paix que le gouvernement fait tout cela.
Les autorités transitoire sont nécessaires dans la mise en œuvre des accords de paix. Mais puisqu’il s’avère qu’il y a des insuffisances de part et d’autres; il faut que le comité de suivi avec les différents acteurs puissent se concerter pour aplanir les angles afin que nous puissions aller résolument à la paix.
La paix dans notre Maliba est notre bien commun à tous.Nous devons donc travailler pour qu’elle soit effective pour le bonheur de tous.
Tous les maliens se sont réjouis de la signature de l’accord de paix.Cette signature qui a vu la participation des différents groupes va tout d’abord consacrer la paix dans le septentrion de notre pays.Ensuite,elle donnera la tranquillité à tout le Mali et enfin incitera les investisseurs à avoir confiance en notre pays.
Merci il faut que chacun y mette du sien.
Merci au président IBK d’avoir favorisé cette démarche.
Nous savons tous très qu’on ne sort pas d’une crise comme si on sortait d’un bal.
Je pourrais donc dire que dans un processus de paix,il y a d’énormes obstacles qui se dressent sur la voie.Dans le cas d’espèce du Mali,ces obstacles sont visibles de tous.
Mais le président IBK fait tout son possible pour que ce processus puisse aller à son terme et le plus rapidement possible.
Que tous les soutiennent le président dans ses actions pour la paix.
Le Président IBK fait en ce moment tout ce qui est en son pouvoir pour que le Mali retrouve la paix à travers l’accord de paix.
je pense que tous les signataires de cet accord doivent s’engager sincèrement pour que cet accord aboutisse pour le bonheur de tous maliens.
Vive le Mali dans la paix.
L’accord de paix doit être beaucoup vulgarisé et les dispositions doivent être expliquées aux uns et aux autres car il apparait de plus en plus que les acteurs même souvent n’en maitrise pas les clauses. Ce qui peut constituer un obstacle à sa mise en application.
Tous ensemble,nous devons soutenir le président IBK dans sa lutte pour une paix effective dans notre Mali.
Les différents groupes signataires de l’accord de paix doivent aussi œuvrer de leur côté pour faciliter les choses afin que le Mali soit à tout jamais réconcilié avec lui même.
Vie la paix…
La recherche de la paix est tellement complexe qu’elle demande l’adhésion de tous.
C’est pour cette raison que j’invite tous les maliens à converger vers cet objectif de paix qui,à coup sûr fera le bonheur de tous.
Du courage au président IBK pour ses effort en faveur de la paix.
L’accord de paix connait des avantages comme des inconvénients car il y a des mesures qui sont objet d’un bouleversement institutionnel sans précédant. Il faut donc que les élus locaux puissent éviter d’y faire obstacle pour la bonne marche des accords de paix.
Quel que soit le temps que cela va mettre les autorités transitoires sont nécessaires. C’est un des dispositifs prévus pour la mise en œuvre des accords d’Alger II. L’annulation de ce paramètre remettrait en cause donc tout l’accord car cette disposition a été prise avec le consentement de tous les acteurs.
Il faut le dire et le redire encore et encore s’il le faut, Aucun accord n’est parfait mais cet accord, je l’ai dit plusieurs fois, constitue une très bonne base pour faire la paix, traiter des questions de fond qui ont entraîné des difficultés au nord de notre pays, restructurer notre appareil sécuritaire et créer ainsi les fondements d’un Etat de nouveau en mesure de faire face à ses obligations.
Si on l’applique dans la lettre mais surtout dans l’esprit, avec bonne foi, il y a de bonnes chances que le Mali retrouve de nouveau de bons espoirs vers demain.
La PAIX est de la volonté de toutes les parties, tout le monde ne veut que la paix au Mali. Nous continuons d’avoir de l’espoir pour le retour de la paix et de la réconciliation au Mali. Le comité de suivi de l’accord s’est réuni plusieurs fois et a pu adopter son règlement intérieur. Espérons qu’à partir de là, on pourra engager des mesures urgentes sur les plans sécuritaires (cantonnement, désarmement…), humanitaires et de réconciliation (retour des réfugiés notamment) ainsi que les actions de développement.
Dans le cadre de la mise en application des accords de paix; l’état a tous les moyens à tous les niveaux que ce soit constitutionnels, juridiques, politiques pour créer les conditions en vue de la mise en œuvre de cet accord c’est pourquoi la clause de non fonctionnalité des collectivités locales n’est pas prise en compte. C’est une disposition particulière.
