La rencontre qui a eu lieu à quelques kilomètres de Kidal a eu comme recommandations, d’affaiblir dans les jours à venir les mouvements d’auto-défense, constitués des jeunes des communautés victimes de la barbarie de l’agression et de l’occupation. Les lobbies racistes auprès de l’ONU n’ont rien à foutre des souffrances des populations autochtones. Leur seul but : donner à une seule communauté minoritaire et dont la présence sur ces terres remonte à très récemment, la prééminence politique et administrative, pour assouvir ses appétits esclavagistes et rétrogrades. Mais la réalité du terrain plus que tout résiste toujours et continue à déjouer tous les plans machiavéliques au détriment de leurs concepteurs. C’est le combat éternel entre le mensonge soutenu par les grands de ce monde et la vérité qui quoique étouffée éclaire au milieu des ténèbres et éblouit par sa clarté et sa pureté. La marche d’ hier à Gao visait à éclairer la lanterne de l’ONU afin de l’empêcher à s’associer au génocide et aux crimes barbares planifiés de longue date et dont l’avant-goût a été l’occupation et la destruction qu’ont connues le nord du Mali et sa population. Les travailleurs de la MINUSMA sont donc confrontés à la dure réalité du terrain. Entre l’ordre qu’ils reçoivent des grandes puissances et l’état de leur conscience sur le terrain, les êtres humains que constitue le personnel onusien sont dans un dilemme à la fois profonde et tragique. Face à la déformation des médias au premier rang desquels Radio France Internationale (RFI) et la réalité à Gao, Tombouctou et Kidal, c’est un personnel dépassé qui, malgré les gros moyens demeure totalement paralysé.
La question du nord du Mali se règlera dans la vérité et la justice ou ne se règlera pas. Aucune communauté ne peut se prévaloir d’être sortie des cuisses de Jupiter au détriment des autres, fusse-t-elle la communauté Songhay, dont les ancêtres ont fondé le seul Empire connu sur ces terres et, qui, aujourd’hui représente 84% de la population du Nord du Mali. Les thèses fabriquées ailleurs et en dehors des réalités locales n’auront pas plus de chance qu’elles n’en ont eue de par le passé. Et si la solution des armes restera la seule possible la victoire reviendra à la vérité et à la majorité. Il est donc grand temps pour la MINUSMA de sortir du moussalaha et de la politique de l’autruche. L’onction des grands de ce monde ne peut déformer indéfiniment la réalité sur place et personne ne sera prêt à abandonner la terre de ses ancêtres, parce que quelques bandits drogués, armés et soutenus médiatiquement veulent transformer l’histoire et réinstaurer l’apartheid sur des terres d’hospitalité et de tolérance.
Il est à déplorer quelques vitres brisées par les manifestants, qui ont déclaré avoir répondu aux tirs massifs de gaz lacrymogène par la force onusienne. L’ONU demeure quand même un grand partenaire de notre pays avec la France. Ces amis du Mali doivent comprendre qu’ils ont les moyens de régler par la vérité et l’évidence la question du nord du Mali. Aucun parti pris ou complaisance ne passera, à moins que toute justice n’ait disparu et que le dessein inavoué ne soit de créer un chaos humain, une apocalypse sahélienne, pour mieux s’assurer le partage de nos ressources.
Karim FOMBA
HISTOIRE RETIENDRA TOUJOURS QUE UN CERTAIN MAHAMAR GHADAFFI BERBERE DE MERE VOULAIT SE VENGER DE CE QUE SONNI ALI BER AVAIT FAIT DANS ESSOUK.
OU EST SONNI ET OU GHADAFFI?
LE SAHARA ETAIT OCCUPE PAR LES NOIRS BAFOURS /soninkes bambara sereres etc….PUIS DES MILLENAIRES APRES LES ARABOBERBERES/arabes berberes maures ET PAR LES GUARAMANTES /Zerma sonrai diourmantiesmassai .
QUI EST VENU AVANT QUI?
SOYONS SERIEUX ET REGARDONS EN FACE LA VERITE.
IL YA EU UN ROYAUME BERBERE CERTES DIRIGE PAR LA REINE AMINA.ET TOUT EST FINI. ET LES EMPIRES .
AUJOURDHUI NOUS SOMMES AU MALI.
REGARDONS EN FACE LA VERITE .ELLE BLESSE MAIS NE TUE PAS.
CONSTUISONS CE QUI NOUS UNI.
SINON LE PARTAGE SERA INEGAL.
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