Je crois que le comité de suivi de l’accord et le comité local mis en place doivent sensibiliser sur les dispositions des accords de paix. L’accord d’Alger prévoit des dispositions particulières et très spéciales pour la mise en œuvre de cet accord et comme mentionné dans l’accord; le gouvernement doit prendre les mesures à tous les niveaux pour mettre en œuvre cet accord.
Malgré qu’il y ait des différents groupes armées au nord, mais avec cette signature les gens déposeront les armes en vue de l’intérêt général.
Nous encourageons tous les partis prenants de cette crise. C’est le Mali qui gagne car nous voulons le développement pour l’ensemble du pays. Il est temps que nous nous donnions les mains pour le grand bonheur de tous
la garantie de la sécurité du nord et la sauvegarde de l’unité nationale. On pense réellement que la paix triomphera au nord Mali.
Maliennes et maliens nous savons déjà ce qui est de cette paix au Mali, l’arbre ne doit pas cacher la forêt. Ce n’est pas compliquer de comprendre que tout le monde n’a pas intérêt à la paix, notamment les terroristes et les trafiquants de drogue qui feront tout pour que l’accord ne puisse pas être correctement appliqué et que les Maliens ne se réconcilient pas car cela signifierait la fin de leur quiétude et de leurs activités illicites et destructrices pour notre pays et le Sahel. L’accord ne sera jamais en danger si les Maliens se donnent la main pour faire halte à ces vendeurs de morts.
On fait la paix pour nous et pour la nation, comment est-ce que cette paix peut-elle connaitre des traînes ?
Suivons les décisions du gouvernement et disons-nous que tous ce que nous faisons c’est pour le Mali.
Je sais que ces groupes sont majoritairement des mercenaires engagés par certains ennemis.
De toutes les façons la paix définitive est signée et plus de guerre civile ou de rébellion.
VIVE LE MALI UNIFIE ET PAISIBLE !!!
Ibrahim Boubacar Keïta a tout mis en œuvre pour que cet accord puisse aboutir. Les différents élus locaux doivent faire preuve de bonne foi et de responsabilité et respecter leurs engagements. Tous les acteurs sont appelés à donner le meilleur d’eux mêmes pour que cette quête de la paix aboutisse. C’est une délégation spéciale car chaque situation a son mode de reglement
Avec la signature de l’accord de paix le pays va être sécurisé par les forces armées du nord et la situation sécuritaire deviendra stable.
Quand même beaucoup ont été fait pour un retour prompt de la paix au Mali. Le gouvernement ne s’est jamais laisser faire. Nous sommes conscients de la bonne volonté du gouvernement pour le retour de la paix au Mali. La paix est un comportement, nous devons jouer ce comportement pour l’intérêt de la nation sans chercher quelque chose d’autre comme récompense.
Cela fera la fierté de tous les maliens, nous avons juste besoin que tout revient en ordre, chaque malien a fait son mieux pour le retour de la paix, nous avons participé à toute sorte de difficulté avec les frères et sœurs vivant sur les terre occupés
Mais avec l’instauration de la paix au Mali et la réintégration de l’armée au sein du territoire nord Mali, inchala tout ira bien au nord.
La Paix rien ne vaut la paix et tous les moyens sont bons pour en arriver à la paix….
Le gouvernement malien est le noyau pour le retour de la paix au Mali tout tourne envers le gouvernement qui est le seul légitime, et ce même gouvernement ne doit pas se permettre de faire du tort et de faire du tort à son peuple. Sachant que la volonté première de sa population est le retour de la paix et de la réconciliation. Ce gouvernement ne doit pas se permettre de répondre aux exactions nous sommes entouré de la communauté international et autre qui veillent sur le retour de la paix au MALI.
Certes, l’accord est à sa phase d’applicabilité et tous les observateurs sont unanimes que les conditions sont favorables pour aller à la paix. Donc arrêtez de mettre en mal la paix et la cohésion sociale que nous recherchons dans notre pays.
La situation du nord Mali est inquiétant la population devrait se donnée la main pour lutter contre l’insécurité’ du nord Mali.
Il faut vraiment que nos élus locaux prennent leurs responsabilités pour parler aux populations pour leur expliquer le bien fondé de la mise en place des autorités transitoires pour que notre pays sorte enfin de cette crise.
Les processus pour la paix et la réconciliation ne dépend toujours que de nous, il faut qu’on se dit que nous sommes prêt pour le MALI, sans aucune arrière-pensée.
Comme le dit le président de la république lors de la signature de l’accord de paix du 20 juin à Bamako, “il n’y a pas de plus beau que le retour de la paix et de la réconciliation au Mali “.
Donnons-nous la main pour faire la paix…
Tout début est difficile mais le meilleur est à venir. Dans toute chose lorsqu’il y’a la volonté le reste viendra.
Donc nous comptons sur le respect des accords de part et d’autre pour le bien de tous.
Vraiment je suis complètement d’accord avec l’idée de rose qui dit que Le terrorisme est le plus grand handicap dans le monde actuel, il ne faut pas laisser les groupes armés s’installer n’importe comment dans notre pays sinon c’est trop risqué.
Nos remerciements vont toujours envers le Président de la république et son gouvernement pour les efforts qu’ils ont fournis pour la paix et la réconciliation au Mali.
L’accord garantit la sécurité, la tranquillité, le renforcement de capacité. Merci IBK pour tout ce que vous avez fait pour le pays, ce moment est inoubliable pour le peuple Malien
Cet accord qui a été signé aujourd’hui renforce la capacité et garanti l’unité nationale. Le peuple Malien a n’est vraiment conscient, car on est au début de la fin de crise.
Certaines personnes veulent tout faire pour que notre demeure dans cette situation de guerre car c’est ce qui leur permet de s’adonner à toutes sortes de trafic.
C’est pour cette raison qu’elles feront tout pour manipuler les différentes communautés pour qu’elles s’insurgent contre la mise en place des autorité transitoire afin de retarder le retour à la normalité.
Mais leur lutte satanique ne peut pas avoir raison de la bonne volonté du président IBK et de son gouvernement de donner la paix au peuple malien.
Nous devons savoir que les conditions sont mises en place pour le retour à la paix comme l’a signifié les acteurs et les observateurs.
Tout sera respecté selon les dispositions prescrites dans les accords. Il faut que les élus locaux comprennent que cette paix est bénéfique à nous tous car personne n’est prête à revivre les atrocités de la guerre
Le président IBK et sont gouvernement doivent continuer le travail qu’ils ont commencé contre vents et marrées.
En effet nous savons que les ennemis de la paix ne vont pas leur faciliter le travail,mais ils devront tenir bon pour arriver au bout.
Vive la paix au Mali.
Certaines personnes dans ce pays ne pensent qu’à leurs intérêts personnels et non à ceux du Mali tout entier.
Ce sont ces personnes qui font mains et pieds pour que la situation reste telle.
Mais nous avons confiance en la détermination notre gouvernement à réunir tout le pays.
Toutes les conditions ont été réunis au niveau du gouvernement malien pour le retour de l’armée à Kidal, nous sommes conscient de la bonne volonté de notre gouvernement qui n’a jamais manqué à ses engagements, nous sommes conscient que des ennemis de ce pays qui se disent en accord avec le Mali rendent toujours difficile la mise en œuvre de la paix au Mali.
Mais nous devons nous dire que cette paix ne viendra que de nous-même, que c’est de nos comportement, de nos façons de voir les choses et de nos façons de nous aimer entre nous.
Nous avons tous dit la paix et rien que la paix nous satisfait.
Vive la paix…
L’accord de paix ne peut pas satisfaire tous nos désirs il faut que le comité national de suivi qui a été mis en place il y a quelques semaines; puissent trouver des solutions pour ne pas retarder de plus la mise en œuvre de l’accord qui pourrait le rendre vulnérable.
Cette réticence des élus du Nord face à la mise en place des autorités transitoires est une mauvaise compréhension des accords de paix. Le CSA doit user de tous les moyens pour que l’accord soit mise en application; ils doivent très bien expliquer la situation de signature de l’accord afin de permettre à tous de se l’approprier et être des acteurs de la mise en oeuvre.
La paix est l’un des facteurs de développement d’un pays. C’est pourquoi le président Ibrahim Boubacar Kéita a donné une chance d’avoir cette paix en signant les accords de paix avec les groupes armés.
Aujourd’hui, l’espoir en cette paix est bel et bien réel avec la libération de prisonniers, le cantonnement, l’insertion des ex-combattants et également le forum à Kidal sur l’arrivée de l’administration. Tout ceci montre que nous sommes inscrits dans une dynamique de paix et tout le monde doit se conformer à la mise en place des accords.
Les élus des Régions de Tombouctou, Gao et Kidal, les responsables des groupes armés ,comité de suivi de l’accord pour la paix et la réconciliation et le gouvernement doivent parler de la même voix afin de faire comprendre les dispositions de l’accord et pour permettre l’installation des autorités transitoires.
Article 3 : Les Institutions de l’Etat malien prendront les dispositions requises pour l’adoption des mesures règlementaires, législatives, voire constitutionnelles nécessaires à la mise en œuvre des dispositions du présent Accord, en consultation étroite avec les Parties et avec le soutien du Comité de suivi prévu par le présent Accord.
Je crois donc que c’est dans cette logique que la révision constitutionnelle et l’installation des autorités transitoires doivent intervenir.
La gestion de la crise d’abord pour l’instant donc nous ne voulons pas que certaines personnes puissent compromettre les accords de paix.
C’est une délégation spéciale car chaque situation a sa manière d’être gérée. Alors j’appelle la bonne compréhension de l’ensemble des élus du nord à faire preuve de sagesse pour la mise en place des autorités transitoires.
Nous voulons gérer cette sortie de crise donc les élus ne peuvent pas s’opposer à la mise en place des autorités transitoires. Si les choses reviennent à la normale, ils jouiront de toute leur prérogative. Mais pour le moment, ils doivent s’y faire en acceptant cet état de fait.
La mise en place des autorités transitoires est un impératif pour le bon fonctionnement des accords de paix. Ces élus doivent comprendre que la gestion d’une crise n’est pas comme si nous étions dans un moment normal.
Nos élus sont tous des opportunistes. Ils sont tous en train de défendre leur position. Ils ne veulent pas de ces autorités transitoires parce que ce sont leurs militants occupants ces postes qui seront relevés de leur fonction.
Je sais que c’est au nom de la paix que ces autorités transitoires vont être mise en place dans les localités du nord. Et c’est dans le cadre du processus de la paix. Nous voulons le retour de la paix. Mais c’est la question de confiance qui se pose au niveau des élus. Ces derniers ne font pas confiance aux rebelles qui seront parmi les autorités transitoires.
C’est dans le cadre de l’exercice de leur mission de représentants des populations locales que les élus se sont opposés à ce projet de loi. Mais sauf si quelque chose se cache derrière le projet, sinon c’est pour accélérer le retour de la paix que ces autorités seront mise en place.
Les députés qui sont élus par les populations sont dans l’obligation de défendre les intérêts des populations qu’ils représentent dans l’Assemblée Nationale. Si les élus pensent que ces autorités transitoires ne doivent et ne peuvent pas être mise en place, c’est surement en connaissance de cause.Mais je suis pour la mise en application à la lettre de l’accord d’Alger et j’invite ces élus à être pour aussi.
C’est dans le cadre de l’application de l’accord de paix que ces autorités vont être mise en place dans les localités de Tombouctou, Gao et Kidal. Donc je ne vois pas là où se trouve le problèmes des élus sur le projet?
Nos demandons aux élus de nous défendre comme cela doit se faire. Mais nous ne voulons pas qu’ils soient des obstacles au retour de la paix dans le pays. Si c’est une exigence pour que la paix puisse revenir dans ce pays que ces autorités transitoires seront déployées, nous sommes pour.
Sans la saisine de l’Assemblée Nationale sur cette question et celle-ci l’approuve, les autorités transitoires ne seront et ne peuvent pas être mise en place. Même dans le cadre de l’application de l’accord de paix. Et ces élus qui ont pour mission de défendre les causes de la population ne devraient pas être contre la mise en place des autorités transitoires.
C’est dans le cadre de la mise en application à la lettre de l’accord de paix qui lie le gouvernement malien et les groupes armés. Les autorités transitoires ont pour mission de conduire le processus de paix, comme prévue dans l’accord de paix.
Les élus locales pensent que les autorités transitoires se substitueront pour toujours aux autorités légitimement élues. Non ces autorités transitoires conduiront le processus de paix et prépareront le terrain pour l’organisation des élections locales. J’invite les élus à accepter ces autorités.
La mise en place des autorités transitoires ne pose aucun problème. Bien au contraire, elle donne la solution aux difficultés qui troublent la mise en application de l’accord de paix et de réconciliation nationale. Nous devons tous soutenir les autorités pour tous les efforts qu’elles déploient dans le processus de paix.
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